16
Quand soudain...
Un bruit de vitre cassé retentit dans la chambre. Il stop son avancée vers mon visage et se retourne vers la source de ce bruit. Il s'avance prudemment de la salle de bain y entre. Un bruit de bagarre se fait entendre. Mon seul reflex est de courir chercher le sac de Thomas. Allez savoir pourquoi ?
Je reviens à la porte aussi vite que je suis parti et dépose nos sacs au pied de la seule issue. Je m'approche de la salle de bain et je vois un homme en noir inerte. Il n'y a personne d'autre. Il y a des traces de sang partout. J'approche de la fenêtre et vois deux 4×4 noirs mattes demarées en trombe. L'homme reprend connaissances. Je sors de la pièce et ferme la porte. Je prend nos sacs et sors. Je descend dans le hall via l'ascenseur. Anne m'attend. Elle me regarde, intriguée de me voir seule. Je lui dit de démarré la voiture.
Je le hisse à son bord et Anne demare et se dirige dans la direction que je lui indique. Celle des 4×4. Celle qui m'éloigne de lui.
-Écoute. je lui raconte ce qui c'est passé, en omettant volintairement de lui précisé la situation dans laquelle nous étions.
Elle ne repond rien.
-Très bien, s'il m'ont enlever mon fils ils n'auront pas de procès. S'il lui font le moindre mal, ce sera une véritable boucherie ! elle me fait peur en disant ça.
Je ne sais pas quoi dire, ni faire alors je me tais. Je me rend compte que ma vision est brouillée, un liquide chaud coule le long de la joue. Des larmes. Je pleure. Pourquoi ? Qu'est ce que je ressens ? Tout à l'heure, il a voulu faire quoi ? M'embrassé ? Me frappé ? Quoi ?
Anne s'en rend compte. Elle fixe la route mais sa voix me fais ressentir un truc bizarre.
-Tu pleures ? T'inquiète pas, ton père n'a pas souffert...
- Mon père ?
-Oui ? Tu ne pleures pas pour lui ? Tu pleurs pour...pour Thomas. Mon fils ? Tu l'aimes ?
-Je...je ne sais pas ou plus !
Cette histoire a eut au moins un avantage. Lequel ? De me faire oublier la mort de mon père...
Il faut absolument qu'on le retrouve.
Une autre partie de moi m'a été arraché. Je m'étais habitué à sa présence à mes côtés. À ses coup d'oeil en coin, à ses sourires, à sa beauté, à sa force, à tout ! Je ne peux plus, je baisse les bras !
Sur-ce je plonge dans des abîmes mouvementées...
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