20

Thomas et moi, nous nous retrouvons dans un square, vide. Pas un enfant, c'est assez normal puisque qu'il pleut. On se met à l'abris d'un petit préau. Et on s'assoie à côté.

-Je peux de demander un service ?me demande - t - il.
- Oui, bien sûr. Quoi ?
- Tu pourrais pas fermé les yeux.
- Mmm...si tu veux ; et je m'exécute.

Il le glisse un papier dans la main et je sens ses lèvres douce et agréable sur les miennes. Ça y est on s'embrasse. Je profite au maximum. Nos langues bougent en rythme. Je passe ma main dans ses cheveux et lui passe une main dans mon dos pour me rapproché de lui. Il me monte sur ses cuisses ou je suis à présent assise. Nos baisers deviennent plus passionnés. Au bout d'un moment, sans rouvrir kes yeux je separe de lui et me laisse tomber sur le banc. J'attends de reprendre mon souffle avant de lui demander :

-Je peux ouvrir les yeux ?

Pas de réponse.

-Thomas ? Ouhou ?!

Toujours aucune réponse. Je décide de les rouvrir. À trois.
Un. Deux. Trois. J'ouvre les yeux. Ils me faut quelques secondes pour les réhabitués à la luminosité. Quand je retrouve la vue, je constate que je suis seule. Thomas n'est pas là. Je serre les poings. Si c'est un jeu, il n'est pas drôle.

- Thomas ?!

Rien. Je sens dans mon poing droit un papier froissé. Je le dépli et lis :

" Tout d'abord, je tiens à te dire que je t'apprécie énormément, je pense que je peux même dire que je t'aime. Mais malheureusement, notre relation ne peut pas durer. Anne, enfin ma mère, a été muté à Lyon. Donc nous allons déménagé. Je ne remonterai sur Paris que très rarement. Je suis désolé. N'oublie pas que je t'aime, Thomas ♡ "

Je suis horrifié. Il ne peut pas me faire ça ! Il l'a dit lui même, il m'aime ! Non, c'est une mauvaise blague. Je suis...tétanisé ! Il est parti ! Il m'a abandonné.
Je me rand alors compte que je pleure à chande larme. Je rentre chez moi, la mort fans l'âme. Maman doit être au courant car elle ne le pose aucune question.

Le lendemain, je vais chez Thomas pour lui parler. Mais quand j'arrive sur place, je vois un camion de déménagement partir. Je vais à la loge de la concierge.

- Bonjour, je voudrais vous demander si Thomas et sa mère sont là ?
- Desolé jeune fille, ils sont partis ce matin.
-Ah...ils...ils sont...déjà partis...et ils n'ont pas laisser d'adresse ?
-Non.
-Très bien, au revoir.

Mon monde s'écroule pour ka seconde fois ! Je ne suis rien.
Soudain mon portable vibre dans ma poche.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top