JOHN : venez entrez vite ! (Ils entrent, tout le monde est là, sauf Mycroft, Kylian et Enola)

MOLLY : qu'est-ce qui se passe ici ?

JOHN : une préparation...

MOLLY : de quoi ?

LESTRADE : (sourit) pour l'anniversaire de Mycroft !

MOLLY : c'est quand ?

Eudoria : le 17 !

Morland : le week-end prochain...

MOLLY : c'est pour ça !

SHERLOCK : vous êtes amnésique ou vous vous êtes cru dans une série américaine de seconde zone ? Mycroft déteste les fêtes !

JOHN : tu veux une revanche sur ton frère ? C'est le moment !

LESTRADE : (sourit)

ROSIE : on le sait qu'il n'aime pas les fêtes ! C'est pour ça qu'on en fait une ! Il ne s'y attendra pas ! (sourit)

SHERLOCK : (soupire) j'abandonne...

MOLLY : mais comment vous compter organiser ça ?

Eudoria : quelque chose d'assez convivial en fait...

Morland : en famille.

ROSIE : avec des ballons partout !

JOHN : calme-toi...

ROSIE : il n'y aura pas de ballons ? (mine triste)

SHERLOCK : (sourit a rosie) je ne crois pas...

ROSIE : (triste) ce n'est pas juste...

MOLLY : on n'a pas toujours ce que l'on veut... (sourit) Tu le verras bien assez vite...

JOHN : je pense qu'on devrait s'y mettre demain comme on est dimanche...

SHERLOCK : en quoi le fait d'être dimanche y change quelque chose ?

JOHN : (soupire et passe sa main sur son visage) mais parce qu'on est le week-end et que tout le monde peut être la !

MOLLY : doucement John...

JOHN : ouais tu as raison...

Morland : eh bien, je pense, qu'on doit vous paraître un peu rustres... Mr Holmes, père de Mycroft, Sherlock, Eurus et Enola Holmes... (lui tend la main)

MOLLY : euh... (gênée, passe sa main dans ses cheveux et regarde Sherlock en lui demandant silencieusement de l'aide)

SHERLOCK : (regarde sa mère en lui faisant signe de ne rien dire puis se retourne vers son père) elle t'avait déjà reconnu tu sais...

Eudoria : (met une main sur son épaule) oui chéri assieds-toi... cette jeune fille peut très bien se passer de présentation...

Morland : pardon...

MOLLY : non ce n'est rien, ça va... Je m'appelle Molly Hooper, je suis une... amie de Sherlock.

SHERLOCK : c'est John qui vous a demandé de faire tout ça ou Lestrade ?

Morland : C'est John...

Eudoria : Où est passé la jeune fille qui était là tout à l'heure ?

LESTRADE : Anthéa ? Elle va revenir...

SHERLOCK : pourquoi est-ce qu'elle est partie ?

JOHN : on n'a pas vraiment d'idées mais elle a dit qu'elle savait des choses à faire...

SHERLOCK : où est-elle allée ?

LESTRADE : ça non plus, on ne sait pas...

ROSIE : elle est peut-être avec Mycroft...

SHERLOCK : non... (se tourne vers Lestrade) qu'est-ce que tu lui as dit pour qu'il te laisse partir ?

LESTRADE : pourquoi ça t'intéresse ?

SHERLOCK : pour pouvoir le réutiliser à mon profit et le faire chanter...

LESTRADE : comment ça ?

SHERLOCK : répond d'abord à ma question

LESTRADE : je refuse que tu le fasses chanter !

Eudoria : Sherlock, que t'ai-je dit à propos de vos enfantillages ?!

MOLLY : (pose une main sur l'épaule de Sherlock et lui chuchote à l'oreille) tu devrais laisser tomber...

SHERLOCK : (les ignorant) apparemment ça a dû être assez gênant, j'irai lui demander après...

MOLLY : vaut mieux... (se rassoit) sinon à part ça...

LESTRADE : il faut régler certains détails...

Eudoria : je ferais le déjeuner et la pâtisserie...

ROSIE : je pourrais vous aider ?

Eudoria : bien sûr !

LESTRADE : pour le cadeau je m'en charge...

MOLLY : je pourrais m'occuper du reste ! (Sourit)

LESTRADE : tu ne devrais pas...

MOLLY : pourquoi ?

LESTRADE : ton état...

MOLLY : je vais très bien merci !!!

SHERLOCK : si tu veux je reste avec toi comme ça les autres ne te colleront pas...

MOLLY : (sourit) merci

SHERLOCK : tu voudrais commencer par quoi ?

MOLLY : comment ça ??

SHERLOCK : tu as bien dit que tu comptais t'occuper du reste ?

MOLLY : oui, de la déco, des animations... et tiens pourquoi pas un diaporama de l'enfance de ton frère pour le mettre un peu dans l'embarras... (sourit)

SHERLOCK : (grimace de dégout) très mauvaise idée... par animations tu penserais à quoi ?

MOLLY : tu verras ! (sourit et se lève) C'est pas tout mais il faut que j'y aille... Mister et Mrs Holmes ça m'a fait plaisir de vous rencontrer...

Eudoria : nous de même... Sherlock je peux te parler une minute ? (Va sur la terrasse)

SHERLOCK : (la suit)

Eudoria : elle le sait au moins ?

SHERLOCK : oui. Comment est-ce que tu as fait pour vivre avec si peu d'informations sur cette chose ?

Eudoria : appelle ça par son vrai nom Sherlock... c'est un bébé... Et je suppose que tu en es le père ? Elle compte le garder ?

SHERLOCK : elle ne veut pas avorter donc je suppose, oui...

Eudoria : et toi tu le veux cet enfant ? Tu l'aime cette fille ?

SHERLOCK : bien sûr ! mais je ne pourrais pas répondre aux besoins et à la sécurité de cet enfant

Eudoria : tu vas l'abandonner cette petite ? Tu veux la laisser toute seule avec un enfant sur les bras ? Réfléchis à ce que tu vas faire Sherlock...

SHERLOCK : je n'ai jamais dit ça ! Ne sort pas mes mots de leurs contextes...

Eudoria : que vas-tu faire alors ?!!

SHERLOCK : (s'assoie sur une chaise, se passe les mains sur le visage) Je n'en sais rien. Je ne pourrais pas élever cet enfant...

Eudoria : pourquoi te sous-estimes-tu ? Tu ferais sûrement un bon père car tu as été un bon fils...

SHERLOCK : parce que c'est vrai ! Je résouds des crimes avec mon meilleur ami dans un appartement minuscule ! Je fais des expériences avec des produits dangereux, je joue du violon à 3 heures du matin, je suis un junkie, un sociopathe et je mets régulièrement ma vie en danger ! Avoir un enfant voudrait dire changer mon quotidien du tout au tout et renoncer à ce que j'aime faire...

Eudoria : (surprise puis sourit) pas du tout au tout... ton violon à trois heures du matin, tu le feras pour endormir l'enfant, ta sociopathie cette femme pourra la combler, tes expériences, tu pourras continuer en veillant à ce qu'il ne les touche pas, tes enquêtes, tu pourras les faire quand même et pourquoi pas plus tard les faire ensemble, quant à mettre ta vie en danger, rien ne t'oblige à mettre la sienne en danger... Ne t'inquiète pas tu te débrouilleras très bien...

SHERLOCK : je ne croyais pas dire ça un jour mais j'ai peur de l'avenir...

Eudoria : on a tous peur mais tu vois ton père a eu quatre enfants et ça ne l'a pas tué ! (sourit) Fait-toi confiance et tu y arriveras sans problème !

SHERLOCK : si tu le dis (soupire) j'ai 9 mois pour m'y faire ! Tu ne diras rien à ton mari ? Il faut d'abord que j'en parle avec Molly avant de lui annoncer...

Eudoria : (sourit) ne t'inquiète pas je sais garder un secret, je ne dirai rien à ton père... Ne tardons pas trop... Tu veux manger ici ? J'ai fait des bouchées à la reine... (marque une pause puis rajoute) ce n'est pas négociable...

SHERLOCK : d'accord, qui mange avec nous ?

Eudoria : ceux qui voudront... (rentre)

MOLLY : (arrive sur la terrasse quand Sherlock essaye de rentrer) comme une idiote j'avais oublié ma veste avec mes clefs dedans et John m'a dit que tu étais ici... (l'observe) ça va ? (Prends son visage dans ses mains) tu as l'air soucieux...

SHERLOCK : je vais bien, ma mère veux qu'on mange ici donc on s'occupera de tout ça demain...

MOLLY : tu me mens... (fronce les sourcils)

SHERLOCK : peut-être (rentre) tu viens ?

MOLLY : avant dis-moi...

SHERLOCK : plus tard. (Va rejoindre John et Rosie)

MOLLY : je finirais par le savoir... (le suit)

SHERLOCK : pas maintenant en tout cas

ROSIE : je peux te dire un secret Sherlock ?

SHERLOCK : (sourit) vas-y (se baisse pour être à sa hauteur)

ROSIE : (lui chuchote à l'oreille) c'est plutôt une question... Tu sais pourquoi Greg il a une bague ? Il n'en avait pas avant, non ?

SHERLOCK : non il n'en avait pas, ça veut dire qu'un évènement se prépare et que tu devras surement être obligée de porter une robe d'une couleur criarde...

ROSIE : quoi ? Mais je ne veux pas moi ! C'est quoi comme événement ?

SHERLOCK : un mariage... je n'arrive pas a croire que Mycroft ai accepté ! Greg a dû lui faire du chantage d'une quelconque manière...

MOLLY : (sourit) sûrement...

JOHN : c'est vrai que venant de Mycroft ça surprend...

ROSIE : et pourquoi moi d'abord ? Pourquoi pas toi !

SHERLOCK : (rit) tu veux vraiment me voir dans une robe ?

ROSIE : ouais ! Comme une fille !

(Ils rient tous ensemble)

Morland : qu'est-ce qui vous fait rire jeune gens ?

Eudoria : (apporte l'entrée) vous venez manger ??

(Ils se dirigent vers la table)

Eudoria : vous m'en dirai des nouvelles...

SHERLOCK : tu as fait une macédoine ? tu étais a cours d'idée

Eudoria : si tu ne veux pas manger de Macédoine jeune homme, la porte voisine est grande ouverte ! Tu manges et tu te tais !

SHERLOCK : je faisais juste un constat : d'habitudes tu es plus imaginative...

Eudoria : je n'ai pas eu le temps de faire des courses ! Je fais ce que peux !

Morland : assied toi chérie...

Eudoria : (s'assied)

(ils commencent à manger)

MOLLY : c'est très bonne madame...

Eudoria : merci... (regard doux envers Molly)

MOLLY : (surprise elle prend la main de Sherlock sous la table et par un jeu de regard elle montre sa mère)

SHERLOCK : (lui fait un regard qui veut dire ''calme toi, je sais qu'elle sait'')

MOLLY : (acquiesce et baisse la tête)

Eudoria : vous n'avez pas faim ?

MOLLY : si, si, excusez-moi, je réfléchissais... (lève la tête et recommence à manger)

SHERLOCK : (a Eudora) tu sais pour Greg ?

Eudoria : qu'est-ce qu'il a ?

LESTRADE : pourquoi moi ?

ROSIE : (sourit) chuuuut ! (Met don doigt sur la bouche)

SHERLOCK : (est d'un coup beaucoup plus intéressé par son assiette)

LESTRADE : Sherlock qu'est-ce qu'il y a ?

MOLLY : il voulait juste demander si sa mère avait, grâce à son talent de déduction, découvert que tu étais flic...

Eudoria : euh... oui je le savais... stature droite, réflexe rapide, prêt à partir au quart de tour, s'il y a problème... oui soit policier doit dans l'armée...

SHERLOCK : je n'étais pas sûr...

MOLLY : bref...

Morland : vous avez dit que vous étiez médecin légiste... Vous travaillez à la morgue ?

MOLLY : oui celle de St Bartholomew...

Morland : et ça vous plait ?

MOLLY : c'est intéressant, en effet, mais je pense qu'un jour ça va me lasser...

LESTRADE : mais tu es la meilleure de tout Londres !

JOHN : et je pense que Sherlock ne voudra pas travailler avec Anderson...

SHERLOCK : plutôt mourir !

MOLLY : si vous cessiez ce conflit d'égo vous devriez pouvoir travailler ensemble...

JOHN : mais tu n'y songes pas tout de suite

MOLLY : non ! Bien sûr que non ! J'aime mon travail mais je dis juste que ça pourrait me lasser...

SHERLOCK : tu penserais à faire quoi alors ?

MOLLY : je n'en sais rien avec mon doctorat et ma spécialisation ça peut m'ouvrir quelques portes mais pourquoi pas dans la pédiatrie...

ROSIE : c'est quoi la peda... la ped... ?

MOLLY : la pédiatrie est tout ce qui touche aux enfants...

SHERLOCK : c'est quand même très différent de ton job actuel...

MOLLY : je sais donc ce n'est pas pour maintenant... Assez parler de ça... vous voulez que je vous aide Mrs Holmes ?

Eudoria : euh pour les bouchées ? Je les ai déjà faites mais vous pouvez m'aider à les servir... (elles se lèvent et vont vers la cuisine)

LESTRADE : (sarcastique) merci Sherlock !

SHERLOCK : pourquoi me remercies-tu ?

JOHN : c'était du sarcasme Sherlock...

SHERLOCK : je sais mais je veux savoir pourquoi il l'a dit !

LESTRADE : je ne sais pas... pour ta discrétion peut-être ?

JOHN : (baisse la tête et chuchote discrètement à Lestrade) je te signale que le père est encore là...

LESTRADE : (idem) M*rde, merci... (se relève et se tais)

ROSIE : (à Morland) alors tu es une sorte de grand père pour moi ?

Morland : (rit) pourquoi ? Tu considères Sherlock comme ton papa ?

ROSIE : non comme mon oncle, pourquoi ?

Morland : pour rien...

(Molly traverse la maison en courant et on entend des bruits pas très appétissants)

Eudoria : (sort de la cuisine) je ne comprends pas elle parlait avec moi et elle est partie !

SHERLOCK : ce n'est rien, ne t'inquiète pas (part vers les toilettes et toque a la porte de celle-ci) tu vas bien ?

MOLLY : (sort et va dans la salle de bain se laver le visage) oui... tu sais... les nausées... ne t'inquiète pas...

SHERLOCK : les odeurs de nourriture ou c'était spontané ?

MOLLY : un peu des deux... ça va aller ne t'inquiète pas... je vais m'y habituer...

SHERLOCK : j'espère... tu veux rester un peu ici ou retourner à table ?

MOLLY : je ne vais pas te laisser tout seul quand même, si ?

SHERLOCK : tu l'as déjà fait tout a l'heure... tu viens ? (retourne a sa place)

MOLLY : (sourit) oui... (fait de même)

JOHN : ça va ?

MOLLY : oui, oui ça va aller...

SHERLOCK : (a Morland) tu sais si elle a besoin d'aide ?

Morland : ta mère sait se débrouiller...

(Eudoria arrive avec les assiettes)

SHERLOCK : je n'ai jamais dit le contraire...

Eudoria : (sert tout le monde)

Morland : un peu de vin ? (sert tout le monde puis arrive à Molly)

MOLLY : non pas moi désolée...

Morland : pourquoi ?

MOLLY : je ne bois pas d'alcool...

Morland : (Insiste) Ce n'est pas un verre qui va vous tuer...

MOLLY : je ne peux pas boire d'alcool !

SHERLOCK : elle est déjà malade, je ne crois pas qu'un verre lui fasse le plus grand bien...

Morland : oui pardon...

MOLLY : non c'est moi... (commence à manger et tout le monde fait de même)

(un silence puis)

ROSIE : ça veut dire quoi criard ?

SHERLOCK : une couleur criarde est une couleur vive et généralement moche... tu n'osais pas demander ou tu n'y pense que maintenant ?

ROSIE : (rougit) oui...

MOLLY : il ne faut pas avoir honte et poser la question Rosie...

ROSIE : (sourit) oui !

SHERLOCK : (sourit)

MOLLY : bref... je ne vais pas m'imposer plus que ça... je crois que je vais partir...

Eudoria : vous ne restez pas pour le dessert ?

MOLLY : c'était très bon mais non désolée.

SHERLOCK : (a Molly) ça ne te gêne pas si tu rentres seule ? Les journalistes te laisseront si tu n'es pas avec moi...

MOLLY : non ça va... Au revoir ! (part)

TOUS : au revoir !

Morland : étrange cette petite...

SHERLOCK : tu connais quelqu'un qui n'est pas étrange dans notre entourage ?

Morland : plusieurs ton ami John, c'est ça ? Greg, Anthéa... vous n'avez pas beaucoup d'amis aussi...

ROSIE : Y a Enola qui n'est pas bizarre aussi !

Eudoria : (son visage s'assombrit) Enola...

ROSIE : j'ai dit quelque de mal ?

JOHN : on va y allez aussi... (se lève et prend Rosie dans ses bras. Ils partent)

SHERLOCK : (a Eudoria) elle va bien, je discute avec elle dès que je peux...

Eudoria : tu sais où elle est ?

SHERLOCK : si je te le disais elle l'apprendrait et partirait...

Morland : je m'en veux...

Eudoria : ce n'est pas ta faute...

Morland : si j'aurai dû éloigner ce type d'elle ne serait pas partie...

Eudoria : arrête, il avait l'air très gentil...

Morland : il s'appelait comment déjà Elion ?

Eudoria : Kylian...

SHERLOCK : Kylian ? Vous êtes sûrs de vous ?

Eudoria : oui...

SHERLOCK : vous connaissiez son nom de famille ?

Morland : non... par contre ça non...

SHERLOCK : vous pouvez me le décrire ?

Eudoria : c'était il y a trois ans...

Morland : grand, brun, la joue balafrée, tu l'as déjà croisé ?

SHERLOCK : je crois, oui... qu'est-ce qu'il disait pour vous mettre autant en confiance ?

Eudoria : on ne s'est pas trop méfié, c'est Enola qui nous l'as présenté...

SHERLOCK : et elle vous l'a présenté comment ?

Morland : (énervé) il est venu à la maison...

SHERLOCK : pas dans ce sens-là ! Je voulais dire si elle vous avait dressé un portrait de lui !

Eudoria : elle nous a dit qu'elle l'avait rencontré à la sortie de l'école, à la bibliothèque... Il avait l'air de beaucoup lui plaire...

SHERLOCK : ils ont évoqué un endroit où aller ou un projet de voyage ?

Morland : je ne l'aurai pas laisser faire !

SHERLOCK : tu ne peux pas empêcher les mots, ils n'ont vraiment rien dit ?

Eudoria : non... Attends ! (se dirige vers la chambre d'Enola suivi de Sherlock)

SHERLOCK : tu ne l'as pas vidé après tout ce temps ?

Eudoria : non... j'ai encore espoir qu'elle revienne... peut-être que tu trouveras quelques choses ici... Bon je ne devrais pas laisser Greg avec ton père on ne sait jamais... (part)

(Sherlock se retrouve seul dans la chambre, il y a des croquis plein les murs mais sinon tout est rangé. Il voit une protubérance au niveau de son oreiller. Il le soulève et trouve son carnet intime Il lit, le dernier texte date du 18 mars)

''Dru oju a'iu hts enu ruo jnu uep lai cep sj'i aer tno cne rnu emm oha ale uqe hto ilb ibl is't ial epp ana ili kli tir ruo nem moc iom l'ei vne edr itr ape ser dno fsn ada les sam rets er ehc acl im'a sir ppa seu qle uqs euq inh cet ruo pel tab moc spr oca spr ocl iem tia lpn eib ! ''