Chapitre 38 : tu n'es plus l'homme calculateur et froid armé de son parapluie.
MOLLY : (excitée) tu ne devineras jamais ce que j'ai trouvé !
SHERLOCK : quoi ?
MOLLY : ils sont en Floride !
SHERLOCK : d'où tu tiens cette information ?
MOLLY : et bien d'abord j'ai examiné le collier qu'on a retrouvé dans la chambre de ta sœur avec la clef. Les empreintes correspondent avec celle de Kylian. Ensuite la clef. J'ai demandé à Stessie, celle qui m'avait aidé à passer sur les antennes qui a débloqué la clef. Tout y est : nouvelles identités, billets d'avions... et pour finir Mycroft...
SHERLOCK : Mycroft était au courant depuis combien de temps ?
MOLLY : non ! Bien sûr que non ! Grâce aux information collectées, il a pu les pistés et les a retrouvés dans un aéroport de Floride ! C'est incompréhensible ! Pourquoi aller aussi loin ?!
SHERLOCK : pour essayer de nous échapper et échapper à de potentiels ennemis... vos pistes s'arrêtent à l'aéroport ?
MOLLY : malheureusement oui... tu veux y allez ? Mycroft nous propose des billets...
SHERLOCK : tu te sens capable ? si oui il faudra d'abord que je passe voir Mycroft avant de partir...
MOLLY : bien sûr ! Pourquoi ne le serait pas ?
SHERLOCK : tes nausées peuvent être plus forte dans un transport quelconque...
MOLLY : je peux aller à la pharmacie pour acheter des cachets ne t'inquiète pas...
SHERLOCK : d'accord, je passe chez Greg puis je te rejoins, à moins que ce soit toi, tu fais comme tu veux...
MOLLY : tu me rejoindras... (sourire dans la voix)
SHERLOCK : (sourit lui aussi) à tout à l'heure (raccroche)
WIGGINS : alors qui était-ce ?
SHERLOCK : Molly, il faut que je parte...
WIGGINS : ok... (part dans les ruelles)
SHERLOCK : Wiggins ?
WIGGINS : (revient sur ses pas) oui ?
SHERLOCK : ce truc est en train de te tuer...
WIGGINS : hum... et alors ? Ce n'était pas votre truc peut-être ? (une pause) Sheeza...
SHERLOCK : et ça me consumait... fais attention a toi Billy... (hèle un taxi)
WIGGINS : si vous le dites... mais c'est vrai que rien que l'idée de me retrouver face à votre furie me fait froid dans le dos... Malgré tout je ne vous promets rien... (disparaît pour de bon)
(Sherlock rentre dans le taxi, il entre dans son mind palace après avoir donné l'adresse du flic)
ENOLA : (arrive et soupire) pourquoi ? Tu ne peux pas me laisser un peu seule ?!!
SHERLOCK : (soupire) même dans ma tête tu es énervante ! Je suis là pour essayer de comprendre pourquoi tu faisais mon boulot à ma place...
ENOLA : ce n'est pas de ma faute si tu me vois comme ça... bref je fais le travail à ta place ? Depuis quand ?
SHERLOCK : tu allais chercher mes proies pour que je n'ai pas de problème à les trouver après...
ENOLA : cela, dans un sens, ne t'a pas aidé ?
SHERLOCK : tu as fait le travail à ma place
ENOLA : je réitère : ça ne t'a pas aidé ?
SHERLOCK : (soupire) oui.
ENOLA : bien. Alors pourquoi tu te plains ?
SHERLOCK : parce que tu ne devrais pas faire ça et que j'ai l'impression d'être inutile.
ENOLA : tu ne l'es pas et rassure toi, je n'ai pas tout fait... juste celles qui ramaient... je voulais t'apporter... comme un cadeau... j'avais besoin d'un grand frère tu comprends ? Et ton sourire satisfait était ma récompense...
SHERLOCK : tu ne pouvais pas venir me voir simplement ? Je ne t'aurais pas rejeté...
ENOLA : j'avais trop d'ennemis pas la peine de t'en rajouter, tu en avais déjà bien assez...
SHERLOCK : c'est stupide, nous aurions pu t'aider...
ENOLA : Sherlock ? (Enola se change en Molly)
MOLLY : Sherlock ? Sherlock ? Tu m'entends ?
(Sherlock reprend ses esprits et voit que c'est Molly à travers le téléphone qui lui parle)
SHERLOCK : oui, désolé...
MOLLY : ce n'est pas grave... tu es arrivé chez Greg ?
SHERLOCK : pas encore, dans environ 2 minutes pourquoi ?
MOLLY : je m'inquiète c'est tout... tu es encore avec comment déjà ? Wiggins ?
SHERLOCK : tu ne lui fais pas confiance.
MOLLY : non c'est vrai... (balbutiante) j'ai peur... je ne veux pas... et si tu... à cause de lui, tu pourrais...
SHERLOCK : si je recommençais à me droguer ce ne serait la faute de personne.
MOLLY : tu ne le referas plus, si ?
SHERLOCK : je ne peux pas prévoir l'avenir...
MOLLY : (soupire) moi non plus...
SHERLOCK : tu n'avais rien d'autres à me dire ?
MOLLY : non si ce n'est que je t'aime et que tu me manques...
SHERLOCK : on s'est quittés il y a 10 minutes tu sais ?
MOLLY : c'est trop long.... reviens vite...
SHERLOCK : je me dépêche, a tout de suite (raccroche et sort du cab)
ANTHEA : (ouvre, fatiguée) entre, Sherlock...
SHERLOCK : qu'est-ce qu'il y a ?
ANTHEA : rien... je suis juste fatiguée (dans le salon)
LESTRADE : c'est qui Anthea ?
ANTHEA : Sherlock...
LESTRADE : Sherlock ? (arrive) tu fais quoi ici ?
SHERLOCK : Mycroft est là ?
LESTRADE : oui dans le salon...
(Sherlock va dans le salon)
MYCROFT : alors c'est d'accord ? Tu pars en Floride ? J'ai essayé de la convaincre de ne pas partir mais ça a été infructueux... Elle m'a répondu que son frère était là-bas aussi et qu'elle y avait droit ! Non mais je te jure...
SHERLOCK : tu vas vraiment te marier ?!
MYCROFT : QUOI ?!! (se cache la main gauche et rougit)
SHERLOCK : ne le nie pas... qu'est-ce qu'il a dit pour que tu acceptes ?
MYCROFT : (embarrassé) c'est... c'est... moi. J'ai... fait... et ça m'en coûte de le dire... le premier pas... (soupire)
SHERLOCK : toi qui détestes ce genre d'évènements ?! Toi qui hais les effusions d'amour ?! Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ?!
MYCROFT : pour reprendre tes mot, Sherlock, je n'ai qu'une chose à dire : Greg Lestrade... (baisse la tête) je ne suis pas aussi fort que je le pensais, j'ai succombé à ce que je redoutais...
SHERLOCK : les sentiments ?
MYCROFT : (dans un soupire) Oui... (se lève et regarde le soleil qui se couche) Les sentiments...
SHERLOCK : et tu n'avais pas d'autres façon que de le montrer que de le demander en mariage ?
MYCROFT : c'est la seule chose dont j'ai eu le courage de le faire...
SHERLOCK : (soupire) tu me déprime...
MYCROFT : (idem) moi aussi... mais c'est fait et je ne peux revenir en arrière...
SHERLOCK : malheureusement... tu aurais dû réfléchir...
MYCROFT : (soupire) et pour la première fois de ma vie je ne l'ai pas fait... peut-être parce que tout simplement je l'aime et qu'il n'attendait que ça...
SHERLOCK : surement... tu regrettes ce choix ?
MYCROFT : bizarrement non... C'était sûrement une étape à franchir... et c'est fait...
SHERLOCK : du moment que tu te sentes bien, je ne vois pas de problème...
MYCROFT : (pensif) et toi ?
SHERLOCK : quoi moi ?
MYCROFT : (soupire) je ne vais pas te faire un dessin, tu vois de quoi je te parle ! Je te parle de toi et Molly...
SHERLOCK : J'avais compris merci... il n'y a rien à dire à notre propos...
MYCROFT : tu en est sûr ? Vu l'insistance avec laquelle elle m'a forcé la main toute à l'heure je ne dirai pas ''rien''
SHERLOCK : rien que je veuille parler avec toi de toutes manières...
MYCROFT : (sourit) je comprends... elle commence déjà à te mener par le bout du nez... prends garde ne fait pas les mêmes erreurs que moi... (se rassoit face à lui)
SHERLOCK : depuis quand es-tu aussi... normal ?
MYCROFT : que sous-entends-tu par-là ?
SHERLOCK : tu n'es plus l'homme calculateur et froid armé de son parapluie contre le monde et refusant toutes formes d'émotions que tu étais avant...
MYCROFT : l'amour change un homme... et que tout ça n'était qu'une carapace déjà bien fragile... on ne peut pas vivre sans un peu d'humanité, sinon on dépérit...
SHERLOCK : oui...
MYCROFT : (sourit et se lève) bien tu es venu pour une raison que j'ignore, éclaire-moi...
SHERLOCK : est-ce que tu as pu surveiller Enola après qu'elle soit partie de chez nous ?
MYCROFT : non mais on l'a retrouvé en Floride, ça c'est sur... elle a été bien sotte de garder ça en évidence... mais bon on va la ramener à Londres, c'est déjà ça !
SHERLOCK : de quand date leurs vols ?
MYCROFT : le lendemain de leur disparition...
SHERLOCK : ils peuvent être n'importe où maintenant
MYCROFT : c'est pour ça que je t'envoie là-bas... pour enquêter discrètement !
SHERLOCK : j'avais compris merci ! Quel nom ils ont emprunté pour les billets ?
MYCROFT : Ivy Meshle et Théodore Ragostin... (NdA : petit cameo pour Enola Holmes ^^) Mais je doute qu'ils aient gardé ces identités-là car si nous avons pu les tracer, leurs ennemis aussi.
SHERLOCK : oui... tu sais s'ils ont pris une voiture ou un taxi après ?
MYCROFT : on n'en a aucune idée... mais mon équipe y travaille en ce moment... bref les billets sont pour demain à l'aéroport de Londres à 8h... Tu devrais allez te reposer... mais après ça ne regarde que toi... juste un conseil... Vous serez Mr et Mme Alistair, deux notaires fortunés venus pour des clients soucieux.
SHERLOCK : donc tailleur-pantalon et costard-cravate... ok (commence a partir)
MYCROFT : attends tiens (lui tends une mallette qui contient sûrement une arme) bon courage et revient entier...
SHERLOCK : (prend la mallette et se contente de partir. Il hèle un taxi et entre) Chapel Side...
De Sherlock Holmes à Molly Hooper : Mr et Mrs Alistair, couple de notaires en voyage
SH
De Molly Hooper à Sherlock Holmes : cool ! J'ai toujours voulu voir comment fonctionner le monde des affaires ! ^^ tu as fini avec Mycroft ?
De Sherlock Holmes à Molly Hooper : oui ,je rentre .
SH
De Molly Hooper à Sherlock Holmes : à tout de suite. Xoxo.
De Sherlock Holmes à Molly Hooper : que veut dire xoxo ?
SH
De Molly Hooper à Sherlock Holmes : Sherlock ! Tu me désespère tu sais ? Tu n'as qu'à faire des recherches tu trouveras bien ! Ou alors te dépêcher de rentrer auquel cas je te l'expliciterai !
De Sherlock Holmes à Molly Hooper : c'est si important que ça ?
SH
De Molly Hooper à Sherlock Holmes : ça dépend ce que tu juges d'important
De Sherlock Holmes à Molly Hooper : explique-moi ce que tu trouves important alors.
SH
De Molly Hooper à Sherlock Holmes : tu n'as qu'à venir...
(le taxi est arrivé, Sherlock paye et entre)
MOLLY : enfin ! Je commençais à me languir de vous Mr Holmes... (sourit puis fait un sorte révérence et se relève en riant)
SHERLOCK : (sourit) vraiment ?
MOLLY : (idem) oui... j'ai fait nos valises elles sont dans la chambre... (s'approche de lui et l'embrasse) O... (le prends dans ses bras) X... (avec un sourire) tu comprends ?
SHERLOCK : très bien (l'embrasse)
MOLLY : (lui rend son baiser) O... (sourit)
SHERLOCK : (sourit) X ?
MOLLY : (idem) oui !
SHERLOCK : (rit et la prend dans ces bras puis toujours dans cette position et avec un sourire dans la voix) que trouves tu important alors ? Tu ne m'as pas répondu...
MOLLY : (lève la tête) tu ne le devine pas ?
SHERLOCK : éclaire-moi...
MOLLY : (regard doux) c'est toi gros bêta !
SHERLOCK : bizarrement j'aurais cru que tu aurais dit toby ...
MOLLY : (surprise) pourquoi mon chat serait plus important pour moi ?
SHERLOCK : (hausse les épaules) j'avoue que je ne sais pas...
MOLLY : mais c'est vrai que je l'aime bien ce chat... dis on l'emmènera ?
SHERLOCK : en avion ? Non, on ne saura pas ou le mettre après...
MOLLY : à qui le confiait alors ?
SHERLOCK : Mrs Hudson ?
MOLLY : elle est encore chez sa sœur et je ne veux pas imposer mon matou... Et puis je ne peux pas le laisser à Mike, il y est allergique...
SHERLOCK : et ton amie ?
MOLLY : (soupire) Elle a un dog allemand...
SHERLOCK : il n'y a personne pour le prendre ?
MOLLY : je ne crois pas non... je n'aurai pas le cœur à l'abandonner...
SHERLOCK : (soupire) donc je devine que on le prend avec nous...
MOLLY : (soupire) j'espère... (comme s'il comprenait de quoi ils parlaient, toby vient se frotter aux jambes de Sherlock en ronronnant)
SHERLOCK : (essaye de virer le chat mais il se frotte de plus belle)
MOLLY : (rit) il ne te lâchera pas... il est très affectueux... (se baisse, le prends dans ses bras et s'assoit sur le canapé avec le chat sur les genoux) coquin de chat...
SHERLOCK : tu l'as depuis sa naissance, non ?
MOLLY : presque... mais oui... il n'avait pas plus de deux semaines... (Toby saute sur les genoux à Sherlock dès qu'il se fut assis à côté de Molly)
SHERLOCK : il te prend pour sa mère...
MOLLY : c'est un comportement normal tu sais...
SHERLOCK : pas chez tous les chats...
MOLLY : tu connais des chats qui ne le font pas ?
SHERLOCK : certaines races font la différence entre l'humain et l'animal...
MOLLY : toujours à chercher la petite bête toi ! (Sourit et se lève) je meurs de faim ! (va dans la cuisine) tu veux quelque chose ?
SHERLOCK : non, je n'ai pas faim...
MOLLY : t'es pire que toutes ces filles qui sont anorexiques et qui refusent de manger ! C'est désespérant... peut-être que si je fais venir maman Holmes tu mangeras... (croque dans sa pomme) t'en dis quoi ch'e le fais ou pas ? (prend son téléphone)
SHERLOCK : (les yeux au ciel) tu es horrible... qu'est-ce que tu veux que j'avale ?
MOLLY : (sourit) hum... (va dans la cuisine et revient avec trois pommes) ça...
SHERLOCK : même toi tu n'en as pas mangé autant !
MOLLY : j'ai à peine commencé ! (va dans la cuisine et se prépare des nouilles chinoises) moi je mange... finis-les ! Après je t'embêterai plus ! (Pour elle) enfin pour aujourd'hui... (sourit)
SHERLOCK : (se prend l'arête du nez) c'est pas possible... (prend une pomme et croque dedans par résignation)
MOLLY : ne fait pas cette tête... je préfère quand tu souris...
SHERLOCK : et je préfère ne pas être gavé...
MOLLY : tu ne te gaveras pas avec ça ! Et puis c'est sain et ça ne peut que t'être bénéfique !
SHERLOCK : je ne dis pas le contraire mais ça ne correspond pas a mon régime habituel et donc ça représente une masse de nourriture relativement importante pour moi...
MOLLY : avec moi ça sera ça tous les jours... faudra t'y faire ! (sourit) et puis c'est pas trois maudites pommes qui vont te faire une indigestion !
SHERLOCK : peut-être... (croque une autre fois dans la pomme)
MOLLY : (revient, son assiette dans les mains, s'assoit à côté de lui et l'embrasse sur le front)
SHERLOCK : que me vaut ce baiser ?
MOLLY : parce que je t'aime et parce que tu prends soin de toi...
SHERLOCK : (sourit) je mange une pomme pour éviter que tu appelles ma mère... je n'appelle pas ça prendre soin de moi...
MOLLY : je t'avais dit que les menaces marchaient sur toi... (clin d'œil puis mange ses pattes à l'aide de grands coups de fourchettes)
SHERLOCK : très drôle miss Hooper...
MOLLY : (regard moqueur) tu succombes sous mon humour mortel... (sourit)
SHERLOCK : (sourit et croque dans sa pomme)
MOLLY : (finit son assiette et le regarde manger)
SHERLOCK : pourquoi est-ce que tu me contemples à mastiquer un fruit ? ça ne doit pas être agréable à regarder...
MOLLY : tu serais surpris à quel point c'est fascinant...
SHERLOCK : (hausse les sourcils) vraiment ?
MOLLY : si je te le dis... (sourit) j'ai peur que tu finisses dans mes services pour sous-nutrition, et ne me dis pas que ça ne te fait rien, il ne suffit que d'une fois...
SHERLOCK : tu m'as déjà vu, tu sais que je ne suis pas prêt d'y aller...
MOLLY : (soupire) effectivement le mot qui te convient le mieux est têtu... (sourit) tu la finis cette pomme ? On ne va pas y passer la nuit...
SHERLOCK : c'est toi qui me parles, je ne fais que répondre... (finit la pomme)
MOLLY : alors ne me répond plus... (sourit et l'embrasse)
SHERLOCK : (lui rend son baiser)
MOLLY : (passe sa main dans ses cheveux et approfondi leur échange)
SHERLOCK : (entre deux baisers) tu ne veux plus que je mange ?
MOLLY : ça peut attendre... (sourit)
SHERLOCK : a vos ordres (l'embrasse et lui souffle à l'oreille) docteur Hooper...
MOLLY : (idem) mon détective...
SHERLOCK : (l'embrasse dans le cou en chuchotant) reine légiste...
MOLLY : (lui caresse ses boucles brunes et chuchote) roi violoniste... tu comptes faire quoi maintenant ?
SHERLOCK : (remontant sa tête pour l'embrasser doucement sur sa lèvre inférieure) je ne sais pas... que comptes tu faire toi ?
MOLLY : (chuchote) si tu en as envie ça ne me dérange pas
SHERLOCK : tu ne sembles pas en avoir envie...
MOLLY : (une lueur fiévreuse dans le regard) je n'attendais que ça...
SHERLOCK : (l'embrasse) exiges-le... exiges-moi...
MOLLY : (lui rend son baiser) je te veux... je te veux Sherlock Holmes.
SHERLOCK : (commence à lui enlever son pull mais quelqu'un sonne à la porte)
MOLLY : (râle) qui ça peut être encore ?
SHERLOCK : (sourit) tu dis ça comme si ça t'avait réveillé de ta sieste... je vais ouvrir (va ouvrir)
MOLLY : (moue boudeuse) C'était mieux que la sieste... (s'approche de Sherlock et il ouvre)
MORAN : bonne nuit ! (il les asperge de gaz somnifères)
(ils s'évanouissent)
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