On reste encore une bonne demi heure dans notre placard à balais. Je décide de risquer un coups d'oeil par l'entrebaillement de la porte. Personne. Je fais signe à Thomas de me suivre. Il s'exécute et on sort de là. Il n'y a personne. On se dirige rapidement vers l'escalier mobtant aux étages supérieurs.

-Ne bougez pas où je tire !

On se retourne et voit trois grands types hyper baraqués et armés jusqu'au dent. Celui qui a parler doit être le premier, c'est lui le chef. Ça se voit. Les deux autres s'avancent pour nous immobilisé. On ne résiste pas. Ob a pas envie de se faire tirer dessus. Pas maintenant. Pas rant qu'on a pas retrouver nos parents. Pas tant que je ne lui aie pas dit. Ils nous emmènent dans un bureau miteux. Il y a des batte de baseball partout. Le chef va en chercher une particulièrement féroce (coir l'image) elle est couvert de piquants redoutables. Il revient et nous dit.

-Je n'ai pas pour habitude de frapper les filles, surtout sans défense. Par contre je leurs laisse un souvenir inoubliable...en revanche, les bellâtre comme toi... Il s'approche de moi et me caresse la joue de ses doigts gantés. Puis il se tourne vers Thomas, l'examine comle s'il choisissais le meilleur endroit pour le frapper. Il lève sa batte et va l'abattre, quand soudain...