Mutilés


  Je m'enivre des ces images, des mes songes improbables où nos corps enchâssés se lâchent, se laissent à l'âme. Dans ma solitude salace, ton être persiste à mes côtés. Et tu y glisses en soupirs sous mes mains, et tu t'offres aux supplices de nos délices immoraux. Ça claque nos corps qui se calquent, se superposent à dessein comme pour mieux murmurer, en silence, l'attraction de nos sens mutilés.    

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