14 fevrier 1009

PDV ??? :

La lumière m'eblouissait. Je repensacsoudainement à mes poursuivants, je n'était donc pas mort ?! Je me leuvas rapidement et une vive douleur traversa tout mon corp. Je portas ma main à ma blessure. Je remarques alors que celle ci était désinfecter et bander, on m'avait soigner. Mon regard se dirigea ensuite vers la toufe vert foncée qui était sur mes jambes.
C'était elle qui m'avais soigner ? Les paupière de la fille s'ouvriront progressivement. Dès que son regard croisa le mien, elle se redressant d'une traite et me demanda doucement.

- Bonjours, vos places ne vous font pas trop mal ?

Je lui lança un regard glaçant. De quoi elle se mêlait ?! Son regard persistait de plus en plus pour croiser le mien, mais je ne cédés pas. Elle se keuvas soudainement et m'annonca en souriant.

- Je reviens, ne bougez pas !

Je la regardas quitter la chambre. Cette fille dégageait une petite force occulte, il faudras que je mefis d'elle, on ne sait jamais. Elle revient avec un bol remplit de soupe et une cuillère. Elle se rassis à mes côtés et me tendit une cuillère  de soupe. Je la repoussas violemment et lui dis froidement.

- Je ne suis oasis un bébé !

- Pardonnez moi...

Elle me tendit le bol et la cuillère. Je ne vais pas mentir, la soupe était plustot bonne. Après quelque longues minutes de silence, elle me demanda avec yn regard perçant.

- Pourais-je savoir votre nom ?

Je soupiras agacé.

- Sa ne te regarde pas !

Un sourire se dessina alors à nouveau au creux de ses lèvres.

- Pardon, je devrais me présenter en première. Je m'appelle Yuriko Zenin, enchantée.

Mon cœur ratta un battement, c'était une Zenin ! Je grognasse, elle n'avait pas l'air bien méchante. Je lui demandas toujours froidement.

- Alors pourquoi n'es-tu pas avec ton "clan" ?!

Son d'ouvrir se dicipa et elle ressera sa prise sur sa robe. La noiraude, finit finalement par me répondre d'une voix tremblante.

- Je suis trop faible...

Mes sourcils se levèrent, que voulait elle bien dire par là ? Je remarques qu'elle pleurait, elle me fesait pitié ! Je laissa échapper quelque mots.

- Ryomen Sukuna.

La jeune femme se redressant et essuya ses larmes. Elle m'offra un sourire que je ne lui rendis évidement pas. Bah oui, elle s'attendait à quoi ?!

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