(Sherlock monte vers la chambre de Molly et entend la conversation)

MOLLY : Non...

JOHN : Tu es sûre ?

MOLLY : Oui...

JOHN : Alors tu ne seras pas contre une vérification ?

MOLLY : Je suis contre le fait que ton meilleur ami écoute aux portes... J'ai l'impression que ça lui devient une habitude !

JOHN : Sherlock...

SHERLOCK : (rentre) Comment est-ce que tu as fait pour me repérer ?

MOLLY : J'ai appris à reconnaître la présence de chacune des personne que je côtoie et parce que tu es la seule qui écoute au porte... De plus tu t'es appuyé sur la porte suffisamment pour qu'elle grince légèrement... Ce n'est ni Jim ni Sébastian car vu les bruits de l'étage... hum... Bref c'était donc toi

SHERLOCK : Effectivement, tu devrais faire un test.

MOLLY : De quoi ?

JOHN : Tu le sais mieux que nous... Ne fais pas l'idiote....

MOLLY : Je ne suis pas une idiote ! De quel test parlez-vous !

SHERLOCK : de grossesse, tes nausées ne sont pas normales.

MOLLY : JE NE SUIS PAS ENCEINTE DANS QUELLE LANGUE IL FAUT VOUS LE DIRE ?!!

JOHN : alors fait ce p**ain de test !

MOLLY : (très énervée) Si je vous dis que je le suis, vous me laisser tranquille ?!!

JOHN : Oh que non !

MOLLY : Et si je dis que je ne le suis pas ?!!

JOHN : On te poussera à faire ces tests !

MOLLY : L'un comme l'autre vous ne me laissera pas tranquille ?!! Je me trompe ?!!

SHERLOCK : On te laissera tranquille quand tu l'auras fait.

JOHN : En fait je crois que ce n'est pas nécessaire... Je ne suis pas aussi méticuleux que Sherlock mais j'ai appris ses méthodes... 1er indice : les nausées, 2ème indice : le grand appétit, je connais ma fille et elle mange pour quatre, si elle a été malade et pas Moriarty et Moran c'est que eux ont peu mangé mais toi aussi tu as été malade... 3ème indice : grande soif, tu as bu ton thé à une folle allure ! 4ème indice : les livres. Tu en a un sous ton lit qui s'intitule : « Bien choisir le prénom de son enfant » et dans la bibliothèque le seul livre qui n'est pas poussiéreux est « l'éducation de la petite-enfance »... 5ème indice : tu as posé un coussin entre tes jambes quand tu t'es couchée, une attitude de femme enceinte lue dans « la grossesse et après », Mary l'avait eu... Contente ?

MOLLY : Tu as tout faux ! (se lève et s'enferme dans sa salle de bain)

SHERLOCK : 6e indice : l'irritabilité ! Si tu veux qu'on arrête de t'embêter, fais ce test !

MOLLY : (ouvre la porte et lui balance à la figure le test avant de refermer la porte) Je l'ai fait hier !

(Sherlock le regarde il est positif)

SHERLOCK : (regarde John, paniqué puis demande à Molly d'une voix mal assuré) Tu... Tu sais qui est le géniteur ?

MOLLY : (des sanglots dans la voix) Bien sûr que je sais qui c'est...

JOHN : Qui est-ce ?

MOLLY : Vous m'aviez dit que vous me laisserez tranquille si je faisais ce test ! C'est fait, allez-vous en ! (sanglote)

SHERLOCK : (toque à la porte et dit d'une voix douce) Molly, qu'est ce qui s'est passé ? Tu peux me laisser rentrer ?

MOLLY : (toujours en larmes) Non... Appelle Jim... Je crois qu'il a fini...

JOHN : (regarde Sherlock d'un air étonné et articule ''mais qu'est-ce qu'il lui a fait ?'' muet)

SHERLOCK : (idem) tu le sais ! (plus fort) écoute Molly, John va rester avec toi le temps que j'aille les chercher. (Part)

MOLLY : hum...

MORIARTY : (voix rauque) tu as été très doux pour une fois...

MORAN : (idem) tu me l'avais demandé... (Voit arriver Sherlock) qu'y a-t-il ?

SHERLOCK : (chuchote) tu l'as violée, (plus fort en essayant de frapper Jim) TU L'AS VIOLÉE C**NARD !

MORIARTY : calme toi honey, je n'ai pas eu as faire grand-chose...

MORAN : oh ! Calmez-vous ! (le repousse violemment et braque son arme sur lui) James n'a rien fait ! Pas vrai ?

MORIARTY : J'ai fait peu de choses certes mais pas énormément...

MORAN : tu... tu as fait quoi ???

ROSIE : (arrive en courant) James ! Seb ! Sherlock ! Molly tremble de partout !

SHERLOCK : (part en courant vers la chambre)

MORIARTY : rien de grave mon chou (part lui aussi)

JOHN : (part terre la tête de Molly sur ses genoux) elle est fiévreuse...

MOLLY : (voix pâteuse) je... vais... bien...

JOHN : Restez pas planter là allez chercher de l'eau et des serviettes ! Et vous (à Moran) donnez-moi la boîte des cachets que vous lui avez donné.

MORAN : Pas la peine de vous énervez ! (revient avec une boite de doliprane et lui tends) Vous voyez ! Ce n'est pas du poison !

JOHN : (lit la notice) Tu en a pris combien Molly ?

MOLLY : (très pâle) Je... Je... Sais... Plus...

JOHN : Elle a fait du surdosage... (La soulève et la couche) Une nuit de sommeil et ça ira mieux...

MORAN : On peut faire un surdosage de ça ?!

SHERLOCK : (soupire) Oui Moran

MORIARTY : (revient avec de l'eau et des serviettes) Alors ?

JOHN : (les prends et passe une serviette mouillée sur le front de Molly) Surdosage... (Sourit) Elle survivra...

(Sherlock et Jim lâchent un soupir de soulagement)

JOHN : (sourit)

ROSIE : Papa ? Je peux te parler ?

JOHN : Euh... Oui... (À Sherlock) Tu t'occupes d'elle ?

(Sherlock hoche la tête et se rapproche du lit de Molly)

MORIARTY : (A Moran) Ils sont mignons tu ne trouves pas ? Ça me donne envie d'un buter un...

MORAN : Tu as promis...

(John et Rosie partent)

MORAN : Si tu ne le fais pas pour eux tu peux le faire pour moi...

MORIARTY : (se tourne vers lui) Tu sais très bien que je ne fais jamais ce que tu me demande. (Se rapproche de lui et lui chuchote a l'oreille) Alors pourquoi t'obéir ?

MORAN : (chuchote lui aussi) Parce que je suis le tigre alors que tu n'es qu'un loup... Et parce que tu m'aimes...

MORIARTY : (Hausse les épaules) peut-être... Et si on leur faisait au moins mal ? Une petite nuit de torture ça te dit ?

MORAN : (yeux qui pétillent) Oh oui

MORIARTY : (sourit) Là je te retrouve ! Je m'occuperai de Sherly, je te laisse la fille... A moins que tu veux qu'on s'amuse à deux sur eux, l'un après l'autre...

MORAN : Faisons leur une faveur, laissons leur le choix après tout ce sont des invités de marque ! (Sourire carnassier)

MORIARTY : (lui rend son sourire) Tu as raison mon tigre... Mais chaque chose en son temps, il faut d'abord qu'elle se réveille pour pouvoir un peu jouer...

MORAN : (râle) C'est toujours pareil...

MORIARTY : Quoi ?

MORAN : Ben faut toujours attendre qu'il se réveille ! On ne peut pas essayer quand ils dorment ?

MORIARTY : (sourit jusqu'aux oreilles) Transporte les, je m'occupe de tout installer (part à toute vitesse de la chambre avec l'attitude d'un gamin a noël)

MORAN : (à Sherlock et à Molly en leur pointant l'arme sur eux) Si vous voulez bien vous donner la peine de venir...

SHERLOCK : (bouge l'épaule de Molly doucement) Molly ? Réveille-toi, Moran veut nous torturer

MOLLY : (Se réveille) Hum... Quoi ? Non !

MORAN : (toujours l'arme pointés sur elle) Ben si, viens qu'on en finisse, je n'ai pas envie de contrarier James.

JIM : (depuis une autre pièce) : (criant) Ce n'est plus Jim ?

MOLLY : (fait mine de faire un câlin à Sherlock mais chuchote) Flingue sous l'oreiller... (Plus haut) Je peux à peine me lever Seb ! Et pourquoi maintenant ?!! Vous avez eu cinq jours ou vous n'avez strictement rien fait !

(Sherlock se retire en prenant le révolver discrètement)

MORAN : Maintenant qu'il est là, ce sera plus drôle...

MOLLY : Je t'ai fait confiance ! Mais je m'y suis attendue... (Sherlock se place derrière Moran) C'est pour ça que j'avais un plan B... Maintenant !

(Sherlock lui donne un coup de crosse)

(Moran s'effondre)

SHERLOCK : (le regarde) C'était simple. (Relève la tête et regarde Molly) On va chercher Rosie et John maintenant

MOLLY : Oui ! (se lève un peu trop vite et titube) Oulla ! Je n'aurai pas dû me lever aussi vite ! (soulève son matelas et prends les trois armes qu'il y a. Sherlock la regarde) Quoi ? J'étais préventive et puis je savais que vous viendriez.

SHERLOCK : Tu as bien fait. (Lui prend la main pour qu'elle prenne appuie dessus)

MOLLY : (prends appui) Merci. (Charge une à une les armes) JOHN ?! ROSIE ?!

MORIARTY : (revenant) C'est bon Seb ? Tu as pu... (Tombe sur Sherlock et Molly derrière Moran et armée jusqu'aux dents) C'EST QUOI CE B**DEL ?!

MOLLY : (le gifle) Ca me démangeais ! Bref où sont Rosie et John ? (se retourne et prends une corde dans son armoire et ligote fermement Sébastian) Sinon ben tu t'es fait avoir comme un bleu ! Enola ? Tu peux dépêcher un ou deux flic qu'on soit tranquille ? Jim tourne toi !

MORIARTY : (soupire) Comme tu veux... (Sort un pistolet de sa poche et lui tire dans le ventre) Il ne fallait pas jouer contre un niveau plus élevé que toi chérie...

MOLLY : (surprise et se plie en deux) Salaud ! (Lui tire aussi dessus) Enola ! Appelle aussi les urgences ! Ah ! (Se prend le ventre) Humpf... Retrouve John !

SHERLOCK : Je reste en attendant que les secours arrivent. (S'agenouille a côtés d'elle et regarde sa blessure)

MORIARTY : Comme c'est galant de vous livrer tous les deux...

MOLLY : Ne t'inquiète pas il ne sait pas viser. La balle n'a touché aucun organe vital. Il a juste réussi sûrement à me cassé une côte ou deux... Occupe-toi de lui !

MORIARTY : oh là là que j'ai peur ! (part) Essaye de m'attraper Sherly !

(Sherlock ne réagis pas, se concentre sur Molly)

MOLLY : Mais comment il fait pour courir ? Je lui ai tiré dessus ! Va, Sherlock ! Ne t'inquiète pas ! Il va nous échapper ! Va buter ce sal**ard !

SHERLOCK : (prend une arme et lui en donne une)

MOLLY : Pars

MORIARTY : Youhou je suis là !

SHERLOCK : Vous pouvez arrêter de vous cacher comme un enfant de 4 ans

MORIARTY : (continue de courir. Sherlock le talonne) Naaaaaan !!!

SHERLOCK : Vous comptez aller où comme ça ?

MORIARTY : Nulle p.. (se prend Rosie de plein fouet)

JOHN : (lui colle un couteau sous la gorge) Ecarte-toi Rosie !

SHERLOCK : (ramasse l'arme de Moriarty qui a glissé quand il est tombé)

JOHN : Ou est Molly ?

SHERLOCK : Elle s'est pris une balle et je compte bien régler son compte à ce c**nard (vise avec l'arme de Moriarty puis se retient) Eloigne rosie, je ne veux pas qu'elle voie ça

JOHN : Viens ma chérie on va voir Molly ! (la prends dans ses bras et s'en va)

MORIARTY : (allongé par terre) Alors ça fini comme ça ? (rit) C'est une mort bien bête ! Mais je sais que tu ne tiras pas ! Pour elle... Pour son enfant... tu n'as pas envie de la laisser seule....

SHERLOCK : En quoi te tuer m'affecterai ? Il y a un mois tu étais encore mort pour moi... (Le vise)

MORIARTY : Si tu avais tellement envie je serai déjà mort... Tu es un lâche Sherlock ! Un lâche !

SHERLOCK : Surement (lui tire dans la jambe et dans son épaule et part) au moins vous vous rappellerez de moi... Bonne chance pour vous rétablir !

MORIARTY: laches! (Rit bizarrement)

JOHN: Molly! (lui tapote la joue) Molly ! Reste avec moi ! Putain ! Enola les urgences c'est pour quand ? (On entend les sirènes)

JOHN : Ce n'est pas trop tôt !!!

(Sherlock porte Molly jusqu'à l'entrée ou il est relayer par les ambulanciers)

AMBULANCIER : Merci. Les gars en route... Vous venez Mr ?

MOLLY : (se réveille difficilement) Sherlock... Sherlock ? Tu... Moriarty...

SHERLOCK : (secoue la tête) J'arrive, je m'occuperais de lui plus tard...

MOLLY : Fait le maintenant ! Avant que je replonge dans le sommeil... Je veux que quand je te retrouve il soit... Tu m'as comprise...

SHERLOCK : Oui. (Crie) John ? Tu peux rester avec elle dans l'ambulance ? Prend rosie avec toi. (Retourne au château)

JOHN : Ok... Fait attention à toi !

MORIARTY : (criant) Seb ?

MORAN : (idem) Ouais ?

MORIARTY : (idem) Ils sont partis ?

MORAN : (idem) Je crois Ouais ! Ça va ?... .

MORAN : (légèrement paniqué) Jim ???... .

MORAN : P**ain répond ! Ce n'est pas drôle

(Moran entends un bruit de gun et des pas s'éloignant)

MORAN : Jim ?!! S'il te plait répond-moi ! Y a quelqu'un ?!! S'il vous plait aidez-moi !!!

SHERLOCK : (extrêmement calme) tais-toi.

MORAN : Sherlock ?!! Que lui avez-vous fait ?

SHERLOCK : Viens voir par toi-même.

MORAN : Je voudrais bien mais voyez-vous votre chère amie m'a ligoté....

SHERLOCK : (soupire) J'arrive (monte les escaliers)

MORAN : Détache-moi ! (regard noir) Si vous lui avez fait du mal... (Des bruits de pas)

LESTRADE : Sherlock ? Où es-tu ?

SHERLOCK : En haut ! Occupe-toi de Moriarty !

LESTRADE : (Monte) On l'a croisé... C'est toi qui (passe son doigt sous sa gorge) ?

SHERLOCK : oui. (Détache Moran) Tu veux le voir ?

MORAN : Quoi ?! Tu lui as tiré dessus ? Comment tu as osé ?! (Des larmes coulent) James...

MYCROFT : (arrive un peu essoufflé) Sherlock ! Tu nous as fait une de ses peurs ! (le prend dans ses bras) Sincèrement je suis heureux que tu n'aies rien !

ENOLA : (arrive aussi avec des béquilles) Moi aussi j'ai le droit au câlin ? (rejoint ses deux frère)

SHERLOCK : (un peu gêné) Oui je vais bien, mais pas Molly

ENOLA : On a entendu les coups de feu... Les médecins de santé l'ont évacuée par hélico et on en a un pour rentrer à Londres, tu viens ?

LESTRADE : (passe les menottes à un Moran anéanti qui répète désespérant le nom de son amant) Je m'occupe de lui...

SHERLOCK : Laisse-moi lui parler 10 minutes...

LESTRADE : Tu pourras l'interrogé à Londres... ta copine est blessée ! Tu ne trouves pas que c'est plus important ? Prends cet hélico !

SHERLOCK : Juste dix minutes et après je le prendrais...

LESTRADE : (soupire) Garde-le en vie...

(Lestrade, Mycroft et Enola partent)

MORAN : (toujours pareil : il répète le nom de James indéfiniment en pleurs)

SHERLOCK : (s'asseyant à côtés de Moran) Sébastian ? Vous allez bien ?

MORAN : (regard noir) J'ai l'air d'aller bien ? Vous venez de buter la seule personne au monde que j'aimais... Ça ne vous fait rien ?

SHERLOCK : Il allait me tuer si je ne le faisais pas... Je sais que c'est dur pour vous mais je ne peux pas vous aidez, je ne le connaissais pas comme vous...

MORAN : On était encore jeunes... On avait la vie devant nous... Je lui ai dit de ne pas jouer à vos jeux stupides ! Mais non... Il a préféré tenter le diable ! (se lève brusquement et frappe le mur de toutes ses forces) JAAAAAAAAAAAAMEEEEEEEEES ! (éclate en sanglots et s'effondre par terre)

SHERLOCK : (lui tends la main pour l'aider à se relever) il a toujours été joueur, il cherchait du risque dans un monde où on l'étouffait ; tout pour lui était un jeu... Quel est votre meilleur souvenir avec lui ?

MORAN : (sourit tristement) quand on a visité cette maison... Il était comme un gamin à noël... Il a dit que ça serai notre foyer, notre chez-nous, il parlait de mariage et de gamins même si on savait tous les deux qu'il en aurait été hors de question... Il avait des rêves plein la tête et des étoiles plein les yeux... Maintenant il fait partie d'elles...

SHERLOCK : Vous devez continuer de vous rappeler de lui comme ça, je suis désolé mais il faut que je vous ramène à Lestrade

MORAN : Je comprends... Même si c'est dur je comprends... (Le suit)

SHERLOCK : (chuchote) Barrez-vous dès que vous le pourrez et trouvez-vous un autre Jim, vous êtes innocent et ne méritez pas de souffrir

MORAN : (chuchote) Je ne suis pas tout blanc j'ai commis des atrocités inimaginable... et rien ni personne ne pourra remplace James/Jim Moriarty dans mon cœur...

SHERLOCK : Le fait que vous dites ça montre que vous pouvez vous rachetez...

MORAN : (soupire) Allez la rejoindre... Tant que vous le pouvez....

SHERLOCK : N'essayer pas de le rejoindre de votre côtés, vous l'avez dit vous-même : vous êtes jeunes, profitez. (Le confie à Lestrade et rejoint l'hélico)

MORAN : (chuchote pour lui) Mais une vie sans lui n'est pas une vie...

ENOLA : T'en a mis du temps... (Sourit) Tu lui as lu une histoire ?

SHERLOCK : On va dire (monte dans l'hélico)

ENOLA : Sinon toi tu vas bien ? Pas trop secoué ?

SHERLOCK : Je viens de tuer un homme

ENOLA : Ca on le sait... Tu viens surtout de sauver le monde d'un malade mental et psychopathe...

MYCROFT : Ils ne sont pas obligés de savoir que c'est toi... Tu as l'arme ?

SHERLOCK : (lui tend sans un mot)

MYCROFT : (la prends sans un mot)

(Silence pesant)

SHERLOCK : A quel hôpital Molly a été rapatrié ?

ENOLA : Le meilleur de Londres comme d'habitude...

SHERLOCK : Bart ou une clinique privée?

ENOLA : Bart. (Le téléphone vibre) Ils sont arrivés sans encombre et Molly va bien...

SHERLOCK : (acquise et se met en position de réflexion)

ENOLA : (sourit) Tout va rentrer dans l'ordre...

SHERLOCK : Si tu le dit...

ENOLA : Et pourquoi ne le serait-ce pas ?

SHERLOCK : Je n'ai aucune idée de la suite des évènements

ENOLA : (soupire) Nous allons retrouver Molly, John et Rosie....

SHERLOCK : Ce n'est pas pour ça qu'on prend l'hélicoptère ?

ENOLA : Si... (Sourit)

MYCROFT : Je te rappelle Enola que c'est exceptionnel je n'ai pas tous les droits !

SHERLOCK : Une bonne partie en tout cas... On en a pour combien de temps environ ?