Chapitre 30 : Vous n'êtes pas chez les bisounours !

~30 minutes later ~

Voix : votre vol à destination de Manchester est arrivé. Veuillez rabattre les tablettes et détacher les ceintures...

SHERLOCK : (Il referme son livre et réveille John)

JOHN : Hein ? Quoi sh...(Sherlock lui plaque sa main contre la bouche) Ah oui... thomas ! On est arrivés ?

SHERLOCK : Oui HARRIS (Il accentue se dernier mot suivie d'un regard appuyé) Tu viens ?

JOHN : Oui !

ENOLA : Alors vous êtes prêts ? Descendez de l'avion...

SHERLOCK : jusque-là je sais comment on fait merci...

ENOLA : (imperturbable) prenez un taxi pour aller au port ou vous prendriez le premier bateau en direction de l'île...

SHERLOCK : (sarcastique) merci de tes précieux conseil*hèle un taxi

ENOLA : John prends dans ton sac des lunettes. Elle comporte une caméra, je pourrais vous dire ce dont vous avez besoin...

JOHN : (Le fait)

SHERLOCK : on voit que ce sont des fausses lunettes..

JOHN : (sort la caméra, et fait un trou dans la poche de sa chemise avec un couteau suisse, puis la passe) Là au moins c'est plus discret car ma chemise est noire... Tu vois quelque chose Enola ?

ENOLA : Tourne là un peu à droite... Parfait...

SHERLOCK : qu'est-ce que on fait ensuite ?

ENOLA : vous êtes arrivé ? Bien. Vous voyez le bateau en face avec la femme en orange c'est celui-là que vous devait prendre...

SHERLOCK : ok (se dirige vers elle)

ENOLA : tu trouveras l'argent pour deux billets dans ton sac Sherlock...

SHERLOCK : (sort les billets de banque et les tend à la femme en demandant un voyage jusqu'à l'ile de man)

ENOLA : en quinze minutes vous y êtes...

JOHN : je commence à paniquer...

ENOLA : faut pas John, ça va allez...

SHERLOCK : pourquoi est-ce que tu paniques ? Tu ne paniques pas comme ça d'habitude..

JOHN : peut-être parce que d'habitude Rosie est à la maternelle pas avec un psychopathe !!!

SHERLOCK : c'est vrai que si on ajoute ce facteur, cette situation devient plus dramatique..

JOHN : (respire difficilement)

ENOLA : John... assis toi et inspire profondément puis expire (le fait)

JOHN : merci je sais quoi faire en cas de panique ! (des regards se retournent vers eux)

ENOLA : John écoute moi ! Et fait-le !

SHERLOCK : tu veux que je t'aide d'une quelconque manière ?

JOHN : non c'est bon !

ENOLA : calme toi ! Les gens te regardent !

JOHN : (ferme les yeux et respire lentement)

ENOLA : tu vois ça fait du bien...

SHERLOCK : (monte dans le bateau) Il faudrait que tu viennes aussi, ce serait du suicide sans toi.

JOHN : (sourit) arrête on sait tous les deux que ce n'est pas vrai ! (monte)

SHERLOCK : c'est vrai !

ENOLA : pas le temps pour ça !

JOHN : mais tu veux qu'on fasse quoi d'autre ? On n'est pas encore arrivés que je sache !

ENOLA : pardon ! Pardon... Mais vous devriez rassurer les gens ils vous regardent d'un drôle d'air !

SHERLOCK : kit main libre... Ne vous inquiétez pas..

ENOLA : bonne idée !

JOHN : (chuchote) il en a toujours... même celles qui foirent ! (sourit)

SHERLOCK : mais idée ne loupent jamais voyons ! (le regarde) arrête de sourire !

JOHN : sinon quoi ?

SHERLOCK : sinon Enola diffuse les photos !

JOHN : si elle diffuse les miennes, elle fait pareil pour toi !

ENOLA : arrêtez de me tenter !

MYCROFT : aucun de ces dossiers ne sera divulgués ! Supprime-les ou je le fait !

ENOLA : rappelle-toi ce que je t'ai dit à l'hôpital !

MYCROFT : (la gifle, soudain furieux) celle-là tu ne l'as pas volé !

LESTRADE : (Choqué) Mycroft !

MYCROFT : ne t'occupe pas de ça Greg !

ENOLA : (sanglots dans la voix) Une des raisons pour lesquelles je préfère Sherlock !!!

SHERLOCK : Mycroft ! C'est une gamine ! Pourquoi est-ce que tu l'as frappé ?! Tu es véritablement un connard, je ne comprends pas pourquoi Lestrade te supporte !

MYCROFT : elle n'a aucune éducation ! Si ça ne tenait qu'à moi je l'aurai mise dans un pensionnat pour cas difficiles !

ENOLA : laisse tomber Sherlock je l'ai mérité... Et puis on est tous sur les nerfs... reconcentrons-nous !

SHERLOCK : Non tu ne l'as pas mérité ! Mycroft si tu touches à un seul de ces cheveux, je m'assurerai personnellement que tu ne puisses plus rien toucher du tout !

MYCROFT : Essaie seulement pour voir et ce que Moriarty aura pu te faire, sera comparable à un goûter d'anniversaire à côté de ce que je vais te faire subir !

ENOLA : eh oh ! Je suis là je t'entends ! Et puis toi Mycroft arrête ! Je vous rappelle qu'on doit sauver deux personnes et vous, vous vous battez comme des gamins ! Et puis je n'ai pas besoin de toi, Sherlock, pour me défendre !

SHERLOCK : tu ne t'es pas défendue quand il t'a giflé

ENOLA : (soupire d'énervement) Occupe-toi de tes affaires ! Parce qu'il me semble que tu as eu à plusieurs reprises besoin qu'on te défende !

JOHN : Sherlock ! Les autres te prennent pour un dingue... Ferme-la !

SHERLOCK : je n'ai pas besoin de ça pour qu'il me prenne pour un cinglé !

JOHN : FERME LA !

ENOLA : non c'est vrai... tu es cinglé, et tout le monde le sais !

SHERLOCK : alors où est le problème ?

ENOLA : le problème ? Mais c'est toi ! Ton arrogance, ton antipathie pour les autres, ton incompréhension de notre monde actuel, ton incompréhensible ignorance de ce qui fonde notre société, tout en fait ! Je me demande ce qu'elle te trouve franchement ! Tu as tous les défauts de la planète en toi !

SHERLOCK : tu as fini ou tu veux faire une liste ?

ENOLA : on en aurait jusqu'à pas d'heure ! Je n'ai fait que la synthèse !

MYCROFT : calme toi !

ENOLA : tu oses me dire de me calmer ? Mais tu viens de me gifler ! Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter deux frères pareils ! Je demande ce que notre sœur aurait à me proposer !

SHERLOCK : (Extrêment calme) Elle ferait surement des expériences sociales sur toi, en nous tuant devant tes yeux. Je crois que niveau famille, tu peux trouver mieux..

ENOLA : ça sera mieux que de rester avec vous deux ! J'abandonne ! (on l'entend rouler sur le carrelage)

MYCROFT : revient ici tout de suite ! Je crois que je vais craquer !

LESTRADE : calme toi Mycroft...

SHERLOCK : (à John) Comment on fait maintenant ?

JOHN : Il n'y a qu'une manière de la faire revenir, c'est que tous les deux vous fassiez la paix, et que vous excuser auprès d'elle... Je suis sûr qu'elle reviendra... Appelle-la !

MYCROFT : Elle n'a qu'à pas me faire chanter !

SHERLOCK : tu es censé être le plus mature donc arrête de jouer l'enfant !

MYCROFT : (on l'entend courir) Enola !

~temps de pause ~

LESTRADE : enfin Enola !

ENOLA : ouais, ouais... (reprend tout en main) Vous êtes sur le quai ? Super ! Avance jusqu'au taxi... c'est le bon... québécois et sinusite...

SHERLOCK : ok, il est déjà payé ?

ENOLA : oui... prenez le...

JOHN : et après ?

ENOLA : ...

JOHN : et après Enola ?

ENOLA : je préfère ne rien répondre...

SHERLOCK : dit-nous Enola, tu ne fais que monter le stress ...

ENOLA : dire quoi ? Que je ne sais rien de la suite ? Que vous êtes livrés à vous-même ? Que dès que vous poserait le pied dans son antre tout est possible ? Que ça m'angoisse aussi ? C'est ça que tu voulais entendre ?

SHERLOCK : non mais au moins on a une idée de ce qui nous attend...

ENOLA : non justement... tu n'as pas idée.

MYCROFT : si ça t'angoisse je peux reprendre le flambeau...

ENOLA : non ça ira...

SHERLOCK : tu as au moins une esquisse de plan Mycroft ?

MYCROFT : même pas... Enola te l'a dit des signaux brouillent nos appareils....

SHERLOCK : autant arrêtez les oreillettes à ce moment-là... (Le fais)

ENOLA : pas les oreillettes... John dit lui...

JOHN : remet-les...

SHERLOCK : ils ne pourront pas nous aider alors à quoi ça sert ? Et puis on a les autres appareils qui seront inefficaces, autant les éteindre

JOHN : et pour les prévenir en cas de danger ?

SHERLOCK : Ils ne nous captent même plus...

JOHN : Enola ?

...

JOHN : tu nous entends ?

Enola Sherrinford Holmes à John Watson : on vous entend mais ça n'a pas l'air d'être votre cas...

JOHN : elle nous entend...

SHERLOCK : c'est le principal (rallume son oreillette)

JOHN : on est arrêté devant une bâtisse en pierre...

Enola Sherrinford Holmes à John Watson et à Sherlock Holmes : vous êtes arrivé.

SHERLOCK : on a plus qu'à entrer (se tourne vers lui) Tu es prêt ?

JOHN : (inspire profondément) Je suis prêt... tu sais comment on va entrer ?

SHERLOCK : (sourit) Par la porte?

JOHN : (une tape sur l'épaule et sourit) Imbécile !

SHERLOCK : au moins tu es moins stressé...

JOHN : Pfff ! (regarde autour de lui) Je ne sais pas ce qu'il fait, ou a fait, comme boulot ce Moriarty, mais il doit gagner un beau pactole pour pouvoir s'acheter une maison pareille !

SHERLOCK : criminel consultant rapporte apparemment plus que détective consultant...

JOHN : ça c'est clair, mais je crois que même si tu avais la possibilité, tu ne partirais pas de Baker Street, je me trompe ?

SHERLOCK : je ne vois pas l'intérêt de partir.

MORAN : halte ! Qui êtes-vous ?

JOHN : (se retourne doucement et modifie un peu sa voix, prenant un accent américain) On est des touristes et on cherche notre hôtel... Je crois que le chauffeur de taxi s'est trompé...

SHERLOCK : (fais semblant d'être en colère) Non c'est de ta faute ! Tu as encore une fois parlé dans ta barbe et ce pauvre taxi a rien compris !

JOHN : (un peu surpris) et tu crois que ce n'est pas un peu de la tienne aussi ?!! Je fais toujours tout ! Prends des initiatives un peu !

MORAN : calmez-vous un peu ! Restez-là je vais informer le propriétaire que vous êtes ici... (S'en va)

SHERLOCK : (attend que Moran soit parti assez loin puis chuchote à John) s'il ne nous a pas reconnu alors peut-être que Moriarty non.

JOHN : j'ai eu la bonne idée de garder ces lunettes... et cette casquette... mais on pourrait profiter pour entrer en douce...

SHERLOCK : trop suspect si on a pas d'excuses..

JOHN : mais Moran n'a fait que nous voir, Moriarty, lui, c'est qui nous sommes et comment nous fonctionnons !

SHERLOCK : tu as raison, viens (rentre)

JOHN : (rentre et chuchote) on est entré...

SHERLOCK : heureux que tu t'en sois rendu compte. Il y a des caméras, suis moi (longent les murs)

JOHN : (chuchote) c'est pour Enola...

(Derrière une porte)

ROSIE : tu savais que les nuages c'était de l'eau ?

MOLLY : oui... j'ai fait des études je l'ai appris comme toi...

JOHN : m**de y a quelqu'un devant !

SHERLOCK : je m'en occupe, passe-moi ton colt (lui tend sa main)

JOHN : (lui tend) fait gaffe, il a l'air balaise le gars !!!

SHERLOCK : je sais (lui tire dans la tête et il s'effondre) Maintenant ce n'est plus important ...

JOHN : (ouvre la porte)

ROSIE : (se jette vers lui)

SHERLOCK : (en même temps pause une main sur Molly qui est de dos)

MOLLY : (par une prise le plaque au sol)

ROSIE : Molly ! On a dit plus de ça !

MOLLY : je ne sais pas qui ils sont !

ROSIE : c'est papa et Sherlock !

MOLLY : quoi ? (tourne la tête de Sherlock vers elle) désolée, réflexe... (L'aide à se relever)

SHERLOCK : je ne m'attendais pas à ça en venant vous aider... Vous allez bien ?

MOLLY : oui.

ROSIE : James a était très gentil avec nous... mais on ne devait pas partir dans deux jours ?

SHERLOCK : depuis quand est-ce que tu l'appelles James, Rosie ?

MOLLY : depuis qu'il lui a demandé...

ROSIE : il n'est pas si méchant dans le fond... vous ne le comprenez tout simplement pas...

(Dans le couloir)

MORAN : je te jure qu'ils étaient là !

(John et Sherlock se planquent)

MORIARTY : fous-toi de moi aussi !

MORAN : je ne m'amuserai pas à ça !

MORIARTY : les filles ! C'est l'heure du goûter !

SHERLOCK : (fait signe a John de rester où il est)

MORIARTY : Il y a quelques choses les filles ? Vous semblez anxieuse..

MOLLY : anxieuse ? Pas le moins du monde ! (lui offre un sourire véritable) allons goûter ! (prends Rosie avec elle)

SHERLOCK : (les voient partir et articule un ''tu sais ce qui se passe ?!'' muet à John)

JOHN : (idem) ''non ! C'est la première fois que je la vois sourire ainsi depuis longtemps''

SHERLOCK : (idem) ''de la drogue dans leur gouter ?''

JOHN : (idem) ''aucune idée''

SHERLOCK : (idem) ''alors quoi ?on devrait les suivre''

JOHN : (idem) ''ok !''

(Sherlock et John partent de la salle)

(Dans le couloir)

MORIARTY : c'est bon ?

MORAN : oui... elles ont acceptées sans broncher...

MORIARTY : elles sont habituées maintenant...

MORAN : faudrait quand même faire quelque chose pour Molly, je crois que ses nausées continuent...

MORIARTY : je ferais venir un médecin...

MORIARTY : (en sortant) Hello, vous croyez que je ne vous aviez pas remarqué ? Méchant Sherly, tu as triché....

JOHN : que leur avez-vous fait ?!!

MORIARTY : calme-toi Johnny boy !

MORAN : (sort son arme)

JOHN : (fait de même)

SHERLOCK : John ça ne servira à rien, pose ton arme. Nous voulons juste des informations sur ce que vous lui avez fait.

MORIARTY : (sourit bizarrement) Si ce n'est que ça va leur demander (un moment de pause et dit en faisant claquer sa langue) Sherlock

JOHN : (toujours l'arme pointée vers Moran) Où sont-elles ?

MORAN : (regarde sa montre) elles ont finis dans cinq minutes...

MORIARTY : (tape dans ces mains) Bon ! Quelqu'un veut du thé en attendant ?

JOHN : (soupire)

MORAN : moi s'il te plait...

MORIARTY : Si tu veux Seb, j'y vais... Tu les surveille pour moi s'il te plait ? (part)

JOHN : (regard noir)

(On frappe à la porte)

MORAN : (ouvre)

MOLLY : merci... je vois que vous vous êtes dit bonjour !

ROSIE : papa !

SHERLOCK : on va dire ça ...j'ai entendu parler de nausées, tu vas bien ?

MOLLY : oui. Pourquoi ?

ROSIE : moi aussi j'ai été malade... on a mangé des fruits de mer pas très frais...

MORAN : j'ai dit que j'étais désolé !

ROSIE : mais tu es pardonné ! (sourit)

SHERLOCK : (parlant pour lui) Vous avez l'air d'aller bien... (Relevant la voix) Il vous a dit pourquoi est-ce qu'il vous a kidnappé ?

ROSIE : t'embêter... (Sourit)

MORAN : je suis encore la ! Youhou !

SHERLOCK : (sourit fugacement) que ça ?on a eu très peur tu sais...

MOLLY : il ne fallait pas... ils nous auraient tuées, il n'y aurait plus eu de chantage...

ROSIE : c'était même cool !

JOHN : (a Rosie) Vous avez fait quoi ?

SHERLOCK : (a Molly) il vous aurait surement tuées et tu réagis juste comme ça ?!

MOLLY : je t'ai dit qu'il ne nous aurait rien fait ! Pourquoi ne veux-tu pas l'entendre ?!!

ROSIE : on est allées au parc, on a vu plein d'animaux et y a même eu un feu d'artifice !

SHERLOCK : parce que c'est Moriarty ? Parce que je tiens un minimum à vous ? Parce qu'on était sans nouvelle à part ces putains d'énigmes ?

JOHN : un feu d'artifice ?ça t'as plu ?

ROSIE : oui ! C'était trop bien dommage que vous n'étiez pas la !

JOHN : (prend sa fille dans ses bras) tu me manques...

ROSIE : moi aussi !

MOLLY : hum... (crie) Jim ?! Tu as fini avec le thé ?!

MORIARTY : (arrive avec un plateau avec 4 tasses) J'arrive Molly jolie ! (pose ledit plateau et temps une tasse a Molly) tiens, je suppose que tu en voulais donc je ne t'ai pas demandé... tu veux un chocolat chaud Rosa ?

ROSIE : oh oui ! Avec tout et tout hein ?

MOLLY : (sourit) merci Jim... (Bois une gorgée)

MORAN : je vais te le faire Rosie (part)

MORIARTY : Pas la peine Sebby je l'ai déjà fait (donne une tasse a Rosie) Fait attention c'est chaud... (crie) Tu reviens ? J'ai ta tasse et si tu continues d'attendre ça va être imbuvable !!! (Sherlock et John s'échangent des regards mi- effrayé mi- ''qu'est ce qui se passe ?'' )

MORAN : j'arrive ! (revient)

ROSIE : merci James !

MOLLY : (continue de boire puis s'arrête) excusez-moi... (Part)

SHERLOCK : ce ne sont pas que les fruit de mer n'est-ce pas ?ça fait trop de temps que ça dure ..

MORAN : vous ne savez pas quand ça a commencé...

ROSIE : t'inquiète pas Sherlock, Molly va très bien...

SHERLOCK : vu ta résignation plus de trois jours, c'est beaucoup de temps...

ROSIE : ma quoi ?

SHERLOCK : résignation, c'est quand on ne lutte plus.

ROSIE : (Enervée) Elle VA BIEN !

JOHN : Rosie !

ROSIE : ben quoi ?!

MORIARTY : (sourit) Rosa... c'est ton père...

ROSIE : pardon papa...

MORIARTY : tu devrais faire plus attention à son éducation Johnny boy... Dit, je pourrais la reprendre un autre jour ? On s'est bien amusé tous les quatre pas vrai Rosa ?

ROSIE : (sourit) oui ! S'il te plait papa ?!!

JOHN : Je ne sais pas quoi dire .

MORIARTY : s'il te plait Johnny !

MOLLY : (revient un peu pâle)

ROSIE : Molly ! Ça va ? Sherlock ne voulait pas me croire quand je disais que tu allais bien...

MORAN : un problème ?

MOLLY : (sourit) aucun ! J'ai dû boire mon thé trop vite, ça ne m'a pas réussi...

MORAN : (sourit) Ok, je t'ai déjà donné des cachets tout à l'heure, désolé ..

MOLLY : Oui, merci ça m'a soulagé... (à Sherlock regard noir) et toi qui disait qu'ils voulaient me tuer ! S'ils le souhaitaient réellement crois-tu qu'ils m'auraient aidé à calmer mes maux ?

SHERLOCK : il bluffe ! Ça se voit que ce n'est pas sincère !

MORAN : une confiance sans borne dit donc ...

MORIARTY : tu l'as dit Sebby ..

MOLLY : crois ce que tu veux mais tu ne m'empêcheras jamais d'accorder ma confiance en eux ! Le fait que Jim eu été ta Némésis m'a fait douter de lui, mais ces cinq derniers jours m'ont ouvert les yeux ! Je le haïssais car tu le haïssais ! Mais c'est fini ! Je fais confiance en Jim et peu importe ce que tu me diras ça ne changera pas !

MORIARTY : Woaw... Merci Molly. Tu as entendu Sebby ?

MORAN : oui boss, j'ai encore des oreilles à ce que je sache ...

SHERLOCK : qu'est ce qui s'est passé pour que ça t'ouvre AUTANT les yeux ?

MOLLY : ce qui s'est passé ne regarde en aucune manière ! (se lève mais défaille, elle est rattrapé par Moran)

MORAN : tu devrais te reposer...

MOLLY : tu as raison... (Se relève plus fermement et se dirige vers une chambre)

JOHN : Molly ?

MOLLY : hum...

JOHN : je peux te parler deux minutes ?

MOLLY : viens....

JOHN : (va dans la chambre et ferme la porte)

MORIARTY : et ils ne furent plus que 3 et demi...

ROSIE : hey ! Je ne compte pas pour 1/2 ! Je compte pour 1 !

MORAN : mais t'es un mini-pouce...

ROSIE : (lui donne un coup dans l'abdomen) de la part de mini-pouce...

MORAN : (plier en deux) t'as une sacrée force dis-donc ! T'as gagné... (Sourit)

MORIARTY : (a Moran) tu crois qu'on pourra essayer de la faire tirer ? Je suis sure qu'elle est doué à ça !

SHERLOCK : (s'étrangle à moitié avec ces mots) quoi ?!

MORIARTY : Sherly ! Je croyais que tu étais mort depuis le temps !

ROSIE : oh oui ! Dis oui tonton ! S'il te plait

SHERLOCK : non ! De toute façon, tu n'aurais pas assez de force ...

MORIARTY : c'est vrai... il faudrait un truc plus léger ...

MORAN : lancer de couteau ? C'est diffèrent mais ça requière les mêmes capacités ...

MORIARTY : oh oui ! Tu es un génie mon tigre (l'embrasse et chuchote) Ce soir pour la suite... (plus haut) tu vas chercher ta mallette ?

MORAN : oui mon loup... (part)

ROSIE : cool ! (crie) papa ! Je vais lancer des couteaux !

JOHN : (alarmé sort de la chambre et court prendre sa fille dans ses bras) Rosie ! Ma puce tu n'as rien ?

ROSIE : non ! James et Seb vont m'apprendre à lancer des couteaux...

JOHN : (s'étrangle aussi) quoi ? (à Sherlock) et tu ne dis rien et ne fait rien ?!!

SHERLOCK : je suis impuissant et j'avais envie de lui apprendre, ne t'inquiète pas je serais à cotés d'elle et ferait attention à ce qu'elle ne se fasse pas mal.

MORIARTY : tu comptes vraiment faire le pot de colle sherly ? Tu es ennuyant envers elle..

JOHN : il est hors de question que ma fille se livre à ces jeux barbares !

ROSIE : mais papa...

JOHN : (la coupe) il n'y a pas de mais ! (lui prend la main) on s'en va...

MORAN : (revient valise et arme à la main qu'il pointe sur John) vous avez oublié un détail vous n'êtes pas chez les bisounours !

MORIARTY : (sur un ton calme, voire presque chantant) et vous ne pouvez pas vous échappez, vous êtes bloqué avec nous les copains !

JOHN : (soupire e lève les mains) ok... mais je ne veux pas ! Elle a cinq ans bordel ! Rosie suis moi on va voir Molly... (S'en vont vers la chambre)

MORAN : (dégouté) pour une fois que je pouvais les montrer à un gosse...

MORIARTY : tu auras le temps plus tard mon chou, en attendant suis moi (le prend par le col et l'emmène dans une chambre) 

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