Chapitre 39 : on les a.... con... conduit à la potence...
-plus tard-
(Sherlock et Molly sont attaché dos a dos)
MOLLY : (se réveille et chuchote) Sherlock ? (essaye de se libérer en vain)
SHERLOCK : ça ne sert à rien, j'ai déjà essayé... (plus fort pour que Sebastian l'entende) Elle est réveillée ! Maintenant dis-nous ce que tu attends de nous !
(Moran apparaît sur les écrans qui s'affichent devant Molly et Sherlock)
MORAN : bien ! Vous devez avoir mille questions... (pose sa tête nonchalamment sur sa main)
MOLLY : oui ! Pourquoi...
MORAN : (la coupe) j'ai dit que vous n'en aviez pas que j'y répondrai...
SHERLOCK : (soupire) viens en aux faits...
MORAN : auxquels ?
SHERLOCK : pourquoi tu es venu nous enlever ? Si c'était pour te venger de la mort de Moriarty tu nous aurais déjà tués ou au moins torturés, et si c'était pour ma sœur tu aurais déjà commencé à nous poser des questions alors dis-nous pourquoi, qu'on en finisse au plus vite...
MORAN : oh ! Pour venger Jim, il vous fallait au première loges... J'ai déjà pris les mesures nécessaires concernant vos familles et vos amis...
MOLLY : je n'ai pas de famille !
MORAN : votre frère...
MOLLY : qu'est-ce que vous leur avez fait ?!!
MORAN : ceci... (des images défilent avec Enola, Kylian, Mrs Hudson, John [...] sous différentes tortures) Alors vous voyez ?
MOLLY : (détourne le regard mais ne peut empêcher ses larmes de couler)
SHERLOCK : (toujours dos a Molly, il essaye de prendre sa main pour la réconforter mais parle à Moran) où est Rosamund ? Ce n'est qu'une enfant !
MORAN : oh elle je la formerai elle a de l'avenir dans le métier !
MOLLY : (cherche la main de Sherlock, la trouve, la serre très fort) VOUS ÊTES UN MONSTRE !!!
MORAN : (faussement choqué) tu penses sérieusement ce que tu dis ? Je t'ai aidé à aller mieux quand tu n'étais pas bien...
SHERLOCK : que voulez-vous en échange d'elle ?
MORAN : rien du tout... (sourire carnassier) je ne vous la rendrais pas ! Vous m'avez pris James, Sherlock, je vous prends votre filleule ! Estimez-vous heureux que je ne prenne pas aussi votre enfant ! (Coupe et les images reviennent)
MOLLY : (cri de désespoir) NOOOOOOOOON !
SHERLOCK : vous savez que je ne vous laisserai pas faire, je me battrais !
MOLLY : (pleure en silence) elle... elle... avait raison... en... en... les recherchant... on les a.... con... conduit à la potence...
SHERLOCK : non, c'est faux et tu le sais. Arrête de pleurer...
MORAN : sortez les violons ! vous me donnez envie de vomir...
MOLLY : Relâché-les ! Ils n'ont rien fait !
MORAN : Hum... attends... (fait semblant de réfléchir) maintenant que tu le dis... Mais non je plaisante : bien sûr qu'ils ont tous fait quelque chose ! Vous tous avez orchestré sa mort !
MOLLY : (résignée) j'ai orchestré la mort d'un homme... je suis complice et même une des auteurs...
MORAN : c'est tout ce que je voulais entendre...
(Bande son où on réentend Molly)
MORAN : ça part pour Scotland Yard !
MOLLY : qu'est-ce que vous allez faire ?!!
MORAN : vous avez digne la fin de votre monde... Toutes vos manigances vont éclater au grand jour tandis que les miennes seront oubliées ! C'en est fini du petit monde de Sherlock Holmes, de sa gentille et naïve amie Molly Hooper ainsi que leurs gentils petit camarades ! Tic toc... La pendule s'est arrêtée, c'est la fin !
SHERLOCK : vous êtes dans les archives du yard et avez un long casier judiciaire à ce que je sache, si vous mettiez un pied au yard, vous seriez directement éjecté en prison ! Et pareil si vous envoyez l'enregistrement par mail, il faudra plus de preuves que ça...
MORAN : pourquoi moi ? Quand on peut le confier à Anderson ? Et j'ai toutes les preuves du monde ! Mycroft vous surveillé non-stop et les caméras vous ont filmé... et c'est bête il n'a pas supprimé les enregistrements ! Je pense que l'inspecteur Dimmock se fera une joie de prendre l'enquête !
SHERLOCK : vous avez attendu l'aveu de Molly pour nous dire ça, vous mentez : Vous n'avez pas accès aux vidéos n'est-ce pas ?
MORAN : vous croyez que je mens ? Regarder vous-même... (les vidéos qui apparaissent sont astucieusement truquées comme pour celle de Magnussen mais aux yeux des non-témoins elles paraissent vraies) Les vidéos parlent d'elles-mêmes...
MOLLY : c'est horrible de perdre un être cher...
MORAN : qu'en savez-vous ? Votre frère est vivant !
MOLLY : mon frère oui, mais mes deux meilleures amies sont mortes... l'une à mes 15 ans, l'autre l'année dernière... j'ai perdu mes parents il y a six, et ma grande mère il y a à peine deux semaines... et de par votre faute, je vais perdre des amis, une belle-famille, mon frère, ma filleule, et l'homme que j'ai toujours aimé... alors si je sais ce que ça fait...
MORAN : et vous vous attendez à quoi ? Que je vous plaigne ?
MOLLY : non que je vous aide... Je ne me plains pas et n'ai pas besoin qu'on me plaigne... je veux juste aider les autres comme vous maintenant.
MORAN : est-ce que j'ai l'air d'être en détresse ? Je ne cherche pas d 'aide !
MOLLY : inconsciemment si... votre veine de la tempe palpite, vous êtes sur les nerfs et bouleversé, vous déchaînez votre vengeance sur ceux que vous croyez être les auteurs du crime... mais ouvrez les yeux, ce n'est nous pas eux... Vous êtes en détresse émotionnelle même si votre égo la met en veille... Une seule conclusion : vous avez besoin d'aide...
MORAN : et même si vous aviez raison vous croyez quoi ? Que je vais les libérer en implorant leur pardon ?
MOLLY : (voix calme) que vous arrêtiez tout votre petit manège... je vous jure ça ne vous aidera pas à aller mieux...
MORAN : ça ne m'aidera pas à aller mieux mais au moins je l'aurais vengé !
MOLLY : à quoi ça vous sert de le venger puisqu'il ne reviendra pas ?
MORAN : à quoi ça vous sert de me parler alors que vous savez très bien que votre vie actuelle est finie ?
MOLLY : (soupire) vous avez raison... tuez-nous comme ça ce sera fait... vous jubilerez un temps puis après la magie aura disparue...
MORAN : je vous ai dit que je ne voulais pas vous tuer, ce serait trop simple et trop court, ce ne serait pas à la hauteur de mon Jimmy...
MOLLY : alors quoi ? (du gaz s'échappe des parois de la pièce)
MORIARTY : (apparaît devant Molly et Sherlock) tu te rappelles du gaz de Baskerville Sherlock ? Bye !
(On entend un coup de feu mais le couple, à cause du gaz, voit sa moitié morte à ses pieds, tous les deux s'élancent mais la dureté des liens ''réveille'' Sherlock mais pas Molly)
MOLLY : non ! Sherlock ! Sherlock ! (les larmes recommencent à couler)
SHERLOCK : Molly, je suis là ! C'est faux !
(Plus de gaz sort et Sherlock lutte pour ne pas sombrer, quant à Molly, elle revoit ses démons de vie d'enfant et d'adulte)
MOLLY : (chuchotant) reste avec moi, Sherlock... s'il te plait, ne meure pas... je t'en supplie...
SHERLOCK : (agrippe la main de Molly mais se revoit sur le toit de st Bart)
MORIARTY : bonjour Sherlock ! Prêt à faire le saut de l'ange sans parachute ? Pour te donner un peu de courage et réparer ma grosse bêtise... (Molly apparaît et il la pousse du toit... il entend son cri déchirant)
MOLLY : (toutes les personnes qu'elles aiment la décrédibilise) ce n'est pas vrai ! Allez-vous en ! Je ne suis pas différente !!!
SHERLOCK : Molly ! Ce n'est pas vrai, oui ! Ce ne sont que des cauchemars, il suffit juste que tu trouves comment te réveiller !
MOLLY : Sherlock ne t'y met pas aussi !!! Pourquoi tu me dis ça ? Tu ne m'aimes plus c'est ça ? Je n'étais qu'une expérience ?
(Un silence)
MOLLY : tu n'es qu'un salopard ! Tu es arrogant et tu mérites de mourir ! J'attends avec impatience que tu arrives dans mes services pour que je puisse me moquer de toi !
SHERLOCK : (même s'il sait que ce n'est pas vrai, est blessé de ces paroles. Il resombre mais cette fois Molly est en face de lui dans la robe jaune du mariage de John et Mary)
MOLLY : (sourire faux) hum... regarde-moi... pauvre fille, seule et triste, une fille à qui tu n'as jamais adressé la parole... à réussi à briser tes barrières de glace, tu es un faible Sherlock, un faible ! Tu es impuissant face aux sentiments et tu y succombes... et voilà que moi, Molly Hooper, réussit à te mettre la main au collet et à te diriger au doigt et à l'œil... tu es tombé bien bas...
SHERLOCK : et tu n'es pas Molly, les détails ne concordent pas, tu ne t'es jamais tenue comme ça et tes yeux ne sont pas verts à ce que je sache...
MOLLY : (avec la voix de Jim) bye ! Scotland yard va arriver ici dans très peu de temps...
SHERLOCK : (émergeant) Molly ?
MOLLY : (s'étant finalement endormie contre lui se réveille lorsqu'il bougea) C'est... c'est vraiment toi ?
SHERLOCK : oui... tu vas bien ? Psychologiquement je veux dire...
MOLLY : te dire oui serait te mentir... je ne sais plus où j'en suis et où était la réalité...
SHERLOCK : tu vois encore des choses ?
MOLLY : oui... et toi comment tu te sens ?
SHERLOCK : je suis un junkie je te rappelle, j'ai déjà eu pire...
MOLLY : en te droguant tu ne voyais que ce que tu voulais voir... pas là... là on ta forcé...
SHERLOCK : ça reste quand même mon subconscient...
MOLLY : (soupire) il est parti ? On va sortir d'ici comment ?
SHERLOCK : il y a un couteau à ta gauche, essaye de l'atteindre
MOLLY : il est bête quand même ! Pourquoi nous aurait-il laisser ce couteau ? (se contorsionne difficilement) tu peux te pencher aussi ? Ça m'aiderait beaucoup merci !
SHERLOCK : on ne réussira pas à l'atteindre... tu vois autre chose ?
MOLLY : non... (réalise) c'est fait de tôles la pièce, non ? Si c'est le cas, essaye de te lever, j'ai une idée...
SHERLOCK : ok... (se synchronise avec Molly pour pouvoir se lever)
MOLLY : (ils réussissent) maintenant à trois, on fonce contre le mur... 1, 2, 3 ! (ils arrivent à plier la tôle) regarde grâce à ça on a la partie coupante... on va pouvoir scier la corde...
SHERLOCK : j'avais compris... (commence à scier sa corde)
MOLLY : arête !
SHERLOCK : quoi ?
MOLLY : Chut ! Écoute ! (ils entendent des pas)
SHERLOCK : (chuchotant) il ne compte pas se rendre ici...
MOLLY : (idem) qu'est-ce que tu en sais ?
SHERLOCK : ses pas sont trop décidés et il avance trop vite...
MOLLY : (idem) alors on continue à scier maudite corde ?
SHERLOCK : (recommence à la scier sans rien dire)
MOLLY : (l'aide en chuchotant d'un ton neutre) si on arrive à s'en sortir, je te promets la plus belle nuit de ta vie... J'ai moyennement aimé le fait qu'il nous interrompe.
SHERLOCK : (sur le même ton) d'abord Rosie.
MOLLY : (acquiesce) d'abord Rosie...
(la porte s'ouvre et deux agents tiennent en point de mire le couple)
SHERLOCK : (soupire) écoutez, je suis fatigué donc évitez de me tirer dessus, comme ça tout le monde sera gagnant...
(un des hommes leur intime de sortir d'un signe de tête)
MOLLY : vous pouvez au moins nous détacher parce que là, c'est une situation plutôt gênante...
(L'autre homme les détache mais leur met chacun des menottes)
MOLLY : (soupire) génial...
SHERLOCK : vous comptez parler à un moment ou un autre ?
MOLLY : je crois que ça ne sert à rien de leur demander...
(ils les font sortir et rejoindre le dehors)
SHERLOCK : (sort et soupire) et on n'est même pas à Londres...
MOLLY : tu croyais quoi ? Moran ne nous aurez pas laisser à Londres...
SHERLOCK : j'espérais...
MOLLY : (soupire, fatiguée)
SHERLOCK : (ils sont embarqués dans une voiture de police banalisée) tu devrais dormir, je ne sais pas pour combien de temps nous en avons...
MOLLY : toi aussi... (sourit et pose sa tête sur son épaule)
SHERLOCK : pas maintenant (se met en position de réflexion)
MOLLY : (ferme les yeux et s'endort lentement)
SHERLOCK : (va dans son mind palace)
(tout à coup, il en ressort à cause d'un bruit de pneu éclaté et de vitre brisée)
MOLLY : (se réveille et regarde par la fenêtre) baisse toi !
SHERLOCK : (obéit et la voiture fait un tonneau avant de finir sur le toit, ils ont la tête en bas, et sur la chaussée)
MOLLY : (inconsciente)
(L'homme ouvre la portière et les sort tous les deux maux en point de la voiture)
SHERLOCK : (il se rend compte qu'elle saigne au niveau de l'abdomen et essaye de la ranimer)
(l'homme prends Sherlock par le col et le gifle) Tu as été parfaitement stupide, je t'ai mis en garde et tu n'en a eu que faire !
SHERLOCK : Kylian ? Les autres ont pu s'échapper ?
KYLIAN : actuellement je ne sais pas... (prends sa sœur dans ses bras et aide Sherlock à se mettre debout)
SHERLOCK : même pas Enola ?
KYLIAN : on a été séparés donc je ne sais pas... Mais quelle idée ? On vous a dit surtout ne nous chercher !
(derrière eux le feu se déclare)
SHERLOCK : on s'inquiétait pour vous ! Vous avez disparus du jour au lendemain et nous n'avions aucune explication !
KYLIAN : et vous trouvez que c'est une raison !
MOLLY : (gémit)
KYLIAN : B*rdel ! Tu peux marcher seul ?
SHERLOCK : elle a besoin de soin, elle ne pourra pas marcher sans une aide...
KYLIAN : je le vois bien, je te demande à toi, si tu peux marcher seul...
SHERLOCK : oui, je crois...
KYLIAN : tu peux l'emmène a la clinique le plus proche ? Il faut que j'aille m'assurer qu'il n'y ait plus personne à l'intérieur du bâtiment... (il dépose sa sœur dans les bras de Sherlock et court vers le bâtiment mais l'explosion l'arrête. Iil repart vers Sherlock l'air grave)
SHERLOCK : les policiers sont morts, ça a atteint la voiture. Le bâtiment avait l'air désert...
KYLIAN : espérons... (reprend sa sœur et ils vont le plus vite que Sherlock puisse à la clinique la plus proche)
SHERLOCK : ils vont poser des questions, qu'est-ce que nous leurs dirons ?
KYLIAN : la vérité... qu'elle a eu un accident de voiture...
SHERLOCK : (acquiesce)
(ils arrivent)
KYLIAN : (crie) ACCIDENT DE VOITURE... BESOIN DE SOINS IMMÉDIATS...
(Des infirmières accourt et embarquent Molly dans une chambre et Sherlock dans une autre)
SHERLOCK : je vais bien, allez plutôt auprès d'elle...
INFIRMIÈRE : elle est prise en charge monsieur... Détendez-vous... (commence à l'ausculter et le soigner)
SHERLOCK : expliquez-moi ce que vous faites, je veux savoir ce que j'ai...
INFIRMIÈRE : rien de bien grave, vous allez vous en sortir, mais vous devez être immobiliser, je crains que quelques-unes de vos côtes soient cassées, et non soignées, vous pouvez risquer une perforation des organes vitaux.
SHERLOCK : combien de temps au minimum ?
INFIRMIÈRE : un bon mois, je dirai...
SHERLOCK : un mois d'immobilisation ?! Même avec des soins ?
INFIRMIÈRE : ouais... (à son interne) va me chercher un maintien thoracique...
(l'interne part)
INFIRMIÈRE : vous voulez bien rester en vie non ?
SHERLOCK : (soupire) je suppose que je n'ai pas le choix...
INFIRMIÈRE : en effet...
(l'interne revient)
INFIRMIÈRE : (lui enlevé sa chemise et lui place l'attelle) voilà... on vous fera une radio dans une semaine...
SHERLOCK : et en attendant je peux retourner chez moi ?
INFIRMIÈRE : vous vous fichez de moi ? Ou vous le faites peut-être exprès ?
SHERLOCK : je pencherai pour exprès (sourire forcé)
INFIRMIÈRE : (soupire) non... bien sûr que non vous ne pouvez pas !
SHERLOCK : je vais m'ennuyer !
INFIRMIÈRE : je pense oui... (c'est à elle de faire un sourire forcé)
SHERLOCK : (soupire encore)
INFIRMIÈRE : au revoir Mr... (L'interne la suit tête baissée)
(Sherlock l'ignore et se met en position de réflexion)
KYLIAN : (entre par la fenêtre) ça va ?
SHERLOCK : et Molly ?
KYLIAN : ils vont tous les deux bien... ne t'inquiète pas... bien qu'elle soit toujours inconsciente... et toi ? Tu vas bien ?
SHERLOCK : fais-moi sortir de là, j'étouffe dans cette chambre !
KYLIAN : malheureusement je ne suis pas ton frère...
SHERLOCK : tu as réussi à rentrer, nous pouvons sortir...
KYLIAN : nous DEVONS sortir... on est activement recherche... pour toi ça sera simple mais pour Molly...
SHERLOCK : son lit a-t-il des roulettes ?
KYLIAN : on est dans un hôpital bien sûr qu'il en a ! Mais je doute qu'il te laisse faire : sortir une patiente de l'hôpital, sans réagir...
SHERLOCK : elle n'a pas de fenêtre ?
KYLIAN : tu ne veux pas la faire passer par la fenêtre quand même ?!!
SHERLOCK : tu vois d'autres issus ?
KYLIAN : et comment tu veux t'y prendre ? Il faudra la débrancher des monitorings ce qui ne nous laissera pas plus de deux secondes pour s'enfuir...
SHERLOCK : on débranchera le monitoring avant de la débrancher de ce dernier comme ça elles n'auront aucune alerte...
KYLIAN : (ironique) c'est sur... quand ils vont s'apercevoir qu'ils n'ont plus de données, ils ne vont surtout pas venir voir !
SHERLOCK : ce n'est pas directement relié à leurs ordinateurs, elles font des rondes...
KYLIAN : si tu le dis... bref tu peux attendre cette nuit ?
SHERLOCK : je ne suis pas sûr, elles vont se renseigner sur nous...
KYLIAN : qui ? Ces godiches d'infirmière ?
SHERLOCK : elles veulent toucher leurs payes...
KYLIAN : alors faisons le tout de suite... (l'aide à se lever et le hisse sur le toit) ne bouge pas d'ici je vais chercher Molly...
SHERLOCK : attend un peu, elles sont allées la voir.
KYLIAN : je sais ce que je fais... (part)
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