Chapitre 47 : (nous)avons jugé Mr William Sherlock Scott Holmes ici présent C..

SHERLOCK : (essaye de se relever mais ses pieds sont aussi attachés)

(Pour rajouter encore du déplaisir dans sa situation, Dimmock sort du bâtiment et l'aperçoit, il sourit d'un sourire malsain)

DIMMOCK : (s'approchant) je commençais à désespérer de ne jamais vous mettre sous clef... (le soulève un peu brutalement)

SHERLOCK : bonjour sergent Dimmock (le détaille de bas en haut) vous avez perdu un peu de poids, vous avez stressé en mon absence ?

DIMMOCK : non... (sourit) j'ai fait un peu d'exercice... depuis que vous et cet incompétent n'êtes plus là, j'ai hérité de toutes les affaires... (dans son talkie-walkie) Jeoffrey vient voir ce que j'ai la...

SHERLOCK : vous faites du terrain maintenant ? Intéressant, je ne savais pas que vous saviez comment utiliser une arme à feu vu le niveau de votre QI...

DIMMOCK : très fine comme remarque... mais contrairement à vous, je ne suis pas accusé de meurtre... (l'homme qu'il a appelé arrive, et à deux, ils transportent Sherlock dans une salle d'interrogatoire)

(Il est installé à une chaise où il est menotté. Les deux s'en vont laissant place à une femme austère. Costume gris, chignon strict et paire de lunettes)

FEMME : (pose ses mains un peu violemment sur la table et d'un ton qui se veut mielleux) Bon Mr Holmes c'est à nous...

SHERLOCK : (soupire) arrêtez de jouer et prenez un ton normal je vous prie...

FEMME : bien ça nous évitera de perdre du temps... (balance un dossier assez conséquent sur la table) je suppose que vous savez pourquoi vous êtes là ?

SHERLOCK : je suppose que ce n'est pas pour une contravention, mais dites-moi de quoi je suis accusé de la façon la plus détaillée possible, que je puisse me défendre plus tard...

FEMME : (rire sinistre) vous croyez réellement pouvoir vous défendre ? Non mais sérieusement ? On en aurait pour la nuit de tout énumérer...

SHERLOCK : j'ai tout mon temps...

FEMME : vous voulez jouer à ça ? On va être deux alors... Violation de propriétés, de bâtiment publics et législatifs, vol de cadavres, de cartes de forces de l'ordre, soudoiement illicite de forces de l'ordre, de sans domicile fixe, consommation et avoir de substances illicites, enlèvement, meurtres, tentatives de meurtres, fugue, de quoi faire un bon dossier... (sourit méchamment)

SHERLOCK : (ne se laissant pas impressionner) pour combien de ces délits avez-vous des preuves ?

FEMME : pour tous... en vérité, le Sergent Donovan, et moi-même, avons été surprises de voir combien il y en avait... on s'est même demandé si vous l'aviez fait exprès... mais bon... (S'assoit face à lui et sort une calculatrice) si je compte toutes vos infractions vous êtes déjà à 71 ans de prison dont 50 de réclusion criminelle... et aussi à environ 260 000 € mais en ne comptant qu'une seule fois chacune même si je doute que vous n'ayez volé qu'une fois ou tué une fois et je compte pas les dommages et intérêt qui feront sans aucun doutes gonfler la note... donc ça nous fait un bon dossier... reconnaissez-vous les avoir commis ?

SHERLOCK : je nie le meurtre mais je reconnais mes fautes pour le reste...

FEMME : oh plus que deux je dirai...

SHERLOCK : vous m'accusez de combien d'homicide ?

FEMME : trois : sur la personne de James Moriarty, Charles Augustus Magnussen et un conducteur de taxi...

SHERLOCK : et combien de preuves avez-vous ?

FEMME : Pour Mr Moriarty nous avons des empreintes, pour Mr Magnussen les comptes rendus de la balistique et pour le chauffeur, un témoignage...

SHERLOCK : où avez-vous trouver des empreintes ?

FEMME : sur les armes et sur les corps aussi...

SHERLOCK : est-ce que je pourrais voir le corps, ou il a déjà été incinéré ou enterré ?

FEMME : je crains que non...

SHERLOCK : pourquoi ?

FEMME : peut-être que vous êtes suspect et qu'ils sont tous les trois à six pieds sous terre... en revanche (ouvre le dossier) il y a les photos prises par les légistes...

SHERLOCK : je peux les voir ?

FEMME : (lui montre)

SHERLOCK : il a été frappé après sa mort.

FEMME : et alors ?

SHERLOCK : quelqu'un d'autre que moi lui en voulait...

FEMME : et qu'est-ce que ça change ?

SHERLOCK : à moi de vous poser une question : combien de personnes lui en voulaient ?

FEMME : un criminel de sa trempe doit en avoir beaucoup...

SHERLOCK : combien selon vous ? 100, 200, 1000 ?

FEMME : hum... je dirai beaucoup plus... (puis un ton ferme) à quoi ça rime ?!! Qu'est-ce que c'est toutes ces questions ?!!

SHERLOCK : il n'aurait pas vécu 6 mois de plus.

FEMME : est-ce une raison de le cribler de trois balles ?

SHERLOCK : je ne lui en ai tiré qu'une, dans la tête et il est mort sur le coup.

FEMME : hum... intéressant... si ce n'est pas vous qui avait tiré dans son abdomen et son épaule c'est donc cette jeune femme... hum... Molly Hooper... qui s'en ait sûrement chargé.

SHERLOCK : Molly était a l'étage quand j'ai tiré, elle n'a jamais eu l'arme entre les mains.

FEMME : (voix suave) alors qui ?

SHERLOCK : un ennemi.

FEMME : hum... sûrement... bien je vais vous laissez entre de bonnes mains... (sort laissant place à Dimmock et Jeoffrey qui le prennent et le jettent dans une cellule)

SHERLOCK : (chuchote) génial... (plus fort) je peux au moins passer un coup de fil ?

DIMMOCK : (d'un ton agressif mais plutôt content) je ne vous ferai pas ce plaisir...

SHERLOCK : c'est dans mes droits !

DIMMOCK : dites-vous ?

SHERLOCK : (soupire) passez-moi un téléphone qu'on en finisse...

DIMMOCK : votre mère vous a-t-elle bien éduqué ?

SHERLOCK : (rit) vous voulez que je vous supplie ?

DIMMOCK : une supplication est de trop... une simple demande n'est pas de refus... (sourit malgré lui)

SHERLOCK : (prenant une voix nasillarde) est ce que je pourrais avoir accès a un téléphone, s'il vous plait Dimmock ?

DIMMOCK : c'est déjà mieux... (lui tend) c'était de bonne guerre...

SHERLOCK : (le prend) depuis quand est-ce que c'est une bataille ?

DIMMOCK : Hum... depuis Van Coon je dirai...

SHERLOCK : beaucoup de personne ne m'aiment pas, certaines me détestent mais je n'ai jamais vu quelqu'un aussi rancunier que vous...

DIMMOCK : je n'aime pas qu'on me traite de moins que rien... (esquisse un sourire) et puis j'aime bien guerroyer avec vous... (part)

SHERLOCK : (criant pendant que Dimmock part) ce n'est pas une guerre si vous ne me donnez aucune arme !

DIMMOCK : (idem) votre tact en est une !

SHERLOCK : (soupire et compose un numéro)

Tollard : dis... si t'appelle personne tu me le passe ?

SHERLOCK : (lui tend) vas-y, je n'aurais personne à qui téléphoner...

Tollard : merci... (appelle sûrement sa femme)

(Après un conciliabule qui exaspéra Sherlock, il raccroche et lui rend)

Tollard : dis pourquoi t'es là toi ?

SHERLOCK : meurtre d'un meurtrier et toi ?

Tollard : ouh t'es un justicier toi... (rire effrayant) tueur en série...

SHERLOCK : (pas du tout effrayé) comment on t'appelait dans les journaux ?

Tollard : je n'avais pas d'nom il disait qu'c'était pas lié... (rit)

SHERLOCK : comment tu t'y prenais ?

Tollard : oh, on arrête de parler boulot...

SHERLOCK : ce n'est pas mon travail.

Tollard : ouais mais j'préfère ne plus en parler... au cas où je sorte de c'trou...

SHERLOCK : ça m'étonnerait...

Tollard : l'espoir fait vivre comme on dit... même si la vie fait désespérer...

SHERLOCK : un pessimiste, intéressant...

Tollard : et toi ?

SHERLOCK : quoi moi ?

Tollard : t'es comment ?

SHERLOCK : scientifique, j'énonce les faits, ce n'est ni optimiste ni pessimiste.

Tollard : ouais un puceau quoi...

SHERLOCK : je ne vois pas en quoi ma façon de voir les choses impacte ma vie sexuelle...

Tollard : les femmes, elles n'aiment pas les têtes d'intello comme toi...

SHERLOCK : elles n'aiment pas non plus les tueurs en série à ce que je sache...

Tollard : (rit) t'es un p'tit rigolo toi !

SHERLOCK : si tu le dis...

(il s'apprête à répondre mais la femme stricte de tout à l'heure revient)

FEMME : Mr William Sherlock Scott Holmes vous êtes prié de vous rendre au palais de justice de la Grande Instance de Londres...

(deux policiers, une femme et un homme, l'embarque)

FEMME :... pour y être jugé et condamné.

SHERLOCK : (se laisse faire sans rien dire)

~après un petit trajet en voiture ~

(il l'introduise dans la salle du tribunal)

DIMMOCK : vous voulez un avocat ?

SHERLOCK : s'il est compétant, oui.

DIMMOCK : vous aurez un commis d'office alors...

SHERLOCK : (soupire) c'est mieux que rien...

(un jeune arrive et s'assoit à côté de Sherlock)

SHERLOCK : tu ne sais absolument pas quoi faire n'est-ce pas ?

COMMIS D'OFFICE : (chuchote) je débute... mais je sais défendre... même si là, tout vous accuse je ferais de mon mieux...

SHERLOCK : merci...

(après le long monologue du procureur, il passe la main à l'opposition)

SHERLOCK : allez-y, vous avez déjà du lire mon dossier

COMMIS D'OFFICE : comme tout le monde oui...

SHERLOCK : que comptez-vous dire pour ma défense ?

COMMIS D'OFFICE : Des choses véridiques à votre encontre...

PROCUREUR : maître Chaunticleer c'est à vous...

COMMIS D'OFFICE : mon client est accusé de beaucoup de choses, certes, mais n'a-t-il pas aider la police ?

Défense : objection votre honneur !

PROCUREUR : objection accordée...

Défense : il ne l'a pas aidée mais soudoyée pour aller faire je ne sais quoi...

COMMIS D'OFFICE : il n'y a jamais eu de corruption avec mon client ! Comme je disais il l'a aidée à de nombreuses reprises ! Pour arrêter grand monde ! Ce sont des vies sauvées vous dis-je !

SHERLOCK : (chuchote) continuez chaunticleer...

Défense : est-ce une raison pour en contrepartie en faucher trois ?

COMMIS D'OFFICE : n'est-ce pas trois personnages de la criminalité ? L'un faisait chanter la moitié du gouvernement, un autre menaçait la sécurité de tout l'Angleterre, et le dernier n'était autre qu'un tueur en série ! La seule façon dont mon client a pu y remédier était de les tuer d'une balle. Rapide. Simple. Efficace. Propre. Et sans douleur. C'est ce qu'il y avait de mieux !

SHERLOCK : (se lève) est ce que je peux prendre la parole ?

PROCUREUR : hum... on vous écoute...

SHERLOCK : (se tourne vers le reste de l'assistance) j'ai remarqué que plusieurs personnes avaient réagi à l'évocation de Magnussen, puis-je savoir combien d'entre vous a-t-il fait chanter ?

PROCUREUR : ceci n'est pas dans l'affaire et ne vous regarde aucunement...

COMMIS D'OFFICE : (chuchote) asseyez-vous...

SHERLOCK : (se rassoie à contre-cœur)

COMMIS D'OFFICE : Mon client a eu un comportement tout à fait normal... En effet, n'auriez-vous pas, à sa place, tenter, vous aussi, de sauver la femme de votre meilleur ami ou votre compagne ?

Défense : cet homme n'est pas humain et il le clame haut et fort !

COMMIS D'OFFICE : il n'y a pas eu de test clinique !

Défense : ça n'empêche ! Son entourage...

COMMIS D'OFFICE : (le coupe) qui ? Vous pourchassez sans vergogne la totalité de son entourage !

SHERLOCK : (chuchote) il devrait plutôt partir à la recherche de Rosie...

COMMIS D'OFFICE : mais il y a une personne que vous n'avez pas pris en compte !

Défense : qui ?

COMMIS D'OFFICE : Rosamund Mary Watson. Cette petite fille a été enlevé par un malfrat du nom de Sébastian Moran qui se trouve être l'ex homme de main et compagnon de James Moriarty !

PROCUREUR : elle ne fait pas partie de l'affaire !

COMMIS D'OFFICE : bien sûr que si !

PROCUREUR : Je pense suspendre la séance en attendant le verdict final... (tape) séance levée.

(un agent de police vient chercher Sherlock et l'emmène hors de la salle le Commis d'Office les suit)

COMMIS D'OFFICE : je suis véritablement désolé de ne pas pouvoir vous défendre mieux que ça...

SHERLOCK : ne vous sous estimez pas Chaunticleer, je n'aurais pas pu avoir une meilleure défense...

COMMIS D'OFFICE : (rougit en souriant) merci vous me flatter...

SHERLOCK : vous êtes talentueux, vous irez loin. Depuis quand avez-vous fini vos études ?

COMMIS D'OFFICE : merci... en vérité environ deux semaines... et pour ne pas vous mentir vous êtes ma première affaire...

SHERLOCK : où irez-vous après ?

COMMIS D'OFFICE : (rire gêné) je n'en sais absolument rien !

SHERLOCK : on ne vous a fait aucune offre ? Aucune proposition d'emploi ?

COMMIS D'OFFICE : (baisse les yeux) pensez-vous ! Qui voudrait de moi !

SHERLOCK : vous vous sous estimez tellement que c'en est affligeant...

COMMIS D'OFFICE : (rit) Je croirais entendre mon père !

SHERLOCK : il vous a forcé à faire ces études. Quel était votre première vocation ?

COMMIS D'OFFICE : oh... euh... mais finalement j'aime bien ça le droit... mais c'est vrai que j'aurai voulu être architecte... Comment avez-vous su pour mon père ?

SHERLOCK : vous ne l'appréciez pas énormément mais il semble exercer une sorte de soumission sur vous : vous lui en voulez pour quelque chose en rapport avec votre vie actuelle mais avez obéi à ces ordres... pourquoi vouliez-vous devenir architecte ?

COMMIS D'OFFICE : (marque un long temps de pause, surpris, puis répond) vous... vous... oh mais comment ? Eh bien, j'aime bien les structures, le dessin enfin des choses comme ça...

SHERLOCK : vous ne dessinez pas beaucoup pourtant, en tout cas vos poignets et vos mains ne le montres pas...

COMMIS D'OFFICE : j'apprends... je ne dessine pas beaucoup...

(une secrétaire vient)

SECRETAIRE : messieurs la séance est réouverte...

(Sherlock et le Commis d'office se redirige vers la salle)

PROCUREUR : (tape) la séance est réouverte... le jury et moi-même, avons jugé Mr William Sherlock Scott Holmes ici présent C...

(la porte s'ouvre brutalement)

MOLLY : (en larmes et essoufflée) SHERLOCK !

PROCUREUR : veuillez faire sortir cette femme, s'il vous plait...

MOLLY : (court jusqu'à Sherlock et lui prends les mains)

Reine : (rentre elle aussi) non je ne crois pas que cette femme doit sortir...

MOLLY : (met sa tête dans son cou et chuchote) j'ai eu tellement peur de ne pas pouvoir te sauver...

PROCUREUR : Majesté ? Qu'est-ce que tout ceci ?

Reine : je pense pouvoir adressez ma grâce à des personnes qui le mérite... (lui tend une feuille où des noms sont écrits)

PROCUREUR : (éberluée) je... il est gracié... (abat sont marteau) la séance est fermée...

SHERLOCK : (se tourne vers la reine, surpris) merci... votre majesté

Reine : (sourit) vous avez fait bien plus pour notre pays que n'importe qui dans cette salle... tout travail mérite salaire... Et je n'oublie pas que vous et votre famille nous ont sauvé moi et ma fille de ces mécréants, aujourd'hui encore, je vous dois la vie sauve...

MOLLY : (chuchote les larmes aux yeux) tu... tu vas bien ?

SHERLOCK : (chuchote) oui et toi ?

MOLLY : (idem) oui... j'ai eu si peur pour toi... (petit à petit la salle se vide dans un brouhaha constant, laissant Sherlock, Molly et la reine)

SHERLOCK : (idem) maintenant c'est terminé...

MOLLY : oui... oui... (se détache de lui) je ne sais pas comment je pourrais vous remercier majesté...

Reine : (sourit) c'est moi qui vous dois une fière chandelle j'y serais encore si vous n'aviez pas était d'une astucieuse ingéniosité...

MOLLY : (baisse la tête et rougit) je n'ai rien fait... je... je puis vous l'assurer...

SHERLOCK : pourquoi tu n'as pas voulu que je vienne avec toi ?

MOLLY : (sourire triste) tu n'as pas compris alors... je ne suis pas partie de mon plein gré...

SHERLOCK : tu t'es quand même retrouvée à secourir la reine...

Reine : triste hasard je puis vous l'assurer Monsieur Holmes...

SHERLOCK : qu'est-ce qu'il s'est passé ?

MOLLY : on s'est retrouvés tous au même endroit au même moment... les autres sont à l'hôpital... mais nous, Sa majesté et moi, avons pu nous échapper sans grande difficulté... on va pouvoir enfin reprendre nos vies normalement... (sourit)

SHERLOCK : (idem) enfin... (déchante) et Rosie ?

MOLLY : (déchante aussi) il faut lancer un avis de recherche...

SHERLOCK : dès qu'on rentrera...

Reine : bien... ce n'est pas que votre compagnie me dérange mais il faut que reprenne mes fonctions...

MOLLY : oui, oui, majesté... mille fois merci... (s'agenouille)

SHERLOCK : (s'agenouille aussi)

Reine : relevez-vous...

(ils s'exécutent)

Reine : j'espère que vous vivrez une belle et longue vie...

MOLLY : merci encore...

Reine : (sourit) de rien... (part)

MOLLY : (saute dans les bras de Sherlock)

SHERLOCK : (surpris au début puis se radoucit) toi aussi tu m'as manquée...

MOLLY : j'ai cru que je ne te verrais plus jamais...

SHERLOCK : tu te trompais...

MOLLY : je sais et heureusement d'ailleurs...

SHERLOCK : (sourit et lui prend la main) on rentre ?

MOLLY : (idem) oui...

(ils quittent le bâtiments mais les journalistes les attendent)

SHERLOCK : (hèle difficilement un taxi)

MOLLY : (s'accrochant à lui comme un bébé koala) complètement fous ces journalistes !

(Ils finissent par en trouver un et à y rentrer)

SHERLOCK : on ne peut pas aller chez toi, il y en aura encore plus...

MOLLY : à Baker Street ?

SHERLOCK : pareil...

MOLLY : c'est peut-être le moment d'aller squatter chez Mycroft...

SHERLOCK : (sourit) ça fera beaucoup pour le chauffeur...

MOLLY : et où veux-tu qu'on aille ?

SHERLOCK : aucune idée...

MOLLY : (soupire) tant que je suis avec toi je suis prête à affronter vents et marées...

CHAUFFEUR : où va-t-on alors ?

SHERLOCK : Chapel Side ! (à Molly) Toby ne doit plus avoir assez de croquettes...

MOLLY : J'ai une autre idée (donne une adresse)

SHERLOCK : ou c'est ?

MOLLY : (sourit malicieusement) tu verras...

(après un temps ils arrivent devant une maisonnette)

MOLLY : (paye) viens... (toque à la porte. Lorsque que le propriétaire eut ouvrit la porte Molly lui donna un coup de poing qui le fit saigner) 

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