Chapitre 25 : QUAND EST-CE QUE TU VAS COMPRENDRE

QUE VIVRE AVEC TOI C'EST DANGEREUX ?


SHERLOCK : John ? Tu ne peux rien faire pour elle ?

JOHN : Non. Cette femme est morte depuis deux jours...

LESTRADE : Je ne reste pas plus longtemps ici...

SHERLOCK : Oui... (Son regard quitte le corps et il décide de partir)

JOHN : Ou vas-tu encore ?

SHERLOCK : (retourne violement vers John) Change-moi les idées, maintenant !!!

JOHN : (sursaute) Quoi ?

LESTRADE : Qu'est-ce que t'as ?

SHERLOCK : Empêchez-moi de me divertir ! Il faut que je reste éveillé et en pleine compréhension de ce qu'il m'arrive !

JOHN : Attends y a deux minutes tu me disais de te divertir...

LESTRADE : ...Et maintenant tu dis le contraire ? Tu es illogique

SHERLOCK : Non ! Continuez de me parler, dites des choses inutiles ou stupide si il le faut mais il faut me faire penser à autre choses !

JOHN : Mais tu délire !

LESTRADE : (s'approche de lui et touche son front avec sa main) Tu es bouillant !

JOHN : Sherlock ! Calme-toi ! Il faut que tu te reposes ! Tu es fiévreux

SHERLOCK : C'est faux ! Je peux très bien m'en sortir, il faut les retrouver ! (essaye de partir mais manque de tomber)

JOHN : Il nous a donné des instructions le père Lustucru ! Il faut attendre demain ! On va à Chapel Side et tu vas dormir ! On annule la soirée. On la fera quand tout ça sera passé.

LESTRADE : Allez mon vieux ! (lui passe un bras sous ses épaules et ils se dirigent vers la sortie)

SHERLOCK : (se dégage brutalement de Lestrade) Il laisse toujours des indices ! Il a surement laissé quelque chose ! Il faut chercher ! Ce n'est qu'une question de temps ! C'est leurs vies qui sont en jeu ! On ne peut pas se laisser aller !

JOHN : Il n'y a pas d'indice Sherlock on le saura demain c'est tout ! Mais toi tu es malade ! Je suis médecin et je t'assigne à résidence jusqu'à que je t'autorise à sortir ! Tu es mon ami et je ne te laisserai pas dans cet état là sans rien faire ! (il le pousse dans un cab)

LESTRADE : Chapel Side

SHERLOCK : C'est ta fille John ! Tu ne comptes rien faire ?

JOHN : J'essaie de ne pas y penser... Tu es ma priorité : sans toi qui pourrait les retrouver

SHERLOCK : N'importe quel idiot de Scotland Yard en serait capable ! La preuve ; Greg et toi êtes complètements capables de résoudre cette enquête.

JOHN : Avec qui est ce qu'il joue ? Toi ! Si s'avait été moi ça ferait longtemps qu'elles ne seraient plus de ce monde ! Sherlock tu es le seul à pouvoir avoir des indices précieux !

LESTRADE : Il a raison... Et nous ne sommes pas des imbéciles !

SHERLOCK : Je ne vais pas me reposer ni dormir, vous le savez très bien

JOHN : On te bourrera de somnifères s'il le faut ! Mais la fièvre va te gagner

SHERLOCK : De toute façon, je ne pourrais rien faire si vous êtes tous les deux à regarder tous mes faits et gestes !

LESTRADE : On s'inquiète juste pour toi... Le prend pas mal

SHERLOCK : (se met en position de réflexion)

~Arrive à Chapel Side~

JOHN : Maintenant dodo !

LESTRADE : Tu veux qu'on lui change la couche au petit aussi ? (rit)

SHERLOCK : Très drôle Gregory, très drôle...

LESTRADE : Tu comprends l'humour ? Il grandit bien le petiot !

JOHN : Greg s'il te plait... Tes remarques me ramènent à ma fille....

LESTRADE : Désolé (se tait)

SHERLOCK : Je peux y aller ou vous compter continuer à faire des blagues stupides ?

JOHN : Va dormir... Si tu as besoin on est là... et tu dors hein ? Tu ne fais pas semblant ? (s'arrête brusquement et court précipitamment vers les valises de Sherlock pour les fouiller)

SHERLOCK : je ne cache pas mes seringues ici si c'est ce que tu veux savoir

JOHN : (Continue à fouiller) On ne sait jamais avec toi... Elles sont ou ?

SHERLOCK : Tu crois vraiment que je vais te le dire ? Tu es naïf...

JOHN : Et bien je vais te regarder dormir alors pour vérifier que tu ne prends aucune substance... et avec Greg on tournera... tu préfères ?

SHERLOCK : Tu sais que je pourrais vous aussi vous droguer pour avoir la paix ? Je peux me débrouiller plutôt habilement avec une aiguille...

JOHN : Tu ne pourrais pas en ce moment tu es fiévreux !

SHERLOCK : Tu crois ? (essaye de se jeter sur lui mais titube et tombe sur les genoux)

JOHN : Je l'avais dit...

SHERLOCK : (se relevant difficilement en lui jetant un regard noir) tais-toi

JOHN : Tu choisi : ou tu me dis où elles sont TOUTES ou je te surveille non-stop

SHERLOCK : (s'asseyant sur son lit et détournant le regard) Cuisine et salle de bain...

JOHN : Montre-moi...

SHERLOCK : Ce n'est pas à ma portée, c'est le principal

JOHN : Ne me mens pas... Si tu me mens ma vengeance sera terrible et tu sais que j'en suis capable ! Allez mon ami, au lit !

SHERLOCK : Oui, au revoir (lui fait signe de la main de partir)

JOHN : Je t'ai à l'œil ! (s'en va)

(Sherlock sort son portable)

Mike Stamford a Sherlock Holmes : John et Rosie sont avec toi ?

Sherlock Holmes a Mike Stamford : c'est un peu plus compliqué que ça mais oui

SH

Mike Stamford à Sherlock Holmes : tu m'expliqueras plus tard.

Enola Sherrinford Holmes à Sherlock Holmes : tu as parlé à Molly ?

Sherlock Holmes a Enola Sherrinford Holmes : non, elle a été kidnappée, s'il te plait ne part pas à sa rescousse, je te connais, tu ne mesureras pas les risques

SH

Enola Sherrinford Holmes à Sherlock Holmes : je mesure très bien les risques. Mais rassures toi je me sens encore trop faible pour faire quoi que ce soit... Malgré ça je ferais n'importe quoi pour vous aider. Si tu as besoin appelle-moi. Je suis le pion après tout. ^^. À plus grand frère !

Sherlock Holmes à Enola Sherrinford Holmes : a plus tard sœurette.

SH

JOHN : (ouvre la porte doucement et chuchote) Tu dors ?

SHERLOCK : non je suis somnambule... A ton avis ?!

JOHN : Je ne sais pas la lumière était éteinte. Donne-moi ton téléphone ça te tient éveillé. Il faut que tu dormes. Demain sera un jour nouveau comme on dit ! Tu as mal à la tête ?

SHERLOCK : Non, et je garde mon téléphone

JOHN : (ton d'un parent qui en a marre de dire trente-six mille fois la même chose) Sherlock... Le portable... (Se rapproche et tend sa main tandis que l'autre lui touche le front) Tu es encore bouillant...

SHERLOCK : Tu es au courant que je suis un adulte capable de me réguler et donc d'arrêter quelque chose quand je sens que j'en ai besoin ?

JOHN : Ca j'en doute beaucoup... Etre un toxicomane en est la preuve...

SHERLOCK : (souffle et lui donne le téléphone à contre cœur)

JOHN : Merci. Dort maintenant. (S'en va) (À Greg) J'ai l'impression d'avoir un ado en puberté... j'espère que Rosie ne sera pas pareil...

SHERLOCK : (au loin) J'ai entendu !

LESTRADE : Il est perturbé c'est tout... Et si tu arrêté de le traiter comme si c'était ton fils on en serait pas la !

JOHN : Je ne veux pas le perdre c'est un des rares amis qui me supporte comme je suis, et puis ces Sherlock... Il faut juste veiller à ce qu'il ne fasse des choses irréparables... Il a beau comprendre excellemment les choses il a des lacunes. (Plus fort pour que Sherlock entende) Et devrait savoir que quand on a de la fièvre on se repose !

SHERLOCK : Je ne suis pas malade ! Je le saurais sinon !

JOHN : Dors c'est tout ! (soupire)

~le lendemain ~ 07/05

(Sherlock sort de sa chambre discrètement et va à la cuisine)

(John et Greg s'étaient endormis après Sherlock)

JOHN : Salut Greg !

LESTRADE : Salut John. (Baille)

JOHN : Je vais réveiller la marmotte... (Entre dans la chambre) Greg ! Il n'y a pas Sherlock !

LESTRADE : (passe devant la cuisine) j'arrive (revient sur ses pas) qu'est-ce que tu es en train de faire

SHERLOCK : On doit repartir

LESTRADE : John on y va ! Sherlock est la t'inquiète !

JOHN : (arrive) Tu vas mieux ?

SHERLOCK : Oui (met son manteau et son écharpe) Je n'étais pas malade...

JOHN : Peut-être mais tu étais fiévreux...

LESTRADE : On a compris John allons y...

(À l'oranger)

Le message dit :

Dans la langue de Shakespeare

Trouve le mot qui veut dire

M'sieur dame oui c'est terminé

La séance de votre ciné

Ajoute ensuite l'habit

Si infime et tout petit

Qu'aujourd'hui on peut porter

Mais qu'on n'osera jamais montré

Si tu fais ta lessive

Avant la toute fin du film

Tu trouveras peut être l'adresse

Ou je retiens tes deux princesses...

(NdA : je vous propose de faire une pause dans votre lecture pour mettre en commentaire votre résolution de l'énigme. Ensuite vous verrez si vous avez vu juste !)

(NdT : on va vous épargner les tentatives de Benny pour trouver le mot et vous laisser la suite ^^)

SHERLOCK : Je sais où c'est ! (monte dans un cab)

JOHN : Ou ?

LESTRADE : Ca n'a ni queue ni tête ton truc là !

SHERLOCK : (ne dit rien, il réfléchit)

JOHN : Sherlock ?

SHERLOCK : (se retourne vers lui)

JOHN : Qu'est que c'est ? On peut t'aider tu sais on n'est pas que des boulets !

SHERLOCK : Le texte, quelque chose ne colle pas, il manque un détail...

JOHN : Quoi donc ?

SHERLOCK : Il a clairement choisi le thème du cinéma cette fois ci... Il a construit ça comme un rebus: la première partie était end mais la deuxième partie m'échappe ...

JOHN : Un cinéma tu dis ? End... end ?

LESTRADE : Un habit petit qu'on ne montrera jamais...

JOHN : Serait-ce... (Rougit de honte) Un slip ?

LESTRADE : Il n'y a pas de cinéma qui s'intitule end slip

JOHN : Et la 3ème partie ?

SHERLOCK : Avant la toute fin du film, tu trouveras peut-être l'adresse ou je retiens tes deux princesses...

LESTRADE : Il te manque si tu fini ta lessive...

JOHN : Hum... On peut laisser tomber les deux derniers vers ils ne nous apportent rien...

LESTRADE : Lessive... Lessive... Ça se rapporte à l'habit... Et le film à l'end, non ?

SHERLOCK : Le crédit, le nom des acteurs, the end, environ 1h30 pour un long métrage classique... les costumiers !

JOHN : (se tape le front) Mais c'est bien sûr ! L'hyperonymie ! La lessive doit être avant le film ! C'est donc Slip end ! Regarde sur la carte !

SHERLOCK : On est dans un taxi je te rappelle ! (au chauffeur) Slip end !

JOHN : Oui mais pour savoir dans quoi on atterrit imbécile !

LESTRADE : (sourit discrètement)

SHERLOCK : Je t'ai vu Lestrade

LESTRADE : Qu'à tu vu exactement ?

SHERLOCK : Tes lèvres se retroussant pour former un sourire tandis que ton regard passait furtivement de John à moi

LESTRADE : Et qu'en déduis tu ?

SHERLOCK : Tu es heureux que John m'ai traité d'imbécile

LESTRADE : Non je me fous de toi !

JOHN : (rit)

SHERLOCK : John, qu'est-ce que je dois répondre à ça ?

LESTRADE : Rien du tout...

JOHN : Donc où allons-nous ?

SHERLOCK : Dans un village aux alentours de Londres...

JOHN : Dac... bon... hum

SHERLOCK : Quoi ?

JOHN : Ben je ne sais pas...

SHERLOCK : Dis-le à la fin ! On ne va pas rester 3 ans sur des formules de politesse !

JOHN : Ben rien c'est juste que voilà elles me manquent voilà c'est tout....

SHERLOCK : et ? On est à leurs recherches à ce que je sache, où est le problème ?

JOHN : Imagine qu'il joue avec nous pendant un mois ?

SHERLOCK : Il ne le fera pas, nous le trouverons avant

JOHN : Ouais ben ça me stresse...

SHERLOCK : Il ne faut pas.

JOHN : Comment m'en empêcher... Je ne peux pas c'est tout ce qu'il me reste comme famille en dehors de Harriet....

SHERLOCK : Alors tiens bon ! Il ne faut pas que tu te défiles devant Moriarty !

JOHN : Je ne me défilerai pas, je lui dois ça !

LESTRADE : Regardez, on est arrivé

(Sortent du taxi)

JOHN : Que s'est-il passé ici ?

LESTRADE : Le village entier à brûler !

SHERLOCK : Au moins nous sommes au bon endroit...

JOHN : Pff... Il n'était pas obligé

LESTRADE : Regarde la une phrase au n°1 : Chaque chose en son temps

JOHN : Et au numéro 2 : C'est un jeu Sherly

LESTRADE : Et si on prend tout :

N°1 : Chaque chose en son temps

N°2 : C'est un jeu Sherly

N°3 : Mais il est loin d'être fini

N°4 : Alors il faut être patient

N°5 : Demain dès l'aurore

N°6 : Et oui demain

N°7 : Je te donnerai de l'or

N°8 : Car ces deux filles je les aime bien

N°9 : Tic-tac fait la pendule

N°10 : Une semaine pas une minutes de plus

N°11 : Molly et Rosie seront la

N°12 : Vivante avec toi.

Sherlock Holmes à Jim Moriarty : Ou sont-elles ?

SH

Jim Moriarty à Sherlock Holmes : avec moi. Elles sont très dociles tu verrais ! Ne t'inquiète pas Sherlock je te les rendrais dans 6 jours...

(Sherlock jette son portable par terre et recule, comme dégouté)

JOHN : (ramasse une pierre et la lance de toutes ses forces)

LESTRADE : Calme toi ça va aller

JOHN : Non je ne me calmerai pas ! Et ça ne va pas aller ! Ma fille est avec ce p****n de psychopathe de m***e ! (À Sherlock) et toi bouge-toi le c*l ! Non mais sans blague tu fais quoi depuis le début ? Rien ! Je te déteste ! Tu ne sers à rien, je ne sais même pas pourquoi je suis ton ami... Je suis sûrement bonne patte, j'ai eu pitié de toi !

SHERLOCK : Est-ce que c'est de ma faute ? Non ! Alors arrête de me gueuler dessus car tu ne fais pas plus que moi !

LESTRADE : (à Sherlock) Il ne le pense pas...

JOHN : Au contraire je le pense très bien.... il veut juste paraître, cet arrogant de service ! Il veut faire le paon mais quand il doit assumer, il ne le fait pas !

SHERLOCK : TAIS-TOI ! Tu ne sais même pas ce que tu dis ! Ta stupidité fait peur !

JOHN : (des sanglots de colère dans la voix) C'EST TOI QUI ES STUPIDE !!! T'ES PAS FOUTU DE SURVEILLER UNE GAMINE DE CINQ ANS ! JE TE FAISAIS CONFIANCE ! JE N'AURAI JAMAIS DU ! LE GRAND SHERLOCK EST TROP CONFIANT ! IL CROIT QUE JAMAIS RIEN NE LUI ARRIVERA ! MAIS B****L QUAND EST-CE QUE TU VA COMPRENDRE QUE VIVRE AVEC TOI C'EST DANGEREUX ? JE COMPRENDS TOUT À FAIT MOLLY ! ELLE N'A PAS ENVIE DE RISQUER SA PEAU POUR UN GARS QUI N'EST PAS FICHU DE FAIRE LES CHOSES CORRECTEMENT, QUI EST COMPLÈTEMENT LARGUÉE ET QUI VIT AU JOUR LE JOUR !

SHERLOCK : (fout une claque a John et se contente de partir plus loin)

JOHN : (d'abord surpris puis se ressaisi) C'est ça barre toi ! Espèce de lâche !

LESTRADE : John arrête tout de suite !

JOHN : (Le repousse violemment si bien qu'il tombe) Ne te mêle pas de ça ! Il n'est qu'un prétentieux qui utilise des subterfuges pour mentaliser les gens

SHERLOCK : (criant) Je ne suis pas lâche, c'est juste pour éviter de te faire mal ! Tu as vraiment péter une durite !

JOHN : Toi ? Me faire mal ? Laisse-moi rire ! Qui aurait mal d'une coton tige comme toi !

LESTRADE : (se relève) ça suffit ! Arrêtez !

JOHN : (sort une arme) Je t'ai dit que ce n'était pas tes affaires ! C'est entre lui et moi ! (la pointe sur Sherlock)

LESTRADE : John pose cette arme dans ton état il vaut mieux que tu la pose !

JOHN : (ne le regarde pas) Jamais ! Ce type ma pris ma femme et à cause de son incompétence je vais sûrement perdre ma fille !

SHERLOCK : John, pose cette arme ! Tu ne supporterais pas de tuer encore quelqu'un et encore moins une connaissance !

JOHN : Une connaissance non mais un connard prétentieux oui !

LESTRADE : Stop ! (lui saute dessus et commence à l'étouffer) Combien de temps pour qu'il tombe dans les vapes ?

JOHN : (se débat et commence à moins s'agiter au fur et à mesure que les secondes s'écoule)

SHERLOCK : Lâche-le, ça ne sert à rien.

LESTRADE : Je n'ai pas envie qu'il repète un plomb comme ça !

JOHN : (s'arrête de bouger)

LESTRADE : (prends son pouls) c'est bon ! Allez direction chez Mike ! Tu peux appeler un taxi ?

SHERLOCK : Si tu veux mais il faut que je reste, il y a peut-être d'autres indices...

LESTRADE : Prends soin de toi. (Le taxi arrive ils entrent)

Jim Moriarty à Sherlock Holmes : Johnny boy s'est énervé ! C'était trop drôle ! Rappelle-moi qu'il faut que je me débarrasse du flic du yard... il gâche toujours tout !

Sherlock Holmes à Jim Moriarty : vous n'avez pas mieux à faire que torturer des innocents ?

SH

Jim Moriarty à Sherlock Holmes : mais je ne les torture pas voyons ! C'est beaucoup plus drôle que ça ... en plus je ne vois pas de quelle torture vous parlez

Sherlock Holmes à Jim Moriarty : qu'est-ce que vous leurs faites ?

SH

Jim Moriarty à Sherlock Holmes : à Molly et Rosie ? Rien. Elles regardent un film au chaud....

Sherlock Holmes à Jim Moriarty : qu'est-ce qu'elles regardent?

SH

Jim Moriarty à Sherlock Holmes : je ne connais pas le titre, désolé ! Byyyye !

Sherlock Holmes à Greg Lestrade : piste le numéro pour moi (rajoute le numéro de momo)

SH

Greg Lestrade à Sherlock Holmes : 2min ...

Greg Lestrade à Sherlock Holmes : il appartient à Moriarty mais il n'est pas localisable...

Sherlock Holmes à Greg Lestrade : tu n'as aucune autre information ?

SH

Greg Lestrade à Sherlock Holmes : non juste le nom....

Sherlock Holmes à Greg Lestrade : ok

SH

SHERLOCK : (S'aventure dans le village calciné)

Un petit Garçon : (se cache de Sherlock)

SHERLOCK : Viens, je ne vais pas te faire de mal...

Garçon : Ma maman elle a dit qu'il ne faut pas parler au incu... inca... au gens que je ne sais pas c'est qui !

SHERLOCK : Je m'appelle Sherlock et toi ?

Garçon : Elle est où ma maman ?

SHERLOCK : J'avoue que je ne sais pas... Tu sais ce qu'il s'est passé ?

Garçon : Non j'avais pris le bus de l'école ! Et il n'y avait plus personne ! Je veux ma maman !

SHERLOCK : Où est ta maison ?

Garçon : Elle... (Lui montre une maison brûlée et qui continue à s'effriter)

SHERLOCK : Je rentre, reste ici... (Rentre)

Garçon : (dehors) Alors ?

(Tout est brûlé... Trois corps sont dans le salon)

SHERLOCK : Je ...Je ne vois rien, je ne sais pas où ils sont...

Garçon : (veut entrer mais Sherlock le bloque) S'il te plait laisse-moi allez dans ma maison

SHERLOCK : N'entre pas !

Garçon : (larmes aux yeux) T'es méchant ! (essayer de le pousser mais Sherlock reste stoïque)

SHERLOCK : Non ! C'est pour toi que je fais ça ! Est-ce que tu sais où habite tes grand parents ?

Garçon : Ben chez papi et mamie !

SHERLOCK : Mais dans quelle ville ?

Garçon : Je ne sais pas c'est quoi ?

SHERLOCK : Tu ne sais pas ce qu'est une ville ?! Bref, quel est ton nom de famille ?

Garçon : Je n'ai pas le droit de dire

SHERLOCK : (se passe la main sur le front) S'il te plait

Garçon : Maman a dit non ! (se barre en courant avec le téléphone de Sherlock)

SHERLOCK : Reviens ! Oh et puis laisse tomber...

(Le petit garçon compose un numéro)

Voix au téléphone : Police nationale bonjour que puis-je faire pour vous ?

Garçon : Je m'appelle Elliott et je suis chez moi. Y a la maison qui brûle et un monsieur pas gentil qui m'embête !

Police : Ou es-tu ?

Garçon : A slip end !

Police : Ne bouge pas on arrive ! (raccroche)

ELLIOT : (se relève) Tiens merci. (Rend son téléphone à Sherlock)

SHERLOCK : (regarde dans l'historique d'appel) Ne me dit pas que tu as appelé la police ?! Pourquoi est-ce que tu as fait ça ?

ELLIOT : Ma maman elle a dit « si tu ne sais pas où je suis tu appelles la police » !

SHERLOCK : Mais ils vont m'arrêter alors que je suis là pour t'aider !

ELLIOT : Tu ne veux pas que je rentre chez moi !

SHERLOCK : Rentre mais je viens avec toi... (Le laisse passer)

ELLIOT : (entre et se dirige vers sa chambre sans regarder dans le salon) Maman ! Maman ! Y a un Monsieur dans le salon il s'appelle Selork !

SHERLOCK: on dit Sherlock, (articulant) Sher-lock!

ELLIOT : (excité en parcourant toutes les pièces de la maison) Maman ! Maman ! (finalement arrive dans le salon ses yeux se posent sur les corps et commence à pleurer) Maman...

(Les sirènes de police) 

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