Chapitre 12 : Je suis ton frère
A/N : Bon bah me revoilà mes chers lecteurs pour un douzième chapitre... Je pense que cette fiction comptera bien entre 100 et 130 chapitres (à voir en fonction de certains critères) donc vous avez de la lecture soyez-en sûrs !
Sur ce, bonne lecture !
MORIARTY : (Idem) Salut les amis, vous saviez que votre police était vraiment nulle ?
MOLLY : Vous allez faire venir beaucoup de monde comme ça ?
LESTRADE : (A Moriarty) Oui, on sait, Sherlock ne cesse de le répéter !
SHERLOCK : Déjà, c'est vous le premier qui aviez dit ceci et puis...
MORIARTY : Désolé de gêner, mais est-ce que vous comptez faire quelque chose pour nous ?
MOLLY : Oui ! Où est Rosie ?!!
MORIARTY : (Voix chantante) SEBASTIIIAAAAANNNN ????
MORAN : (Au loin) Oui boss ?
MORIARTY : Tu sais où est la gamine ?
MORAN : (En s'approchant) Ce n'est pas vous qui l'aviez ?
EURUS : Je crois que c'est Tommy qui la !
MORAN : (Va dans une pièce) Tom ? T'es la? (En sortant sa tête par la porte et s'adressant à Jim) J'crois qu'il est chez lui...
MORIARTY : Bon, qui a cette petite, à la fin ?
EURUS : (A Moran) Appelle-le alors abr*ti !
MOLLY : Ne me dites pas que j'ai fait tout ça pour rien!
MORIARTY : (Se rapprochant d'elle en souriant et haussant les épaules) Il se peut que ton initiative ait été un peu - mais alors UN TOUT petit peu- inutile... Navré pour toi ...
MOLLY : (Se recule vers Sherlock avec une mine boudeuse) Comment vous contacter sinon ? Vous aviez un numéro de messagerie instantanée !
MORIARTY : Je n'ai toujours pas changé de numéro pourtant... (Adresse à Sherlock un clin d'œil tout sauf discret)
JOHN : Bon il est où votre abr*ti de service ? Qu'on en finisse de toute cette histoire !
MOLLY : John, c'est Tom tout de même !
JOHN : Oui, mais il détient ma fille ! (A Moriarty) Ord*re ! (Crache sur ses chaussures cirées)
MORIARTY : (baisse la tête) Oh non... Seb venait de me les cirer...
JOHN : Tant pis pour vos godasses de me*de ! Moi je veux ma fille ! (S'avance vers lui d'un air menacent)
MORIARTY : (Se baisse comme si il s'adressait à un enfant) Tu crois que tu me fais peur, hobbit de pacotille ?
JOHN : Hobbit ? Quelqu'un y pige quelque chose ? (Pointe son doigt contre la poitrine de Moriarty) Tu sais que tu as en face de toi un père qui n'a pas dormi depuis trois jours, qui ne tient que sur ses nerfs et qui est un ancien soldat qui n'a pas perdu la main ? Cogite là-dessus et après on verra les menaces ! (Le pousse avec son doigt de quelques pas)
MORIARTY : (Rigole) C'est pour ça que j'adore mon boulot, le pètage de plombs, la fatigue émotionnelle et la FOLIE !!!! (Rit de plus belle)
LESTRADE : Ça devient du grand n'importe quoi là !
JOHN : Ca là toujours été Greg !
(Tom arrive avec une Rosie inconsciente dans les bras)
TOM : J'ai fait aussi vite que j'ai pu mon Eurus ! (Lui tends Rosie) Au fait Seb j'ai trouvé quelqu'un sur la route...
MORAN : Qui ?
TOM : Ça ! (Deux hommes balancent un tas informe par terre) Ca voulait nous prendre la petiote mais on était plus malins (Brandit une sarbacane) On la eu son propre jeu !
MOLLY : Non ! Enola ! (Se jette contre elle avant que personne n'ait pu intervenir) Enola ! (Lui prend la tête et la pose sur ses genoux) Vous ne manquez pas de cruauté vous ! Elle n'a que 14 ans ! Bon sang !
MORIARTY : Cruauté, cruauté, je dirais plutôt tactique de jeu !
SHERLOCK : Taisez-vous ! Enola, tu m'entends ?
MOLLY : (Lui tapote doucement les joues et lui enlève sa capuche) Oh mon dieu ! Vous l'avez tabassé ! Elle a des bleus partout ! La Jim c'est plus que de la tactique ! C'est une gosse vous vous rendez compte au moins ? (A Enola toujours inconsciente) Enola ! C'est Molly ! Je suis là ! Réveille-toi !
MORIARTY : Seb ! On avait dit pas le visage !
MORAN : (Désigne Tom) Qu'est-ce t'a fait encore toi ?
TOM : Ce n'est pas moi ! C'est les gars, je crois, qu'ils ont voulu vengé les autres qui sont morts...
JOHN : (Se pose à côté de Molly) Laisse-moi l'examiner... (Regarde) Des bleus par dizaines, des ecchymoses et hématomes, ça va poser un problème, Sherlock, il va falloir qu'elle aille à l'hôpital !
SHERLOCK : Euh... Molly ! On est dans un hôpital ! Va dans une salle !
MOLLY : On est dans une morgue là !!!! Il faut que je traverse l'aile nord pour y aller !
EURUS : Ne bougez pas d'un iota ou je l'achève !
SHERLOCK : Tu dois bien avoir quelque chose pour la soigner, non ?
MOLLY : On est dans une morgue, pas dans une clinique !
MORIARTY : (Croise les bras) Vous allez continuer longtemps comme ça?
MOLLY : Elle est blessée ! Soyez un peu indulgents, au moins une fois dans votre vie !
MORIARTY : Indulgent ? Si tu veux, je peux demander à Moran de la tuer tout de suite...
MOLLY : (Au bord des larmes) Jim, fait cœur de glace, s'il te plait, je te croyais un peu moins... s'il te plait ! Je me sacrifierai à sa place, je serai tienne si tu le souhaites, mais s'il te plait, laisse-moi la sauver.....
MORIARTY : Ohhh... Tu me ferais presque pleurer... Que tu m'appartiennes ? J'ai déjà Sébastian donc ça ira... sorry!
MOLLY : (Se lève violemment et le frappe) Je te déteste Jim ! (Le frappe encore, s'arrête, et se laisse tomber par terre en se rendant compte de ce qu'elle vient de faire) Tu as vu Sherlock, je ne suis pas stable...(Commence à pleurer)
SHERLOCK : (Prend Molly dans ces bras) Ne t'inquiète pas Molly...
MORIARTY : Vous êtes trop mignon ! SEB ?
MORAN : Oui boss ?
MORIARTY : T'as carte blanche... (Sourire flippant)
MORAN : Lequel ?
EURUS : C'est ton anniversaire !
MORIARTY : Tu fais ce que tu veux ! Torture, meurtre, empoisonnement... Un monde de jeu s'offre à toi !
MOLLY : (Repousse violement Sherlock) C'est ce que je voulais éviter... Va-t'en Sherlock ! (Se lève et s'approche de Moran) Allez-y ! (Prend sa main et place le canon de l'arme contre son front).
ROSIE : MOLLY !!! NON ! (Commence à pleurer)
EURUS : Tais-toi, sale mioche !
MOLLY : Sherlock, vas t'en !
JOHN : Molly, arrête ça tout de suite !
LESTRADE : Vous êtes complètement malades !
MOLLY : Moran, tirez !
MORIARTY : Mais non, ce ne serait pas drôle !
(Moran frappe Molly avec la crosse de son arme et elle s'effondre dans ces bras)
LESTRADE : Vous n'avez pas le droit de faire ça !
(Soudain Moran s'écroule lui aussi ainsi que Eurus et Tom)
(John prend sa fille dans ses bras et la calme en lui caressant doucement les cheveux tandis qu'un homme rentre)
JOHN : Je crois que j'en ai marre des nouvelles têtes !!!
LESTRADE : C'est l'homme Sherlock... c'est quoi son nom déjà ? (Se frappe le front avec sa main)
IRENE : Je préfèrerais LA FEMME, mon chou... (Elle entre dans la pièce)
SHERLOCK : Irène ?!
KYLIAN : Vous ! C'est vous qui m'avait fait tout ça ! Mr Holmes, c'est elle !
IRENE : Oui mon détective... c'est moi la belle et l'unique Irène
JOHN : Pince-moi je rêve !
MOLLY : Elle n'était pas morte ? Et vous, qui vous êtes ?
KYLIAN : J'ai besoin de toi et ton mec pour me sortir d'un me*dier !
SHERLOCK : Qu'est-ce que vous voulez ?
KYLIAN : Ce gars-là (Designe Moriarty) m'a forcé à faire des trucs que je regrette...
JOHN : Comme quoi ? Vous bourrez la gu*ule ?
KYLIAN : Vous me connaissait ?
JOHN : Vous avez donné la photo de ma fille kidnappée à mes amis, sal**ard !
KYLIAN : Calmez-vous ! Ce n'est ni moi qui l'avait votre fille, ni moi qui ai organisé ça !!!! On m'a juste donné la photo et je fuyais un homme qui me poursuivait quand je suis tombé sur vous !
MOLLY : Et elle, (Pointe Irène du doit) Qu'est-ce qu'elle fait là ?
IRENE : Tom m'a appelée...
SHERLOCK : Tom n'est pas la !
IRENE : Tu es aveugle ou quoi ? C'est qui lui alors ? (Montre Tom)
JOHN : Sherlock, c'est lui a amené Rosie, rappelle-toi !
KYLIAN : Molly ! Aide-moi !
MOLLY : Oui, oui... tu veux que je fasse quoi?
KYLIAN : Rendre tout ce que j'ai volé et m'aider à me sortir de mon alcoolisme et de ma dépression. Détruire mon contrat de mariage et de paternité !
MOLLY : Donc tu évites de nous faire tuer pour des problèmes affectifs ?
KYLIAN : Je dirai familial... et tu devrais être contente, je t'ai sauvé la vie quand même !
MORIARTY : Je ne veux pas vous interrompre, mais moi je m'ennuie !!!!
MOLLY et SHERLOCK : (En même temps) Tu es réveillé maintenant ?!
MORIARTY : Oui, je le suis ! Arrêter de me faire ch*er vous deux ! (Monte Kylian) Cet idiot a oublié de m'assommer et je dois me coltiner vos jérémiades !
KYLIAN : Hey ! Je ne suis pas un idiot.
IRENE : Je dois dire, Jim, que s'il avait abîmé ton visage, j'en aurais était mécontente....
MOLLY : Réellement qui êtes-vous...
IRENE : Irène Adler, La femme ou la dominatrice, si vous préférez
MOLLY : Vous êtes une catin en fait !
IRENE : Je ne suis pas....
MORIARTY : Oh une bagarre... battez-vous ! Battez-vous!
MOLLY : Ta gu*ule ! (se retourne vers Kylian) Et vous ?
KYLIAN : Je...
MOLLY : Sherlock, je t'autorise à le déduire...
MORIARTY : Ennuyant...
(John, Lestrade et Rosie reviennent personne n'a vu qu'il était partie)
JOHN : (Tient beaucoup de produits) J'ai ce qu'il faut pour soigner ta sœur...
LESTRADE : Et j'ai apporté des bandages et une minerve cervicale...
ROSIE : Elle va aller mieux ?
JOHN : Ne t'inquiète pas...
(John et Lestrade entreprennent de panser Enola)
SHERLOCK : Merci John.
LESTRADE : Eh ! Moi aussi je vous aide !
MOLLY : Ne te vexe pas Greg, il est toujours comme ça ! Tu m'explique ?! (Pointe son frère du doigt)
IRENE : (Lui tourne autour) En tout cas, j'en ferais bien mon quatre heures...
MORIARTY : Irène est de retour! Grrr...
SHERLOCK : Ce n'est pas le moment ! Vous saviez qu'elle est pire que ce qu'on voit ?
LESTRADE : Je ne préfère pas savoir....
MOLLY : (Commence à attacher Tom, Sébastian et Eurus) Bon, si personne ne veux me répondre, je m'en vais !
KYLIAN : Molly, non, attends !
MOLLY : (Hargneuse) Quoi ?
KYLIAN : Je... Je suis ton frère...
MOLLY : Quoi?!
JOHN : Quoi ?
MORIARTY : C'est évident !
MOLLY : C'est impossible... (Ricane) Il est mort il y a 6 ans dans un hôpital psychiatrique, il était atteint !
SHERLOCK : Qui te la dit.
MOLLY : Mes parents pourquoi ?
MORIARTY : Papa et maman t'ont menti, Molly ! Ton frérot est bien vivant ! Et quelque chose me dit que Sherly était au courant...
MOLLY : Quoi ? (Le pointe du doigt) tu me l'as caché ?!! Tu savais et tu me l'as caché ?
SHERLOCK : Oui je le savais et je ne te l'ai pas dit mais j'avais mes raisons ...
MOLLY : (En colère) Lesquelles ?
IRENE : Calme-toi ma chérie ! (Lui passe un bras autour de la taille)
MOLLY : (Lui enlève violement) Ne me touche pas ! Sale péripatéticienne !
MORIARTY : (Faisant semblant de chuchoter) Deux livres sur Adler, qui dit mieux?
MOLLY : (S'approche d'Enola et la soulève) Je ne reste pas plus longtemps avec une p*te, un psychopathe, un menteur, son pote, sa fille et un flic !
LESTRADE et ROSIE : (En même temps) Molly !
(Molly part dans la clinique)
TOM : (Réveillé) Euh, c'est moi ou elle nous a oubliés ?
SHERLOCK : Molly, attends !
LESTRADE : Vous ne vous réveillez que maintenant, vous ?
SHERLOCK : Je vous les laisse ! (Court après Molly qui va de plus en plus vite pour lui échapper) Attends !
MOLLY : (Continue à courir en serrant fort Enola contre elle)
(Sherlock réussis à arrêter Molly)
SHERLOCK : Qu'est-ce que tu veux savoir ? Je te répondrais...
MOLLY : Va-t'en ! (Continue d'avancer) Je dois soigner au plus vite Enola, sinon elle risquera de finir dans mon service avant... d'être.... adulte... (De grosses larmes coulent sur son visage)
SHERLOCK : (Court pour prendre Enola dans ces bras) C'est ma sœur, il faut que je t'aide sinon je ne me le pardonnerais pas ...
MOLLY : Je n'ai pas besoin de toi ! Retourne jouer avec ton Némésis et ta Femme ! (A le visage rouge) Tout ça n'est pas pour moi ! (Reprend Enola et s'engouffre dans une chambre vide) Va-t'en j'ai besoin d'être seule (Pose Enola dans le lit et sort de la chambre pour aller chercher des produits)
(Sherlock la suit)
SHERLOCK: Molly? Ça va ?
MOLLY : Je t'ai dit vas t'en ! (Revient dans la chambre et met un cathéter à Enola et commence à poser de la pommade et de la glace sur ses contusions)
SHERLOCK : Tu as besoin que j'aille chercher quelque chose ? Je reste si tu ne me dis rien...
MOLLY : (Sur un ton plus froid qu'elle ne voudrait) Non !
SHERLOCK : Alors que veux-tu ?
MOLLY : Que tu me laisses et que tu ailles tuer ce malade !
SHERLOCK : Je finirais mes jours en prison, tu sais ?
MOLLY : Pour Magnussen tu n'y es pas allé à ce que je sache et puis ton cher grand frère pourra encore te protéger (Des larmes recommence à couler sur ses joues rougies)
SHERLOCK : Oh Molly... (Essaye de la prendre dans ces bras)
MOLLY : Je n'ai pas besoin de ta pitié... (Se défait doucement de lui) Je n'ai pas besoin de...
ENOLA : (Ouvre les yeux en papillonnant et faiblement dit) Molly ? Molly c'est toi ?
MOLLY : (Se précipite vers elle) Oui, oui ! Enola, c'est moi ! Reste avec nous !
ENOLA : (Ne pouvant pas bouger la tête à cause de la minerve cervicale) Nous ? Il y a quelqu'un d'autre ?
SHERLOCK : Je suis la petite sœur !
ENOLA : Sherlock ! Je... qu'est-ce qu'il s'est passé ? Je suivais la trace de Rosie... Et, d'ailleurs je t'ai envoyé un message Sherlock à propos de la plaque d'immatriculation où il la retenait tu l'as reçu ? Bref, après je ne me souviens de rien...
MOLLY : C'est pas grave, repose toi, tu en as besoin
ENOLA : Tu rigoles ? Je suis en pleine forme ! (Essaye de se lever en vain)
MOLLY : (Rit) Je vois que ça, ne se perd pas ! Aussi têtus les uns que les autres !
SHERLOCK : (Sourit puis se rembrunit) Non, j'ai rien reçu... Tu ne t'en rappelles vraiment pas?
ENOLA : Non... Aïe ! Qu'est-ce que j'ai mal ! Un camion ma rouler dessus ou quoi ?
MOLLY : Le camion s'appelle Sébastian Moran et ses hommes de mains...
ENOLA : Je comprends : vengeance !
SHERLOCK : Exactement ! Tu veux que j'appelle nos parents pour venir te chercher?
ENOLA : (Condescendante) Ils ne savent même pas comment je vis ! Cela fait déjà trois ans que je suis partie ! Je n'ai pas envie de les revoir !
MOLLY : 11 ans, c'est jeune...
ENOLA : Rentrée au collège.
MOLLY : Pourquoi ?
ENOLA : Une longue et pénible histoire que je n'ai pas la force de raconte...
MOLLY : Je comprends (Se retient de sangloter)
SHERLOCK : (Prend la main de Molly sans que Enola puisse le voir) Tu iras où alors ? Le 221B a brulé et l'appartement de Mike est trop petit...
ENOLA : (Avec un clin d'œil pour Molly) Dans ma planque habituelle..
SHERLOCK : (Lève les yeux au ciel et soupire)
ENOLA : Quoi ?
MOLLY : Il est jaloux que je sois complice avec toi !
SHERLOCK : Je suis surtout fatigué de vos soi-disant secrets de filles ... Tu as 14 ans ! Tu ne devrais pas vivre comme ça !
ENOLA : Justement dans ''secrets de filles'' y a ''filles'' tu n'en es pas une que je sache ? Et puis tu le vois bien, je sais m'autogérer ! À part là, mais bon ! Je ne manque de rien et puis comme tu dis j'ai 14 ans je ne suis plus une gamine !
SHERLOCK : Si tu en es une ! Tu devrais penser à autre chose que comment tu vas empêcher le prochain attentat contre la reine ! Tu passes à coté de ta vie et je trouve que c'est inhumain...
ENOLA : C'est une vie que j'ai choisi Sherlock !
MOLLY : Enola, ton frère à raison, ton enfance passe à la trappe là !
ENOLA : La tienne n'a pas était rose non plus ! Tu n'as jamais rêvé d'une autre ?
(Une immense tristesse envahit le visage de Molly)
ENOLA : Mais qu'elle co**e ! Je suis désolée ça doit être la morphine qui me délie la langue... désolée !
MOLLY : Ce n'est pas grave, j'ai l'habitude...
SHERLOCK : Tu ne rêves pas d'une vie normale, parfois?
ENOLA : Jamais. Je ne suis pas comme tout le monde Sherlock. Je ne suis pas comme ces filles conditionnées qui aiment le rose et les paillettes ! Tu vois, auprès d'autres, je suis un jeune homme fort et habile, je veux faire dépasser les préjugés !
SHERLOCK : Je ne te demande pas de devenir comme tout le monde ! Juste faire attention à toi en évitant les criminels et les batailles !
ENOLA : Ne t'inquiète pas Sherlock, ça fait trois ans que je suis seule ! Et j'évite quand je peux... Et la petite ? Elle va bien ? (Réessaye de se lever)
MOLLY : Ne t'inquiète pas ma chérie, repose toi...
ENOLA : Je n'aime pas être sur la touche !
SHERLOCK : Et moi je n'aime pas te voire comme ça ! Tu aurais pu y passer ! Tu t'en rends compte au moins ?
ENOLA : C'est bon ! Arrête de jouer les frères protecteurs, ça ne te vas pas ! Et puis, ce n'est pas la première fois que je suis tabassé comme ça !
MOLLY : Il s'inquiète c'est tout...
ENOLA: Hum...
SHERLOCK : Enola...
ENOLA : Quoi ?
SHERLOCK : Sache qu'on s'inquiète pour toi.
ENOLA : Merci...
MOLLY : Je vous laisse tous les deux, je vais voir les autres (Sort la pièce)
ENOLA : Alors ?
SHERLOCK : (Croisant les bras) Alors quoi?
ENOLA : Ca se concrétise entre vous deux ?
SHERLOCK : Je n'en sais rien, pourquoi tu demandes ça?
ENOLA : Pour rien... juste les rougeurs sur tes joues (Rit puis tousse) Ils m'ont bien amoché ! Mais je m'en remettrais... comme toujours
SHERLOCK : Un jour tu ne pourras pas te remettre et ce sera fini...
ENOLA : Ne parle pas de malheur !
SHERLOCK : Je ne parle pas de malheur, je parle de probabilité !
ENOLA : Tu es têtu comme une vieille mule ! J'ai survécu trois ans j'en survivrais trente de plus facilement !
SHERLOCK : Si tu le dis ...
ENOLA : Et puis j'aurai toujours mes grands frères ! Même quand ils seront papis ! Dis, je serais tante ?
SHERLOCK : Je crois que Mycroft et Gregory sont incompatibles biologiquement, désolé...
ENOLA : Mais toi ? (Sourire malicieux)
SHERLOCK : Enlève-moi ce sourire de ton visage ! Et ne rêves pas trop ...
ENOLA : Viens me l'enlever ! (Rit) Je crois que tu serais un bon père ! Tu montreras à tes enfants comment déduire et insulter les gens d'imbéciles ! (Rit) Et tu ferais exploser encore une fois le 221b ! Oh mon dieu, j'ai hâte !
SHERLOCK : Calme-toi ! Je ne veux pas avoir de progénitures !
ENOLA : Tu en es certain ?
SHERLOCK : Oui ! Arrête de me harceler à propose de ça...
ENOLA : (Rit) Dommage !
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