Chapitre 10
Précédemment
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Elle hoche la tête toujours en pleurs. Beaucoup trop de larmes en une journée.
Ruggero : Aller sèche tes larmes mon ange. Lui dis-je d'une douce voix. Viens dormir un peu.
Karol : J'arriverai pas à dormir... dit-elle toujours en pleurs.
Je m'approche d'elle et essuie ses larmes. Je la prend et l'allonge sur moi. Elle met sa tête contre mon torse, je l'enroule de mes bras et lui caresse les cheveux pour qu'elle s'endorme.
Karol : Merci Baloo je t'aime. Me dit-elle faiblement.
Ruggero : Je t'aime aussi Mowgli.
On s'endort dans les bras l'un de l'autre en espérant que les larmes ne soient pas trop au rendez-vous pour demain. Même si j'en doute fort après cette dure révélation. Son père c'est vraiment un sale type et j'aurai pu utiliser un autre mot.
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Dan : Je te promets qu'on va tout faire pour la protéger de Carlos. Tu n'imagines pas le danger qu'elle court... même la lettre ne dit pas tout parce que même ta mère ne se doutait pas du danger à l'époque où elle a rédigé la lettre...
Lionel : Un danger comme un meurtre ?
Dan : Qu'est-ce qui te fait dire cela ?
Lionel : Tu as vu l'appartement de Karol et maman ?
Dan : Non je n'y suis pas encore allé.
Lionel : Leur appartement est complètement saccagé comme s'il y avait eu un meurtre ! PAPA JE SUIS SÛR QUE CARLOS A TUÉ MAMAN !! IL EST DONC CAPABLE DE TUER SA PROPRE FILLE !!!
Dan : Mon fils calme-toi on va aller se coucher on en a besoin.
Lionel : JE NE VAIS PAS ME CALMER ET ME COUCHER EN SACHANT QU'ELLE EST EN DANGER !!
Dan : Lio elle est avec Ruggero, il ne lui arrivera rien.
Mes larmes coulent à flot. Trop de révélation en une journée. Mon père vient me prendre dans ses bras pour me calmer.
Lionel : Merci papa...
Dan : Je t'en prie. Aller, allons dormir.
On parti tous les deux dans nos lits respectifs et nous endormons en espérant que demain soit une journée beaucoup moins riche en révélation.
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P.d.v Carolina
La fête au tournage s'est transformé en préparatifs pour la licorne party qu'on organise pour Karol. On a décidé de lui offrir des cadeaux, de chanter, de manger des bonbons et de lui redonner le sourire. Valentina et moi on décide de ce qu'on va cuisiner.
Carolina : Et si on faisait des cupcake en forme de licorne ?
Valentina : Trop bonne idée Caro ! Qu'est-ce qu'on met dedans ?
Carolina : Je ne sais pas. Qu'est-ce qu'elle aime Karol comme parfums ?
Valentina : Oh je sais !!! On va en faire à la violette et d'autres au caramel.
Carolina : Tu as raison, en plus ce sons ces préférés !
??? : Je peux vous aider ?
Valentina : Oh Agus... tu sais que la cuisine et toi ce n'est pas trop ça ! Dit Val en rigolant.
Agustin : Je sais mais vous pourriez peut-être me l'apprendre. N'est-ce pas Carolina ?
Je rougis et je vois Valentina se raidir. Mince ! Qu'est-ce que je dois faire pour ne pas blesser Valu ?
Carolina : Oui Agus, tu devrais surtout demander à Valu elle est plus douée que moi.
Agustin : Oui bien-sûr... mais je voulais que ce soit toi qui m'apprenne.
Valentina : Dis-le si tu veux que je te suis inutile. Dit-elle vexée.
Agustin : Non Valu le prend pas comme ça.... je plaisantais... Apprenez-moi toutes les deux !
Valentina : Je préfère gros bébé ! Dit-elle en rigolant.
Agustin : Ah non recommence pas hein ! Tu m'appelais déjà comme ça pendant le tournage d'Aliados ! Ça suffit ! Dit-il en faisant semblant de bouder.
Valentina rigole et lui fait un bisous sur la joue puis ils rigolent tous les deux ensemble. Je sens la jalousie monter en moi et je regrette fortement d'avoir essayer de contrôler mes sentiments pour ne pas blesser Valu parce qu'elle, elle ne se gêne pas. Je décide de rentrer.
Carolina : J'y vais ! Dis-je d'un ton ferme.
Agustin : Caro ça va ?
Carolina : Oui, je dois y aller.
Valentina : Mais tu ne m'attends pas ?
Carolina : Non ! J'ai des trucs à faire. Dis-je froidement.
Puis je partis.
P.d.v Valentina
Caro parti du studio pour rentrer. J'ai dû la blesser en faisant un bisous sur la joue à Agus. Après tout elle a essayé de ne pas me blesser quand Agustin l'a choisi en m'incluant dedans, et moi comme une mauvaise amie, j'en profite. Parfois, j'agis sans réfléchir.
Agustin : Elle est bizarre Caro. Je n'aime pas la voir énervée.
Valentina : Moi non plus, surtout quand c'est ma faute.
Agustin : Pourquoi tu dis que c'est de ta faute ?
Valentina : Pour rien... Je vais y aller aussi, pour savoir ce qu'elle a.
Agustin : D'accord, tu me préviens si c'est grave.
Valentina : Oui ne t'en fais pas Agus. Dis-je en rigolant et en partant vers chez moi pour retrouver Caro.
En y pensant, Agus aime Caro et c'est réciproque, alors pourquoi je joue ma jalouse et je les empêche d'être heureux avec mes sentiments à sens unique pour Agus. Je suis vraiment idiote des fois.
J'arrive chez moi et j'entends l'eau coulé sur la douche. Quand Caro est énervée elle prend toujours une douche, elle dit que ça la détend. J'attends alors qu'elle sorte de la douche pour aller lui parler. Quand j'entends des bruit de pas s'approcher, je me lève du canapé.
Carolina : Valentina ? Tu n'es pas restée avec Agustin ? Dit-elle d'une voix rouillée.
Valentina : Caro, je suis désolée... Je sais que je t'ai blessée. Tu as essayé de ne pas me blesser et moi j'en ai profité, alors que tu aimes Agus.
Carolina : Qu ... Quoi ? Comment tu sais que j'aime Agus ?
Valentina : Ça se voit quand tu le regardes. Écoute, tu aimes Agus et Agus t'aime aussi, alors excuse-moi pour tout à l'heure. C'est ce stupide défaut de m*rde qu'on appelle la jalousie qui m'est montée à la tête.
Carolina : Ne t'en fais pas Valu je comprends. Quand je me suis énervée aussi c'est la jalousie qui m'a emportée. Et je ne vais pas sortir avec Agustin alors que ça te fait du mal.
Valentina : Et moi je veux que tu sortes avec Agus sinon vous souffrirez tous les deux.
Carolina : Val si tu aimes Agus dis-lui.
Valentina : Je te dirai la même chose. Dis-lui que tu l'aimes parce que c'est réciproque. Et pour moi, tout ira bien tant que vous ne m'abandonniez pas.
Carolina : Jamais on ne t'abandonnera Valu, mais je ne veux pas te faire de mal.
Valentina : Agus me considère comme sa petite soeur et moi comme mon grand frère. J'ai dû avoir quelques sentiments pour lui c'est sûr mais ils ne sont pas aussi forts que ce que tu ressens pour Agus et vice-versa. Alors si tu ne lui dis rien c'est moi qui le ferait.
Carolina : Valu, c'est tellement gentille de me dire ça. J'espère que c'est vraiment ce que tu ressens et que tu ne dis pas ça pour me faire plaisir parce que je ne voudrais surtout pas te faire de mal.
Je prends Caro dans mes bras.
Valentina : Meilleures amies pour la vie !
Après ce moment d'amitié, on part se coucher en pensant à notre petite Karol chérie.
P.d.v Ruggero
J'ouvre les yeux, il est neuf heures et demi. Ma Karol dort encore. Je décide d'aller lui préparer le petit déjeuner et de le monter au lit pour lui faire plaisir. Je sors alors du lit et me dirige vers la cuisine avec mon téléphone à la main lorsqu'il sonne. C'est Agus.
Conversation téléphonique :
Ruggero : Allo Agus ?
Agustin : Rugge, comment va Karol ? Et toi, comment vas-tu ?
Ruggero : Moi je vais bien mais je suis inquiet pour Karol. Sa mère est morte hier soir et elle lui a laissé une lettre dans laquelle il y avait un tas de révélations très perturbantes.
Agustin : Quelles révélations ?
Ruggero : Je ne peux pas encore tout te dire mais ça concerne surtout son père. Karol est en grand danger.
Agustin : On en parlait hier soir avec le cast et on s'était dit qu'on devrait organisé une licorne party pour redonner le sourire à Karol. C'est une bonne idée tu penses ?
Ruggero : Oui une très bonne idée Agus ! Karol adore les licornes et je crois qu'il faut vraiment qu'elle se change un peu les idées. Vous organisez la fête pour quand ?
Agustin : La veille du tournage de la saison 3, c'est-à-dire dans cinq jours.
Ruggero : Parfait, je peux vous aider pour quelque chose ?
Agustin : Attend je réfléchis...
Ruggero : Ouh ça va être long ! Dis-je en rigolant.
Agustin : Oh ta gueule l'italien ! Dit-il en rigolant avec moi. Alors Caro et Valu s'occupent de la nourriture. Chiara, Ana et Jorge (L) s'occupent de la décoration. Malena, Katja et Gaston s'occupent des activités. Jorge (N) et le reste de l'équipe s'occupent de la musique. Moi je supervise tout en aidant tout le monde. Il ne reste plus que toi et Lionel. Il manque quelqu'un pour s'occuper des peluches licornes et quelqu'un pour s'occuper des surprises et des cadeaux.
Ruggero : Je m'occupe des surprises et des cadeaux ! C'est ma spécialité !
Agustin : D'accord j'appelle Lionel pour le prévenir de la fête.
Ruggero : Non laisse, je vais le faire. Lionel aussi passe une phase difficile avec la mort de Carolina.
Agustin : Ah... tu m'inquiètes frère, il va bien ?
Ruggero : Ne t'inquiète pas, c'est seulement à propos des révélations. Je te tiens en courant d'accord ?
Agustin : D'accord. Je ne te dérange pas plus longtemps, occupe-toi bien de ta chérie !
Ruggero : Ça c'est sûr ! Je m'occupe d'elle comme une princesse. Aller à plus Agus !
Agustin : À plus Rugge !
Fin de la conversation téléphonique
Après ma conversation avec Agus, je prépare le petit déjeuner. Je prends des croissants, des chouquettes, du jus d'orange, du thé, du café, du lait, des fruit, du pain, de la confiture et quelques bonbons. Je mets tout dans un plateau et je le porte jusqu'à la chambre. Je le pose sur la table de chevet puis me rallonge dans le lit pour réveiller ma princesse qui dort. Je caresse ses cheveux doucement et lui fait des bisous sur la tempe.
Ruggero : Princesse, lève-toi, je nous ai préparé un petit déjeuner rien que pour nous deux dans le lit.
Karol : Rugge... Dit-elle en ouvrant doucement les yeux. Elle se jette ensuite dans mes bras.
Ruggero : Bien dormi mon ange ?
Karol : Grâce à toi oui, je t'aime.
Ruggero : Moi aussi je t'aime. Dis-je avant de l'embrasser amoureusement.
Elle s'étire et baille pour bien se réveiller, puis je lui tends le plateau et on mange notre petit déjeuner. Je la vois qui est pensive.
Ruggero : Mon coeur ça va ?
Aucune réponse.
Ruggero : Karol ? À quoi tu penses.
Toujours rien.
Ruggero : KAROL !
Karol : Hein ? Quoi ? Dit-elle en me regardant.
Ruggero : À quoi tu penses mon ange ?
Karol : À rien. Dit-elle en baissant la tête.
Je la prends dans mes bras et l'embrasse sur le crâne.
Ruggero : Aller dis-moi. Tu penses à Lionel ?
Karol : Oui... j'y ai pensé toute la nuit... il faut que j'aille lui parler.
Ruggero : Si tu veux on peut passer le voir.
Karol : Tu penses qu'il le sait que je suis sa demi-soeur ?
Ruggero : Je n'en sais rien, mais s'il ne le sait pas, tu lui diras ?
Karol : Évidemment. Je ne lui cache rien. On a toujours été proche l'un de l'autre comme des frères et soeurs et savoir qu'il est en parti mon frère, ça me rend heureuse.
Je lui souris.
Ruggero : Tant mieux. En plus ça explique ton rêve de l'autre fois. Tout s'explique maintenant.
Karol : C'est vrai. Dire qu'on aurait pu former une belle famille si Carlos n'avait pas gâché nos vies.
Ruggero : Mon coeur, au sujet de ce que ta mère a écrit dans la lettre, quand elle a dit que tu devais te protéger de ton père... ton père serait vraiment capable de te tuer ?
Karol : Ça c'est sur. Comme ma mère l'a dit, il veut des enfants pour qu'ils soient ses esclaves. Quand on est était au Mexique ma mère et moi on se faisait battre tous les jours par mon père. On s'est prit des coups toutes les deux, il nous enfermait, nous battait, nous menaçait. Je n'avais jamais le droit de l'appeler "papa", c'était interdit. Il est capable de tout pour arriver à ses fins et c'est ce qui me fait peur. Dit-elle les larmes aux yeux. L'autre soir quand il est venu au concert, il m'a dit de revenir après la mort de ma mère et qu'il m'enfermerait, tu te souviens ? Et je vais encore le désobéir et cette fois-ci j'ai peur, mais vraiment peur de lui parce qu'ELLE n'est plus là pour me protéger de lui. Je me suis toujours sentie en sécurité avec elle et maintenant, j'ai peur. Continue-t-elle en pleurant.
Ruggero : Eh viens là. Dis-je en la tirant dans mes bras. Elle n'est peut-être plus là pour te protéger, mais nous on est là, on ne le laissera pas te faire du mal mon ange. Ta mère t'a donné une phrase qui te servira toute ta vie tu t'en souviens ? "Continue tes rêves sans te soucier de ce que dit ou dira ton père" alors continue tes rêves princesse. Il ne t'en empêchera pas et surtout, tu n'es pas seule, tu ne seras jamais seule. Je serai toujours là et même si tu ne la vois pas, ELLE aussi ELLE est là, dans ton coeur. Dis-je en pointant mon doigt vers son coeur.
Elle continue de pleurer et je l'embrasse sur le bout du nez. Elle m'enlace fort et je lui caresse les cheveux.
Ruggero : Ça ira mieux avec le temps princesse. C'est normal de passer par ces moments difficiles mais je sais que tu t'en sortiras Mowgli, parce que tu es courageuse.
Karol sourit doucement et passe sa main sur ma joue.
Karol : Tu veux bien me chanter ta chanson Baloo. Il n'y a que ta voix qui me réconforte quand je suis triste.
Ruggero : Tout ce que tu veux princesse.
[Un GIF ou vidéo devrait être inséré ici. Veuillez mettre à jour l'application pour le voir.]
Je lui chante Siento pour lui redonner le sourire et ça marche. C'est ce que j'aime dans la musique, transmettre les émotions et redonner le sourire avec ma musique.
Karol : Je t'aime tellement. Dit-elle avant de m'embrasser pasionnement.
Ruggero : Moi aussi je t'aime Karol. Dis-je en passant ma main dans ses cheveux.
On se sourit puis on se lève du lit pour se préparer et aller chez Lionel et son père.
P.d.v Agustin
Après ma discussion avec Rugge par téléphone, je vais à l'appartement de Valu et Caro pour faire un coucou à ma Carolina d'amour...... Et aussi à Valu... il ne faut pas que je l'oublie. J'espère que Caro n'est plus énervée, j'espère que ce n'est pas à cause de moi. Et si Valu a dit que c'est sa faute, j'espère que je ne suis pas la cause de leur dispute. Je sonne à leur porte. Valu vient m'ouvrir.
Valentina : Agus ! Qu'est-ce que tu fais ici ?
Agustin : Euh... je viens vous faire un peti..
Valentina : Tu viens voir Carolina avoue. Dit-elle en me coupant.
Agustin : Quoi ? Non je viens vous voir toutes les deux.
Valentina : Aller arrête. Je sais que t'aime Carolina. Aller viens entre.
Pour la première fois, Valu n'était pas jalouse de mes sentiments envers Caro. Peut-être ai-je ma chance de sortir avec Caro sans blesser Valu ? Je rentre dans le salon avec Valu où je vois Caro sur son ordinateur.
Valentina : Caro ! Regarde qui est là ?
Caro relève la tête et quand elle me voit elle rougit. Qu'est-ce qu'elle est mignonne ! Elle se lève et me fait la bise.
Carolina : Salut Agus ! Qu'est-ce que tu fais ici ?
Agustin : Eh bien je...
Valentina : Il a reçu le script de la saison 3 et il est venu pour s'entraîner avec toi. Vous pourriez répéter ensemble.
Carolina : Ah oui ? Ça ne te dérange pas Valentina ?
Valentina : Combien de fois je vais devoir le redire ! Bon, je vais y aller droit au but. Agus aime Caro et Caro aime Agus, donc je n'ai plus rien à faire dans cette histoire. Je vous laisse sortir ensemble et sachez que moi, je ne suis plus jalouse, parce que vous êtes mes amis et votre bonheur c'est mon bonheur.
Agustin et Carolina : Tu m'aimes ?
P.d.v Lionel
Je viens de me lever de mon lit et je vais vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner avec mon père.
Lionel : Salut papa.
Dan : Salut mon fils, bien dormi ?
Lionel : Bof... je n'arrête pas de penser à Karol... et toi ?
Dan : Pareil que toi. Je n'arrête pas de penser à ce que tu m'as dis hier. Et si Carlos avait tué Carolina ?
Lionel : Ce serait terrible. Ça veut dire que Karol est un grand danger. D'ailleurs tu penses qu'elle a lu la lettre déjà ?
Dan : Peut-être. Je l'ai déposé sur la table de chevet, la veille de votre arrivée en Argentine. Si elle ne la pas lu, tu dois faire comme ci tu ne savais rien. Elle doit l'apprendre par la lettre.
Lionel : D'accord papa. Tu as ma parole.
C'est alors qu'on entendit sonner à la porte. Je pars alors ouvrir et découvre Karol et Ruggero. Karol et moi nous regardons bizarrement. Karol est ma demi-soeur, je suis son demi-frère. Je suis tellement content qu'elle soit de ma famille.
Karol : Lio...
Lionel : Karol...
Dan : Salut Karol, tu vas bien ?
Karol : Dan ! Ce n'est pas la joie et vous ?
Dan : Pareil. Bonjour Ruggero.
Ruggero : Bonjour monsieur Ferro. Dit-il en lui serrant la main.
Dan : Pitié, appelle-moi Dan.
Ruggero : D'accord Dan.
Dan : Alors Karol, quoi de neuf ?
Karol : J'ai lu la lettre de maman. Lio tu es mon...
Lionel : Ton demi-frère oui je sais. Mon père me l'a dit juste hier soir.
Je la prends dans mes bras et la serre fort.
Karol : Je t'aime fréro.
Lionel : Moi aussi je t'aime soeurette.
Karol : Tu m'en veux pas alors ?
Lionel : De quoi je pourrais t'en vouloir ?
Karol : Je t'es privé de ta mère ?
Lionel : Qui t'a dit ça ? L'unique fautif c'est Carlos d'accord ? On doit te protéger de lui. Tu risques un grand danger Karol.
Ruggero : Est-ce que Carlos est vraiment capable de la tuer ? Il est capable de tuer sa propre fille ?
Dan : On pense qu'il a tué Carolina.
Karol : Quoi ? Pourquoi vous pensez ça ?
Lionel : Je suis allée à son appartement hier pour aller chercher tes affaires. Il était saccagé, la vitre était cassé, la porte défoncée, des vases étaient cassés aussi et il y avait du sang.
Karol : Comment dans mon rêve...
Lionel : Que se passait-il dans ton rêve ?
Karol : Je vous raconte. Je me suis retrouvée dans l'appartement de ma mère. Je voyais ma mère alors je couru vers elle et la serrai dans mes bras. Je lui dis, "Maman tu es là ?" et une voix me répondis "Non ce n'est que ton imagination. Tu es dans un souvenir."Je voyais ma mère lire un livre avec sa tisane à côté. Elle devait lire un bon livre d'aventure comme elle adorait tant. Tout à coup on entendit quelqu'un frapper à la porte. Une deuxième voix se fit entendre,"Ouvrez cette porte immédiatement ou je la défonce !". Maman ne répondait pas. Elle avait peur. La porte tomba brusquement sur le palier. Maman recula d'un bond et je vis mon oncle Philippe, le frère de mon père, tout aussi méchant que lui. Il couru vers ma mère et la battait. Moi j'essayai de courir vers elle mais je ne pouvais rien faire, j'étais comme un fantôme dans ce rêve. Il la frappa de toutes ses forces puis lui jetta un vase à la figure. Ma mère tomba inconsciente. Philippe en profita pour la jeter par la fenêtre. Je couru au bord de la fenêtre. J'entendis Philippe avec son téléphone dire. "Vas-y c'est bon je l'ai jeté tu peux l'écraser !". Je regardai par la fenêtre, maman était au sol. Elle avait chuté de trente mètres de haut. Elle était inconsciente et une voiture lui passa dessus. Maman était noyée dans son sang. Du balcon je la voyais et je ne pouvais rien faire.... Raconte-t-elle en pleurant pendant que Ruggero la prend dans ses bras.
Je regarda mon père qui me regarda également. On était tous les deux choqués. Ils l'ont vraiment tuée !
Lionel : Papa ils l'ont tu...
Dan : Karol tu es en très grand danger ! Trop grand danger ! Je n'arrive pas à croire qu'il ait fait ça ! Il faut trouver un moyen de la protéger, s'il la retrouve il y a deux options, soit il l'enferme et fait d'elle son esclave, soit il la tue...
??? : Et moi je serai ravie de l'aider à retrouver sa fille !
Voilà, chapitre 10. J'espère que ça vous a plu. Suite au chapitre 11.
Que va-t-il se passer ? Aguslina ? Qui est la personne qui a parlé ?
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