C H A P I T R E 15 🍂

- Regardez Rebecca cherche qui pourrait lui venir en aide, mais, comme c'est triste, elle n'a pas d'amis.

Je m'apprêtais à partir quand une venant de la foule se fit entendre.

- Si elle en a une!

Je reconnaissais cette voix. Dites moi que ma mémoire, ne me jouait pas de tour.

Je finis par l'appercevoir. Elle s'avança et fit face aux deux mastodontes.


Merci Seigneur ! Pensais-je.

- Réctification, ajouta une autre personne qui sortit de la foule, elle en a deux!


- Je ne sais pas qui vous êtes, commença Tom, en se rapprochant d'eux, mais vous devriez nous laissez terminé ce qu'on a commencé.

- Amélie Cooper, dit-elle pour se présenter, mais je suis désolée nous allons devoir mettre fin à tout ce cirque. Dit elle sur un ton autoritaire.

- Où sinon quoi? Demanda Sam, ton petit ami va nous frapper.

- David Sanders, dit-il lui aussi pour se présenter, mais désolé je suis pas son petit ami. Et en ce qui concerne la partie se "frapper", je crois que quelqu'un d'autre s'occupera de vous donner une bonne leçon. Répondit-il.

- Oh, et qui ça ? Demanda Tom.

- Thomas Cravin et Samuel Parkson, rendez ses affaires à mademoiselle Olson et allez dans mon bureau tout de suite! S'écria madame Evans la directrice du college qui venait de faire irruption au milieu de tout ce monde.

Les deux quaterbacks s'éxécutèrent. Sam me rendit mon sac et ils s'en allèrent.

- Mademoiselle Olson, monsieur Sanders et mademoiselle Cooper s'occuperont de vous. Puis elle s'en alla.

Je ne sais pas ce qui m'avais pris, mais mon premier réflexe a été de courir et de sortir d'ici. Je ne devais pas rester plus longtemps. La situation était déjà assez génante.

Je ne pris même pas la peine de remercier Amélie et David. D'ailleurs, je me demandais bien ce qu'il faisait dans mon lycée.

***

Il était environ 19h quand je décidais enfin de rentrer. Il me fallait du temps pour me remettre de se suicide sociale. Avec ça, c'était claire que ma vie sociale serait plus invivable qu'avant. Je ne savais même pas pourquoi Tom et Sam étaient allés aussi loin? Où plutôt pourquoi Angie en avait décidé ainsi?

Je me retrouvais enfin devant la maison des Montemarr. Je montais les marches, puis j'ouvris la porte. À ma grande surprise, ils étaient tous là assis sur des chaises. Madame et monsieur Montemarr avaient l'air boulversé. Angie était en pleur. Quant à Carmen et Lucía, elle me regardait avec mépris.

Eh ben, c'était pas la joie.

- Rebecca, commença madame Montemarr, on doit parler.

Ne sâchant pas quoi dire, je désposais mon sac à terre,pris place sur une chaise vide, que je devinait être la mienne.

J'appréhendais un peu cette discusison.

- La directrice de votre lycée madame Evans, nous a appelé pour nous dire ce qui s'est passé.

Oh oh.

-Rebecca pendant des années j'ai tout fais pour te traiter comme ma propre fille et je ne cesse d'être affecter par le fait que après toutes ses années, tu ne te sens toujours pas ta place. Mais cela ne veux pas dire que tu ne dois pas nous parler de ce genre de choses.

- Rebecca, commença monsieur Montemarr, pourquoi tu ne nous a rien dis?

- Je ne sais pas. Marmonnais-je.

Honnêtement, leur parler de tout ça était inconçevable.

- Rebecca ça ne veut pas dire qu'Angie est notre fille que tu ne dois pas nous dire quand elle fait des bêtises. Surtout quand ses bêtises t'affecte toi. Si tu nous en avait parler, on aurait pu arranger les choses et Angie ne serait pas expulser de votre lycée.

J'étais abasourdie. Madame Evans avait explusé Angie du lycée. Sam et Tom avaient du la balancer. C'était sûrement à cause de ça qu'elle pleurait à chaude larmes.

- Rebecca, dit madame Montemarr, je vois à ta tête que tu es confuse et sâche que nous le sommes aussi. Sâche que nous allons trouver un nouveau lycée pour Angie et aussi nous avons trouver bon de vous séparer. Vous ne dormirez plus dans la même chambre.

- J'irais où ?

- La chambre d'amis sera ta nouvelle chambre dès demain soir, le temps pour nous de l'aménager un peu. Repondit-elle.

- Je voudrais que tu sâches, commença monsieur Montemarr, que la seule raison pour laquelle nous avons organisé cette réunion, c'est parce que nous voulons que nos trois filles te présentent leurs excuses.

J'étais vraiment très choquée. Dans la majorité des cas certains parents m'auraient fait passée pour la troublefaite, mais pas eux. Je me sentais vraiment très mal pour elles, car quand vos propres parents sont du côté de quelqu'un d'autre, ça ne doit vraiment faire mal.

- Chicas? Hablan por favor. Dit leur père.

- Nous sommes désolées Rebecca. Dirent Carmen et Lucía.

Angie n'avait, quant à elle, rien dit.

- Angelica? Incista son père.

Mais toujours rien. Elle restait figée et aucun mot ne sortit de sa bouche.

- Hija esparamos! S'impacienta son père.

Madame Montemarr allait dire quelque chose mais je l'interrompis.

- Laissez-la, s'il vous plaît. Elle le dira quand elle le voudra et même si elle ne le fait pas, ce n'est pas grave. Ce qu'elle traverse et plus horrible que ce que moi je traverse. Je vous assure que de nous deux, celle qui souffre en ce moment, c'est elle pas moi. Sur ceux, bonne nuit.

Ils n'avaient rien dit de plus et m'ont laissé partir.

Je suis montée dans notre chambre, je mis mon pygama et je partis direct dans mon lit. Plus aucun bruit ne se faisaient entendre. L'atmosphère était lourde et pesante, mais bon, ça, je connaissais.

À suivre...

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Hey hey! Comment allez-vous? Alors ce chapitre? Vous êtiez choqués j'espère? En attendant, j'espère qu'il vous a plu et que vous lirez la suite!

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Enjoy the rest of the day🍂

🎆Kiss from Isa Wey🎆

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