ʀᴇᴀᴄᴛɪᴏɴ 136▓...


ʀᴇᴀᴄᴛɪᴏɴ.136▓...

▪ Tu n'es qu'un/e simple civile habitant dans une ville ni trop grande, ni trop petite.
Ayant une vie des plus normale.
Mais ce quotidien calme et serein va disparaître lorsque l'alarme de l'état d'urgence résonne soudainement accompagné d'étrange grondements venant du ciel.
Une guerre avait commencée et ta vie banale s'est transformé  en cauchemar ▓...

03.1219

►ʜᴀᴇᴄʜᴀɴ

Cela faisait déjà un moment que l'état savait que tout ceci allait terminer en guerre. Les  habitants aussi le sentaient évidement, mais c'était trop difficile d'y croire alors on préférait rester sourd et faire l'autruche, s'enfermer dans l'utopie que tout va pour le mieux.
Malheureusement, le temps de guerre a bel et bien sonné et personne ne peut deviner à quoi ressemblera et quand arrivera la fin de celle ci. Est-ce que tu seras encore vivant/e au moins ?
L

a ville s'est déjà préparée pour des bombardements futur, des bunkers ont été construit à chaque coin stratégique de la cité et des messages d'alertes sont répétés quotidiennement.

La queu pour entrer au bunker est très longue mais surtout agitée. Depuis la nouvelle passée à la radio, à la télé, et toutes formes de communication, du conflit qui a éclaté. Les enfants ne comprennent pas vraiment la situation et questionnent leurs parents qui eux, ont du mal à répondre "ne t'inquiète pas" en souriant.
Dans quelques mètres tu pourras enfin atteindre l'entrée du bunker sauf que -..mauvais timing peut être ?  Ou simplement malchance ? Les avions qui survolaient encore gentillement la ville ouvrirent soudainement leurs soutes et laissèrent tomber d'énormes bombes en métal.

Une première explosion sur un bâtiment voisin envoi une bourrasque de vent et de poussière dans ton dos. Tes jambes sont alors incapables de bouger à cause de la peur qui prend contrôle de ton corps.
C'est alors qu'une main attrape ton bras et te tire en avant rapidement.
Tu n'as pas même le temps de cligner des yeux que tu te retrouves dans le bunker, la porte fermée et tous les autres habitants de la zone en sécurité.

Traumatisé par ce qu'il vient de se passer, ayant bien cru que c'était la fin pour toi, tu remercies celui qui t'a mis à l'abri, debout à côté de toi, par un regard mouillé de l'armes. Ta bouche ne pouvant s'ouvrir encore sous le choque.

Tu es en sécurité mais tu ne lâches pas pour autant la main de ce jeune homme. Tu as besoin d'une présence pour t'aider à grader les idées au claire. Et il semble que lui aussi.

►ʜᴇɴᴅᴇʀʏ

Tu es complètement endormi, même si l'état d'urgence à été mise en place hier, pour toi le sommeil c'est sacré. Quand tu dors, tu dors. Rien ne peut te réveiller. Même pas les cris et les tires qui résonnent dehors.
Mais il serait peut être temps de te réveiller sinon tu vas vite exploser avec ton immeuble.
Tu sens alors qu'on te secoue les épaules très fort, trop fort.
En ouvrant les yeux, tu découvres ton voisin de palier qui s'est introduit chez toi, tu ne sais comment, pour te sortir de ton sommeil.

" -bouges toi. Faut qu'on se casse sinon on peut dire adieu à la vie. "

Il te pousse hors de tes draps et c'est seulement lorsque tu entends les cris d'agonie d'une femme dans la rue que tu te rends compte de la situation. Heureusement que ton voisin a pensé à toi et ne t'as pas abandonné à ton sort sinon tu serais déjà exploser en même temps que ta maison.

Vous voilà alors tous les deux à courir dans les rues en évitant le plus possible de vous faire remarquer, dans l'espoir d'atteindre un lieu sûr.
Mais y'a t'il vraiment un lieu sûr quelque part ?

►ᴡɪɴᴡɪɴ

L'alarme avait raisonné il y à déjà plusieurs heures pour que chaque personne se mettent à l'abri le plus rapidement.
Habitant dans un petit village au milieu des champs avec à peine une dizaines de maisons, l'endroit le plus sûr était alors la grande grange la plus éloignée des autres fermes.
Toutes les familles, autant nombreuses soient elles, se retrouvèrent ici, assis dans la paille, dans le noir, en faisant le moins de bruit possible. Comme si un simple mouvement pouvait prévenir de votre présence aux bombardiers dans le ciel et qu'ils envoient alors leurs bombes sur votre position.

Tu étais assis/e en boule dans un coin, sur une botte de paille à l'écart de ta famille et de tes connaissances.
Tu essayais de te rassurer en te parlant à toi même dans quelques murmures. Te disant que tout ira bien, que vous ne seriez pas toucher et que tout ça ne durera pas.
Mais rien n'était sûr, ça pouvait durer une semaine comme un an. Peut être que vous serez déjà mort de faim lorsque l'on vous trouvera.

Tu essayas de respirer doucement, calmant tes pensées cauchemardesques mais une crise d'angoisse commençait à arriver.
C'est alors que tu senti deux bras t'entourer pour te coller à un corps chaud et caresser doucement ton dos. On commenca à te murmurer quelques mots à l'oreille pour t'apaiser, et heureusement ça marcha.

" - tout vas bien aller. On va s'en sortir, ne t'inquiète pas."

►ᴊᴏʜɴɴʏ

Des soldats portant un uniforme que tu ne connaissais pas arrivèrent soudainement  dans la maison familiale sans même frapper à la porte, préférant la défoncer à coup de coude. Sans attendre ils attraprèrent tes parents et les emmenèrent sous leurs cris stridents.
Tu ne te rendais pas exactement compte de  la situation, mais il y avait  bien une chose que tu as compris : courir. Et vite.

Il fallait que tu cours pour sauver ta vie. Courir sans s'arrêter, à en brûler tes poumons. Sauf que c'était soit ça, soit ta mort.
Mais tous tes espoirs de survie disparèrent lorsque une main attrapa tout d'un coup ton bras et te stoppa dans ta course.

C'était bien ce que tu avais imaginé,  un autre soldat du même uniforme de ce qui sont apparu dans ta maison.
Des "ennemis" de ta nation.
Il te serra fortement le poignet pour ne pas que tu puisses t'enfuir mais tu n'avais même pas la force de te débattre.
Tu avais besoin de reprendre ton souffle, lentement en essayant de comprendre ce qu'il se passait.
Une chose était sûr, la ville est dans le même état que ta maison et tu ne vas pas t'en sortir sans problème. Oui ça fait finalement deux choses.

"- j'ai bien envie de te garder avec moi finalement. Tu me seras utile."

►ᴍᴀʀᴋ

Tu te cachais derrière les immeubles en essayant d'atteindre la forêt qui longe le village sans te faire remarquer.
Un peu plus loin de ta position, tu entendais des bruits de coup de feu, des pierres se casser et des cris de douleur résonner.
Pour le moment personne ne t'avais vu et tu pouvais continuer à avancer avec l'espoir de survivre.

"- ATTENTION !"

C'est alors qu'un coup de feu parti soudainement en direction de ta tête que tu ne remarquas seulement une fois au sol.
On venait de te protéger du tire en te jetant au sol, la personne en question était toujours allonger sur toi en soufflant fortement.

Tu reconnus la couleur inhabituel de son uniforme, celle du camp ennemi, ceux qui détruisaient actuellement ta ville et toute ta vie en même temps.
Tu pris peur et commenças à gigoter pour essayer de t'enfuire.
Mais tu te calmas tout d'un coup lorsqu'il releva la tête vers toi. Voyons non pas de la haine dans ses yeux, mais de l'inquiétude.
Vous étiez de camp adverse mais pourtant sur le champ de bataille il t'avait protégé.

" - tu vas bien ?"

►ᴊᴇɴᴏ

Assis/e au milieu d'une pleine calme, vide et verdâtre, tu profitais de la douce brise faite d'air transparent et sans odeur.
Ces derniers jours, il était interdit de sortir à cause des vents rapportant les gaz mortels, l'odeur immonde des corps moisis abandonnés sur la terre ou encore celle de la poudre des armes à feu utilisée sur le champ de bataille un peu plus loin.

Alors que tu étais allongé dans l'herbe de l'un des rares champs du pays pas encore remplit de sang et de membres toujours chaud arrachés à leur propriétaire par une exploitation de mine, tu sentis l'herbe bouger à côté de toi signe que quelqu'un venait d'arrivé.

" -c'est calme aujourd'hui.

- oui c'est rare. Comme si la guerre n'avait pas lieu il y a quelques kilomètres d'ici.

- humm. .

- dis, tu crois que l'on arrivera vraiment à survivre ? À...changer les choses ?

- bien sûr !  La guerre n'est pas éternelle, aucun chef d'état voudrait son pays en état d'urgence éternellement.
Et nous, nous tiendrons le temps qu'il faut. Après tout, nous sommes la "résistance" non ?"

►ᴛᴀᴇʏᴏɴɢ

Ton village était occupé depuis déjà bien un bon mois. Étant proche de la ligne de front, il était primordial que toutes les maisons soient prises. Mais malheureusement pour vous ceux qui sont arrivés en premier sur les lieux furent le camp "adverse" de ton pays natal.
Les habitants ont dû déguerpir rapidement par peur de se faire tirer dessus par l'armée étrangère.
Ta mère elle, a réussi à partir chez des amis habitants dans une régions en paix, heureusement pour elle.
Mais ton père lui, ça à plus dure. Il a été envoyer sur le champ de bataille pour "se battre"  aux côtés des  "ennemis", même si c'est plutôt pour servir de chair à canon.

Tu espérais au plus profond de toi qu'il soit encore en vie, même si tu ne recevais aucun signe de lui, il devait  encore se tenir debout fièrement, il le devait..

Toi aussi tu avais réussi à survivre, tu allais être envoyé en camp de travaux forcés n'ayant pas réussi à suivre ta mère.
Mais chance pour toi, un haut placé de l'armée "ennemi" avait croisé ton chemin par hasard et grâce à ton charme ravageur, il avait décidé de te garder sous son aile.
Toi qui pensais qu'il allait t'utiliser comme femme de chambre ou pour un travail difficile. En réalité il te traitait comme un/e royal/e.
Tu vivais dans une grande maison bourgeoise dans le pays étranger en guerre face au tien.
Cette vie ne te dérangeait pas, elle était même plutôt plaisante.
Mais ce que tu souhaitais le plus était que cette guerre se finisse et que tu puisse ainsi retrouver ta famille en bonne santé, sans blessure et douleur. Comme si rien de tout ça c'était passé.

◄◆►

Après quelques temps de réflexion, j'ai décidé de ressortir le livre de réactions sur ateez et treasure13.
Retirer une des rares oeuvres sur treasure13 que l'on trouve sur wattpad me fait très mal, sachant qu'il s'agit -bien qu'il n'a pas encore débuter- un des groupes masculins que j'aime le plus.
Je vous pousse alors à aller y jeter un oeil. Même si vous ne connaissez pas le groupe  (ce qui est normal, ils vont débuter en 2020 mais ce sont fait déjà très remarquer grâce à leur survival et l'apparition de god yedam), vous ratez quelque chose si vous ne leur donner pas une chance. Car leur début ne vont pas passer inaperçu.
- actuellement nous savons que 30 producteurs travaillent sur leur début. Imaginé alors la qualité que l'on va avoir. -

ᴇᴠɪʟ ϙᴜᴇᴇɴ ᴄᴏᴍɪɴɢ sᴏᴏɴ▓...

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