Moi : Du jour au lendemain, plus rien. Adieu les messages. Adieu les sourires. Adieu les regards. Adieu notre complicité. Un vide intersidéral que ma peine ne parvenait et ne parvient toujours pas à combler. J'pensais pas que tu t'en irais comme ça, si brutalement, sans t'inquiéter pour moi. 

Peter : J'te signale que tu viens moins m'parler aussi.

Moi : A quoi bon faire des efforts dans l'vide ? J'ai commencé à partir, j'aurais aimé que tu m'retiennes mais... T'es parti aussi. Et tu ne reviendras sûrement jamais. Alors j'ressasse nos souvenirs qui ne reviendront pas, eux non plus.