Chapitre 1 : Le volcan Magnus
Bonjour tout le monde ! Voici le nouveau chapitre que vous attendiez avec impatience et comme vous pouvez le voir le titre es déjà plus que parleur ; ) Bonne lecture et surtout bombardez moi de commentaires j'ai besoins de me changer les idées...
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- Non...Non ça ne peut pas être toi..., bredouilla Magnus alors que, dans son esprit, toutes les pièces du puzzle s'imbriquaient une à une. Tu...Tu es mort...c'est impossible...
Alec était mort six ans plus tôt, il l'avait sentit au plus profond de son être. Comment pouvait-il se trouver devant lui ? Ce devait être une farce, une mauvaise blague, un canular, un complot pour lui faire perdre la raison. Et pourtant, Max l'avait reconnu, en fin de compte. Le sorcier à la peau bleue s'était avancé vers lui sans une once de frayeur et avait posé une main sur la sienne. Mais c'était impossible, ça ne pouvait pas être vrai...
- Magnus, s'il te plait..., tenta Alec.
Mais déjà l'immortel n'écoutait plus. Le sang pulsait contre ses tempes, sa tête lui tournant soudainement alors que de petites tâches sombres parsemaient son champ de vision. Son coeur résonnait dans ses oreilles et les sanglots déchiraient sa poitrine meurtrit où la cicatrice de son cadenas le faisait souffrir, tandis que des torrents de larmes dévalaient ses joues devenues pâles par le choc de la nouvelle. Sa main baguée se crispa sur son coeur douloureux et il eut l'impression que ce dernier allait rendre son dernier battement, comme s'il faisait une crise cardiaque.
- Peux...peux plus respirer...je...
L'asiatique fit quelques pas hasardeux et désorienté, complétement perdu, avant de s'arrêter, son corps se penchant brusquement en avant. Mains sur les genoux, le coeur et l'estomac à l'envers, Magnus rendit tout le contenu de ce dernier sous les regards inquiets de ses fils. Il fut malade de longues minutes avant de pouvoir se redresser. Tournant le regard vers son ancien amant, l'homme qui avait partagé sa vie pendant toutes ces années d'amour, il avança timidement dans sa direction avant que ses yeux ne se révulse et qu'il ne s'écroule, tout son être convulsant alors qu'il poussait un cri déchirant de pure souffrance. Lorsqu'il toucha le sol, une onde de magie se propagea, balayant la végétation alentour, faisant trembler la terre.
- MAGNUS ! S'enquit Alec en le rejoignant.
Max, qui ressentait une grande partie de la douleur de son Ayah, s'était mis à sangloter, à genoux dans l'herbe, le regard fixé sur lui, une main tremblante plaquée sur sa bouche. Rafael le rejoignit et l'enlaça tendrement pour le protéger, plongeant le visage de son cadet dans son cou pour masquer à sa vue ce triste spectacle. Alec, lui, rejoignit son mari et s'accoupit à ses côtés, tâchant de maintenir son corps en place pour calmer cette soudaine crise d'épilepsie. Il aurait tant voulu pouvoir faire plus. Il aurait voulu poser ses lèvres sur les siennes, lui chuchoter à l'oreille combien il était désolé mais qu'il était là maintenant, et qu'il l'aimait plus que sa vie elle-même. Mais il ne le pouvait pas, parce que toutes ces choses, ces opportunités lui avait été retirée, et c'était lui qui l'avait décidé.
Entre ses bras, le corps de son époux cessa subitement de s'agiter. Ses yeux de chats étaient désormais clos et le Frère comprit qu'il venait de faire un malaise vagal, de ceux que l'on fait lorsque la douleur est trop grande. Il savait que Magnus se réveillerait très vite. Ce n'était qu'une question de minutes, tout au plus. Max, lui, sentit ses pleurs s'arrêter et une sorte de barrière protectrice se forcer dans son lien avec son Ayah. Le plus jeune des fils Lightwood-Bane comprit que le cadenas de son père venait enfin de céder et que, même inconscient, Magnus le protégeait de ses réactions. Au vue de ces éléments, Max savait exactement dans quel état serait l'asiatique à son réveil, et ce ne serait pas joli à voir...
- A...Alexander...? Souffla le plus vieux en émergeant enfin, le regard trouble.
- Je suis là, mon chat, chuchota Alec en posant une main sur sa joue. Tu m'as tellement manqué...
- Oh...je t'ai manqué...? Vraiment ? Murmura l'Indonésien avant que sa voix ne se fasse plus ferme. Dans ce cas...
Le Grand Sorcier de Brooklyn appela à lui l'intégralité de ses pouvoirs, canalisant sa magie dans la paume de sa main. Serrant le poing, l'immortel frappa son mari au plexus solaire, l'onde de choc provoqué par les volutes bleues envoyant voler le noiraud sur une dizaine de mètre, le faisait s'écraser comme Camille un peu plus tôt. Max, qui venait de relever la tête, hurla après son Dad, mais cela n'empêcha pas son Ayah de se redresser de toute sa hauteur, ses yeux flamboyant de rage accumulée au fil des années, sa colère dirigée contre son compagnon prétendu mort. Des étincelles crépitaient de ses doigts tandis qu'il avançait vers le Frère qui peinait à se redresser.
L'Indonésien porta plusieurs attaque précises et ciblées, toute dirigée vers le noiraud qui avait de plus en plus de difficulté à faire face. Rafael comprit avec effroi que si tout ça ne cessait pas très vite, Alec serait, cette fois, définitivement mort. Bondissant sur ses pieds, l'Argentin courut dans la direction de ses pères et, comme un peu plus tôt pour protéger son frère, s'interposa entre ses parents. Le Chasseur d'Ombre s'attendit à ressentir un choc, une onde, une brûlure de magie, mais rien ne vint. Rouvrant les yeux, il constata que son père venait de suspendre son geste, sa magie diminuant peu à peu jusqu'à se résorber totalement. Le regard doré de chat de Magnus brillait toujours de rancune et de colère mais, lorsque son regard se posa sur son fils ainé, qu'il ne blesserait pour rien au monde, ses noires pensées se transformèrent en larmes et il tomba à genoux, le corps secoué de sanglots.
L'hispanique le prit dans ses bras, rapidement rejoint par son frère qui se nicha dans le giron de leur père pour activer leur lien et lui procurer un peu de cet amour qui lui manquait tant. L'immortel pleura de tout son soul sur les épaules de ses deux fils qu'il serrait contre son coeur comme si sa vie en dépendait. Il avait besoins de ses enfants, de ses bébés. Il avait besoins d'eux pour soigner son coeur brisé. Dans son esprit, ils étaient désormais tout ce qu'il lui restait. Dans son coeur, Alec était à présent associer à la douleur, à la souffrance, à la colère et au chagrin, au regret. Oh comme il aurait voulu que tout ça ne soit qu'un rêve, un cauchemar. C'était douloureux de revoir l'homme qu'il aimait et de réaliser que toute sa vie n'avait été qu'un mensonge, une vaste plaisanterie depuis six ans. Il se surprenait même presque à regretter que le noiraud ne soit pas véritablement mort.
- Magnus, je suis vraiment dé...
- Non, le coupa le plus vieux en séchant ses larmes d'un geste brusque. Ne t'avise pas de t'excuser. Ferme-là, ça vaut mieux pour tout le monde !
Avec l'aide de ses garçons, l'asiatique se remit debout et il demanda à son cadet de bien vouloir ouvrir un Portail. Max s'éxécuta le regard bas, attristé par toute cette situation. Il aurait voulu faire un câlin à son Dad, lui montrer à quel point il était heureux de le revoir, mais il avait peur de blesser son père par ce geste mais également son frère. Rafe, plus fort que lui, soutenait leur Ayah et secoua tristement la tête en signe de négation lorsqu'Alec fit mine de s'approcher. Le passage scintilla, n'attendant plus qu'eux.
- On rentre à l'Institut pour s'assurer que vous n'êtes pas blessés, soupira-t-il avec douceur pour ses fils. Quant à toi, reprit-t-il d'une voix haineuse, un doigt accusateur tendu vers Alec, tu vas venir avec nous et tu vas gentiment expliquer à ta soeur, à ton parabatai, à tous ces gens qui t'ont pleuré, comment tu as pu leur mentir pendant toutes ces années. Et je jure que si tu m'adresse la parole tu le regretta amèrement.
Prenant la main de ses fils dans les siennes, Magnus traversa le Portail, suivit par le noiraud. Les quatre hommes se retrouvèrent à l'Institut et se dirigèrent vers l'infirmerie. Les membres de leur famille s'étairnt réunis autour du lit de Jace, toujours plâtré mais qui semblait tout de même en meilleure forme que quelques heures plus tôt. Isabelle releva la tête à leur approche et serra ses neveux dans ses bras à leur en briser les os, incapable de contenir sa joie de les voir sains et sauf.
- Par l'Ange j'ai eu tellement peur ! Vous allez tous bien ?
- Un peu secoués, mais ça va tante Izzy, se força à sourire Rafael qui n'en menait pourtant pas large.
Magnus lâcha la main de ses enfants, qui eux ne se lâchaient plus, et fut invité à s'asseoir avec eux autour du lit de Jace. Simon lui demanda comment il allait pendant que son épouse vérifiait l'état des garçons et que Clary le prenait dans ses bras. Le blond demanda alors ce qu'il s'était passé après l'attaque de l'Institut et les deux frères racontèrent leur histoire, de leur arrivée à New York à leur rencontre avec Camille, sans oublier leurs passage éclair à la Chasse Sauvage. Isabelle acquiesça alors que Max lui rendait son collier avec un sourire fatigué.
- Donc, Camille était derrière tout ça ? Résuma Clary. Mais vous avez parlé d'un protecteur, de qui est-ce qu'il s'agit ?
- Asmodée, souffla le Frère dans leur dos.
Magnus, qui s'était affaissé sur sa chaise comme si le poids du monde pesait sur ses épaules, se tendit en se redressant vivement comme s'il venait de se faire électrocuter. Les autres regardèrent le Frère avec surprise. Discret comme il était, tous avaient dû oublier sa présence au fur et à mesure que les enfants faisaient le récit de ce qui leur était arrivé au cours des dernières heures. La directrice de l'Institut pencha la tête en fronça les sourcils, incertaine. Elle se leva de son siège et se planta devant le Frère Silencieux, main tendue vers lui.
- Isabelle Lewis, directrice de cet Institut. Je ne crois pas vous avoir déjà vu, Frère...
- Je crois que je le reconnais ! Intervint Jace. C'est Frère Manuel, je crois. Souviens toi, c'est lui qui a officier la cérémonie de parabatai de Max et Rafe.
- Oh, dans ce cas, ravie de vous revoir, Frère Manuel.
C'en fut assez pour Magnus qui se leva d'un bon, les poings serrés de colère. Ses yeux étincelaient d'une nouvelle forme de rage, plus violente encore que la précédente vague qui avait assaillit son coeur au Pérou. Max et Rafe échangèrent un regard inquiet, déglutissant difficilement, avant d'étouffer un cris de surprise lorsque le poing de Magnus s'écrasa une nouvelle fois contre la mâchoire de leur Dad. Simon se précipita pour retenir le sorcier, tirant ses bras vers l'arrière pour l'immobiliser. Mais Magnus était loins d'en avoir finit.
- Vas-y ! Dis leur ! Hurla-t-il en se débattant pour échapper à la poigne de son ami. Ose les regarder dans les yeux et leur dire la vérité ! Affronte les putain de mensonges que tu leurs a servis pendant des années ! Tu nous as piétiner le coeur une fois, ça ne te dérangera surement pas de recommencer ! Cracha-t-il avec haine.
- Magnus, arrête, qu'est-ce qu'il te prend ? S'enquit Clary en essayant de le calmer.
- Je vais t'en apprendre une belle, Biscuit, tu avais raison : ce n'est pas un frère ! C'est un menteur ! Pembohong! Penipu! Bajingan! Sampah! L'insultat-t-il dans sa langue maternelle. Dasar bajingan !
- Magnus, ça suffit ! S'écria Isabelle avant de se tourner vers sa fille. Emmène tes cousins et allez dans la bibliothèque à l'étage, on va régler ça.
Zaya hocha la tête et prit la main de Max et de Rafe, le sorcier à la peau bleue sentant ses larmes revenir avec force. Toute la famille l'entendit exploser en sanglots dans le couloir mais au moins n'était-il pas seul. Pour l'instant leur priorité allait aux réactions violentes de Magnus et au silence du Frère mystérieux. Voyant que rien n'arrivait à calmer le sorcier, la jeune rousse joua le tout pour le tout et, comme Jace l'avait fait bien des années plus tôt, lui assomma une gifle monumentale. Si sa colère pour son mari ne retomba pas, au moins c'eut le don de le calmer tant sa surprise était grande.
- Maintenant calme toi, s'il te plait...Et explique nous...
- C'est à lui de s'expliquer...., marmonna le sorcier.
Tous les regards convergèrent vers le Frère qui s'était muré dans un silence absolu. Il poussa un soupire presque déchirant et releva sa capuche de son visage. Son crâne n'avait plus de cheveux et était couvert de cicatrices, ses yeux étaient clos et ses lèvres cousues de fil noir mais, à présent, Magnus n'avait presque aucun mal à reconnaître son amant dans chaque geste, chaque mimique, chaque imperfection et il se sentait plus en colère encore d'avoir été aussi aveugle tout ce temps.
- Chez les Frères, je me nomme bel et bien Manuel. Mais vous m'avez toujours connu sous un autre nom...J'ai été votre frère, votre ami, votre parabatai, souffla-t-il en regardant tour à tour Isabelle, Clary et terminant par Jace.
- Alec..., s'étrangla le blond sous le choc, la bouche entrouverte.
Isabelle regarda son frère comme si elle le voyait pour le première fois et posa une main sur sa joue. Le noiraud pencha la tête sur le côté, prolongeant le contact. S'il l'avait pu, il aurait sans doute fondu en larme. Mais il ne le pouvait plus. C'était l'une des difficulté d'être un Frère. Ses sentiments étaient toujours là, intacts, aussi puissant qu'au premier jours, mais les runes de la Confrérie l'empêchaient d'y avoir totalement accès, comme si ses émotions étaient voilées. Il savait qu'il aimait toutes ses personnes, mais c'était comme si quelque chose le retenait de ressentit cet amour pleinement. Alors que le silence régnait et que les larmes coulaient en silence, Alec raconta ce qu'il s'était passé six ans plus tôt. Il leur raconta son choix de devenir Frère pour protéger sa famille et il leur expliqua pourquoi avoir choisit le nom de Manuel, en hommage à son mari et à ses fils.
- Alors...tu es resté pour veiller sur nous, pendant toutes ces années ? Murmura Clary. C'est pour ça que tu nous as questionné sur les enfants ! Tu ne voulais pas leur faire du mal, tu voulais juste savoir s'ils allaient bien...
- Je ne pouvais pas me retirer totalement de vos vies, avoua Alec. C'était trop douloureux de vous laisser, mais je ne pouvais pas vous dire la vérité avant d'être certain que le danger était écarté. Lorsque Rafael m'a appelé au Pérou avec la rune que je lui avais donné, j'ai comprit qu'il était temps de revenir.
- Et pour Max ? Demanda Isabelle en essuyant ses yeux rougit. Il avait des doutes à ton sujet.
- Je voulais qu'il comprenne par lui-même, admit le noiraud. Il était le seul à pouvoir voir la vérité derrière mes mensonges et j'avais besoins d'un allié parmi vous. Je...
Ses mots furent coupés par la porte de l'infirmerie claquant derrière Magnus qui venait de sortir sans un regard en arrière, les poings serrés, bouillonnant de rages, les larmes aux yeux. Alec soupira et ses proches l'encouragèrent à aller retrouver son mari, qu'ils attendraient son retour. Le noiraud les remercia d'un signe de tête et partit à la suite de son amant. Il le retrouva dans le jardin de l'Institut, devant sa tombe. Le sorcier se tenait droit et fier devant cette dernière avant de la faire exploser rien qu'en serrant le poing. Jamais Alec n'avait vu son compagnon, d'ordinaire si calme et aimant, animé d'une telle haine. Il s'avança à pas lents vers lui, mais l'asiatique se retourna dans un geste brusque lorsque le noiraud arriva à sa hauteur.
- Mags, il faut que tu m'écoutes, s'il te plait...
- Plutôt crever que d'entendre une seule parole de ta part ! Cracha l'immortel en passant devant lui, le bousculant au passage pour s'en aller.
- Je sais que tu m'en veux, et je le comprend tout à fait. Mais si j'ai fais ça c'est par amour pour toi, par amour pour les enfants.
- Tu avais besoins d'un allié ! C'est ce que tu viens de dire, pas vrai ?! Mais cet allié ça aurait du être moi ! Pour le meilleur et pour le pire, tu te souviens ? Mais non, tu as préféré détruire ma vie et notre amour au passage ! Tu m'as détruit Alec ! Ma vie n'a plus été qu'un tas de ruine et de cendre après ta perte, et tu crois sincèrement que je vais te prendre dans mes bras la bouche en coeur comme s'il ne s'était rien passé ? Comme si tu n'avais pas disparu pendant six ans ? Six ans bordel Alec ! Six ans d'enfer quotidien à me battre pour ouvrir les yeux chaque matin, avec le seul souhait de te rejoindre !
Le Frère garda le silence. Magnus avait raison, évidemment, mais il avait été présent, il ne l'avait pas totalement abandonné non plus. L'ancien Nephilim se sentait déjà suffisement coupable et ne souhaitait que mettre les choses au clair avec son époux, bien que la tâche fut plus ardue désormais.
- Pendant six ans, reprit Magnus d'une voix brisée et éteinte. Pendant six ans je t'ai pleuré, jour après jour, pour rien...Tu m'as mentit, tu m'as trahis, Alec ! Tu m'as fait du mal alors ne compte pas sur moi pour te pardonner ça un jour...
- Chéri, je t'en prie...
- Ah non ! Pas de chéri avec moi ! Pas de mon amour, ni mon chat, ni aucun autre surnom.
- Mags...
Sentant la colère revenir en lui, Magnus se précipita sur son mari et empoigna les pans de sa robe de Frère avant de le plaquer contre le mur le plus proche. Dans ses yeux de chat, Alec y lut toute la peine et toute la fureur du monde.
- On va mettre les choses au clair, toi et moi, Frère Manuel. Tu ne m'approche plus, tu ne m'adresse plus la parole et tu sors de ma vie comme tu l'as fais il y a six ans, est-ce que je me suis bien fait comprendre ?! Si les enfants veulent te voir ce sera leur droit, mais moi je ne veux plus jamais entendre ton nom ni revoir ton visage, est-ce que c'est clair ?
Sans attendre de réponse, L'Indonésien le relâcha et le toisa avec haine. Baissant brièvement les yeux, il arracha l'alliance qu'il avait autour du cou et celle qu'il portait encore à son doigt, les déposant avec force dans la main d'Alec. Il le regarda une dernière fois avec douleur et détourna le regard avant de s'en aller, sur les dernières paroles qui déchirèrent le coeur déjà meurtrit du noiraud.
- Je demande le divorce. Adieu, Alec Lightwood.
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Ok j'avoue ça fait mal mais j'avais prévenu que ce serait pas tout rose au début T_T
Des avis ? Des théories pour la suite ?
Le chapitre 2 arrivera bientôt ^^
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