Lucifen Auracio Lestrange

Point de vu d'Andromeda

Je me réveille pour rejoindre mon maître. Il m'a capturé avant mon assassinat par un mangemort. Ma famille lui est totalement soumise par peur. Ted est le médecin de l'équipe, moi, je suis ton jouet étant une sang bleu... La loi de la monarchie sacrée m'y oblige.

Cela fait désormais dix années qu'on est à son service, dix ans à subir ses violences... Ses humiliations et tout ce qui faisait de nous des sorciers dociles. Ce qui fonctionne, nous n'avons aucune envie de risquer de jouer avec lui. Le dernier prince né de la lignée royale des Lestrange.

Je me rends dans la chambre du jeune maître pour un réveil des plus doux.

-Courage Andromeda... Fais-le pour Ted et Nymphadora...

J'entre dans la chambre pour lui donner une tasse de thé noir. Je les pose sur la commande avant de le réveiller tout doucement pour éviter d'être violenté dès le matin.

-Maître... Il faut vous réveiller. C'est l'heure...

-Andromeda.

-Votre thé est sur la commande...

Je lui donne le temps qu'il s'assoit et je commence à l'habiller. Il me regarde avec un regard bien étrange.

-Un souci maître ?

-Paraît que Nymphadora a trouvé une née-moldue dans la ruelle des ombres hier.

-Oui maître... Elle est actuellement dans les cachots attendant votre ordre. Nymphadora voudrait connaître le sort que vous lui réserverez.

-Il paraît qu'elle était amie avec l'élu.

-Ted prépare votre petit déjeuner.

Je finis de l'habiller. Il me regarde avec un sourire enfantin.

-Tu sais que tu es une petite chanceuse ?

-Oui, je le sais... J'ai échappé à la mort et vous avez été clément avec mon mari en lui permettant de rejoindre vos anomalia...

Il pose sa tasse et je le prends par la main pour qu'il puisse descendre du lit. Je l'accompagne jusqu'au salon où se trouve le couple Londubat qui l'attendaient avec appréhensions et peur.

Je le suis en silence jusqu'à sa place pour être servi par Ted. Il me sourit brièvement.

-Ted.

-Oui maître ?

Il lui lance un doloris pour s'amuser à l'entendre hurler de douleur. Je le vois se tordre de douleur en m'empêchant d'intervenir.

-Tu es aussi mignon quand tu chouines de douleur.

Son regard de douleur ne fait pas plier le maître. Jusqu'à l'arrivée de Fenrir Greyback qui fait stopper le sort, Ted tente de se relever mais sent le regard du maître qui lui fait comprendre qu'il n'a pas l'autorisation de se lever.

-Vous avez du courrier maître.

Il lit la lettre et rit.

-Tiens, il s'est souvenu qu'il avait un fils.

-C'est une lettre en provenance du roi avec le cachet officiel. Je pense surtout que c'est pour le bal des corbeaux maîtres.

-Ha oui, ce fameux bal. Quel ennui.

-Vous n'avez pas pu y aller les années précédentes à cause de votre santé fragile. Mais maintenant vous êtes en forme et capable d'y aller.

-Et d'après la lettre je dois aussi m'occuper de la décoration et tout le bazar. D'un autre côté, je pourrai le revoir...

-Vous comptez y aller ?

-Bien évidemment, sinon, je donnerai raison au clan de m'ignorer.

-Je vois...

-D'ailleurs, la captive, tu peux la remonter ici Fenrir ?

-Oui maître.

-T'es un ange.

Il mange son petit déjeuner et ma fille me regarde avec un sourire. Il faut croire que Nymphadora a un faible pour lui.

La captive est violentée par Fenrir, elle trébuche après avoir été poussé violemment par ce dernier. La jeune femme est terrifiée et je ne peux pas la blamer, ce loup est terrifiant mais il est sous contrôle total du jeune maître qui ne tolère pas la mauvaise conduite.

-Nom, prénom, sang et magie.

Le ton froid et direct ne laisse aucun doute sur le sort de cette petite.

-Granger... Hermione... née-moldue... Magie de soutien...

Elle reste par terre répondant au maître avec une voix tremblante de peur. Même si Alice, Frank, Ted, Nymphadora et moi-même voulons intervenir pour la protéger, on se retient pour ne pas subir son gourou. L'interrogatoire est long et la curiosité du maître n'est pas encore satisfaite.

-Et je suppose que tu es toujours vierge.

-Oui...

Il regarde Fenrir avec un sourire sournois.

-J'ai eu vent que Fenrir voulait te mordre par la passé. Cela signifie que tu es une sorcière assez redoutable pour qu'il souhaite te mordre.

-Je... Je ne sais pas...

-Fenrir.

-Oui maître ?

-Tu as mon accord pour la mordre.

Hermione est sous le choc et elle supplie le maître de réviser son jugement mais rien à faire.

-Vois-tu, les mangemorts ont massacré sa meute sur ordre du roi des corbeaux. Et puis, Fenrir fait énormément d'effort pour se contrôler lors des pleines lunes et des missions. Je me vois mal lui refuser le droit de te mordre. Et puis, tu restes une esclave sans importance. D'ailleurs avant que j'oublie.

Il la marque sur son bras et Hermione le tient de douleur. Fenrir regarde le maître.

-Maître... Je vous remercie de cette faveur, mais je ne veux plus la mordre. En revanche, si vous me permettez, j'ai une faveur à vous demander.

-je t'écoute.

-Pourrai-je l'utiliser ce soir ?

-Fenrir veut lui prendre sa virginité en la violant ? Mais, le maître ne va pas vouloir.

-Tu ne veux plus la mordre ?

-J'ai une autre proie en tête pour une vengeance.

-Fais donc comme tu veux. Mais ne la tue pas, elle me sera utile d'une façon ou d'une autre. Andromeda.

-Maître ?

-Emmène - là dans la pièce et attache-là pour pas qu'elle se barre.

-Bien maître.

-Ho et si tu tente de l'aider à s'évader du manoir, tu serviras de dîner à Fenrir lors de sa prochaine transformation. Je suis sûr qu'il adorerait ta chaire.

Je déglutis en voyant Fenrir et je m'incline en promettant de ne rien faire. J'emmène Hermione dans la pièce et j'attache sa cheville à la chaîne et ses mains avec des fers comme à la prison d'Azkaban. Je lui prends le visage pour lui faire un baiser sur le front.

-Soit forte Hermione...

-Que va-t'il me faire ?

-Te prendre ta virginité et te torturer pour te rendre docile pour la suite de ta vie d'esclave...

-Une esclave... Je n'aurai plus ma liberté...

-Un conseil si tu ne veux pas servir de cobaye, ne réfléchis pas, obéis, soit docile et soumise... Soit loyale et fidèle et tout se passera bien pour toi...

-J'ai peur...

-Je sais... Mais prends sur toi...

Un corbeau apparaît devant nous.

-Andromeda. Lucifen commence à s'impatienter à ne pas te revoir revenir.

-Ambroise...

Je regarde Hermione apeurée et terrifiée.

-Dépêche-toi avant qu'il décide de s'en prendre à ta fille chérie.

Je me lève.

-Je tenterai de revenir...

Je suis le corbeau et je vois mon maître qui pointe sa baguette en ma direction.

-Tu en as mis du temps.

-Pardon maître...

-C'est quoi ton excuse cette fois-ci ?

-Je n'ai pas d'excuse...

Il s'approche et j'ai peur, il me lève la tête avec sa baguette.

-Tu as eu pitié pour elle et tu as voulu la rassurer.

-Maître... Je vous en supplie, ne lui faites pas ça... Elle est encore jeune... Je vous en supplie... Pitié...

-Me supplier ne sert à rien, elle m'appartient comme toi et les autres.

-C'est parce qu'elle est une née - moldue que vous êtes aussi cruel ?

Je sens qu'il me donne une sacrée gifle avant de ressentir le doloris me parcourir le corps me faisant hurler de douleur.

-Je ne t'ai pas demandé ton avis la sang bleu. As-tu oublié que tu n'es rien d'autre qu'un simple jouet sans importance pour moi ?

-Non maître... Pitié, pardonnez-moi... Je vous en supplie... Pardonnez-moi...

La douleur est grande et je me tords de douleur. Le sort se rompt soudainement. Il me regarde et me prends par les cheveux, pour me traîner. Jusqu'à son bureau. Il me tire les cheveux pour me lever.

-Maître...

-La ferme l'esclave.

Je tremble de peur et je suis terrifiée de ce qu'il pourrait me faire. Je le supplie du regard de me pardonner.

-Andromeda. Tu veux vraiment m'énerver et prendre le risque de perdre ta famille ?

-Non... Pitié... maître... Désolée...

-Tu n'as pas retenu la leçon de la dernière fois ? Tu veux peut - être retourner dans la salle des tortures ?

-Non... Je me tiendrai tranquille promis... Je ne recommencerai plus jamais...

-Tu es pitoyable.

Il me torture de nouveau avec un fouet cette fois-ci. Je hurle de douleur en pensant à ma famille... Je ne veux pas la mort pour eux. Je sens un coup dans le ventre assez violent et je sens son pied sur mon visage.

-Tu es privée de repas jusqu'au bal.

La punition est horrible. Je me lève pour aller dans ma chambre et passer le reste de la journée dans ma chambre.

-Pourquoi je lui ai dit ça... Je suis qu'une idiote... Mais tant qu'il laisse ma fille.

Je m'allonge sur le lit pour dormir... 

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