A/N : Bonjour mes petites loutres... Alors DE-SO-LEE j'aurai dû poster ce chapitre y a deux semaines mais comme je vous l'ai dit Wattpad a fait le c*n, j'étais pas en forme, j'avais pas le moral et les examens tombaient cette semaine. Alors pour me faire pardonner de cette si longue attente je poste le chapitre 10 maintenant et le 11 cette aprem en plus de ''The picture of William Sherlock Scott Shakespeare'' que m'a très gentiment traduit MissMyrtille ^^ Trêve de blabla à tout à l'heure pour la suite !

Sur ce, bonne lecture !

JOHN : Bonjour Mike, tu as passé une bonne nuit ?

MIKE S. : Oui et toi ?

JOHN : Mouais...bof, je vais allez réveiller Molly et Sherlock.

(Se dirige vers la chambre d'ami, suivit de Mike, et ouvre doucement la porte. Sherlock tient Molly dans ses bras et ils dorment comme des loirs)

JOHN : (Sourit et chuchote à Mike) Oh... Ils sont trop mignons.

MIKE S. : (Idem) Oui, mais leur couple est quand même atypique...

JOHN : (Idem) On va les laisser dormir. (Ferme doucement la porte et ils s'en vont)

(DANS LE CHAMBRE D'AMIS - 10H30)

SHERLOCK : (Ouvre les yeux, toujours dans la même position et chuchote) Bonjour Molly. (L'embrasse sur la joue)

MOLLY : (Lui met la main sur le visage) Mais maman, ce n'est pas encore l'heure. Laisse-moi dormir !

SHERLOCK : (Rit et enlève sa main. Il se relève et chuchote encore) Je dois le prendre comment ?

MOLLY : Mmm... Quoi ? (Ouvre les yeux et rougit) Oh, Sherlock, c'est toi ? Je...Pardon...je...j'étais dans un rêve à l'époque où j'étais encore collégienne. Désolée. (Le regarde) Tu devrais mettre un pantalon, je crains que tu ne fasses peur à Mike, dans ce petit apparat.

SHERLOCK : Oui, c'est vrai. (Il commence à s'habiller) Tu devrais te lever et manger quelque chose, tu sais...

MOLLY : Tu as raison, j'ai faim et je pourrais manger n'importe quoi...

SHERLOCK : Ok, je t'attends à la cuisine...

MOLLY : (Se lève et va prendre une douche rapide)

(DANS LA CUISINE-10H35)

MOLLY : (Arrive dans la cuisine les cheveux mouillés)

JOHN : Bien dormi les tourtereaux ?

MIKE S. : John arrête de les charrier !!!

MOLLY : Ce n'est pas ce que vous croyez ! On avait besoin de dormir et Mike était dans sa chambre et toi, tu squattes le sofa ! On n'avait d'autre choix que d'être en colocation de lit ! Et puis John arrête d'insinuer des choses seulement parce que Sherlock m'a consolé hier !

SHERLOCK: Molly, calme-toi...

JOHN: (Rit)

MOLLY : Je suis calme ! Bref, qu'est-ce qu'on a au petit déjeuner Mike ?

MIKE S. : Pas grand-chose, disons que je n'avais pas prévu ça... J'ai du thé, du lait et j'ai acheté des croissants, si tu veux...

MOLLY : Merci ! (S'assoie à la table de même que tout le monde) J'ai faim ! Vous saviez que le Yard ne donne presque rien aux détenus ?

JOHN : Au yard ?

MOLLY : Euh...oui...euh...ben...euh...hum

SHERLOCK : Il feint de ne pas savoir mais il le sait pertinemment.

MOLLY : Tu lui as dit ! Tu m'avais promis de ne rien lui dire !

SHERLOCK : Non il était avec moi à St Bart's quand tu as été arrêtée...

MOLLY : Oh ! Je ne le savais plus...

MIKE S. : On peut m'expliquer ?

MOLLY : (Regarde Sherlock et John d'un air suppliant)

JOHN : Je t'expliquerais plus tard...

SHERLOCK : (Se penche vers Molly)

MOLLY : (Le voyant se reprocher) Tu veux que je te passe quelque chose ?

SHERLOCK : (Rougit) Non... (Se redresse)

MOLLY : (Lui lance un regard interrogateur) Bref, John on va aller au Yard, je crois qu'on a trouvé pour Rosie... Tu viens ?

JOHN : (Regarde Molly et Sherlock et sourit) Oui, on ira à quelle heure ?

MOLLY : Comme tu veux !

MIKE S. : Molly, je ne veux pas te faire perdre ton joli sourire mais tu as du travail qui t'attends à St Bart's...

MOLLY : Et bien c'est gagné ! (Fait la moue) En plus il faut que je retourne chez moi chercher quelques affaires parce que je crois qu'on va rester tous ici quelque temps... (Regarde sa montre) J'y vais sinon je n'y serais jamais à temps ! Désolée tout le monde, je file ! (Embrasse Sherlock sur la joue) A ce soir Billy !

(Molly sort)

JOHN : Et après, elle ne veut pas qu'on croit que vous n'êtes pas en couple ? (Est pris d'un fou rire)

MIKE S. : Ce n'est pas drôle John ! Et puis moi aussi, il faut que j'y aille ! A ce soir !

(Mike sort)

JOHN : Bon, tu vas m'expliquer ce qui se passe ? Vous allez habiter ensemble ?

SHERLOCK : Je n'en sais rien, c'est compliqué en ce moment...

JOHN : Comment ça ? C'est elle qui ne veut pas ou tu ne vois pas que vous êtes faits l'un pour l'autre ?

SHERLOCK : (Condescendant) John, le concept d'âmes sœur est impossible...

JOHN : (Lui donne un gentil coup de poing sur l'épaule) Arrête ! Tu ne vas pas me dire qu'elle ne te fait pas de l'effet !

SHERLOCK : John arrête, tu es gênant !

JOHN : Gênant ? Moi ? C'est qui de nous deux, qui, en temps normal, est le plus gênant ?

SHERLOCK : Sauf que je ne te pose pas de questions comme ça !

JOHN : Parce que je n'ai plus Mary... Oh ! (Se tape le front) Rosie !

SHERLOCK : On y va maintenant ou tu veux attendre ce soir ?

JOHN : Question stupide ! Maintenant !

SHERLOCK : Ok, ok, ne t'énerve pas !

JOHN : Allez ! En route ! (Prend son manteau et sort en courant, suivit de Sherlock)

SHERLOCK : (Demande un taxi et rentre à la suite de John)

JOHN : (Impatient) C'était quoi l'indice dont parlait Molly ?

SHERLOCK : Une photo de Rosie...

JOHN : Elle allait bien sur la photo ?

SHERLOCK : Relativement, oui, elle était attachée mais ne semblait pas souffrir...

JOHN : Attachée ? Mais c'est une enfant, elle sait à peine marcher!!! Quelles personnes peuvent être aussi cruelles ?

SHERLOCK : On va leur faire payer John, je te le promets...

JOHN : Si ce n'est pas toi, ce sera moi !

(A ST BART'S)

MIKE S. : Arrête de faire la tête, Molly, d'habitude tu les aimes tes cadavres !

MOLLY : Oui mais tu m'empêche d'être avec Sh... de pouvoir les aider !

MIKE S. : Molly, tu le...les reverras ce soir...

MOLLY : (Rougit) Les cadavres d'aujourd'hui n'ont rien de bien intéressant....

ANDERSON : Molly ! On a eu un massacre ! Il faut que tu viennes !

MOLLY : (Sarcastique) Et là Mike, j'ai le droit d'y aller ?

(AU YARD)

SHERLOCK : Salut Greg (Le regarde) C'était bien avec Mycroft hier ?

LESTRADE : Qu'est-ce que tu insinues ?

JOHN : Où est ma fille ?

LESTRADE : On y travaille mais on ne sait pas encore où elle est, John.

SHERLOCK : Quels indices avez-vous ?

LESTRADE : La photo uniquement. L'homme refuse toujours de parler.

JOHN : L'homme ?

LESTRADE : Oui. Celui que Mycroft, Molly et Sherlock ont intercepté, hier soir.

JOHN : Tu ne me l'avais pas dit ça ! (Ton menaçant) Attention, si tu me caches des choses je t'égorge vivant !

SHERLOCK : Pas la peine d'être aussi violent ! Je peux aller le voir Greg ?

JOHN : Je ne suis pas violent, je suis juste inquiet !

LESTRADE : Oui, vas-y !

JOHN : Je viens !

LESTRADE : (Pose une main sur le torse de John, l'empêchant ainsi d'avancer) Non pas toi.

JOHN : Pourquoi ?

LESTRADE : (Soupire) Ne pose pas de questions, c'est non, point final.

JOHN : Greg...

LESTRADE : Ne m'oblige pas à te faire sortir de l'établissement !

JOHN : Ok (S'assoie de mauvaise grâce sur une des chaises du bureau de Lestrade)

(Sherlock et Lestrade entrent dans la salle d'interrogatoire)

L'HOMME : J'dirai rien, en plus après l'coup qu'm'a filé votre minette, j'ai un sacré mal de dents !

SHERLOCK : On veut juste que vous répondiez à la question ?

L'HOMME : Laquelle ?

SHERLOCK : (Entrecoupant ses mots par un coup de poing sur la table) OU. EST. ROSAMUND. WATSON ?!!!

LESTRADE : (Croise les bras) La gamine de la photo.

L'HOMME : Ch'ais pas. Allez-vous faire fou*re !

SHERLOCK : (Sarcastique) Woaw ! C'était tellement intelligent et raisonné ça.... Vous êtes sans aucun doute le cerveau criminel !

L'HOMME : J'ai dit : j'dirai rien, z'avez pas compris ?

SHERLOCK : Ohhh ! Si, c'est extrêmement clair... mais je pense que votre sœurette serait triste d'apprendre que son cher frère, parti si loin de Londres pour faire ses études, est devenu un méchant garçon ! N'est-ce pas ?

L'HOMME : Z'êtes pas humain, vous ! Ch'ais pas, c'est qui la gamine !

SHERLOCK : (Commence à s'agacer) Alors comment t'as eu cette photo ?

L'HOMME : Ch'ais pas, c'est quoi ! Parce que moi, hier, j'étais avec les copains ! Jamais vu la gosse moi !

SHERLOCK : Et vos ''copains'', qui sont-ils ?

L'HOMME : Moi je dis pas c'est qui mes copains parce que vous les keufs vous allez v'nir et nous mettre dans l'taudis qui vous sert de taule !

SHERLOCK : De 1, je ne suis pas policier, et de 2, si tu nous dis qui sont tes copains, tu n'iras pas en prison, ni eux !

L'HOMME : P't' être pas vous, mais l'aut'e si ! Et puis vot'e combine marche pas avec moi ! J'préfère mourir qu'dénoncer ! (Se ferme et croise les bras)

LESTRADE : (Regarde Sherlock d'un air qui veut dire ''on n'arrivera pas à lui tirer les verres du nez à lui'')

SHERLOCK : (Abandonnant) Tu voudrais quoi alors ? Nous, on essaye juste de sauver la vie d'une enfant innocente !

L'HOMME : T'as des gosses au moins ? Moi j'en ai quatre et j'ai envie de les égorger ! Mais j'le fait pas parce que sinon Jeanine et ben elle va partir...

SHERLOCK : Je suis son parrain et je l'élève avec son père depuis que...(Soupire) Sa mère est morte... Qu'est-ce Jeanine a de spécial à vos yeux ?

L'HOMME : Ben, c'est ma femme, quoi ! Le parrain ? C'quoi c't'embrouille ? Z'êtes un mafieux ? (A Lestrade) C'est un mafieux et l'jeté pas en taule ?

LESTRADE : (Semble très fatigué) Il ne fait pas parti de la mafia, calmez-vous...

L'HOMME : J'répondrais plus à vos questions.

De Molly Hooper à Sherlock Holmes : L'enquête avance ? Moi j'ai six corps sur les bras ! Un jeu de rôle médiéval qui a mal tourné. John et Greg vont bien ?

De Sherlock Holmes à Molly Hooper : Non, l'homme est un abr*ti fini et il a cru que je faisais partie de la mafia.... Aide-moi !

S.H

De Molly Hooper à Sherlock Holmes : Comment ? Anderson ne veut pas me lâcher d'une semelle et Mike semble tout faire pour que je sois concentrée sur mon travail et rien que mon travail. John ne peut pas t'aider ? Et comment ça de la mafia ? Tu me caches des choses ?

De Sherlock Holmes à Molly Hooper : Chacun ses secrets... Greg ne veux pas que John le voit car il a peur qu'il soit violent, je le comprends...

Pourquoi est-ce qu'Anderson est revenu ? Ça m'aurait fait du bien si son départ avait été définitif.... Tant pis ! Ça doit être amusant de disséquer des personnes en armure...

S.H.

De Molly Hooper à Sherlock Holmes : Amusant, amusant... quand tu as un gosse de trente-deux ans qui te suit comme si t'avais des bonbons à lui donner... Je ne dirai pas que c'est amusant. Moi, je l'apprécie Anderson mais des fois, il est vraiment trop collant ! Tu crois qu'il a le béguin pour moi ? Si tu m'aide à me sortir de ce merd*er, je t'aide avec l'homme muet !

De Sherlock Holmes à Molly Hooper : Attends, j'arrive !

S.H.

SHERLOCK : Désolé Lestrade, il faut que j'aille quelque part, je reviens après !

LESTRADE : Ne t'inquiète pas, je le garde au chaud !

L'HOMME : Au revoir Mr Holmes !

SHERLOCK : Comment connaissez-vous mon nom ?

L'HOMME : Chacun à ses secrets...

SHERLOCK : Au revoir. (Sort du Yard)

(A ST BART'S)

MOLLY : Philippe, vous êtes gentil mais laissez-moi un peu respirer...

ANDERSON : Désolé.

MOLLY : Non, ce n'est pas...

SHERLOCK : Bonjour !

ANDERSON : Vous ! Je ne croyais plus jamais vous revoir !

SHERLOCK : Et moi je l'espérais ! Mais vous êtes de retour...encore.

ANDERSON : Que faites-vous ici ? On ne vous a pas appelé que je saches !

SHERLOCK : Non, je viens juste rendre visite à Molly. (L'embrasse et lui dit) Ça va ?

MOLLY : (Regarde Anderson) Euh...oui, oui...

ANDERSON : (A un regard d'anéantissement) Vous...vous êtes ensemble ?

SHERLOCK : Oui pourquoi ?

ANDERSON : Je...excusez-moi ! (Part en courant)

MOLLY : Sherlock ! Tu n'avais pas le droit de dire ça ! Le pauvre...

SHERLOCK : J'aurai pu déduire pourquoi et comment il n'arrêtait pas de te suivre depuis ce matin donc, je crois que ça va. Je n'y suis pas allé trop violement... et puis avoue que tu es contente d'être débarrassée de lui...

MOLLY : (Soupire) Avec toi, rien n'est jamais trop violent... Merci tout de même... Je te dois une faveur, allons voir cet homme !

SHERLOCK : Merci... Tu as une idée de comment le faire réagir ?

MOLLY : Oui, mais chacun a ses secrets... (Lui fait un clin d'œil tandis qu'ils sortent de St Bart's)

SHERLOCK : (Rougit et ils entrent dans un cab. Au chauffeur) Scotland Yard, s'il vous plaît !

CHAUFFEUR : Bien !

MOLLY : Tu as pu reparler à ton frère depuis l'affaire Big Ben ?

SHERLOCK : Non, mais je sais qu'il était avec Greg hier soir...

MOLLY : Je ne parlais pas de ça... Mais de la promesse que tu m'as faite envers lui...

SHERLOCK : Mais j'ai fait la paix avec lui ! On ne s'ignore plus !

MOLLY : Je n'appelle pas ça la paix... Vous êtes frères tout de même !

SHERLOCK : Et alors ? Tu veux que l'on fasse quoi ?

MOLLY : Je ne sais pas... Rattrapez le bon vieux temps ! Allez au cinéma, à la piscine, je ne sais pas ! Des trucs que font toutes les fratries !

SHERLOCK : On n'était pas du genre à faire ça... Nous, c'était pique-nique et échecs se soldant toujours par la bouderie du perdant...

MOLLY : Oh et bien faites ça ! Comme au temps de l'enfance ! Et puis même si vous êtes adultes maintenant, lâchez-vous ! Jouez aux pirates ! Tu l'as bien vu, la vie s'arrête en quelque secondes à peine alors profite de ton frère, Sherlock ! Tu vas le faire ? Promets le moi....

SHERLOCK : Molly, on n'a plus 5 ans, ce n'est plus le même temps...

MOLLY : Promets le moi....

SHERLOCK : (A contre cœur) Okay ...

MOLLY : Bien !

CHAUFFEUR : Madame, Monsieur, bonne journée !

MOLLY : A vous aussi (Sort de la voiture tenant Sherlock par la main)

SHERLOCK : Attends... qu'est-ce que tu fais ?

MOLLY : Tu ne voulais pas que je m'occupe du gars qui t'a traité de mafieux ?

SHERLOCK : Oui mais comment ça va nous aider que tu me tiennes la main ?

MOLLY : (Regarde leurs mains et la lâche, rougissante) Désolée... (Monte précipitamment les marches du Yard)

SHERLOCK : Molly ! Ce n'était pas ce que je voulais dire ! (Monte les marches)

LESTRADE : Ah Sherlock ! Tu as ramenée Molly aussi ?

MOLLY : Oui.

LESTRADE : Je veux blesser personne, mais Sherlock, toi-même tu n'es pas arrivé à le faire parler comment Molly pourrait le faire ?

MOLLY : J'ai mes astuces...

SHERLOCK : Lestrade, on est désespérés et si elle dit qu'elle peut le faire parler, autant essayer ...

LESTRADE : Ok, ok !

(Entrent dans la salle d'interrogatoire)

MOLLY : Bonjour !

UN HOMME : Hello ma p'tite ce que vous êtes ben belle !

LESTRADE : (Chuchote) Déjà ça, c'est nouveau, il est de bonne humeur !

MOLLY : Bon hum... mon ami et...

UN HOMME : Ami ? (A Sherlock) Dites c'est elle vot'e copine ?

MOLLY : (Rougit) Je...

SHERLOCK : Oui, mais ce n'est pas le moment ! Molly continue...

MOLLY : Je disais j'ai besoin de votre aide

UN HOMME : J'aiderai toujours un p'tit bout de femme comme vous !

LESTRADE : (Chuchote à Sherlock) C'est efficace mais tu ne crois pas qu'il la drague un peu là ?

SHERLOCK : Je ne crois pas ...

MOLLY : J'ai besoin que vous me disiez où est cette petite, c'est ma filleule et j'ai peur qu'il lui soit arrivé quelque chose

UN HOMME : Tu as toujours peur pour tes proches...Molly !

MOLLY : Que... comment ? (Littéralement choqué)

UN HOMME : Woaw ! Ta réaction est plus forte que l'effet qu'j'attendais...

MOLLY : Comment connaissez-vous mon prénom ?

UN HOMME : Je le connais depuis longtemps !

MOLLY : Qui êtes-vous ? Bon sang !

UN HOMME : (Récite) Molly, la petite fleur jolie,

Qui dort profondément,

Et que même sa maman,

Ne peux la tirer de sa rêverie !

MOLLY : Que... comment K... K... Ki... Kylian ?

KYLIAN : oui ?

MOLLY : (S'évanouit)

SHERLOCK : (Se met à genoux près de Molly) Molly ? Répond moi !

LESTRADE : Qui êtes-vous à la fin ?

KYLIAN : Le frère de Molly.