Chapitre 6 : J'ai était jaloux.. Trop jaloux...


A/N : Kikou mes petites loutres ! Vous allez bien ? Moi oui je suis euphorique depuis deux jours xP (un peu à cause de toi mon chat mais comme tu ne liras pas je peux faire autant d'allusions à toi que je veux xD) Bref tout ça pour dire que je vais bien ^^ Au sommaire cette semaine DE GROSSES REVELATIONS alors tenez vous au jus !

Surce, bonne lecture ! ^^

(DANS LA RUE)

LESTRADE : Bonne idée, vous venez avec la voiture de police ou en taxi ?

SHERLOCK : En taxi. (Part précipitamment puis se retourne) Vous venez ?!!

JOHN : Euh, je vais plutôt avec Greg.

LESTRADE : Ok, et toi Molly ?

MOLLY : (Jette un coup d'œil à Lestrade et John puis fixe Sherlock)

LESTRADE : (sourit) Ok, je comprends... (Pianote sur son téléphone)

(TEXTOS)

De Greg Lestrade à Sherlock Holmes : Veille sur elle, même si on la croit innocente, elle reste coupable aux yeux de la Loi ! Je te fais confiance.

De Sherlock Holmes à Greg Lestrade : Ne t'en fais pas, Graham...

SH

(DANS LA RUE)

MOLLY : Tu viens Sherlock ? (Ouvre la portière et rentre)

SHERLOCK : J'arrive ! (Entre dans le cab)

(TEXTOS)

De Greg Lestrade à Sherlock Holmes : Ok. Mais c'est Greg !

(DANS UN TAXI)

SHERLOCK : (Sourit et éteint son portable)

MOLLY : Sherlock ?

SHERLOCK : Oui ?

MOLLY : Ça remonte à quand le fait que tu ne veuille plus aimer ? Certes, tu as eu un traumatisme mais, tu es intelligent... Tu n'as pas gobé tout ce que te disait Mycroft à propos des sentiments ?

SHERLOCK : Tu connais l'histoire de Redbeard, je suppose... (Marque un temps de pause) Ca a continué, je me suis attaché à certaines personnes et plus je grandissais, plus je me rendais compte que je ne rentrais pas dans les ''normes'' de la société, j'étais le ''taré'', le ''paumé'', le ''solitaire bipolaire'' ou encore le ''psychopathe''...

Je ne pouvais rien faire, à part encaisser et souffrir.

Alors un jour, je me suis rendu compte que souffrir ne servais à rien et que les sentiments étaient un poids, plus qu'un avantage, et je me suis renfermé sur mes études.

Et, petit à petit, j'ai enfoui toutes mes émotions pour ne laisser paraitre que le soi-disant sociopathe que j'étais devenu : La ''machine à déduction''.

MOLLY : Je suis désolée Sherlock, je...je ne... (Souffle) Désolée. Excuse-moi, ça a dû être douloureux. Mais... (Sourit faiblement) On est là pour toi aujourd'hui... (Marque une pause)

Cela n'a pas été aussi compliqué pour moi, je me faisais discrète, intello. Seule. Toujours. Rasant les murs. Puis un jour, une fille m'a accostée et on est devenue meilleures amies. C'était bien, mais, (Sa voix se brise) elle est devenue possessive. Et l'enfer a commencé. Je n'avais plus le droit d'avoir d'amies autres qu'elle.

Je devais lui ressembler alors que je pouvais pas ! J'étais trop différente d'elle. Je devais acheter des choses qui ne me plaisaient pas. Elle était la dominante, et moi, la dominée.

On était plus qu'une personne. Si bien, que les profs nous appelaient ''Molly et Lola'' et pas juste Molly, ou Lola. C'était devenu très dur pour moi. Je pleurais le soir, et le jour, je faisais bonne figure...(Marque un temps et sourit)

Et puis un beau jour, quelqu'un m'a aidée et on s'est détachées.

En poursuivant ma scolarité, j'ai rencontré d'autres filles qui me ressemblaient. C'était bien. (Un sourire illumine son visage puis il disparait et laisse une Molly les yeux dans le vague)

Et dès la seconde, plus personne, plus de nouvelles. J'étais redevenue seule. (Relève les yeux et regarde Sherlock) Je suis désolée... (Soupire et baisse la tête) Je ne voulais pas raconter ma vie, mais j'en avais besoin... (Lève à nouveau le regard) ouais je sais c'est barbant...

SHERLOCK : Ne dis pas ça Molly, ta vie est intéressante, continue... (L'encourage avec un sourire)

MOLLY : J'ai continué mes études, recevant toujours des ''Intello !'' ou des ''Paumée!!!'' sur mon passage... Je suis allée en fac de médecine et c'est là où j'ai rencontré Philippe (Regard d'incompréhension de Sherlock) Anderson... Il était timide, comme moi, et je crois aussi que je lui plaisais... (Baisse les yeux et rougit) J'ai ensuite obtenu une bourse et j'ai étudié à St Bart's hôpital londonien réputé. C'est Mike qui m'a tout appris et c'est, ironie du sort, lui aussi mon patron. Je lui dois tout. Voilà la misérable et triste vie de Molly Hooper. (Lève les yeux et regarde Sherlock dans les yeux)

SHERLOCK : (regarde Molly) Tu n'es absolument pas pitoyable Molly Hooper, rappelle-toi de ce que...

MOLLY : Oui, je sais Sherlock...Je compte... Tu comptes toi aussi... Tu comptes plus que tout à mes yeux... Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée...Tu es mon ange...

SHERLOCK : Molly... Ma reine sur mon échiquier...

MOLLY : Mon Billy...

CHAUFFEUR : On est arrivés.

SHERLOCK : (Chuchotant à Molly) Il va falloir descendre. Ils vont se poser des questions sinon...

MOLLY : Tu as raison (Lui fait un bisou sur le front et sort du taxi)

SHERLOCK : (Sort après elle)

(DANS LA RUE)

JOHN : Ah ! On vous attendait... (Regarde sa montre) Sept heures ? Déjà ? Faut que j'y aille ? Je dois aller chercher Rosie à la maternelle ! A tout' Sherlock, à plus Molly et toi aussi Greg !

LESTRADE : Tchao !

MOLLY : Bye !

LESTRADE : (Tient la porte à Molly qui entre) Après toi ! (à Sherlock tout bas) Merci ! Imagine qu'elle se serait barrée, j'aurai perdu mon poste ! Merci !

(DANS ST BART'S)

SHERLOCK : (Souffle en souriant) Tu aurais été sous la protection du gouvernement... (Clin d'oeil)

LESTRADE : (idem en rougissant) Coup bas...

MOLLY : Venez, c'est par là (Entre dans son bureau)

(DANS LE BUREAU DE MOLLY)

MOLLY : (Farfouille dans un tiroir) Voilà la liste :

- Enni McCain

- Jess Black

- Rick Dramaqueen

- Lola Mont

- July Saw

A toi de jouer Sherlock ! Greg, il serait possible d'avoir les vidéos des caméras ? Merci !

LESTRADE : (Se met sur l'ordi de Molly, trouve la vidéo et la passe)

SHERLOCK : Là ! (Il fait une pause sur un homme d'une trentaine d'années avec les cheveux bruns défiant la loi de la gravité, qui porte une blouse blanche) Tu sais qui c'est ?

MOLLY : Oui, c'est Rick ! Un de mes étudiants... Très brillant, intéressant comme tout, vraiment rien à dire ! Il fera une brillante carrière ou je ne m'y connais pas !

SHERLOCK : Pourquoi ne l'as-tu pas cité avec les autres ?

MOLLY : Je l'ai fait mais tu n'as pas du écouter. Regarde, là ! (Met le doigt sur le prénom) C'est un étudiant acharné, il progresse chaque jour...

SHERLOCK : Ah... Il n'a pas eu un comportement étrange ces temps-ci ?

MOLLY : Euh... non, pas que je ne le remarque... Pourquoi ?

SHERLOCK : Il est toujours en retrait, mais quand on l'aborde, il fait un sourire hypocrite et il est un peu trop joviale... mais, il n'est pas triste pour autant, et à comment il te regarde en tripotant sa blouse, il te veut sûrement du mal.

MOLLY : Tu es sur ? Parce que moi, je l'aurai plutôt pris pour une attirance envers moi comment dire... (Marque une pause) Pas très catholique !

SHERLOCK : Je ne sais pas... Lestrade suis le sur l'enregistrement, pour voir si il a volé une seringue ou du gaz dernièrement...

LESTRADE : (S'exécute) Là !

MOLLY : Non, ne t'inquiète pas c'était pour l'exercice

LESTRADE : Ah... (Avance dans la vidéo) Mais ici c'est quoi qu'il fait avec ton gobelet de café ? Tu ne vas pas me dire que c'était un exercice ?

SHERLOCK : Tu as bu ton café et il était drogué, voilà !

MOLLY : Non, je n'y crois pas ! Il était brillant ! (Réalise) C'est pour ça qu'il m'avait demandé des précisions sur le phencyclidine !!! ( ou)

SHERLOCK : Et donc, il t'a amené ton café avec dans l'autre main une lamelle de phencyclidine ?

MOLLY : Je n'ai pas vu la lamelle, sinon je n'aurai pas bu, ou aussi parce qu'on travaille souvent avec les lamelles pour microscope elle aurait pu passer pour une expérience. Et non, il ne me l'a pas amené, parce que je l'avais posée sur une des paillasses et je l'ai repris après. (Regarde l'enregistrement) Oh ! Là j'ai reçu ton texto Sherlock !

SHERLOCK : Oui et quoi ?

MOLLY : On peut voir la suite Greg ?

LESTRADE : (Regarde Sherlock avec un regard qui dit ''Je peux ?''. Sherlock acquiesce.)

(On voit Molly boire son café puis se comporter étrangement alors que l'étudiant lui chuchote quelque chose)

SHERLOCK : Tu te rappelles ce qu'il avait dit ce garçon ?

MOLLY : Je...je crois que c'était ''La réalité est le jeu'', enfin je crois...

SHERLOCK : Oui, mais ça n'explique pas, le fait que tu ais dit que tu étais avec Moriarty et que tu devais me faire mal... John t'avais juste demandé de me faire croire que tu ne m'aimais pas !

MOLLY : Comm... ? Bref ! A vrai dire, je n'en ai aucune idée, je n'ai plus souvenir... (Met le doigt sur l'écran) Attends ! Il me chuchote un truc là !

SHERLOCK : Oui, tu as raison... Tu sais ce qu'il disait ou qui il était ?

MOLLY : Non, ma mémoire s'arrête à cet instant, la drogue à dû prendre effet...

LESTRADE : Il t'a peut-être dit un truc qui t'as fait penser à Moriarty et tu as repensé à votre liaison ?

MOLLY : C'est plausible, mais...enfin je n'aurai pas pensé à être sa femme et puis... inventé toute une histoire sur lui...

SHERLOCK : Réfléchis Molly !!! On ne peut pas rester comme ça !

MOLLY : Ne me presse pas Sherlock, mon esprit se ferme !!!!

SHERLOCK : Vas-y...mais, fait-le s'il te plait.

MOLLY : (Les images défile les étudiants partent ainsi que Molly) Tu peux avoir la vidéo de mon bureau ?

LESTRADE : Ok, si tu veux (Met la vidéo)

SHERLOCK : (Rougit fortement)

MOLLY : Tu ne veux pas Sherlock ? J'ai fait quelque chose que tu ne veux pas qu'on voit ?

SHERLOCK : Oui... Lestrade sache que Molly n'était pas dans son état normal et lance cette Pu**in de vidéo !

LESTRADE : Ok, ok, ne sois pas si vulgaire !!!!

(Plus la vidéo avance plus le visage de Molly blanchit, pâlit, en un visage d'horreur...)

MOLLY : C'est... C'est vraiment moi ??? Non ! Sherlock !!! Je...c'était quoi la feuille que tu m'as tendue ?

LESTRADE : Un des défis stupides de John, il a voulu que je fasse de faux messages... (A Molly) Tu es sûre que ça va ?

MOLLY : Je ne sais pas trop.... C'est juste tellement...pas moi...ça. Je ne comprends rien à ce qui s'est passé ! Il y avait quoi sur la copie ?

SHERLOCK : Molly calme-toi. Lestrade vient de le dire...

MOLLY : Je suis calme, mais je veux dire réellement, mot pour mot, ça pourrait nous aider !

SHERLOCK : Ce n'était que truqué mais ça donnait :

(FAUX TEXTOS)

Molly Hooper à ** : Tu crois ********* ?

** à De Molly Hooper : Oui ! Il faut le faire souffrir autant qu'il nous a fait souffrir : moi avec Moriarty et toi avec ton amour...

(DANS LE BUREAU DE MOLLY)

SHERLOCK : Et après, vous vous disiez adieu en effaçant vos messages...

MOLLY : Réellement, je ne sais pas ce que ça pourrait donner mais s'il y avait un lien quelconque avec Jim...

LESTRADE : Je suis désolé mais si on n'a pas plus de preuve qui t'innocente, je dois de te mettre en détention provisoire...

SHERLOCK : Mais Lestrade, tu sais parfaitement bien qu'elle est innocente !!!

LESTRADE : Oui, mais aux yeux de la loi, il y a toutes les preuves contre elle ! Je suis désolé.

MOLLY : Greg, ne t'en veux pas, j'aurai dû être vigilante !

SHERLOCK : Mais tu ne pouvais pas être vigilante ! Tu étais droguée !!!

MOLLY : J'aurai dû être prudente et ne pas boire mon café ! (Tend ses poignets) Je suis à toi Greg !

LESTRADE : (Embarque Molly) Je suis désolé.

MOLLY : Non, ce n'est pas toi... Sherlock, tu viendras me voir ? Ne le dit pas à John, s'il-te-plait...

SHERLOCK : (Chuchotant) Je ne lui dirais pas (Croise les doigts dans son dos)

MOLLY : Merci ! (Ils s'apprêtent à rentrer dans la voiture de police) On se revoit au procès !

SHERLOCK : (Monte dans un cab) Oui, promis, Molly Hooper !

MOLLY : (Avant que les voitures ne démarrent respectivement) Attends Sherlock !

SHERLOCK : Quoi ?

MOLLY : (S'approche de lui et l'embrasse timidement sur les lèvres) C'est pour m'aider à tenir le coup. A plus Sherlock ! (Lestrade ferme la porte sur Molly)

SHERLOCK : Mer...merci... à plus tard Molly (Rougit)

(A BAKER STREET)

JOHN : Mange !

ROSIE : Veux pas !

JOHN : Mange... (Souffle, exténué)

ROSIE : Molly !!!!

JOHN : Pourquoi tu la veux ?

(Sherlock a entendu et n'entre qu'à ce moment-là)

ROSIE : Molly est mieux ! Tonton Sherlock !

JOHN : Ah te voilà ! L'affaire...

SHERLOCK : Molly est en détention provisoire en attendant le procès (S'approche de Rosie) Elle ne veut pas manger ?

JOHN : Oui... (Se rendant compte de ce qu'a dit Sherlock) Qu'est-ce que... Quoi ? Molly est en détention ?

SHERLOCK : Oui, on n'a pas trouvé de preuve l'innocentant.

JOHN : Oh non ! Et c'est quand le procès ?

SHERLOCK : Je ne sais pas... Il faudrait que je demande à Lestrade...

JOHN : Pourquoi j'ai fait ça ? C'est allé trop loin ! Je vais me dénoncer ! Il ne faut pas que Molly paye pour ce que j'ai fait !

SHERLOCK : Non, ce n'est pas toi qui l'as droguée que l'on sache !

JOHN : Sans ma jalousie, rien ne serait arrivé !

SHERLOCK : Peut-être mais maintenant, il est trop tard et puis, ça ne servirai à rien...

JOHN : Tu vas voir que si (Dévale les escaliers)

SHERLOCK : (Criant) Pense à rosie, ne soit pas stupide !!!

JOHN : Occupe-toi d'elle ! Tu sais le faire et puis, si j'innocente Molly vous serez deux !

SHERLOCK : (A John qui est déjà parti) PU**IN John (Prend rosie dans ces bras et part au yard)

(AU YARD)

JOHN : (à l'accueil) Je pourrais m'entretenir avec le sergent Dimmock ?

HOTESSE : D'accord, veuillez me suivre

JOHN : Bonjour inspecteur ! Je peux entrer ?

DIMMOCK : Oui, asseyez-vous...

JOHN : Je...voilà c'est délicat mais... je voudrais me dénoncer.

DIMMOCK : A quel sujet ?

JOHN : L'affaire Molly Hopper : c'est moi Rick Dramaqueen, qui l'ai droguée et qui a monté ce coup pour la faire plonger. J'ai maintenant des remords et viens réparer ma faute.

DIMMOCK : Prouvez-moi que vous ne la couvrez pas (Croise les bras).

JOHN : Comment ça ?.... Je peux le prouver ! Lestrade a eu ma demande de fausses conversations et vous trouverez chez moi la drogue et les postiches que j'ai utilisés pour me déguiser. Aussi vous me verrez sur les vidéos de surveillance !

DIMMOCK : Alors, allons le voir (Sortent du bureau)

JOHN : Parfait !

(Ils entrent dans le bureau de Lestrade)

(BUREAU DE LESTRADE)

LESTRADE : John !

JOHN : (Ton poli) Lestrade. Tu peux lui donner la photocopie des messages et les copies des vidéos de surveillance ? Et va fouiller le 221b, tu y trouveras du phencyclidine et des postiches !

LESTRADE : (Comprends subitement) Mais John, c'était juste un jeu, ce n'était pas vrai, non ?

JOHN : Je n'ai pas cessé de vous l'expliquer: J'ai été jaloux... trop jaloux... ce plan foireux m'a fait comprendre une chose : on ne joue pas sur les sentiments.

LESTRADE : Mais Molly t'aurais reconnu John !

JOHN : Non c'était presque trop facile, j'ai une amie maquilleuse professionnelle... (A Dimmock) Libérez Molly... elle n'a rien fait !

(Sherlock arrive essouffler avec rosie dans les bras)

LESTRADE : Sherlock ?!! Qu'est-ce que tu fais ici ?

DIMMOCK : Oh me**e, pas lui ! (Se tape le front avec sa paume)

SHERLOCK : John, s'il te plait...

JOHN : C'est trop tard Sherlock, je n'aurai jamais dû me mêler de votre couple, désolé, je l'ai mérité...

SHERLOCK : Mais BO**EL ! Tu ne vas pas te jeter en prison pour un simple jeu ! Un PU**IN de jeu !

JOHN : Non, pas un simple jeu, c'est The Game ! C'était de la part de Moriarty...

LESTRADE : Attendez ! Il est vivant alors ?

JOHN : Je n'en sais rien, mais, il m'a laissé des indications. Si je ne le faisais pas, un certain Moran s'en prendrait à Rosie ! Je suis véritablement désolé ! (Contre toute attente, il s'effondre par terre et pleure de tout son saoul)

SHERLOCK : John ! Ne pleure pas, on va retrouver Rosie...

JOHN : Il va tuer Rosie ! Il sait que je vous ai tout raconté !!! Regarde... (Pointe un bouton de chemise avec son doigt) C'est un micro. Tu vois, il le sait.

SHERLOCK : Mais pourquoi, nous l'avoir caché ? Tu aurais pu nous informer par un autre moyen de communication !!!!

JOHN : J'avais peur Sherlock !!!! Oui, j'ai peur !!!

(Un officier rentre dans la pièce)

OFFICIER : Inspecteurs, on signale un incendie.

LESTRADE : Où ?

OFFICIER : (Regarde Sherlock et John) Euh...

JOHN : (Comprend) A Baker Street ?!! (Prend le micro-bouton et l'écrase sous sa semelle) Sherlock, il a sûrement cru que Rosie était restée là-bas !!! Et il a incendié l'appart dans le but de la tuer !!!

OFFICIER : C'est exact, au 221, précisément...

LESTRADE : Mais qu'est-ce que vous attendez ?!! Allez-y !!!

OFFICIER : On attendait vos ordres (dans un talkie-walkie) Je demande une patrouille au 221 Baker Street, tout de suite.

JOHN : Oh mon dieu ! Ma chérie, donne-la-moi Sherlock ! A toi de jouer maintenant ! C'est à toi de nous sauver tous les trois, comme d'habitude... (A Dimmock) Libérez Molly, maintenant !

SHERLOCK : (Lui tend Rosie qui se réfugie dans les bras de son père) Je ne peux rien faire John...

JOHN : Si ! Fais comme toujours : attrapes le ''Méchant'' !

SHERLOCK : j'ai besoin de toi... Je... J'ai besoin d'un assistant...

JOHN : Un assistant ?

DIMMOCK : Bon ! Votre scène cucul-la-praline gardez-la pour vous, vous n'êtes pas obliger de vous montrer en spectacle ! Lestrade, on peut libérer cette Hooper ou pas ?

LESTRADE : On n'a rien contre elle qui nous permette de la garder et vu que les deux concernés ont retirés leurs plaintes...

DIMMOCK : Bien, je vais la relâcher alors ! Occupez-vous de ce couple !

JOHN : Nous ne sommes pas en couple !

SHERLOCK : Bref, tu viens ou pas ?

JOHN : Où ?

SHERLOCK : A notre domicile en train de partir en fumée, idiot ! (Sort)

JOHN : Oh ! (Rougit de honte) Pardon ! (Suit Sherlock en courant)

(Rosie commence à pleurer)

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