14
La silhouette
Je me réveillais au sursaut, ce qui ne m'étais pas arrivé depuis de nombreuses années. Je me frottais le visage et inspirait lentement pour reprendre le contrôle. L'air était froid et humide. Le brouillard s'était installé, comme un voile planant sur les bois.
- Bon sang. Pensais-je, furieux.
Des brides de rêves me revinrent en mémoire et je serrais les poings. Pourquoi fallait-il, qu'ils reviennent me hanter ? Pourquoi maintenant ? Je pris un instant pour comprendre ma réaction et ce qui se passait dans mon esprit.
L'heure était proche. Mon désir augmentait à chaque minute et savoir qu'Angélique était à la fois aussi proche et aussi loin de moi, commençait à avoir une certaine emprise sur l'être, que j'essayais de contenir. Mais je n'étais pas dupe. Il fallait que je me laisse m'échapper, avant de commettre une erreur.
Je regardais ma montre et il était presque 10 heures. Je scrutais la maison et les volets qui se trouvaient juste en face de moi, afin de m'assurer, qu'elle ne s'était toujours pas réveillée et un calme paisible me répondait.
Tranquillement, j'enroulais mon sac de couchage et rangeait mes affaires. Je pris un petit sachet de poussière, que j'éparpillais sur le sol de la cabane, afin que de première abord, cela donne l'impression que personne n'était venu. Je mettais mon sac à dos et regardait en direction de la maison, avant de descendre du grand chêne.
J'étais crevé. Mon corps et mon esprit me suppliaient pour avoir quelques heures de répits, malgré les 4 heures où j'avais dormi. Je me sentais étrangement agité, ce qui ne me plaisait pas, car c'était dans ces moments-là, que je pouvais perdre le control.
- Putain... faut vraiment que je... baise. Soupirais-je, en regardant en direction de la porte de la cuisine.
Mon esprit s'y engouffrait, montait les marches, ouvrait la porte de sa chambre et posait mes mains sur elle. Je sentis une onde pure de frustration et de besoin. Je soupirais longuement pour refermer mon esprit. J'en avais tellement envie que je sentais mon entre jambe me faire mal et cela devenait de plus en plus insupportable. Si pour l'instant je ne pouvais avoir Angélique, il fallait que je trouve une femme pour me vider.
Je tremblais. Peinant de plus en plus à me maitriser. Je l'avais laissée seule, dans sa maison de vacances et je ne rêvais que d'une chose, retourner auprès d'elle. J'avais envoyé un message à une fille de la région avec qui j'avais un plan cul. J'avais pris une bonne douche et dormi un peu, mais dès que je fermais les yeux, mon corps me trahissait et je sentais mon esprit prêt lui aussi à commettre l'irréparable. Les vagues qui inondaient mon être devenaient aussi dangereuses, qu'implacables.
Heureusement, celle à qui j'avais écrit, avait accepter que l'on se voie et était en chemin. Elle savait exactement ce qu'elle allait prendre, car depuis environ 6 mois, je ne lui écrivais que pour vider ma queue et elle me laissait faire ce que je voulais.
Je faisais les cents pas dans le petit chalet que je louais sous un faux nom, à moins de 5 minutes de ma petite rose sauvage. Ma queue était déjà dure et gonflée et je sentais le point de rupture arriver. L'être qui sommeillait en moi, le monstre que j'étais, réclamait du sexe, de la violence et même bien pire. Une partie de moi, savait que je ne pouvais céder, mais l'autre ne demandait que cela. Je luttais contre moi-même.
J'entendis sa voiture arriver et les pneus faire crisser le gravier. Je serrais les poings, tendu comme je ne l'avais jamais été. La portière claquait et quelques secondes plus tard, elle donnait un coup contre ma porte. J'inspirais profondément et lui ouvrait.
Son regard bleu se posait sur moi et me dévisageais, car je ne portais qu'un bas de training, qui montrais clairement pourquoi nous étions là, tout les deux. Je me plaçais sur le côté, comme pour lui laisser encore une chance de s'échapper, mais je tournais légèrement la tête pour que mon sourire carnassier lui échappe.
- Salut. Ça va ? Me demandait-elle.
Il y avait une légère pointe d'amertume dans sa voix et un soupçon de colère, sans doute car cela faisait maintenant plus d'un mois que je ne l'avais pas baisée. Elle m'écrivait souvent, mais je ne répondais jamais à ces messages. Mais elle répondait aux miens et au besoin qu'elle avait de me voir, aussi rapidement qu'elle mouillait.
- Ouai. Répondis-je, en lui montrant clairement, que j'en avais rien à foutre.
Je m'approchais d'elle et prit son visage entre mes mains pour l'embrasser férocement, comme un avant-gout de ce qui allait se passer et en sachant, qu'elle ne me résisterait pas longtemps. Elle aimait mon corps, mon côté mauvais garçon et ma queue, et je n'allais pas l'en privé.
Ces lèvres tremblaient légèrement, mais je forçais sa bouche avec ma langue et elle me cédait. Prit par mon envie, je plaquais mon corps contre le sien et entreprit de lui enlever ses vêtements.
- Attend. Me repoussait-elle soudain.
Je soupirais lourdement et levais les yeux au ciel. J'avais juste envie de la baiser, bon sang.
- Je... tu vois une autre femme ? Me questionnait-elle le visage en feu.
J'inspirais profondément et l'empoignait par les épaules avant de la plaquer contre la porte.
- Tu veux que je te baise... ou tu dégages ? Demandais-je brutalement.
Elle baissait son regard et essayait de reprendre son souffle. Après quelque seconde, elle enlevait sa veste et je baissais mon jogging, pour libérer ma queue. Je lui attrapais les cheveux et l'obligeais à s'agenouiller devant moi.
- Ouvre et suce-moi. Grondais-je, impatient de pouvoir enfin me vider.
Elle s'exécutait et lorsque que sa langue caressait mon membre bien dur, j'empoignais ses cheveux et m'enfonçais en elle. En la tenant fermement, j'imaginais ma rose sauvage. Sa peau. Sa bouche et ses mains. J'accélérais plus profondément, alors qu'elle essayait vainement de me retenir.
Je la plaquais contre la porte et attrapais ses mains qui retenais mes hanches. J'allais et venait dans sa bouche, comme une bête enragée. Prisonnière de mon corps, elle se laissait faire et s'appliquait enfin à me faire jouir. Aux portes du plaisir, je m'enfonçais complètement dans sa gorge et le bruit qui s'en suivit me fit grogner.
- Putain... M'écriais-je. Suce. Ordonnais-je, en resserrant mon emprise.
Après quelques minutes intenses, ma queue se gonflait complétement et je me vidais enfin dans sa bouche. Lentement, je me retirais et contemplais mon œuvre. Les larmes coulaient sur ses joues noircies par son maquillage et de la bave immaculait son visage rougit par le manque de souffle. Un sourire se dessinait sur mes lèvres.
- A quatre pattes et écarte les cuisses. Montrais-je le sol glacé.
Elle baissait les yeux et semblait hésiter, avant de faire ce que je venais de lui ordonner. Je me plaçais derrière elle et commençais à me masturber. Elle était bandante, pas autant que ma rose sauvage, mais au moins j'arrivais à me vider et à contrôler mes pulsions. J'avançais d'un pas et lui donnait un petit coup sur le mollet.
- Ecarte encore.
Je vis son corps se contracter, mais elle s'exécutait et je m'agenouillais derrière elle. Je glissais brusquement deux doigts dans sa chatte bien humide.
- Alors tu as vraiment envie que je te baise ? Demandais-je, toujours en me touchant.
Je recommençais à être dur et j'allais vraiment me lâcher en elle.
- O... Oui. Soufflait-elle.
Évidemment qu'elle en avait envie. Elle aimait ça. Se faire prendre encore et encore. Plus j'étais violent et brutale et plus elle en redemandait et c'était l'unique raison pour laquelle, je lui demandais de venir. Je retirais mes doigts et m'installais entre ses cuisses. Je fis glisser ma queue contre sa chatte, avant de m'enfoncer d'un coup en elle. Son corps partit en avant, mais je lui attrapais ferment les hanches et me retirais d'un coup, avant de recommencer.
- T'aime ça... Hein ? Grondais-je.
Non seulement elle était humide, mais sa chatte se serrait à chaque pénétration, ce qui faillit me perdre. Je n'entendais rien d'autres que les battements de mon cœur et le bruit que nos corps faisaient. Alors que j'allais jouir, je me retirais et me relavais. J'attrapais ses cheveux et l'obligeait à faire de même, avant de la trainer jusqu'à la table de la cuisine et de la jeter à plat ventre par-dessus. Le souffle coupé, elle voulut se relever, mais j'empoignais le sommet de son crane pour la maintenir à ma merci.
- Cambre. Ordonnais-je.
Elle relevait les fesses et je lui lâchais la tête, avant d'attraper ses hanches. Je m'enfonçais à nouveau en elle et elle criait de surprise, juste avant que je me retire. J'attrapais ses bras et les plaquait dans son dos, puis je me présentais au bord de l'orifice que je désirais le plus. Elle comprit se que j'allais faire et essayait de se débattre, mais je la maintenais fermement contre la table.
- Non... s'il te plait... pas... pas aujourd'hui. Suppliait-elle.
Un sourire narquois se dessinait sur mes lèvres, juste avant que j'enfonce le bout de ma queue dans son cul. Son corps se figeait et se préparait à la douleur intense, qu'il allait ressentir et une fois de plus, je n'allais pas l'en priver.
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