5: Mort

Toi- arrête je te dis ! Arrête !

Statue- mmm~ que vais-je lui pouvoir faire ensuite ? ~

Cela fait plus d'une demi heure que la statue -qui a pris forme humaine en gardant son style- torture sa mère qui venait de rentrer.
Tu avais beau détester " ta famille ", elle rester quand même ta mère celle qui t'a mise au monde et élevé ... Jusqu'à une période.
Cette statue de malheur c'était attaque à ta mère dès qu'elle fût rentrée.
Il l'assoma et l'a porté pour l'attacher sur une chaise.
Une chaise avec des roues.
Pourquoi ? Aucune idée.
Mais tu t'en fiche.
Tu crie car tu ne veux pas qu'il lui fasse de mal, tu aime ta mère pour tes premières années et la déteste pour ceux actuels.

Elle se réveille enfin, les yeux qui clignent et papillonent pour voir dans la salle qui était plonger dans un léger voilà d'obscurité seul les lumières naturels éclairait la pièce.
Donc presque rien.

Mère-qu- QUI ÊTES VOUS !?

Elle criez tellement fort que tu a du te boucher les oreilles.
Contrairement à elle tu étais debout immobiles incapable de bouger comme si une force obscure te retenait.

Statue-... Vous n'avez pas remarquer ?

Mère-remarquer quoi...

Dit elle avant de baisser les yeux vers ses membres ligotés.

Mère- oh mon dieux ! Relâcher moi tout de suite espèce de taré !

Il ne dit rien et la regard avec un regard las, ennuyé.
Elle tourne ensuite son ragard vers toi.

Mère-c'est de ta faute... Hein !? Sale fille indigne ! J'aurai du te laisser mourir ce jour là ! Pourquoi je t'ai élevé tu n'es même pas ma fille ! Je te hais ! De ta faute mon mari est parti !
Elle respira un bon coup et te regarde les yeux injecté de sang puis elle reprit.
SA FAIT BIZARRE !? OH PAUVRE CHOU ! HAHAHAH JE RIGOLE ! J'ESPÈRE QUE TU MOURRA DANS D'ATROCE SOUFFRANCE ! TU VA VOIR QUAND JE ME SERAIS DÉTACHER JE TE TUERAIS ! JE VAIR TE TUER ! TU M'ENTEND ?!

toi-... Quoi ?

Les yeux écarquillés tu tombe mes genoux au sols devant elle choqué.
Ta mère n'est pas ta mère ?
Ton père n'est pas ton père ?
Ton frère non plus ?
...
Et "te laisser mourir ce jour là"?
"tu n'est même pas ma fille"?
...
Tout ces souvenirs... Ils n'étaient que mensonges depuis le début ?
Tout était faux ?
Tout...?

Tu pleure.
Les larmes dévalent de tes yeux.
Mes bizarrement tu sens un poids en moins. Tu relève la tête et la vois morte.
Quoi ?

La statue l'avais tué et tu n'avais rien entendu rien vu alors que tu étais à deux mètres d'eux.
Comment...
Depuis le début tout étais faux, tout n'était que mensonge.

Statue- moi qui voulais m'amuser sa ma refroidi. Sinon Sava pas trop choqué ? ahaha !

Toi-...

Voyant que tu ne réagis pas la statue s'approche de toi et s'abaisse devant ton visage.

Statue- quand je parle tu répond!

Et elle disparaît...
Le corps de ta mère et tout le sang a disparu...

Tu te relève et part tel un robot te laver. Ton frère n'était pas revenu depuis l'autre jour.
Tu ne te posa pas plus de questions et sort de la douche pour t'habiller d'un simple short et un débardeur noir.
T'es cheveux beaucoup trop long t'agace. Alors tu saisi le ciseaux sous ton lit et attrape tes cheveux d'une poigne.

Toi-adieu cheveux horrible.

Et tu coupa net. D'un coup comme sa.
Les fins cheveux tombèrent au sol et tu les regardait le regard vide.
Cette "rencontre", cette "vie, ces
" revelations", cette "famille" t'on changées.
Petit à petit ton esprit vit noir et tu t'endors alors au sol près de tes cheveux éparpillés au sol eux aussi.

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Quelques jours sont passées cela va faire 1 mois et demi maintenant. La statue n'apparaît plus. Ta mère a "disparue" et ton frère est simplement dehors à boire et se droguer d'après les appels téléphoniques suspect de ses amis qui essayaient de le joindre.

Tu as maigris. Tu ressemble à un cadavre pourquoi cela ? Tu mange que le nessessaire. Une pomme ou une banane.
C'est la peau sur les os que tu te retrouve et bizarrement tu te trouve belle... non... MAGNIFIQUE !
Tu ne la jamais autent été !

Tu pars te laver.
Tu te regarde dans le miroir.

Toi- qu'elle beauté... Qui est ce ? C'est moi bien sûr ! Hahaha !

Tu partie dans le bain et en te relaxant la lumière éclata. Te laissant avec le peu de lumière que te donnait la vitre au dessus de toi.

Tu ferma les yeux.
Puis les rouvra.

Il était là.
Oui, encore.
Finalement cette statue de malheur n'allait jamais te laissait en paix.

Toi-que veux tu ?

Statue- mmm... ~tu as raison, qu'est ce que je veux ? ~

Sa ne répond pas à ta question.
Et tu sent que l'air se fesait de plus en plus rare.
Voir plus du tout d'air.
Tu retient alors le peu d'air qui te reste mais ta tête se met alors à tourner et le noir vient de t'enfloutir.

Quand tu rouvre les yeux tu n'es plus dans ta baignoire mais dans un village.
Les maisons sont vides, il n'y a personne.
Une ambiance sinistre et une lune rouge sont les seule choses qui t'entourent.

Un bruit te fais tourner ta tête il est là.
Mais bizarrement il ne ressemble plus à une statue. Il ressemble à... Link?
Mais ces yeux et sont sourire étranges sont toujours présents.
Bizarrement tu te sens attiré par lui alors tu t'approche mais pas trop pour laissez un peu de distance entre vous.

Statue- comment va tu ?

Toi-... Après tout ces jours à la maison à me faire devenir folle pour finalement me demander comment je vais...

Statue- ne te trompe pas. Humaine. Je ne suis pas comme toi, moi je tue, toi tu n'es rien d'autre qu'un déchet de la nature que j'ai recyclé.

Toi-je ne suis pas un-!

Tu te retient de dire les derniers mots de peur de recevoir une punition.
Car oui il est beaucoup plus fort que toi et en aucun cas tu ne veux provoquer sa colère.

Statue- je vois que tu as changé les cheveux court te rendent encore plus l'aide qu'avant ! Hahaha !

Un long blanc pris place.
Je le fixais dans les yeux.
Un sourire malsain pris place sur son visage.

Statue- ah ! C'est vrai ! J'avais failli oublier avec toute cette histoire.
Tiens regarde.

Il te lance une boîte qui sent légèrement mauvais.
Tu l'ouvre curieuse.
Tu n'aurais jamais dû.

Toi- qu'est ce que-!?

Tu te mis à rejeter de ton estomac le seul repas que tu avais eu :une pomme.
Dans cette boîte se trouvait un cœur, un visage et une lettre.
Tout cela te dégoute.
Tu le regarde avec de la haine.

Statue- mmm ? Tu ne le reconnais pas ? En même temps sa fait quelques années que tu ne la plus vu...?

« Quoi... ? » tu pense alors en regardant de nouveau, il s'agissait de ton père.

Une nouvelle remonter te pris mais tu la retenue.

Tu ouvris la lettre.

"ma chère fille, je t'aime plus que tout.
Si tu lis cette lettre c'est que Ben t'a pris avec lui. Il y a longtemps j'étais scientifique mais tu ne la jamais su.
J'ai tué des millions de personnes et jamais personnes n'a rien dit mais Ben est arrivé il a menacer de tout raconter à ma famille et de me tuer.
Je suis un lâche.
Je t'ai vendu en échange de mes recherches.
Je suis désolé... Papa. "

Il m'a... Vendu?
Contre des recherches ?
Il a tué des millions de personnes...
Et qui est... Ben ?

Statue- tu m'appartient (T/P) (T/N).
Tu es à moi. Tu as bien compris?

Dit il en se rapprochant.
Il te fixe de son regard et te dis :

Statue- je suis Ben, Ben drowned.
Et he suis aussi celui qui fera de t vie un enfer ma chère ~

Avant de te planter un couteaux dans le cœur.

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Tu te réveille allaitante de sous l'eau.
Tu t'es endormis dans ta salle de bain.
Tu sors de la baignoire et prend une serviette de bain avant de partir dans ta chambre te glisser dans tes draps et réfléchir à tout les derniers événements.

Finalement toute ta vie on ta menti.
En réalité tu n'avais pas de famille, pas de vie, pas parents, pas d'amour rien.

Tu te relève en soupirant et part t'habiller d'un short en jeans bleu et d'un haut vert pastel tu décide de t'attacher les cheveux en chignon bas.

Tu n'es pas sortie dehors depuis tre longtemps un bon bol d'air frais te ferais le plus grand bien.

Tu enfile des basket noir et ouvre la porte la lumière du soir t'attend au loin...

Tu ferme derrière toi et part dans les rues te balader. Elles sont vides pour certaines.

Finalement tu rentre dans un MC do tu part commander mais un garçon plus âgées que toi te barre la route.

Gars-tu es plutôt jolie même anorexique ...

Toi- je suis pas anorexique.

Gars- menteuse ! Sa se vois ta la peau sur les os !

Toi-lâche moi gros lourd !

Gars-ta dit quoi !?

Il t'a gripe le bras avec force te laissant échapper un gémissement de douleur.
De la colère te pris alors tu le gifle avec rage.

Il baisse la tête sous le cou puis la relève et te regarde avec des yeux injecter de sang.

Il t'attrape la tête et te la claque contre la table de commande.
Tous crient de terreur.
Il te casse quelques dent et le nez.
Le sang coule abondamment.

Il te frappe encore et encore, à coups de points, pieds, genoux la totale.

Un rire rauque se fait entendre, les coups se stoppent.
Je me relève lentement et essaye de voir.

Toi-ben... Drowned....

Gars-ha? Qu'est ce que tu raconte comme conneries ? C'est qu'une légende !

Ben-j'en serais pas si sûr à ta place.

Sa voix grave fait écho dans le mcdo tout le monde nous regardent.

Ben-je suis bien réel mon gars. Regarde moi j'ai une tête de dessin ?

Gars-c'est quoi ces conneries...!?

Ben me regardent et son regard se dit glacial.
Presque inhumain .

Toi-ben...

Ben-écoute moi bien mon gars.
Tu viens de frapper une humaine qui m'appartient.
Tu subira donc ma colère d'avoir toucher à mon jouet compris ?

Gars-quoi...?

Les lumières éclatent une à une sous les regard effrayé de tout le personnel.
Ils essayent de sortir mais les portes automatiques sont fermés.
Tout comme les fenêtres et les bouches d'aérations.

Ben commença alors à grésiller ou plutôt sa voix.

Ben-Tu n'AuRAis JAmaiS Du TOUcheR Ce Qui M'APPARTIENT ! SALE HUMAIN !

le gars qui plutôt me frappait ce mis à pleurer et demander le pardon.
Il avait perdu toute confiance en lui et savait que c'était trop tard mais espérait tout de même.

Moi-Ben...

Une force étrange me poussa jusqu'à lui, il me mit derrière lui et commançe alors à crier des mots étranges.
Les yeux grands ouvert je fixe ce qu'il se passe.

Les murs rétrécissent de plus en plus.
Les employés se retrouvent colles entre eux.
Finalement après 2 minutes le souffle couper je regarde.
Ils sont tous mort sauf ben et moi.
Tous écrasé par les murs.

Ben-maintenant j'espère que tu as compris ? Il se retourne me fixent.
Tu es à moi et rien qu'à moi.
Qui conque te touche ou t'insulte mourra. C'est clair ?

Moi-oui...

Ben-oui qui ?

Moi-oui.. maître Ben.

A suivre...

1908 mots.

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