Deux oiseaux près d'une rivière
Contemple le ciel d'azur
Écoutant la symphonie d'un air sur
Les deux pensent a leur quotidien amère

A la misère si tout s'arrête
Pourtant tout n'est pas si simple
Le premier n'est pas banal a convaincre
La vie est dangereuse pourquoi partir voir la mer si tu as a porté de main une rivière ?

Mais la malice est un vice
Et le second s'envola vers d'autre cieux
Et on ne le verra que près d'un feu
Le premier n'est qu'un menteur

Il reste près du point d'eau
La où la vie est si morose
Au lieu de voir la vie en rose
Et de vivre sous forme de prose

Quand le renard attaqua
N'ayant jamais battu des ailes
Alors le sang coula
Car la vie est comme ça

Passons de l'autre côté
Ou la vie n'est pas compte de fée
Mais au moins il a tenté
Ce quotidien de le changer

Le second bien que mort jeune
N'eu le temps de mourir seul
Avant de servir de bectance
Il rompit le silence

" Si le vice nous a surpris
A nous éloigner en fin de nuit
Et que la vie ne sut nous réunir
Alors la mort le fera cet fois ci "