Chapitre 21 - Flynt
J'observe le liquide ambré que je fais tourner dans mon verre, l'esprit complètement ailleurs. Betty s'est proposé pour m'offrir un petit spectacle, mais j'ai refusé qu'elle danse pour moi. Je n'attends qu'une personne ; Allyne.
Ce soir, elle me rejoint à l'Eden.
Je souris en songeant encore à mon ange vanillé.
Ces dernières semaines, depuis qu'on a fait l'amour, sont merveilleuses. Cela ne fait pas encore un mois, mais je n'échangerais ma place pour rien au monde.
Je ne l'ai pas poussé plus loin, partant simplement à la découverte de chaque centimètre carré de peau, de courbe – bien que je les connaisse déjà –, et au plaisir charnelle que notre fusion nous procure.
J'adore la posséder.
Je ne m'en lasse pas !
Mais il n'y a pas que ça. C'est sa compagnie aussi ; raffraichissante, apaisante, attractive.
Si je ne peux m'empêcher de la toucher, j'aime également qu'elle soit dans mes bras, qu'elle me sourit avec cette douceur qui n'appartient qu'à elle, qu'elle s'ouvre à moi. Pas seulement son cœur, mais son esprit, me racontant ce qu'elle aime, comme cet amour pour le dessin, me confiant ses soucis familiaux, la venue de son ex qu'elle ne comprend pas – et lui m'énerve vraiment énormément – ses aspirations, ses craintes. Allyne est une personne qui doute beaucoup et qui recherche sans cesse la reconnaissance de ses parents. Hélas, ils ne la voient pas comme elle est, mais plutôt comme ils aimeraient qu'elle soit. Allyne m'entends quand je lui parle, mais sa personnalité ne lui donne pas le courage d'affirmer auprès des siens ce qu'elle assure auprès de moi. Je peux le comprendre, mais je vais devoir l'aider dans ce sens. Sinon, jamais elle ne pourra s'épanouir entièrement.
Et le fait que son ex s'ajoute au tableau avec ses parents n'arrange en rien la situation. Dès qu'elle me parle quand elle la croisé, que ce soit de vive voix ou au téléphone, je le perçois. Son trouble, son angoisse son tellement perceptible !
Il semblerait que cet homme ne soit pas l'un de nos joueurs, donc pas de fiche à son nom. Mon responsable regarde donc dans nos fiches sur les clients.
J'ai un dossier pour tous, minime, mais qui assure mes arrières et ceux de mon club. Je ne suis pas paranoïaque, seulement vigilent. Personne n'entre dans mon établissement sans pièce d'identité. A partir de là, leurs noms sont inscrits sur des fiches, les dates de leurs présences, s'ils ont réservés une salle, ou demander à participer à des jeux précis, etcetera.
Pour les joueurs, c'est un peu plus poussés : coordonnées, fiche médicale, petit enquête pour m'assurer qu'ils n'ont rien commis d'irrespectueux au point de vu de la loi, s'ils ne sont pas violent ou en perte de contrôle... et encore beaucoup d'autres éléments. Je veux le meilleur pour éviter tout débordement. Chez moi, une femme ne ressort pas en larmes parce que son partenaire d'une nuit – un joueur ou dominant de mon établissement – à perdu les pédales et a fait n'importe quoi. Tout est organisé, contrôlé.
Cela fait d'ailleurs un petit moment que je n'ai plus fait de soirée à thème. Est-ce qu'Allyne y participerait ? Je me le demande...
L'objet de mes pensées se matérialise devant moi, à l'embrassure de la porte de l'alcôve. Elle me sourit, je fais de même tout en la détaillant de la tête aux pieds.
Elle est sexy et diablement attirante dans la petite robe crème de satin qu'elle porte. Celle-ci lui arrive en dessous des fesses, le décolleté est léger, mais je repère facilement qu'en dessous, elle n'a rien. Lorsqu'elle s'approche, qu'elle se penche pour m'effleurer les lèvres, d'une main posée sur ses omoplates, je constate que son dos est nu.
Plus le temps passe, plus elle est audacieuse et apprécie de porter des vêtements qui pourrait aller jusqu'à l'indécence, et j'adore ça ! Ici, en ce lieu, aucun tabou ! Elle peut être qui elle veut, porter ce qu'elle désire. Il n'y a aucune limite et je pense qu'elle l'a compris. Lorsqu'elle m'a rejoint au restaurant lundi dernier, dans cette robe cerise, avec cette partie de poitrine dévoilé, je n'avais qu'une envie, les parcourir de ma bouche, de ma langue. Même à l'extérieur, elle s'expose plus, se fait plus femme. Elle n'a plus rien à voir de la femme sage, repliée sur elle-même que j'ai rencontré la première fois et qui, sans que je comprenne vraiment pourquoi, m'a fait chavirer d'un regard. Elle est plus féminine et n'a pas peur de se dévoiler un peu. Elle s'accepte. C'était l'une des étapes de l'initiation.
A présent, elle va devoir accepter le regard des autres, même désapprobateur et ne pas changer quoi que ce soit en elle pour leur plaire ou se replier sur elle-même. Je crois que cette partie-là de sa transformation sera plus compliquée.
J'agrippe sa nuque pour pouvoir prolonger le baiser. Elle se recule, je perçois ses doigts, caresser lentement l'une de ses cuisses.
Je passe ma langue sur mes lèvres et boit une gorgée.
Bordel, elle m'excite déjà ! Il n'y a pas que moi qui lui apprends des sensations, des expériences, elle m'a décrypté aussi et sait comment jouer avec mes sens.
C'est du partage. Pour moi, ça l'est depuis le départ.
— Tu veux que je danse pour toi ? susurre-t-elle.
Elle remue déjà un peu des hanches. Je me lève et l'attire à moi avant qu'elle ne se recule davantage.
Pour ce soir, j'ai d'autres projets.
— Viens.
Ma main glisse dans la sienne et je l'attire vers la chambre attenante qui devient la nôtre, tout comme celle dans ma villa où j'adore l'y emmener, la voir évoluer ou tout simplement, me réveiller avec elle.
Je verrouille la porte, depuis le départ, je sais que ça apaise Allyne, même si personne n'entrerait ici sans mon autorisation. Encore moins quand j'y suis !
Mon personnel sait quand ils peuvent me solliciter ou non. Je m'arrange toujours avant de m'enfermer avec Allyne pour que tout soit en place et fait un dernier tour avant de m'en aller. Evidemment, pour une urgence, cela est différent, mais généralement, le moindre petit couac, ils peuvent gérer et ça n'arrive que rarement.
J'attire Allyne vers le lit, remonte mes mains dans à peine un effleurement le long de ses bras, les pose sur sa gorge et je l'embrasse avec douceur, puis je mordille sa lèvre inférieure avant de lui chuchoter :
— Mets-toi à genoux sur le lit.
Sans opposer de résistance, elle m'obéit. Est-ce qu'elle a compris que ce soir je désire m'aventurer un peu plus loin dans nos ébats et nos jeux érotique ? Je l'ignore. Dans tous les cas, elle me fait entièrement confiance et ne proteste pas lorsque je me glisse derrière elle pour lui bander les yeux. Elle frémit, mais ne dit rien, me donnant entièrement le contrôle sur ce qui va suivre, et j'adore cela.
Je frôle ses épaules, ses bras. L'une de mes mains remonte vers sa gorge lentement et mes doigts caressent sa mâchoire, ses lèvres qu'elle entrouvre légèrement. Mes lèvres effleurent le lobe de son oreille, puis mes dents. Je descends ensuite sur sa gorge où j'y glisse ma langue tandis que mes doigts se remettent à effleurer ses bras. Elle frissonne, je recule ses cheveux et embrasse son épaule droite, puis la seconde. Mes paumes s'aventurent sur ses seins, son ventre et lentement, je soulève sa robe. Elle remonte d'elle-même ses bras et je la déleste de son vêtement.
Ma main glisse dans son string pour aller titiller son clitoris ainsi que ses lèvres intimes. J'y insère un doigt entre. Elle est si chaude !
Je mordille la fine peau de sa gorge, la lèche, l'embrasse tout en remuant doucement mes doigts dans ses chairs et son bouton sensible qui pulse sous mon toucher.
Le corps d'Allyne se crispe, son ventre se contracte. Je ne m'arrête pas. Pas encore. Je veux la faire jouir très lentement. Elle pose ses mains sur ses cuisses tandis que son souffle s'altère et qu'elle respire plus fort.
Mon autre main remonte vers l'un de ses seins. Je pince son téton, le fait rouler entre mes doigts. Allyne rejette sa tête sur mon épaule et se tend davantage.
— Flynt..., gémit-elle.
Je mordille à nouveau sa gorge. Elle tremble tout contre moi, et comme je le désirais, elle jouit. Lentement. Longuement.
Je retire mes doigts et les lèches. Je me retiens de gronder de contentement sous son goût si délicieux.
Je relève ses bras pour qu'elle m'entoure la nuque, effleure ses côtes, palpe ses seins pendant que ma bouche repart sur sa gorge pour y déposer de doux baisers.
Je l'allonge ensuite sur le dos. Elle se laisse guider, me faisant toujours entièrement confiance. Je l'embrasse tendrement, étire ses bras, emprisonne ses poignets dans des sangles. Elle retient sa respiration, mais la relâche ensuite. Me démontrant par-là qu'une fois de plus, je peux faire ce que je veux, qu'elle s'en remet totalement à moi.
— Je peux faire tout ce que je veux ? demandé-je d'une voix rauque dans un murmure.
Même si je constante qu'elle m'accorde ce droit, je veux l'entendre de sa bouche.
— Oui, chuchote-t-elle.
Je souris, me redresse et me déleste de mes vêtements. Je me penche ensuite à nouveau vers elle, l'embrasse avec douceur, glisse ma langue entre ses lèvres pour aller à la recherche de la sienne.
Ma bouche descend ensuite sur ses seins que je lèche, embrasse. Je veux goûter chaque saveur de sa peau, m'en gorger à m'en donner le tournis. M'imprégner d'elle sous toutes les coutures.
Je continue mon avancée vers son ventre. J'embrasse et lèche chaque parcelle de sa peau sensuellement. J'ouvre ses cuisses qui ont le même traitement, glisse ma langue sur la dentelle de son string. Je le retire, écarte les lèvres intimes d'Allyne pour pouvoir la lécher, la goûter. Ma langue appuie sur son clitoris, mes doigts la pénètrent. Elle respire plus fort. Privée de vue et attaché, ses sens sont plus vite sollicité et développer. C'est le but.
Elle se crispe, jouit, mais je ne m'arrête pas. Je continue, lui arrachant un autre orgasme assez rapidement. Elle gémit plus fort, mes doigts la caresse tendrement, puis de plus en plus vite, lui arrachant cette fois des cris de plaisir.
Je me redresse, ouvre la table de nuit et en retire une boîte que j'ai apporté plus tôt dans la journée. J'en extrais une roulette dentelée, puis me replace entre les jambes d'Allyne où je fais glisser l'objet sur sa gorge. Elle sursaute légèrement, mais constate bien assez vite que ça ne lui fait pas mal. Je la descends sur ses seins, contourne un mamelon qui s'érige davantage. Je fais de même avec l'autre, puis le remonte vers sa gorge, ses lèvres que je caresse avec. Sa respiration s'altère à nouveau et je continue mon petit manège, la redescendant. Je la passe cette fois sur ses tétons, Allyne s'arcboute. La roulette descend sur son ventre, ses côtes.
J'ouvre ses jambes et les relève. Pendant que je la goûte à nouveau, je continue à faire rouler la roulette sur son bas-ventre, sur le haut de ses cuisses, près de son aine. Elle gémit, tremble, mais je ne me stoppe pas. Je veux pousser son plaisir beaucoup plus loin que d'habitude ce soir. Et je ne suis pas déçu lorsqu'elle jouit fortement. Je bois chaque saveur de son plaisir, glisse mes doigts dans son fourreau chaud et humide. Je les agite vite, la faisant décoller dans des cris où sa voix monte de plus en plus.
J'abandonne l'objet, me rapproche de l'orée de son sexe et la caresse de ma verge dure et palpitante qui s'humidifie de son plaisir. Je la glisse ensuite entre ses chairs, m'enfonçant profondément. Je ferme un instant les yeux, tant j'aime me retrouver enserré de ses parois.
Je remue doucement, maintenant ses jambes écartées. J'accélère le rythme, butant contre le creux de son ventre. Ses cris et mon nom murmuré dans une litanie me grille complètement le cerveau. Mes coups de reins deviennent implacables, guidé par les cris qu'Allyne pousse sans cesse. Mon pouce entre en action, je l'écrase sur son clitoris et elle jouit tandis que sa voix monte un peu plus dans les octaves. Je pousse un grognement, me crispe à mon tour et la rejoint dans la félicité.
Je me penche vers elle et scelle nos bouches dans un baiser fougueux tout en me retirant lentement de son antre. Je lui souris ensuite et la pénètre de mes doigts que j'agite fort et rapidement. A nouveau, elle pousse des cris de complaisance tandis que le plaisir la ravage une nouvelle fois.
— Flyyynnnttt ! hurle-t-elle.
Je prends à nouveau possession de sa bouche tout en lui retirant le bandeau de ses yeux. Elle cligne plusieurs fois des paupières. Je caresse son visage avec douceur. Elle me sourit paresseusement, mais je ne compte pas m'arrêter. Pas encore. J'en veux plus.
Je défais les liens autour de ses poignets, me redresse sur mes genoux et l'attire à moi pour un autre baiser langoureux. Je la retourne pour qu'elle soit dos à moi et mes mains repartent à l'aventure de ses courbes, de la moindre parcelle de sa peau. Elle frotte ses fesses contre ma queue qui durcit, réclamant à son tour davantage. Le feu de la passion parcourt nos veines. Allyne se tends, s'agrippe à mes bras tandis que mes doigts repartent à l'aventure entre ses cuisses. Je mordille le lobe de son oreille, puis sa gorge. Elle tremble plus violemment entre mes bras et glisse même une main entre nous pour venir me caresser. Elle empoigne ma queue, la fait coulisser entre ses doigts et je suis de nouveau à deux doigts de me laisser emporter par un plaisir intense qui me calcine.
Elle pousse un nouveau cri lorsque le plaisir explose en elle. Je pousse sur le creux de ses reins et lui dit d'une voix rauque :
— Penche-toi.
Elle couche son buste sur le matelas. J'agrippe ses fesses et lèche ses lèvres intimes, titille son clitoris, puis remonte vers son anus où je fais aller ma langue. La première fois que je l'ai caressé de la sorte, j'ai faillis perdre les pédales tant elle a adoré cela. Et moi aussi. J'ai gardé le contrôle, mais j'ai adoré m'y aventurer, comme à l'instant.
Allyne agrippe le drap et gémis, signe qu'effectivement, elle aime ça.
Je retourne vers ses lèvres, puis retourne vers ce muscle compact dans une lente caresse. Jamais personne ne s'y est aventuré. Je sens, je le vois.
Lorsqu'il est bien humide, doucement, j'y enfonce mon pouce. Allyne respire plus fort, pousse un léger cri. Je retire mon pouce.
— Encore ? demandé-je.
— O... oui...
Je souris, et recommence l'acte.
— Oh. Mon. Dieu, souffle-t-elle.
— Encore, bébé ? répété-je.
— Ou... oui...
Je recommence, sa voix monte un peu plus dans les octaves.
— Encore ?
— Oui ! Oh, oui !
J'enfonce mon pouce plus loin tout en glissant mes lèvres dans sa moiteur. Je me retire de son anus, embrasse ses cuisses pour revenir vers son antre. Je me colle ensuite contre son postérieur et la pénètre d'un coup. Profondément. J'empoigne ses cuisses, remue lentement, puis de plus en plus vite. Je la laboure, humidifie davantage son anus de son plaisir et y enfonce à nouveau mon pouce. Elle crie de plus en plus fort, et je la pénètre davantage dans ce trou si serré. Je crochète mon pouce à l'intérieur, le bouge lentement. Je ne veux pas lui faire mal, seulement élever son plaisir au-delà du possible. Je le retire, puis l'enfonce à nouveau, le bouge, sans cesser mes coups de reins. Elle tremble et crie de plus en plus fort. Elle s'accroche au drap et hurle plus haut lorsque l'orgasme la terrasse. A mon tour, je me tends et me déverse dans son antre tout en fermant les yeux.
Bordel ! Que c'est bon !
Lentement, je me retire. Allyne tourne sur le dos, je l'embrasse, puis m'allonge à côté d'elle et l'attire sur moi.
— Viens, chevauche-moi !
Elle grimpe sur moi. J'agrippe sa nuque et l'embrasse fougueusement. Nos bassins ondulent l'un contre l'autre, ravivant à nouveau la flamme.
Elle se redresse, je dirige ma verge à nouveau tendue entre ses cuisses et elle descend lentement dessus. Elle se mordille la lèvre inférieure tandis que je l'empli entièrement.
Guidé par mes mains sur sa taille, elle bouge doucement. Elle remue un rien plus vite d'elle-même, se cambre en arrière. Mes paumes caressent son ventre, ses seins. Mes doigts titillent ses tétons, tirent légèrement dessus. Elle prend ensuite appui sur mon torse, se penche vers moi. Je glisse une main dans sa chevelure que j'empoigne tandis que nos lèvres se soudent à nouveau et que nos langues entreprennent une danse sensuelle.
J'empoigne ses fesses, la soulève pour la redescendre entièrement sur ma queue. Elle remue plus vite, guidé par mes paumes qui retournent sur sa taille. L'une d'elle chemine entre nous pour aller agacer son clitoris. Elle se cambre une nouvelle fois en arrière sans cesser ses ondulations, m'enserrant de ses parois humides et chaudes. Elle respire plus fort, gémit tandis que ses muscles se crispent sous mes assauts qui se font plus rudes dans sa moiteur et que mon puce s'écrase davantage sur ce bouton sensible et gorgée de plaisir.
Je l'attrape par la nuque pour l'embrasser sauvagement. Mes doigts humides de son plaisir vont à la rencontre de la fente de ses fesses, taquinent son anus. Lentement, j'y glisse une phalange, la retire pour l'enfoncer ensuite entièrement. Je fais cela plusieurs fois, en ajoute une deuxième. Allyne se resserre davantage autour de ma hampe. Sa voix monte un peu plus dans les octaves. Mes coups de reins deviennent implacables tandis que je remue plus vite mes doigts dans ce trou si compact. Elle tremble de plus en plus fort. Ses yeux voilés se révulsent et un plaisir intense la secoue.
Le souffle court, elle s'affale sur moi. Je l'entoure de mes bras et la presse contre mon corps.
Bordel, elle n'a jamais jouit aussi fort ! Maintenant que je sais que ça décuple davantage son plaisir, je compte bien recommencer autant que possible. Tant qu'elle me permet cette audace.
J'inverse nos positions. Au-dessus d'elle, je l'embrasse le plus tendrement possible tout en relevant ses cuisses autour de ma taille et frotte ma queue dure contre son sexe détrempé.
— Flynt, murmure-t-elle.
Je lui souris, remonte ses jambes sur mes épaules et entre en elle. Ses parois frémissent autour de ma verge et je m'enfonce entièrement. Je remue en elle doucement, puis de plus en plus vite. Elle me caresse le torse, la nuque, glisse ses doigts dans mes cheveux. Je frémis et entreprends de plus longues poussées. Elle gémit sans cesse, m'agrippe les bras. Je m'enfonce plus puissamment encore, la percutant plus fort de l'intérieur.
Je m'allonge sur elle, la serre fort dans mes bras tandis que mes coups de reins se font plus implacables, la faisant crier de plaisir. J'embrasse sa gorge, mordille sa fine peau, la lèche. Elle tremble, se crispe et se perd dans la félicité.
Sans lui donner l'occasion de se reprendre, je la retourne. Ses jambes entre les miennes, je la pénètre à nouveau. Je remue du bassin lentement, me retire puis entre en elle en profondeur. Je mouille deux doigts dans ma bouche pour ensuite les insérer doucement dans son anus. Elle s'agrippe au drap, se crispe. J'enfonce mes phalanges un peu plus loin tout en accélérant mes coups de bassins. Ses hurlements de plaisir m'encourage à continuer, jusqu'à lui arracher un orgasme de plus.
Je la replace sur le dos, écarte ses jambes à son maximum et entre une nouvelle fois en elle. Je n'y vais pas en douceur. Je la pilonne. Plus vite. Plus fort. Je perds totalement le contrôle, guidé par ses cris, son plaisir et sa chatte frétillante autour de ma hampe qui s'enfonce en elle de plus en plus loin. Elle se tend à nouveau. Les muscles bandés à l'extrême me brûlent. J'écrase mon pouce sur son clitoris pour lui arracher un ultime orgasme. Elle tremble si violemment qu'elle m'emporte avec moi dans ce dédale de plaisir qui m'achève.
Le souffle court, je m'affale sur elle et l'embrasse. Elle m'agrippe les cheveux, je souris tout contre sa bouche.
Bordel ! Ce soir, c'était vraiment intense ! Encore plus que d'habitude ! Et il suffit que je me frotte à nouveau contre elle pour raviver cette flamme qui nous emportera en enfer.
L'enferde tous les plaisirs.
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Toujours aussi hot entre Flynt et Allyne ♥
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