"je me sens profondément triste, est-ce-que c'est parce que je regarde des chaînes de droite ou parce que la seule femme que j'ai jamais aimé viens de ce faire encastrée dans un mur par un 36 tonnes de manière extrêmement graphique?"

Takemichouine, homme de poésie
 

F: bon ben on va pas y aller par 4 chemins, choisi un objet.

T/p: non merci, ça ira..

F: mais c'était pas une question, t'a pas le choix, c'est soit tu obéi..

S: soit tu crève!

Il avait dit ça de façon tellement enjoué qu'un sourire apparu sur les lèvres de F.

F: tu m'enlève les mots de la bouche! Alors quel objet tu choisis?

T/p tremblait tandis que ses yeux fixait les objets puis l'homme.

S: bouge ton cul on à pas toute la journée !

T/p: je peux pas! Je peux pas! C'est trop!

F: alors tu crève.

F leva son arme sur t/p, prête à tirer mais t/p prit un objet au hasard.

T/p: tire pas! Tire pas! Voilà j'ai pris un objet!

Elle lui montra la pince qu'elle avait prise dans la précipitation.

F lui tapotta le dessus de la tête avec un grand sourire.

F: et ben tu vois quand tu veux! Bon maintenant écoute bien...Sanzu va l'interroger et à chaque fois qu'il refuse de coopérer tu lui casse un doigt avec ça.

T/p: QUOI!?

F: tu m'a très bien compris mais au cas où..

F s'abaissa au niveau de t/p et dit d'une voix lente et enfantine:

F: toi casser doigt à lui quand moi te dire de le faire d'accord?

Le rire de Sanzu résonna dans la pièce.

T/p: j'avais compris la première fois..

F: t'en avait pas l'air, bref au boulot.

Pendant l'interrogatoire l'homme répondit à chaque fois, T/p eu l'audace de penser qu'elle n'aurait pas besoin de torturer cette homme mais Sanzu ne l'entendait pas de cette oreille.

S: bon..on en à fini, c'était ennuyant, Eh toi, casse lui les doigts!

T/p: mais je croyais que si il répondait juste on ne le torturerait pas!

S: personne n'a jamais dit ça, donc maintenant fait ton taff.

T/p tremblait et Sanzu s'impatientait alors F pris t/p par les épaules et l'approcha de l'homme attaché.

F: bon comme je suis quelqu'un d'incroyablement généreuse je vais t'aider.

Elle pris la main de t/p qui tenait la pince et l'approcha de l'homme terrifié et à qu'on avait rebailloné, étant attaché il ne pouvais pas bouger les mains ce qui facilitait la tache.

F: maintenant ouvre la pince passe son doigt entre les deux extrémités comme ceci..

F guidait t/p qui ce laissait faire par peur.

F: et maintenant...

CRAC!..

Le son horrible de l'os qui casse et les hurlements de douleurs de l'homme firent frémir de dégoût t/p.

F: tu vois ce n'est pas compliqué, aller passe au deuxième.

Malgré le fait que F ce trouvais dans son dos t/p entendit au son de sa voix qu'elle souriait.

T/p était terrifié mais machinalement elle s'exécuta.

CRAC!

CRAC!

CRAC !

Trois autres doigts furent casser avant que t/p ne vomisse de dégoût.

F, dans sa plus grande générosité lui tint les cheveux pour l'aider.

S: quatre doigts avant qu'elle craque! Ça me rappelle la fois où tu as vomi alors que tu n'était que simple spectatrice, c'était pathétique d'ailleurs..

F: c'était différent, tu lui à coupé la bite pas les doigts..p'tit con

Elle avait chuchoter c'est dernier mots tellement doucement que même t/p qui vomissait toute son âme devant elle ne l'avait pas entendu.

S: bref on en à fini.

F:ok..

À peine t/p releva la tête après s'être calmée que F tire dans la tête de l'homme qui s'effondra sur la chaise à laquelle il était attaché ce qui provoqua un nouveau haut le cœur à t/p

F:t'inquiète tu va t'y habitué..

T/p se remis à vomir.

F:...ou pas..

Dit F avec une tête désespéré.
 

(Vous avez vu!? Je me suis pas incrusté dans le chapitre féliciter moi svp!)