Réaparation de Kuroro Lucifuru ! chapitre 24

Ellipse (au milieu des Kimeras ants)

Je suis rentrée, fatiguée de mon travail. Et j'ai vu Kuroro Lucifuru assis près de la fenêtre ouverte entrain de lire un livre.

Kuroro - Je t'attendais Kohaku. C'est fait longtemps.

Moi - Que fais-tu chez moi ?

Kuroro - Et chez notre cher Kurapika, je me trompes.

Il s'approche de moi. Je ne peux plus bougée, je me force à me mettre en position défensive.

Kuroro - Abondones. J'ai demandé à une personne de la Brigade d'user sa capacité sur toi. Elle est déjà mise en place. Ne t'inquiètes pas, tu ne pourras pas bouger. C'est tout.

Moi - C'est déjà beaucoup. Ça veut dire que tu peux me tuer sans que je ne puisse rien faire.

Kuroro - Je ne vais pas te tuer.

Dit-il en s'approchant de moi. Son visage est trop prés de moi. Il tant sa main vers mon visage, je tente de reculer, j'ai beaucoup trop de mal. Merde, la paume de sa main est contre ma joue...et il l'a fait descendre le long de mon visage...!
Kurapika est arrivé.

Kurapika - Kuroro ! Relâche-la !

Kuroro - Sinon quoi ?

Il se décala, j'avais des difficultés à bouger. Il déploya son Nen ! C'est quoi ça !

Kurapika - Tu t'es donc libéré.

Kuroro - Je suis revenue te hanté Kurapika, te faire souffrir comme tu m'as fait souffrir.

Moi - Laisses-le tranquille !

Kuroro - Hors de question. Je veux bien partir, mais je reviendrai.

Moi - Dégages !

Kuroro - Si gentiment demander, je ne peux pas refuser.

Plus tard, j'ai reçu un message d'une personne que je ne connaissais pas, je regarde.

??? :
| Rebonjour Kohaku.

Kohaku :
| Qui êtes-vous et comment avez vous eu mon numéro ?

??? :
| Ton manque d'observation me déçoit beaucoup Kohaku, je te pensais plus futée que ça.

Kohaku :
| KURORO ! Comment as-tu fais pour avoir mon numéro ?
| Ne me dis pas que...

Kuroro :
| Tu veux rejoindre la Brigade ?

Kohaku :
| Je n'ai pas été assez clair ?
| Ma réponse est non.

Kuroro :
| Tu es sûr ? C'est dommage... Devoir utiliser la manière forte.

(NDA :Kuroro utilisait le téléphone de Sharnalk, il vient de lui rendre.)

Je ne vais pas mettre en courant Kurapika, il serait en colère. On devrait peut être partir se détendre un peu ? Non, je pense pas que ce soit possible.
Kurapika sort de la douche et me vois inquiète. Il me demande ce qu'il se passe. Je ne peux pas lui dire. Et si je lui demandais de poser son jour demain ? Je ne lui ai toujours pas fait ma déclaration, en plus les cerisiers sont en fleurs. C'est le moment idéal !

Moi - Kurapika, tu peux poser ton jour demain ? Je dois te montrer quelque chose.

Kurapika - Oui, j'appelle le Boss.

Après avoir discuté.

Kurapika - Oui, je suis libre.

Moi - D'accord.

Le lendemain

Kurapika dort encore. Je le laisse se reposer et fais nos bentos, après je suis partie m'habiller, j'ai mis une robe bleue avec un short en dessous. Elle n'avait pas de manche. Je me fais une petite natte sur le côté avec une mèche. Je suis prête. Je réveille Kurapika qui se prépare, il a mis sa tenue bleue. Je le conduis aux cerisiers (avec les bentos). On commence à discuter de tout et de rien pour venir au but. On a discuté longuement.

Puis je me suis levée, il a fait de même, je m'approche de lui je le regarde, il me regarde, je dois être rouge.

Moi - Kurapika, j'ai combattue à tes côtés, j'ai appris le Nen à tes côtés, j'ai risqué ma vie à tes côtés, alors, j'ai développé des sentiments envers toi. Kurapika, je t'aime... Tu es ma raison de vivre.

Il m'a alors pris dans mes bras.

Kurapika - Kohaku, je te dois tant, je ne sais plus ce que c'est que l'Amour, aveuglé par ma vengeance, pourtant, toi, tu étais là, inquiète, quand j'avais de la fièvre tu ne me quittais pas, je suis bien à tes côtés et je veux le rester pour toujours. Es-ce ça, l'Amour ?

Moi - Oui.

Kurapika - Alors moi aussi je t'aime.

On s'est embrasser, on est restés longtemps dans les bras l'un de l'autre.

Une heure plus tard

On a mangé nos bentos et on est partis se promener. À la fin de la journée, j'avais peur quand on est rentrés, peur de revoir Kuroro chez nous. Finalement, pas de Kuroro. Sauvés...
Kurapika avait l'air gêné.

Kurapika - Kohaku... Je peux essayer de te coiffer ?

Moi - Oui bien sûr.

Je me suis assise sur le canapé à regarder la télé, Kur lui était entrain de se demander ce qu'étaient ces choses étranges et diaboliques. On a passé une bonne soirée. On est partis se coucher.
Je n'arrivais pas à dormir, il me hantait, cette phrase me hantait "vous êtes comme la nuit et le jour." Ne comprenant pas, j'ai fini par m'endormir, mais je suis allée dans le lit de Kurapika, sa chambre était juste à côté de la mienne. Je m'étais endormie dans ses bras... J'étais rassurée, je n'avais plus peur...

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