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Deidara se réveilla dans le noir complet. Il tenta de se lever mais remarqua que ses poignets et ses chevilles étaient retenus par des liens. Il réalisa aussi qu'il était baillonné et dans un des casiers du collège. Surement celui de Shinji. À vrai dire il s'en ficahit de ne pas pouvoir sortir car de toute façon il n'y avait personne pour l'attendre chez lui.
Comme aucune lumière ne sortait des petites ouvertures en haut du casier il déduisit logiquement que la nuit était tombée. Soudain quelqu'un frappa le casier et Deidara trembla de peur que ce soit Shinji qui venait lui donner une rouée de coup suplémentaire. Mais la voie qu'il entendit après lui prouva le contraire.
- Deidara! Je sais que t'es là. Donne un coup dans le casier si tu veux que je t'aide.
Le blond hésita avant d'accepté l'aide de cette personne qui se trouvait être Yahiko. Un de ses amis de l'akatsuki qui était considéré par les gens comme leur chef mais celui ci ne se considérais pas comme tel. Deidara donna donc on coup de tête dans la porte du casier.
Il entendit un léger cliquetit puis la porte s'ouvrit et le rouquin le détacha. Une fois qu'il put de nouveau s'exprimer, Deidara le remercia.
- Merci...
- De rien, c'est normal. J'allais comme même pas te laisser là.
- Mais juste, comment tu as su que j'était là?
Yahiko plaça ses mains sur ses épaules ce qui le fit frissoner de peur qu'il le frappe. Même si il savait qu'il ne lui ferais pas de mal, ce réflexe s'était immicer dans son esprit à cause de Shinji.
- En fait je m'apprètait à rentrer chez moi et je les ai vu t'attcher et t'enfermer dans le casier. J'aie nsuite attendu qu'il parte pour venir de sortir de là.
- oh. D'accord...
Le roux le regarda inquiet. Avant lui demander ce qu'il regrettait le plus.
- Deidara, pourquoo tu nous évites?
Le kamikaze baissa la tête et les larmes coulèrent sur ses joues. Yahiko tenta de le calmer mais ses larmes redoublèrent d'intensité.
- Je peux pas...
- Pourquoi? On est tes amis, on te soudiendras quoi qu'il advienne.
- Non... je non... C'est pas votre faute laissez moi c'est tout...
- Alors pourquoi tu pleures? On peut t'aider.
Yahiko le prit dans ses bras pour le réconforter. Deidara le repoussa doucement et parti en ajoutant.
- Je peux pas te le dire...
Ensuite il partit en courant jusqu'à chez lui, se jeta sur son lit et s'endormi, fatigué de mentir à ses amis et à son monde.
Le lendemain, comme il le pensait, Shinji le roua de coups pour s'être échapper du casier.
- Tu va me dire qui t'as aider oui? Je suis sur que c'est un de tes chers amis mais lorsqu'il sauront pour l'erreur de la nature que tu es il ne voudront même plsu te parler. Sale gay!
Deidara fut laisser là, à moitié conscient et dans un sale état. Encore plus dépité qu'avant mais ignorant qu'une certaine personne avait tout vu et entendu.
Lorsque la sonnerie s'enclancha le blond du faire un effort surhumain pour se rendre dans son prochain cours. Heuresement pour lui il avait art plastique, sa matière préférée. En classe, ses amis regardèrent ses bleus avec inquiètudes.
Deidara s'installa dans le font de la salle avec un peu d'argile et commença à sculter. Il sculta une petite boule avec six pattes, il fui deux petites cavitées pour ses yeux. Il regarda sa création et Shinji l'écrasa avec sa main.
- Oups. J'avais pas vu ton "art".
Un sourire malsain se dessinait sur ses lèvres ce qui insuporta Deidara. Ce brun insultait son art. Alors qu'il allait riposter son harceleur lui lança.
- Tu devrais la fermer si tu tiens à ton secret la tapette.
Deidara baissa les yeux mort de rage et de honte de ne pas assumer son homosexualité. Lorsqu'il releva la tête il vit que ses amis le fixait choqué de voir qu'il ne ripostait pas. Surtout Sasori, il s'attendait à ce que le blond lui lance une remarque explosive dont il a le secret. Le roux tenta de déchifré le regard de Deidara, sans succès car celui ci détourna le regard.
À la fin du cours il partit s'enfermer dans les toilettes. Malheuresement Shinji l'avait suivi et lui asséna d'autre coups. Soudain Sasori rentra dans les toilettes, Sinji se stoppa et l'observa.
- Qu'est ce que tu veux le rouquin?
Shinji écrasa la tête de Deidara avec son pied. Sasori vit rouge.
- Arrête! Laisse le tranquille! Qu'est ce qu'il t'as fait pour que tu l'emmerde à ce point?! Pour quoi à cause de toi il n'ose même plus parler à ses amis!? Espèce de batard!
Un sourire carnassier s'installa sur le visage de Shinji.
- Pourquoi? Il me dégoute, tout simplement! Il a une chance incroyable et il la gache en étant
- Non! Stop! Sasori t'inquiètes pas, c'est... c'est pas grave... laissez moi c'est tout je t'assures que je vais bien...
- Deidara... tu peux pas aller bien en te faisant tabasser et enfermé dans un casier!
- ... je... arg!
Shiji venait d'appuyer plus fort sur sa tête et les larmes coulèrent encore une fois sur ses joues.
- Si il te dit que ça va, c'est que ça av alors dégage le roux!
Sasori grogna avant de partir non sans ajouter.
- Deidara, si tu veux en parler on est là.
Après, Shinji l'envoya valser contre le mur des toilettes.
- Sale merde!
Il se tira le laissant encore une fois dans un piteuse état. Une fois les cours fini il s'empressa de rentrer chez lui mais juste avant de fermer sa porte Sasori la retint avec son pied et la rouvrit, le blond remarqua alors que tout ses amis était présent.
- Deidara, parles nous.
Nagato avait dit ça avec un ton qui ne laissait place à aucune protestation de la par du blond. Il enchaina ensuite.
- On sait ce que Shinji te fait, ce qu'on veut savoir c'est pourquoi. On veut t'aider.
Ils hochèrent de la tête pour approuver les dires du rouquin. Deidara tenta de refermer la porte mais Sasori l'en empécha encore une fois.
- Laissez moi... s'il vous plait...
- Non! On t'abandonneras pas, tu es notre ami!
Cette fois ci c'était Hidan qui s'était exprimé.
- Oubliez moi...
- On peut pas, on te laisseras pas sombrer Deidara.
Konan avait dit cela d'une voix douce pour le rassurer.
- Non! Laissez moi! Je, je vous en suplie... je veux pas...
Sasori décala son pied et Deidara en profita pour claquer la porte. Il s'adossa contre celle ci et pleura encore une fois. Puis il se leva et alla chercher le cutter qui lui avait déjà servi de nombreuses fois, à se scarifier*.
*scarifier: Incision superficielle de la peau, pratiquée à titre médical ou lors d'un acte d'automutilation. Dans ce cas ci c'est de l'automutilation pour ceux qui n'aurait pas comprit.
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