Chapitre 18 : Un café, noir, sans sucres, merci.
A/N : Kikou mes petites loutres ! J'espère que vous allez bien ! Moi ça va par moments, mais ne vous inquiétez pas ^^. Voici le 18emem chapitre ^^ et vous allez apprendre des petites choses concernant Kylian le frère de Molly !
Sur ce, bonne lecture !
(Sherlock se dirige vers la chambre et une infirmière en sort)
INFIRMIÈRE : désolée Monsieur pas de visite avant après demain...
SHERLOCK : (La regarde dans les yeux) S'il vous plait, j'ai besoin de la voir.
INFIRMIÈRE : Je vous demande pardon mais les ordres sont les ordres...
SHERLOCK : Personne n'en saurait rien, juste cinq minutes ...
(Sherlock s'approche d'elle)
INFIRMIÈRE : Je... (Rougit) Elle n'est pas réveillée...
SHERLOCK : Ce n'est pas grave.
INFIRMIÈRE : Je n'ai pas le droit Monsieur... Je risque mon travail...
SHERLOCK : (Se rapproche encore plus et la fixe) C'est mon amie...
INFIRMIÈRE : (Le dévore des yeux et rougit) Cinq minutes alors.
SHERLOCK : (Sourire en coin) Merci. (Va dans la chambre de Molly et la regarde dormir)
INFIRMIÈRE : Je doute qu'elle ne se réveille maintenant... Vous voulez boire un verre ?
SHERLOCK : (Continuant de regarder Molly) Un café, noir, sans sucre, merci.
INFIRMIÈRE : (Se raidit) Enf*ire ! Les cinq minutes sont passées ! Dehors !
SHERLOCK : Votre notion du temps n'est pas la mienne que moi... Il reste environ quatre minutes et vingt-cinq secondes...
INFIRMIÈRE : (Le pousse dans le dos pour le forcer à sortir) C'est déjà trente-cinq secondes de trop !
SHERLOCK : (Sort de la salle et accentue ''minutes'') Merci pour ces cinq minutes surtout !
INFIRMIÈRE : (Ironique) Mais de rien ce fut un plaisir...
SHERLOCK : (Lève les yeux au ciel et part)
(Sherlock rentre à Chapel Side)
UNE VOIX : J'aurai préféré l'entendre de votre bouche mon garçon...
SHERLOCK : Mrs Hudson ? Qu'est-ce que vous faites la ?
MRS H : Si je n'avais pas demandé à John ou à Mycroft, je n'aurai jamais su que votre sœur était dans le coma, et que Molly eut attenté à sa vie deux fois ! J'aurai préféré l'entendre de votre bouche !
SHERLOCK : (Soupire) Et moi j'aurai préféré que ça n'arrive pas...
MRS H : Oh... Sherlock ! Venez-la ! Je vais vous faire tu thé... Ne vous inquiéter pas pour Molly c'est la femme la plus résistante que je connaisse... j'espère qu'elle pourra tout de même avoir des enfants ! Je voudrais être mamie !
SHERLOCK : Mrs Hudson, vous savez que je ne suis pas votre fils ?
MRS H : Tout comme... mais vous admettez que vous souhaitez un avenir avec Molly !
SHERLOCK : Bien sûr que je voudrais un avenir avec elle, mais je ne voudrais pas en parler avec vous !
MRS H : Oh vous savez j'en ai vu plein des couples... Je n'en suis pas à un près !
SHERLOCK : Ce n'est pas comme si vous parliez avec vos voisines !
MRS H : J'ai mes petits secrets en effet !
SHERLOCK : N'empêche que je ne veux pas en parler avec vous.
MRS H : Molly, elle, m'en parlera... (Revient avec du thé et lui verse une tasse) Tenez...
SHERLOCK : Je ne voudrais pas être dans la même pièce que vous dans cette échange arrivera... (Bois une gorgée de thé)
MRS H : Pourquoi ? Ça vous gênerez ?
SHERLOCK : Oui ! Ca gênerait n'importe qui !
MRS H : Oh mon garçon... Je pense que je vais y allez, il est vraiment tard...
SHERLOCK : Au revoir Martha... (Boit son thé en entier)
MRS H : (Part)
(Sherlock s'assoit sur le sofa et regarde dans le vide. Il repense à sa journée...)
(Sherlock va ensuite prendre une aiguille dans une des valises et retourne sur le sofa avant de se l'injecter. Sous le coup de la drogue il croit que tout le monde est réuni dans l'appart de Molly, comme à noël)
SHERLOCK : Qu'est-ce que vous faites la?
MOLLY : (Le soulève par le col et le gifle) Tu t'es encore shooté !
MYCROFT : (Tend la main) Ta liste, petit frère...
LESTRADE : Fouillez l'appart, il doit y avoir d'autres aiguilles !
ANDERSON : C'est notre psychopathe préféré...
JOHN : (Déçu) Sherlock tu avais arrêté...
MARY : (Idem) Laisse tomber, il ne tient jamais ses promesses.
MRS H : Mon garçon qu'avez-vous fait ?
SHERLOCK : Ecoutez, j'ai eu une très -voire trop- longue semaine donc laissez-moi divaguer en paix!
ENOLA : Plus de ça, Sherlock, tu es fort, tu es mon grand frère ! Plus de ça, Sherlock, tu es fort, tu es mon grand frère ! Plus de ça, Sherlock, tu es fort, tu es mon grand frère ! (Le répète jusqu'à que Sherlock n'en puisse plus)
SHERLOCK : ARRETE !
ENOLA : (Pose sa main sur l'aiguille et la brise)
SHERLOCK : (Voit les éclats et le sang mais c'est en fait lui qui a cassé son aiguille et qui a les mains ensanglantées)
MOLLY : Tu ne PEUX pas, tu n'en a pas le droit Sherlock !
MYCROFT : Ta vie ne t'appartient pas... si tu meures ce n'est pas toi mais les autres qui vont souffrir !
SHERLOCK : je ne vais pas mourir et vous le savez !
JOHN : A te droguer comme ça, si !
MARY : On s'inquiète pour toi Sherlock...
ANDERSON : Pas moi...
LESTRADE : La f*rme Anderson !
MOLLY : Si tu arrêtes je te le promets : je passe ma vie à tes côtés....
SHERLOCK : Je sais que tu es une partie de mon subconscient.
MOLLY : Que veux-tu dire par là ?
MYCROFT : Tu es au courant que nous ne sommes que dans ton mind palace ?
SHERLOCK : (A Mycroft) Peut-être que toi tu es mon mind palace, mais elle est mon subconscient.
MOLLY : Oh donc tu me veux tienne ?
MRS H : Comme c'est romantique !
ANDERSON : On peut arrêter les c*nneries là ?
LESTRADE : Il a raison... Sherlock tu délire réveille-toi !
MORIARTY : Non Sherly tu es bien là non ? Avec ta Molly qui n'est qu'à toi...
EURUS : Reste avec nous, mon frère Billy.
SHERLOCK : Délirer en paix, c'est trop demander ?
ENOLA : Oui ! Sherlock, réveille-toi, en dehors de ton esprit, nous sommes à l'hôpital Sherlock ! Réveille-toi ! Tu t'autorise à paresser alors que nous sommes mal en point ? Je te croyais un peu plus sensible que ça... (S'approche et le prends dans ses bras)
SHERLOCK : J'essaye justement d'oublier où vous êtes !
ENOLA : Eloigne cette toxine de toi et va dormir. Réellement. Je veux dire, dort, pas plane !
SHERLOCK : Je ne peux pas maintenant, le liquide est encore dans mes veines. Je plaaaaaane !
ENOLA : (Regard de pitié) Je ne sais vraiment pas comment te faire revenir.
SHERLOCK : Sois patiente, je reviens toujours.
ENOLA : Tu n'es pas invincible, Sherlock, un jour la vérité te rattrapera...
SHERLOCK : Ce jour-là n'est pas encore arrivé, laisse-moi rêver en attendant...
(Tout le monde s'en va sauf Molly qui s'assoit contre Sherlock)
MOLLY : Je t'aime tu sais ?
SHERLOCK : Moi aussi je t'aime. Tu crois que tu te réveilleras demain ?
MOLLY : Je ne sais que ce que tu sais Sherlock... nous ne sommes pas télépathes ce n'est pas réellement moi qui te répond...
SHERLOCK : laisse-moi rêver encore quelques minutes...
MOLLY : Bien sur Sherlock... Je ne peux pas t'empêcher mais la vraie Molly, quand elle sera réveillée, te l'interdira formellement.... Profite c'est peut-être la dernière fois que tu le fais....
SHERLOCK : surement, elle a un caractère de chien des fois !
MOLLY : Mais c'est ce qu'il te plait chez elle ?
SHERLOCK : Tout me plait chez elle.
MOLLY : Romantique... tu n'as qu'à tout lui dire ! Je pense qu'elle voudra bien tomber dans tes bras...
SHERLOCK : Tu dis ce que je veux entendre, tu n'es pas réelle ...
MOLLY : Fait comme tu veux alors... je crois que la drogue s'amenuise... je vais y allez ! Bonne nuit mon ange ! (Disparaît)
04/05
(Téléphone sonne)
SHERLOCK : (Décroche) Qui est ce ?
VOIX FEMME : Oui, allo, Monsieur je suis le docteur Estrange (NdA : C'est la combinaison de Bellatrix Lestrange et Stephen Strange, oui manque d'inspiration ^^), je vous appelle aux sujet de Mlle Molly Hooper...
SHERLOCK : Que voulez-vous me dire à son propos ?
DOCTEUR E. : Elle a fait une crise d'angoisse et n'arrête pas d'appeler votre prénom depuis près de deux heures... je sais qu'il est sept heures du matin mais pourriez-vous venir ? Ce serait aimable de votre part.
SHERLOCK : J'arrive. (Raccroche)
-à l'hôpital-
DOCTEUR E. : Dieu merci vous êtes la ! Faites attention, elle est devenue agressive !
SHERLOCK : Elle est toujours dans la même chambre?
DOCTEUR E. : Oui, on n'a pas osé la déplacer...
SHERLOCK : (Entre dans la chambre de Molly)
MOLLY : (Se balance les bras autour de ses genoux) Sherlock, Sherlock, Sherlock, ne m'oublie jamais, ne m'oublie jamais...
SHERLOCK : (Court vers elle) Molly ! Je suis là ! Regarde-moi!
MOLLY : (Toujours le regard dans le vague) Ne. M'oublie. Jamais... Ne. M'oublie. Jamais...
SHERLOCK : Molly ? (Lui prend le visage)
MOLLY : (Chante ''Ta main'' de Grégoire)
Et je voulais te dire que j'étais fier,
D'avoir été au moins un jour,
Un peu ton ami et ton frère,
Même si la vie a ses détours,
C'est comme ça.
SHERLOCK : Molly répond moi !
MOLLY : (Continue)
Et personne ne peux comprendre,
On a chacun sa propre histoire,
On m'a dit qu'il fallait attendre,
Que la peine devienne dérisoire,
C'est comme ça.
SHERLOCK : (Lui met une claque)
MOLLY : (Revient à elle) C'est... Quoi... Je... hein ?
SHERLOCK : Tu vas bien ? Tu étais en état de choc.
MOLLY : Je ne sais pas.... (Tremble comme une feuille et se raccroche à Sherlock)
SHERLOCK : Qu'est ce qui s'est passé ?
MOLLY : Sûrement un cauchemar transformé en crise... Je suis désolée à en voir ton visage, je t'ai fait peur, je suis désolée de t'avoir causé cela...
SHERLOCK : Ce n'est rien (La prend dans ces bras)
MOLLY : C'était aussi effrayant que ça ? Qu'est-ce que j'ai fait ? Je n'ai tué personne au moins ?
SHERLOCK : Tu n'as tué personne, tu semblais juste morte à l'intérieur et tu répétais la même phrase en boucle...
MOLLY : Je suis désolée, tu vois que je te fais du mal... Attends regarde-moi ! Ne me dis pas que...
SHERLOCK : Tais-toi si c'est pour dire des choses aussi stupides et fausses ! Tu ne fais pas de mal !
MOLLY : Tu as encore touche à ses sal*peries ! Sherlock ! Tu es c*n ou tu le fait exprès ? Ne me dit pas que c'est à cause de moi que tu la fait je m'en voudrais à mort... Sherlock, qu'as-tu fait ?
SHERLOCK : Quoi ? Tu te suicide deux fois en à peine quarante-huit heures et je n'ai pas droit de me droguer ?
MOLLY : Non, tu n'as pas le droit et moi non plus je n'avais pas le droit. Seuls nos esprits nous appartiennent, nos corps, eux, appartiennent à nos proches, ce sont eux qui souffrent, pas nous... Promets-moi que tu n'y toucheras plus et je te promets que je ne me suiciderai plus de quelques manières que soit.
SHERLOCK : D'accord. (Ils se serrent la main) Bref, tu veux quelque chose à manger? Je descends à la cafeteria...
MOLLY : Je n'en ai pas besoin... (Lève son bras) ... J'ai un cathéter. Prends ce qui te fait plaisir Sherlock... Tu dois manger un peu et puis va prendre des nouvelle d'Enola, je m'inquiète un peu.
SHERLOCK : J'y vais... (Va vers dans la chambre d'Enola)
MOLLY : (Attend que Sherlock soit parti et augmente sa dose de morphine) Bon dieu qu'est que ça fait mal !
MYCROFT : (Le visage cerné) Toujours aucun signe... Comment va ton âme sœur ?
SHERLOCK : Plutôt mal, tu n'es pas allé voir Enola ?
MYCROFT : Si mais elle est toujours dans un état pitoyable... je l'ai veillée toute cette nuit, je vais dormir !
SHERLOCK : Au revoir (Entre dans la chambre d'Enola)
(Il voir une protubérance dans le manteau d'Enola déposé près d'elle : c'est une lettre)
Sherlock,
J'espère que ce n'est pas une lettre d'adieu car je serais triste de ne plus pouvoir voir ton visage si doux. Si tu la lis c'est que je suis soit dans le coma soit dans un état critique. Tu dois te demander quand je l'ai écrit. Eh bien, dans la nuit quand tu dormais.
J'ai appris que tu ne te reposais que peu alors j'étais heureuse de voir ton visage calme et serein. Je t'ai donc laissé dormir alors que je sentais que je commençais à perdre du sang. Mais je ne voulais pas t'inquiéter, pas après Molly ! Fait attention je la connais un peu plus maintenant et elle retentera son suicide méfie-toi !
J'espère qu'elle va s'en sortir et que tout le monde ira mieux... Je voulais te dire que j'étais fière d'être ta sœur...
Bisous à très vite j'espère.
Enola Sherrinford Holmes
SHERLOCK : (Il froisse la lettre, la laisse tomber et baisse la tête.)
(Un interne passe par là et voit la lettre tomber et Sherlock)
INTERNE : Monsieur, on est dans un hôpital, pas une déchetterie alors votre feuille, soit vous la gardez, soit vous la jetez... (Lui met une main sur l'épaule) Ne vous inquiétez pas elle va s'en sortir ! C'est votre sœur n'est-ce pas ? Si c'est le cas, c'est une Holmes, et les Holmes réussissent toujours... Allez ne vous en faites pas ! Souriez...
SHERLOCK : Pas tant qu'elle ne se sera pas réveillée ...
INTERNE : Ne soyez pas défaitiste...
SHERLOCK : Comment voulez-vous que je ne le sois pas ?
INTERNE : Bon vous voulait boire un café avec moi ? J'ai aussi eu une dure semaine ça pourrait sûrement vous faire du bien...
SHERLOCK : (Distraitement) Si vous voulez Molly....
INTERNE : (Rit un peu) Vous en avez vraiment besoin ! (Lui tend la main) Moi c'est Aymerick...
SHERLOCK : (Lui sert la main) Sherlock...
(Vont ensemble à la cafétéria)
AYMERICK : Alors dites-moi tout... Vous avez quelqu'un dans la vie ?
SHERLOCK : Oui, elle est dans une salle au troisième étage. Vous êtes marié, non ?
AYMERICK : (Rougit légèrement) oui depuis peu... comment l'avez-vous su ? Non en fait c'est idiot... Bague de fiançailles et Anneau de mariage n'est-ce pas ? Je suis désolé pour votre amie, ce n'est pas trop grave ?
SHERLOCK : Vous êtes infermière, vous êtes obligé de l'enlever (Pointe son doigt) C'est la marque de l'anneau.
AYMERICK : Interne plutôt... J'essaierai d'avoir le dossier de votre amie ça vous rendra peut être le sourire... (Son bipper sonne) Désolé, il y a urgence... (Lui tend une carte) C'est si vous avez encore besoin d'un café.... Au revoir Sherlock.
SHERLOCK : Au revoir...
MIKE : (Arrive dans son dos) alors t'as fait la connaissance d'Aymerick ? Tu vas voir il est nouveau mais toutes les écoles de médecine le recommande...
SHERLOCK : Oui. John va bien ?
MIKE : Comme si, comme ça, il se rétablie heureusement qu'il y a Rosie sinon je pense qu'il ne tiendrait pas... bon tu m'explique en gros ce qui se passe ?
SHERLOCK : Ma sœur est dans le coma et Molly a essayé de se suicider, deux fois....
MIKE : Aïe mon pauvre vieux... Heureusement que tu as du monde pour te soutenir... Sinon je ne saurais pas comment tu ferais...
SHERLOCK : Je n'ai pas dit ça, mais oui.
MIKE : Ne fait pas de bêtises et prend soin de toi mon vieux... (S'en va)
SHERLOCK : Au revoir (Remonte à la chambre de Molly)
KYLIAN : (Regard attendrissant envers Molly) Elle est belle quand elle dort... Vous ne trouvez pas ?
SHERLOCK : Oui, vous avez raison mais il ne faudrait pas que vous soyez là quand elle se réveillera.
KYLIAN : Pourquoi donc ?
SHERLOCK : Elle vous prend pour un dégénéré...
KYLIAN : Je ne le suis pas... Je ne l'ai jamais été...
SHERLOCK : Mais elle le croit
KYLIAN : Convainquez-la du contraire...
SHERLOCK : J'essayerai
KYLIAN : Merci. Vous, vous savez ce que ça fait d'être incompris, non ?
SHERLOCK : Plus que vous ne le croyez ...
KYLIAN : Vous étiez hyperactif ?
SHERLOCK : Oui (Marque un temps de pause) Surtout introverti...
KYLIAN : Moi plutôt extraverti, j'étais un touche-à-tout comme on dit... Mes parents me laissaient faire et tenter des expériences... Jusqu'au jour où j'ai failli noyer Molly... Je m'en veux réellement c'est ce même jour où elle prit peur de moi et où l'on m'envoya dans un hôpital psychiatrique...
SHERLOCK : Je comprends (Lui fait signe de continuer)
KYLIAN : Je voulais tester la résistance d'un enfant de cinq ans à la nage et j'ai envoyé Molly comme toujours... elle savait nager heureusement, mais elle s'est trop éloignée de la rive, et a failli se noyer, je l'ai récupérer aussi vite que j'ai pu mais, pour elle, je n'étais plus qu'un monstre... à maintes reprises je lui ai envoyé des lettres de pardon mais elle ne m'a jamais répondu... j'ai perdu espoir. Mais maintenant je suis-là, je la vois toujours aussi belle. Alors que moi, je suis toujours un monstre...
SHERLOCK : Vous n'êtes pas un monstre
KYLIAN : Elle m'en veut et elle a raison... J'ai été vraiment un con*ard et je m'en veux terriblement... (Explose en sanglot puis se ressaisi après quelques minutes) Désolé, je suis stupide... (Veux s'en aller)
SHERLOCK : (Le retiens par le poignet) Vous iriez ou ? Vous n'êtes pas en état de faire quoi que ce soit...
KYLIAN : Ou voulez-vous que j'aille ? Au fait tous les biens volés par Moran, je les ai déposé chez Molly, avec mes antécédents j'aurai été en prison... Je veux juste être libéré de ce poids... Lâchez-moi maintenant... Je vais bien merci...
SHERLOCK : Restez ici ou j'appelle mon frère pour qu'il vous embarque !
KYLIAN : Vous feriez réellement cela ?
SHERLOCK : Ne me sous estimez pas ...
KYLIAN : Ne le mêler pas à ça... Il est fatigué émotionnellement et physiquement parlant... De plus c'est votre seule menace on dirait que vous ne savez pas vous défendre et qu'au moindre accroc vous vous réfugier derrière votre frère...
SHERLOCK : (Ne sait pas quoi répondre)
KYLIAN : (Comme s'il lisait dans ses pensées) Je vous ai cloué le bec Monsieur Holmes alors laissé moi m'en aller...
SHERLOCK : Allez-y, ça ne sert à rien de vous retenir.
KYLIAN : Merci. (Se libère et lui tend un carnet) Donner lui ça quand elle sera réveillée mais ne l'ouvrait pas s'il vous plait... (Part)
SHERLOCK : Pourquoi voudriez-vous lui donner des poèmes ?
KYLIAN : (Revient énervé) Je vous ai dit de ne pas l'ouvrir ! Et puis pas que des poèmes, la copie de toutes les lettres que je lui ai envoyées... Je ne peux pas vous faire confiance... rendez-le moi ! (Tend la main)
SHERLOCK : Je ne l'ai pas ouvert, j'ai juste regardé l'épaisseur du papier et de l'espace entre deux feuilles....
KYLIAN : Toujours ça... Bref donner le lui SANS l'ouvrir.... merci. (S'en va pour de bon)
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