Chapitre 11 : Les Quileutes partie 1.

PDV BELLA

- Lena ! J'ai dit non !

- Allez, viens te détendre un peu Bella !

- N'en rajoute pas, Ethan Lawson Wate ! Tu sais très bien pourquoi je refuses !

- Mais c'est complètement ridicule !

- Pourquoi vous voulez tous absolument que je vienne ? J'ai dit non ! Quand c'est non, c'est non ! Non ! Referme ta sale bouche Link, ça ne sert absolument à rien !

Le "clac" retentit dans toute la maison alors que je leur claquais ma porte au nez. Je m'adosse à celle-ce en soupirant, posant ensuite mes deux mains sur mes tempes. J'ai cru qu'ils n'allaient jamais arrêter ! de toute façon, personne ne m'écoute dans cette maison ! Je n'aurai jamais 1% de liberté et d'indépendance.

Toujours aussi en colère, je me dirige vers mon lit, et sortis le vieux livre de sa cachette. Je caresse doucement la couverture en cuir du bout de mon index, comme si ce simple geste pourrait m'apaiser. Malheureusement, ce n'est pas le cas. A cause de cette voix trop familière qui continue malgré tout d'insister absolument pour rien.

Tu pourras rester sur le bord. Tu peux même prendre un livre et te plonger dedans ! Mais, s 'il te plaît, viens. Je ne veux pas être la seule fille.

Tu connais ma seule et unique réponse.

J'ouvre le livre au hasard, et tombe sur un chapitre qui attire mon regard. Tiens tiens... Peut-être que...

Les métamorphes. Le nom de ce chapitre. Sans savoir pourquoi, ce nom m'attire. Mais j'ai quand même l'impression qu'il ne conviendrait pas du tout à Edward. J'essaye de les associer. J'essaye, mais ça ne marche pas du tout. Mes sourcils se froncent lentement, tandis que je commence à lire le chapitre.

Les métamorphes sont capables de se transformer en n'importe quel animal. Mais une fois que l'animal est "choisi", le métamorphe ne peut pas en prendre un autre. Généralement, c'est génétique. Mais la forme animale choisie est plus grande et plus forte que l'animal lui-même. La forme la plus choisie le plus souvent est le loup. Les Mortels les ont souvent aperçu hurlant à la pleine lue, et ont donc inventé la légende du loup-garou.


Les loups-garous existent vraiment.Nous avons déjà vu ce chapitre, avec Lena. Ils sont surnommé loup-garou par les Mortels, mais leur véritable nom est Enfant de la Lune. Et il ne se déplace que sur deux pattes.

Les métamorphes en groupe créé une réserve pour pouvoir surveiller leur territoire, le...

Prise d'une soudaine conscience, j'interromps ma lecture, referme le vieux livre d'un coup sec, laissant échapper de la vieille poussière, me faisant de nouveau douter sur son âge. Mais je ne m'attardais toujours pas dessus et le remets dans sa cachette, sous le lit. Je saisis mon livre du moment, Les Hauts de Hurlevent. Alors, je me dirige vers la port de ma chambre, que j'ouvre brutalement.

- Lena ! Ethan ! Link ! Criais-je d'une voix forte. J'ai changé d'avis ! Finalement, je préfère vous accompagner !

De gros bruits de pas lourds montant l'escalier parviennent jusqu'à mes oreilles sensibles. Je grimace, et mets mes deux mains sur les pauvres, tout en gardent mon livre dans ma main gauche. Pourtant, quelques secondes plus tard, ma grande sœur, Ethan et Link se tiennent devant moi, bien droit, le sourire aux lèvre, montant jusqu'aux oreilles.

Quelle réaction stupide ! A croire qu'ils attendaient que je culpabilise pour ensuite finalement les accompagner !

Eh bien ils se fourrent le doigt dans l'œil... Je vais vite fait faire dégonfler leurs petites mines ravies et fières d'elles.

- C'est pas pour vous faire plaisir ! Lâchais-je sans le moindres remords. J'ai juste un truc à vérifier.

Essayant de paraître théâtrale, je les contourne, la tête haute et fière de leurs visages après ma petite réplique. Évidemment. Pourquoi ça ne se passe jamais comme je le veux ?

******

- Aïe !

Ils ne doivent plus me reconnaître vu le nombre de grimaces qui est passé sur mon visage crispé par la douleur...

- Arrête Lena ! Laisse-moi faire !

- As-tu déjà lu un livre de médecine, Link ?

- J'ai déjà fait ça avec ma mère. Elle m'a obligé à en lire un, au cas où !

- Ouais, j'étais là. Vas-y Lena, laisse-le.

Mes yeux s'écarquillent quand je vois approcher Link de la chaise où j'étais assise.

- Non ! S'il te plaît, je... Aïe ! Je ne fonctionne pas comme ta mère ! Tu risques de... eh ! Ne me touche pas ! Ethan, empêche-le ! Allez ! Lena, fais-le reposer ça ! Tiens-le à l'écart de moi ! Je te laisserai conduire pendant une semaine, promis ! Non ! Lâche ça ! Aïe ! Mais arrêtez-le !

Je me débats tant bien que mal, me tortillant sur ma chaise pas très confortable, ce qui me fait pousser des cris de douleur aigu.

- Ce ne sera rien ! Juste un coup sec, tu ne sentira absolument rien !

Dois-je lui rafraîchir la mémoire ?

- Tu dois avoir un problème au cerveau, Ethan. Tu connais ma... Aïe ! Qu'est-ce-que je t'ai dit, Link ? Repose cette aiguille ! Non ! Pas ça ! Tout, sauf ça ! Lena, éloigne cette chose de moi ! J'ai déjà assez souffert !

- Pense à autre chose, Bella, me dit Ethan en souriant. Sinon, tu vas le regretter.

Je le regarde avec horreur. Il ne va pas le laisser faire ça ! Si ? Je le déteste. Je tourne alors un regard suppliant vers ma sœur, l'implorant de mes yeux. Elle me sourit et s'approcha de moi. Je lâche un gros soupir, soulagée. Elle me sauve la vie ! Je l'adore !

Mais, contre toute attente, elle vient se poster derrière moi et deux mains fraîches se collent devant mes yeux qui, il y a quelques secondes, se remplissaient d'espoir, me plongeant alors dans le noir et l'obscurité la plus totale.

Je la déteste !

- C'est bon, Link ! Hurlais-je. Je vais supporter la manœuvre, plus besoin d'anéstésie !

Je soupire de soulagement lorsque je sens la pointe métallique et froide contre la peau de ma cheville se retirer. Enfin, les deux mains fraîches de Lena se retirent de devant mes yeux, mais elle reste derrière moi et pose ses coudes sur mes épaules. Toujours de mauvais poil, je grogne, mécontente :

- Tu m'as pris pour un accoudoir ?

J'entends son rire résonner dans la pièce suite à ma réplique. Elle passe ses avants-bras autour de mon cou et s'appuie complètement sur moi. C'est clair, elle se fiche complètement de moi.

Un craquement sec interrompit le cours de mes pensées, et je serrais tellement fort les dents que je jurais que dans quelques jours, je devrai prendre un rendez-vous chez le dentiste. Malgré mon serrement de dents, je laisse échapper contre mon gré un gémissement strident qui résonna dans toute la pièce. J'ai même vu Link grincer des dents, lui aussi. Je ne serais pas seule !

J'agrippe ma cheville endolorie, toujours en grimaçant. C'est sûr et certain, je vais finir le visage déformé à force de faire des grimaces aussi horribles les unes que les autres.

- Plus que le bandage, annonce Ethan, toujours aussi souriant, et on pourra enfin y aller.

- Ça m'apprendra à être aussi maladroite, marmonnais-je, agacée par cette éternelle malchance. Je suis maudite depuis ma naissance.

Sentant que je vais me mettre à déraper sur mon éternel sujet, c'est-à-dire mes seize ans, Lena m'interrompit :

- C'est vrai que louper la première marche de l'escalier, pour ensuite presque tomber à la renverse, c'est de la pure malchance.

- C'est clair, pouffa Link. Bon, on va préparer les combinaisons.

Les deux garçons filèrent en vitesse vers la cuisine, me laissant seule avec Lena. Celle-ci arrêta finalement de s'appuyer complètement sur moi et me contourna, tira une chaise pour s'assoir en face de moi et me regarder droit dans les yeux.

Je la regarde moi aussi, sans rien dire, attendant qu'elle commence à prendre la parole. Elle reste un long moment silencieuse, comme ça. Ne pouvant plus supporter ce silence trop pesant, je ne pus m'empêcher de soupire et lui faire remarquer :

- Allez, je sais ce que tu vas faire : tu vas m'imposer un petit interrogatoire. Alors je t'en prie, ne t'oblige pas à ne rien faire, pose-moi autant de questions que tu veux, je n'ai rien à cacher, absolument rien !

Elle ne put s'empêcher de sourire. Sourire moqueur. Comme si elle savait tout de moi. Après tout, c'est vrai. Je suis sa petite sœur, elle me connaît par cœur, elle sait tout de moi. Elle sait donc que j'ai omis de lui dire un détail. Elle finit par soupirer et, sans arrêter de sourire, elle commença enfin son petit interrogatoire :

- Pourquoi tu as changé d'avis ?

Celle-là, je ne m'y attendais pas. Je devais avoir une tête vraiment surprise pour qu'elle finisse par ajoute, après quelques secondes de silence de ma part :

- Pour la réserve. Pourquoi tu veux finalement y aller ?

Alors là... Que dire ? La vérité ? Curieusement, j'ai envie de garder ça pour moi. De ne rien dire, de se taire, de lui mentir... Curieusement, pour une fois, j'en ai marre. Marre qu'elle se mêle de ce qui ne la regarde pas. Marre qu'elle croie toujours me comprendre. Marre d'être jalouse d'elle à chaque fois que je la voie rire. Marre de la voir aussi heureuse alors que moi, sa petite sœur invisible et incontrôlable, reste dans son coin, à stresser sur ce qu'elle a déjà...

Une vague de fureur me traverse soudainement, et je fusille Lena du regard. Celle-ci se redresse brusquement et son dos heurte le dossier de sa chaise. La pluie fine et légère se transforme progressivement en averse, et le tonnerre se fait à nouveau entendre très rapidement.

- Pourquoi tu veux toujours tout savoir sur moi ? Sur ma vie ? Je ne peux pas avoir de secrets ? Je ne peux pas être un peu indépendante ? Tu es toujours dans mes pattes ! Toujours ! Tu ne penses pas que j'en ai marre ? De rester dans ton ombre, à stresser chaque jour sur ce que tu as ? Tu ne peux pas savoir à quel point je t'envie, finissais-je en murmurant presque, reniflant lamentablement pour tenter désespérément de retenir les larmes qui me brûlaient atrocement les yeux, menaçant de couler d'une seconde à l'autre.

Lena était bouche bée. Ses yeux étaient larmoyant, comme moi. Elle se leva, balbutia qu'elle avait besoin d'air et sortit de la pièce précipitamment. J'eus juste le temps de remarquer se jambes tremblantes, comme si elle pouvait s'effondrer à tous moments.

Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire. Je restais là, les bras posés sur mon ventre, la jambe gauche en l'air, les yeux perdus dans la vague.

Je n'avais jamais crié sur ma sœur. Jamais. Qu'est-ce-qui m'avait pris ? Je ne suis pas comme ça. Je ne l'ai jamais été. Qui suis-je, pour crier sur la personne qui compte le plus pour moi ? Ce n'est pas normal. Pas du tout.

******

Le paysage défilait sous mes yeux, m'offrant un bon moyen de distraction, avant que l'on arrive enfin à la réserve. Les passants se tournaient au fur et à mesure vers notre voiture en la reconnaissant, leurs regards emplis de méfiance, de méchanceté... Le regard habituel que l'on oublie jamais. Je laisse échapper un soupir. Edward a raison. Ils ne jugent que par les apparences, par les fausses rumeurs qui circulent à notre sujet, sur notre famille "diabolique" et "satanique". Pourquoi je ne suis pas normale ? Encore cette question... Je suis lassée de tout ça. Vidée d'énergie. Bien sûr, la question habituelle ne tarda pas à surgir de mon esprit tordu, engourdissant mon pauvre cerveau, bien trop faible par rapport à l'importance de cette maudite et harcelante question, qui frappe encore et encore, me réduisant à rien...

Serais-je Lumière ou Ténèbres ? Serais-je Lumière ou Ténèbres ? Toujours pareil. Je regarde ma sœur du coin de l'œil, l'enviant toujours, la jalousant malgré moi...

Lena était assise sur le siège passager à l'avant, à côté d'Ethan qu'elle regardait d'un oeil pétillant et remplit de joie. Mais quelque chose... ne colle pas vraiment à son comportement... Elle n'est pas aussi vive que d'habitude, aussi pleine de joie de vivre... Normalement, elle se tortille dans tous les sens, elle s'agite sur son siège, fait de grands gestes, comme lorsqu'elle explique quelque chose...

Mais là, son regard n'est plus aussi...vivant. Il manque quelque chose. Je rougis lorsque je me rends compte que cette chose, ce doit être moi.

En effet, je pus apercevoir son regard se teinter d'une immense et profonde tristesse. Je l'ai beaucoup blessée avec mes paroles. Les mots sont une arme terrible. Et je n'en ai pas pris conscience.

Je détourne vite fait le regard et le porte de nouveau sur la route... bordée par la forêt. Nous y sommes ! Enfin ! J'ai l'impression que ce trajet a duré une très longue éternité...

- Bienvenue à la réserve Quileute ! S'exclame Link en riant devant mon air soulagé.

******

- Reste ici, Bella, m'ordonne Ethan.

- Pardon ? J'ai pas le droit de marcher un peu ? Protestais-je, furieuse qu'il me parle comme à un chien.

- Pas avec ta cheville ! Tu dois rester immobile, donc assise ou allongée, le plus confortablement possible.

Alors que j'ouvrais (encore) la bouche pour protester, une voix froide et dure, reconnaissable entre toutes me fit sursauter de surprise.

- Laissons-lui un peu d'indépendance, de liberté, je sens qu'elle étouffe.

Lena fit voler ses longs cheveux noirs en se retournant vers la mer, le visage froid et impassible. Ethan se précipita derrière elle, l'incompréhension se lisant facilement dans ses yeux verts sombres.

Link eut l'air d'hésiter, avant de finalement conclure :

- Très bien, mais fait tout de même très attention. Parce que la prochaine fois, j'utiliserai l'anéstésie.

Il me fit un dernier sourire moqueur avant de courir à la suite des deux autres, qui s'étaient déjà assez bien éloigné.

Une fois qu'ils furent tous assez loin, je me levais péniblement en grimaçant, la douleur à ma cheville m'arrachant des petits couinements de douleur. Je réussis enfin à me lever complètement, passant mon poids sur mon seul pied valide, et j'avançais à cloche-pied vers la forêt, chaque faux mouvements me faisant grimacer de douleur.

Je m'enfonçais de plus en plus dans les bois, laissant tomber régulièrement une petite feuille verte sombre, comme le Petit Poucet. Comme quoi, on apprend chaque jour. Qui aurait-cru que je m'inspirerai de ce conte ridicule pour éviter de mourir de faim et de soif, perdue dans la forêt de Forks ? C'est incroyable comme quoi la mémoire et l'imagination collaborent ensemble, telles deux sœurs jumelles parfaitement identiques.

Sœurs... Lena me manque déjà. Je n'ai pas du tout l'habitude de son comportement froid et inexpressif. Je ne sais toujours pas ce qui m'as pris de lui dire ces choses horribles. C'était vraiment ignoble de ma part. Comment ? Comment ais-je pu dire ça à ma propre sœur, celle qui a toujours été là pour moi, qui m'as toujours soutenue, qui m'as toujours réconfortée, toujours. Lena est ma complice, celle avec qui je partage toutes mes bêtises, tous mes secrets... Comment ?

Cet accès de fureur... ce n'était pas moi. Jamais. Jamais je n'aurais dit ça à ma sœur.

Prise dans mes pensées, je ne remarquais pas la racine d'un grand arbre. En plus, se déplacer à cloche-pied dans une forêt truffée de pièges mortels, surtout lorsqu'on s'appelle Bella Duchanne, c'était signer son arrêt de mort.

Alors que je m'apprêtais à me relever en pestant et jurant contre moi et ma maudite et légendaire maladresse, mon regard fut attiré par une étrange marque au sol. Je rampais en essayant de faire attention à ma cheville endolorie et complètement tordue pour aller l'observer de plus près.

Très étrange. Je n'avais jamais vu de traces aussi étranges. De loin, on dirait celles d'un ours. Mais lorsqu'on s'approche pour regarder d'un peu plus près, on remarque la façon dont cette marque s'est enfoncée dans le sol terreux de la réserve Quileute. On a l'impression que l'animal qui est passé par là volait presque. Un ours aurait bien plus enfoncé sa patte, jusqu'à laisser presque apercevoir les racines du buisson d'à côté.

Elle est plus fine. Plus allongée. Je fouille alors dans ma mémoire pour essayer de me rappeler les différents animaux que l'on a étudié. Peine perdue. Je n'ai jamais écouté ces cours, sauf lorsqu'il s'agissait de dissection et d'expérience. Je ne pouvais absolument pas prendre le risque de ressortir de la salle de classe avec un œil en moins.

Pour essayer d'avoir peut-être un meilleur point de vue, malgré le fait de ne jamais avoir écouté en cours, je m'agrippe tant bien que mal au tronc d'arbre le plus proche pour me relever.

La douleur, encore plus vive que d'habitude, me fait presque crier. Elle traverse ma jambe toute entière, me figeant sur place.

Malheureusement, ce n'est pas seulement la douleur qui me fige, qui ancre mes pieds dans le sol. C'est deux yeux jaunes qui me fixent dangereusement.

Progressivement, mon pouls s'accélère. Progressivement, mon souffle se fait de plus en plus court et saccadé, mais je reste figée. Mes yeux ne quittent pas cette..cette... Je ne sais même pas ce que c'est.

J'aurais voulu me bouger. M'enfuir à toutes jambes en hurlant, appelant au secours. Le sang bat à mes oreilles, mais je reste paralysée. Paralysée par la terreur qui me traverse.

Ma vie va-t-elle se finir ici ? Dans ces bois ? Après une dispute monumentale avec Lena ? Que je ne pardonnerai sans doute jamais, même après ma mort sanglante ? Avant d'avoir pu découvrir le secret d'Edward ?

Son nom déclencha quelque chose en moi. Ils me dé-paralysa, et je reculais enfin d'un pas. Comme si j'avais une nouvelle force. Grâce à ce nom, Edward. Son comportement bizarre et mystérieux. Ses yeux, ors ou noirs d'encre. Son secret.

Je faillis me mettre une claque. Mais vraiment. Je suis si aveugle que ça ? La marque dans le sol. Les Quileutes. Les métamorphes.

Ces yeux jaunes qui semblent se rapprocher de moi lentement.

La bête se rapproche. On dirait...un loup. Mais en bien plus gros. Il fait presque ma taille, son pelage est brun-roux, et semble vraiment très doux. Peut-être que... Non. Impossible, ils me mangerait la main.

Je fais alors un autre pas en arrière. L'adrénaline court dans mes veines, me laissant voir le..loup se tapir plus lentement que prévu et , avant que je n'aie pu faire un autre et dernier pas en arrière, malgré la douleur de ma cheville, il me bondit dessus.







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Coucou !

Voici un nouveau chapitre, publié dans les temps ! Mais, malheureusement, la réécriture du chapitre 3 n'est toujours pas terminée ! Eh oui, les activités viennent de commencer chez moi, et j'aurai moins de temps pour écrire ! Voilà pourquoi j'ai décidé de faire plusieurs parties pour celui-là, sinon j'aurai pris deux semaines à l'écrire ! Je préférais le mettre maintenant, ça rassurerait ma conscience !

Alors, sinon, votre avis ? J'ai vraiment hâte de savoir ! Ne soyez pas timide, j'ai vraiment besoin de conseils, pour voir si il y diverses choses à revoir ou améliorer !

A vrai dire, le coup de la cheville et de la dispute n'était pas au programme... mais je n'ai pas pu m'en empêché ! C'est vrai, une histoire ne serait rien sans un peu de dispute ! Mais attention, cette dispute n'est pas là pour rien... Quelqu'un aurait-il remarqué quelque chose ?

Qui est cette fameuse bête ? Je suis sûre que tout le monde le sait ! Entrée d'un nouveau personnage, dans le prochain chapitre ! Ou plutôt partie...

Quelle maladroite, cette Bella ! J'ai adoré décrire le moment "infirmerie". Oui, baptisons-le comme ça ! "Moment infirmerie n°1" ! Car bien sûr, il y en aura d'autres... Le prochain arrive bientôt !

Bon, on se retrouve pour la prochaine partie, je pense que j'en ferai deux ou trois... On verra !

Bisous !

Aurore.



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