Chapitre 10 : Complot
Re bonsoir tout le monde ! Alors hum c'est pas prévu, du tout, mais je suis un peu (beaucoup) en train de faire une crise de panique actuellement (enfin j'essaie plutôt de la refreiner) donc j'écris pour ma calmer les nerfs et essayer de ne pas fondre en larmes chef moi. Bref, merci les joies d'être étudiante ! Bonne lecture à tous !
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Alec regarda l'homme qui faisait battre son coeur s'éloigner main dans la main avec leur fils ainé et il sentit un petit pincement douloureux l'étreindre. Il détestait le voir s'éloigner, surtout depuis qu'il l'avait enfin retrouvé, mais le noiraud se dit qu'il pouvait en profiter ce qu'il projetait de faire depuis que le cadenas de son époux avait sauté. Le Chasseur d'Ombre se tourna vers son plus jeune fils avec un sourire. Il n'était pas habitué à voir Max aussi grand, bien qu'il demeura plus petit que Magnus et lui. Avec un clin d'oeil, il prit sa main dans la sienne et fila dans la direction opposée, se guidant de mémoire dans les rues pavées et étroites.
- Dad, on va où ? Demanda Max avec curiosité, suivant aveuglement son père dans cette ville dont il ne connaissait rien.
Le Nephilim lui accorda un nouveau clin d'oeil en posant un doigt sur ses lèvres comme pour lui signifier de garder un secret dont il n'avait pas connaissance. Le jeune sorcier se laissa guider pendant plusieurs minutes alors que le jour commençait à décliner, bien que les jours soient plus longs qu'en plein hiver. Ce fut tout au bout d'une rue étroite et escarpée, à l'abri des regards indiscrets, qu'Alec s'arrêta finalement et que Max put voir où son Dad l'avait emmené. Avec surprise, il découvrit une vieille bijouterie datant du siècle dernier spécialisé dans les bijoux anciens. Fronçant les sourcils, Max écarquilla les yeux de stupeurs lorsqu'il comprit le but de la manœuvre. Face à lui, Alec ne put s'empêcher de rougir légèrement. Le noiraud se mit à genoux devant son fils, comme lorsqu'il était petit, et lui expliqua sa démarche.
- Max..., je sais que ce n'est pas habituel mais après tout ce qu'il s'est passé, j'ai pensé à demander à ton père de se marier une nouvelle fois avec moi étant donné que j'étais "mort". Et si tu as d'accord, j'aimerais que tu m'aides à choisir quelle bague de fiançailles lui offrir. Nous avons toujours nos alliances, mais je voudrais marquer le coup. Je sais que tu sauras me guider. Tu es d'accord ?
Le sorcier à la peau bleue renifla, les larmes aux yeux. Son empathie refaisait surface et il pouvait sentir tout l'amour qui émanait de son père en cet instant et la sincérité de sa demande le touchait au plus profond de son être. Hochant la tête avec un sourire radieux sous ses larmes retenues, le plus jeune prit la main de son Dad dans la sienne et ils entrèrent ensemble dans la boutique. Elle était ancienne, gérée par un artisan terrestre qui aurait été incapable de voir la véritable apparence de Max, mais qu'importe. Ses bijoux étaient les plus beaux de Paris, et ça Alec le savait de source sure puisque c'était Ragnor lui-même, en coup de vent, qui lui avait donné l'adresse.
La boutique était sombre et assez mal éclairée, mais elle était bien agencée selon le type de bijoux recherché : Collier, bracelet, pendentifs, boucles d'oreilles, et enfin les bagues. Max se dirigea instinctivement vers les bagues de fiançailles et les alliances, les regardant d'un oeil attentif, tel un expert bijoutier. Alec regarda également les pièces en argent, or jaune, or blanc et or rose se disputer sur les présentoirs, en quête de la plus belle d'entre elle. Elles se ressemblait toute, mais ce n'était pas ce qu'il voulait. Lui voulait une bague exceptionnelle, parce que son homme l'était et qu'il voulait que sa bague soit unique, comme lui. Finalement, ce fut Max qui trouva celle qu'il fallait.
- Dad, regarde celle-ci. Elle, elle fait penser à Ayah.
Alec se pencha alors pour observer la bague de plus prêt et il su que Max avait raison. C'était la bonne. La bague de fiançailles était en or rose à la patine un peu cuivrée. En son centre s'entrelaçaient deux autres anneaux, plus fins, semblant recréer le symbole de l'infinit, rappelant au noiraud l'immortalité de son compagnon. L'ensemble était couvert d'arrabesques en saphir qui n'étaient pas sans rappeler la couleur cobalt des yeux du noiraud, ainsi que la peau de leur fils cadet. Cette bague était tout Magnus. Elle résumait parfaitement qui il était et ce qui comptait le plus au monde pour lui : sa famille.
- Alors c'est celle-là qu'on va prendre, souffla Alec. Elle est magnifique tu as raison, je suis sûr qu'il va l'adorer.
- C'est certain ! Assura Max. Je le sens, ça va lui plaire !
Rassuré quant au choix de la bague, le Chasseur d'Ombre la désigna au vendeur après l'avoir prit en photo pour l'envoyer à Ragnor. Il demanda ensuite à ce que l'intérieur soit gravé et, lorsque Max vit le résultat et ce à quoi la gravure faisait référence, il sentit ses larmes revenir en force, assurant à son père que Magnus, avec ce cadeau, était certain de dire oui. Le noiraud ébouriffa les cheveux de son fils et récupéra l'écrin que lui vendeur lui tendit une fois qu'il eu payé. Père et fils ressortirent de la boutique et retournèrent vers le centre ville.
- Je me demande ce que font ton père et ton frère, soupira Alec. Tu en as une idée ?
- Non, et Ayah ne m'a rien dit pour une fois. Mais quand il est partit je ne l'ai pas sentit angoissé alors ça ne doit pas être grave.
- Tu as sans doute raison, sourit le plus vieux. Bon, et si on allait se manger une glace en attendant de les retrouver ?
Max opina vigoureusement du chef et laissa son père l'emmener vers son marchant de glace préféré, à quelques rues de là, en attendant que l'heure des retrouvailles n'arrive. De l'autre côté de la ville, Magnus marchait main dans la main avec son fils, lui racontant toujours plus d'anecdotes sur des lieux et des gens que Rafael n'avait pas connu. Malgré son ton enjoué, le plus jeune sentit son Ayah plutôt anxieux, ce qui ne lui arrivait vraiment que dans de très rare cas, quand quelque chose concernait Max, son Dad, ou lui. Craignant que quelque chose n'aille pas, l'Argentin cessa sa marche, forçant son père à faire de même.
- Pourquoi tu t'arrête, Pequeño ? Tout va bien ?
- Tout ira bien quand tu m'auras dit ce qu'il se passe, Ayah. Tu es bizarre et je m'inquiète, qu'est-ce qui ne va pas ?
Magnus eut un sourire triste face au ton bien trop mature et bien trop paternelle de son fils d'à peine vingt ans. Secouant la tête, le sorcier dénicha un banc et il s'assit avec son cadet pour discuter. Il ne savait pas vraiment par où commencer. Il se sentait un mauvais père pour Rafael qui, lui, ne l'avait pas abandonné une seule fois en six ans et qui l'avait protégé, alors que c'est l'inverse qui aurait dû se produire. Le Grand Sorcier de Brooklyn, envahis de culpabilité, sentit les larmes lui monter aux yeux. Ces dernières débordèrent et il les laissa couler en silence, sans un sanglot, mais une boule de chagrin obstruant sa gorge.
- Ayah, s'enquit Rafe, Ayah tu m'inquiète vraiment là, qu'est-ce qu'il se passe ? Il y a un problème avec Dad ?
- Non, non loin de là, soupira l'immortel. Rafe...Pequeño je suis désolé. Max m'a parlé de ce qu'il s'est passé à l'Institut. Je suis désolé de ne pas avoir été...le père que tu aurais voulu et de t'avoir laisser tomber, de vous avoir laisser tomber, alors que ton frère et toi vous aviez besoins de moi. Et je comprendrais parfaitement si tu m'en voulais ou...ou si tu voulais aller vivre à l'Institut par exemple...
Rafael sentit son coeur se serrer, se souvenant de la fois où il avait dit ça à son père. C'était un ou deux ans après la mort supposée d'Alec. Le jeune Chasseur d'Ombre était rentré un peu plus tard d'une patrouille et Magnus avait veillé pour l'attendre. Dépassé par l'inquiètude et sans doute, réalisait-il après coup, par son cadenas, l'Indonésien lui avait fait une scène, déclarant que les Nephilims lui avaient déjà prit son mari et qu'ils finiraient par lui prendre son fils également. Max avait essayé de calmer le jeu, évidemment, mais le ton était monté très vite entre le père et le fils et Rafael avait déclaré que puisque c'était comme ça, alors il irait vivre à l'Institut. Le jeune homme avait préparé ses affaires et avait quitté leur appartement pour passer la nuit chez le reste de sa famille.
Evidemment, le lendemain matin, il était revenu avec toutes ses affaires à la maison, et Magnus s'était excusé, en larme, mais le mal était fait. L'angoisse de voir son enfant quitter leur foyer était devenus persistante chez l'asiatique qui redoutait cet événement plus que tout. L'Hispanique savait que son père doutait de ses choix de parents et de ses capacités à les élevés, Max et lui, depuis la disparition d'Alec, mais il ne pouvait s'empêcher de se dire que si cette dispute n'avait pas éclatée ce soir là, Magnus n'aurait pas l'air aussi détruit et fragile à cet instant.
- Mais je ne veux pas quitter la maison Ayah, souffla le plus jeune. Je ne veux pas aller vivre à l'Institut et tu es le meilleur père que je puisse rêvé, je t'assure. C'était juste...compliqué après le départ de Dad et...et tu n'allais pas bien, tu avais besoins de soutient, plus que n'importe lequel d'entre nous. Ayah je te promet que ça va d'accord ? Je veux juste te retrouver comme avant, quand on faisait des soirées maquillages pendant que Dad et Max préparait des truc à grignoter et qu'on se plantait tous devant la télé. J'aimerais vraiment que tout soit comme avant...
- Je te promet de tout faire pour que ce soit le cas, mon grand, c'est promis. Mais toi, de ton côté, promet moi de venir me voir quand ça n'ira pas, d'accord ? Parce que je ne supporterais pas de te perdre, tu comprends ? Tu es mon fils et je t'aime, Rafael. Je ne supporte pas de te savoir malheureux.
- C'est promis, Ayah, sourit le Chasseur d'Ombre en pressant doucement sa main. C'est promis.
Magnus hocha la tête, soulagé d'avoir crever l'abscet avec son cadet. Il se leva du banc et, sous le regard surprit du plus jeune, se mit à genoux devant lui. Rafael écarquilla les yeux en le voyant sortir un écrin de velour bleu roi et l'ouvrir devant lui. A l'intérieur, une alliance en or blanc gravée à l'or rose de feuillages et de runes angéliques. Un petit diamant donnait un éclat quelque peu magique au bijoux. C'était une bague de fiançailles et elle était magnifique.
- Alors, qu'est-ce que tu en dis ? Tu crois que ça va plaire à ton père ?
- Tu vas redemander Dad en mariage ? S'étonna le plus jeune. C'est adorable Ayah ! La bague est magnifique !! Tu l'as acheté quand ?
- Il y a six ans..., soupira le sorcier.
Se remettant debout, l'immortel raconta à son ainé que pour leur anniversaire de mariage, bien avant de sombrer dans le coma, il avait eu l'intention de demander à son époux de renouveler leur vœux devant leur famille. Ils s'étaient unis une fois, seuls, mais à présent il voulait s'unir en compagnie de leurs deux fils. Malheureusement, son projet n'avait pas pu se faire avec tout ce qu'il s'était produit pour eux. Rafe demanda à voir la bague de plus prêt et Magnus la luit tendit. A l'intérieur de l'anneau, il pouvait voir une inscription mais fut incapable de la déchiffrer.
- Qu'est-ce qui est écrit à l'intérieur ? Demanda-t-il, faisant sourire son père.
- Homme, déclara simplement le sorcier.
- Homme ? Répéta Rafael sans comprendre.
- Je ne suis ni un ange, ni un dieu, je ne suis qu'un homme mortel et sans importance..., récita l'immortel. C'est ce que ton père et moi nous disons toujours quand on doute de l'avenir. C'est notre manière à nous de nous dire que quoi qu'il nous arrive, quoi qu'il puisse nous tomber dessus, jamais rien ne pourra nous séparer.
Rafael serra brièvement la main de son père une nouvelle fois. Après tant d'années, il admirait l'amour immuable et si pur qui unissait ses pères. Magnus et Alec étaient, selon lui, fait pour s'aimer pour cette vie comme dans milles autres. Ils étaient deux tout en ne faisant qu'un. Au fond, ils fonctionnaient un peu comme Max et lui et cette pensée, curieusement, réchauffa un peu plus de coeur du jeune homme qui sentit un sourire fleurir ses lèvres. Reportant son regard sur son père, il lui demanda alors :
- Tu vas lui demander quand ? Ici, pendant qu'on est à Paris ?
- En fait, confia Magnus, je comptais lui demander ce soir. J'avais pour idée de l'emmener au restaurant ce soir, de faire une ballade en calèche au pied de la Tour Effel et de retourner à l'hôtel pour nous retrouver seuls à seuls, enfin...
- Pour finir ce que j'ai interrompu, ricanna gentiment Rafael.
Riant avec lui, Magnus ébouriffa ses cheveux, heureux de retrouver cette complicité entre eux qu'il croyait avoir perdu depuis bien longtemps déjà.
- Tu n'es pas cencé être témoins de ce genre de chose tu sais ?
- Ayah, j'ai vingt ans et parrain m'a déjà briefé sur....tu sais...
- Jace t'a parlé de ça ? S'étonna Magnus. Pourquoi tu n'es pas venu me voir ?
- Mais j'avais rien demandé moi, se défendit le plus jeune en riant d'autant plus. Il est juste venu quand j'ai eu dix-huit ans en me disant qu'en tant que parrain il devait m'apprendre des choses d'hommes. Il m'a même acheté une boite de préservatif ! Elle doit trainer dans un coin de ma chambre, sans doute.
L'Indonésien éclata de rire et déclara à son fils que quand ils rentreraient à New York, Alec et lui auraient une discussion ouverte sur ce sujet avec leurs fils pour répondre à leurs questions et les guider comme il se devait, étant donné que c'était leur rôle. Rafael acquiesça et attendit que son père continue ses explications.
- Quoi qu'il en soit, reprit l'homme aux yeux de chat, j'espère que tu comprend pour Dad et moi ?
- Tu sais bien que oui Ayah, sourit Rafe. C'est normal !
- Alors ce soir je veux que tu emmène faire un tour à ton frère, allez manger dehors, vous balader, faire les boutiques, danser, vous avez quartier libre, d'accord ? Mais en échange je veux un message chaque fois que vous changez d'endroit pour me dire où vous êtes pour que Dad et moi on puisse venir vous chercher en cas de soucis, c'est comprit ? Et comme Cendrillon je veux que vous soyez rentrés à midi, d'accord ?
- Ayah...
- S'il te plait, Pequeño, souffla l'asiatique. Je sais que c'est agaçant à ton âge d'avoir constamment quelqu'un sur le dos, je l'ai vécu avec ton oncle Ragnor, je sais de quoi je parle, mais comprend moi, je ne veux pas qu'il vous arrive quoi que ce soit.
- Très bien, Ayah c'est d'accord. Je t'enverrais des messages et si on a un soucis je t'appelle, d'accord ?
Magnus remercia son fils et embrassa tendrement son front. Cependant, il était loin d'avoir finit la course qu'il avait effectivement prévu et, se remettant debout et prenant la main de son enfant, l'immortel se remit en route vers le bout de la ville, prenant le chemin des grandes boutiques de créateur. Devant ses dernières, Rafael s'émervailla face aux vernis colorés et aux parfums aux fragrances enivrantes. Le jeune homme lâcha des cris de joie devant les chaussures de marques et les vêtements uniques de grands couturiers français et internationaux. L'asiatique s'arrêta finalement devant l'une d'entre elle et lança un regard complice à son fils.
- Je te promet que le jour où tu te maris, je t'emmène ici pour choisir le costume que tu voudras mais, pour l'instant, on va choisir le mieux, gloussa-t-il comme un enfant conspirateur.
Ils entrèrent tous deux et l'Indonésien, qui connaissait parfaitement le créateur depuis des années, lui expliqua la raison de sa présence ici après avoir fait la présentation de son fils. L'artiste couturier opina et dégota à Magnus le costume idéal pour sa soirée. L'immortel fila en cabine et son cadet attendit qu'il en sorte, vêtu de sa nouvelle tenue. Lorsqu'il émergea de derrière les rideaux, Rafael trouva son père incroyablement élégant et très charismatique.
Le Grand Sorcier de Brooklyn avait enfilé un pantalon de costume bleu roi aux coutures dorées, une chemise noire simple et satinée et un veston de même couleur. Par dessus, le sorcier portait une veste de costume d'un bleu plus sombre et brodés de fleurs bleues comme les yeux d'Alec, blanche, et or qui couvraient son buste et son dos. Sa pochette et sa cravate style lavallière étaient également en tissus doré. Ses chaussures étaient en daim bleu sombre et les lacets étaient en bronze, sans oublier les talons recouverts de feuilles d'or.
- Par l'Ange...Ayah tu es magnifique comme ça !! Dad ne va pas en revenir, il va adorer !
Magnus, flaté, se pencha légèrement en avant pour faire une révérence qui fit éclater de rire son fils. Le vendeur revint pour faire les derniers ajustement et, du coin de l'oeil, le sorcier vit son enfant loucher sur une veste de haute couture rouge sang et brodée de rosasses noires et argent à épaulettes larges qui correspondait parfaitement à son style androgyne. L'asiatique chuchota quelque chose au vendeur qui la décrocha de son présentoir et la glissa discrétement dans le sac où reposaient les précédents vêtements du sorcier. En sortant de la boutique, Magnus demanda à son fils de fermer les yeux et Rafael ne put que les rouvrir que lorsque le plus vieux l'y autorisa. Rafael tomba nez à nez avec la veste et un surire éclata étira ses traits.
- Elle est pour moi ?
- Je ne pouvais pas l'imaginer sur un autre que toi, Pequeño, sourit Magnus.
- Mais...c'est pas mon anniversaire, bredouilla le plus jeune.
- Depuis quand j'ai besoins d'une raison pour faire plaisir à ceux que j'aime ? Aller enfile là que je vois comme tu es beau avec !
Souriant, Rafael enfila la pièce et se mordit la lèvre de bonheur en constatant qu'elle lui allait comme un gant, sans doute ajusté grâce à la magie de son père. Magnus lui fit un clin d'oeil et, reprenant sa main, ils filèrent en direction de la Tour Effel, comme convenu. Rafael était sur un petit nuage. Il lui tardait à présent de retrouver Max, enfin.
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Et voilà ! J'esère que ce chapitre tout mignon vous a plus ^^ Des théories pour la suite ? A votre avis, qu'à fait gravé Alec dans la bague de Magnus ?
A bientôt pour la suite !
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