Chapitre 1
Hunter. Je dois passer ce foutu examen. Il est certe gratifiant mais franchement se coltiner un exam sérieux ? Malheureusement j'en ai besoin pour un boulot donc il faut que je me tape cette étape.
Je suis devant un bâtiment avec mon frère jumeau.
Quand on rentre il demande le menu steak "vous n'en reviendrez pas" pour trois personnes avec une cuisson "lente, à petit feu, jusqu'à ce qu'on en puisse plus." Bref. Ça me gonfle déjà d'être là avec cet idiot.
Il a déjà passé l'examen l'année précédente mais à été exclu pour avoir presque tué un examinateur ce con.
On nous indique une salle. Une fois la porte fermée, la pièce commence à descendre. C'est donc bien un ascenseur comme je le soupçonnais.
Je m'assoie sur une chaise et attend. Je n'ai rien de mieux à faire.
Hisoka : J'espère pouvoir m'amuser un peu cette année.
Je ne lui répond pas et commence à émettre des hypothèses dans ma tête sur quelles épreuves on pourrait tomber. Ça change tout les ans donc compliqué de faire des pronostics.
Hisoka : Toujours aussi bavarde sœurette.
(T/P) : La ferme Hisoka. Je réfléchis.
Hisoka : D'accord, d'accord. Désolé.
Il se met à jouer avec ses cartes en attendant que l'ascenseur s'arrête.
Je me lève avant que les portes ne s'ouvrent sur un immense sous-sol. Forcément. Les Hunters ne font pas dans la demi mesure. Il doit y avoir entre 40 et 50 personnes présentes à vue de nez.
Quelqu'un s'approche, sa tête ressemble à un petit pois. Il nous donne des badges numérotés 44 et 45. Mon frère prend le premier et moi le deuxième.
Je le fixe sur ma poitrine à l'instar des autres et regarde si il y a quelqu'un que je connais.
Hisoka fait de même mais les autres lui lance des regards méfiants et ne s'approchent pas.
La réputation de mon frère est souvent la même partout. Je ne suis pas mieux c'est vrai, mais bon, au moins avec lui, je suis tranquille et personne ne viens m'embêter.
Il reprend son paquet de cartes et me les montre.
Hisoka : On se fait une partie ?
(T/P) : Ça fera passer le temps.
Il les mélange et m'en donne la moitié. On se met à les retourner chacun notre tour suivant les règles de son jeu.
J'entends les gens autour de nous qui murmure dans notre dos. Mais honnêtement je m'en fiche. On est peut-être jumeaux mais à part nos yeux qui sont identiques et une étoile noire sous mon œil droit, on ne se ressemble à plus que ça. On voit le lien familial mais c'est pas flagrant.
Ça fait déjà un bon moment que nous sommes là. Plusieurs jours pour certains. C'est le troisième pour nous. Ça commence à être long.
Les concurrents continuent à arriver. Un type violet avec des aiguilles dans la tête se dirige vers nous. Son numéro est 301. Je le reconnais à son aura. J'ai travaillé avec lui quelques fois, et il est ami avec mon frère.
Gitarakuru : Hisoka, (T/P).
(T/P) : Tiens tiens, la tête d'épingles passe aussi l'examen ?
Gitarakuru : J'en ai besoin pour un boulot.
Hisoka : Comme (T/P). Moi c'est pour m'amuser.
Gitarakuru : Tu ne changera jamais.
Hisoka : Tu me connais, m'amuser et trouver des adversaires c'est ma passion.
Gitarakuru : Bref. J'espère qu'on d'affrontera ma jolie (T/P).
Hisoka : Et moi ?
Gitarakuru : Toi tu me gonfle.
Je ne répond pas et rend ses cartes à mon frère pour observer les concurrents qui sont arrivés entre temps. Gitarakuru s'en va se mettre dans son coin. Trois jours à jouer aux cartes c'est bien mais au bout d'un moment je m'ennuie un peu moi. Je ne peux même pas m'amuser comme j'aimerai ici. C'est nul.
Enfin si, je pourrais, mais avec plus de 300 guignols ça n'en vaut pas la peine.
Je fini par rejoindre Hisoka en soupirant intérieurement. J'espère que ça finira bientôt.
Le lendemain matin est marquée par l'arrivée de deux gosses, un ado et un adulte. Ils sont accueilli par Tompa le numéro 16, surnommé "Le casseur de nouveaux".
Même si je suis nouvelle cette année, il ne m'a pas approché pour autant. Sûrement l'influence de mon jumeau. M'enfin, ça m'aurait occupé.
Je me fait bousculer par un type et je ne perd pas une seconde pour lui lancer un regard meurtrier, une dague dans chaque main. Dommage pour lui, ce sont des dagues kriss. Elles sont conçues pour infliger un maximum de dégâts et donc de douleur grâce à leurs lames ondulées. Certaines ont des lames droites mais je préfère celles ci.
L'homme se met à hurler alors que ses bras se désintègrent petit à petit en une pluie de confetti ressemblant à des fleurs. Il tombe à genoux devant mon frère. Je range mes dagues à ma ceinture. Je n'en ai plus besoin.
Hisoka : Tiens, tiens, comme c'est curieux. Ses bras se sont transformés en pétales et on disparu. Il n'y a aucun trucage, je vous l'assure.
Il faut faire attention. Quand on bouscule quelqu'un, on doit s'excuser.
Les autres nous fixe tout les deux alors que mon jumeau pose un bras sur mes épaules.
Hisoka : Et le premier qui touche à ma sœur adorée, il ne verra pas le bout de cette journée.
Je ne dis rien et me contente de fixer les autres de mon regard tout aussi doré et brillant que celui du guignol à mes côtés. Quatre yeux semblables à de l'or fondu, les regardant avec un air de défi.
Ce serait marrant de s'amuser un peu. Les confetti sont la première vraie distraction depuis plusieurs jours.
J'entends Tompa parler et le fixe d'un air menaçant. Il est avec les derniers arrivés.
Tompa : Ce tordu est de retour, cette année. En plus il a une sœur. Ça promet.
Gon : Il est de retour ?
Kurapika : Il a tenté d'examen, l'année dernière ?
Tompa : Le numéro 44, Hisoka le magicien. L'année dernière tout le monde le donnait gagnant, mais il a quasi trucidé un juge qu'il n'aimait pas.
Leolio : Et ils autorisent ce genre de mec à se représenter ?
Tompa : Bien sûr. Les juges et les épreuves varient d'année en année. Et celles-ci sont proposées par les juges. Si un juge décide qu'il a le niveau, même le diable pourrait devenir hunter. L'examen hunter marche comme ça. En tout cas, personne ne peut piffer Hisoka. Gardez vos distances.
Leolio : En effet, il n'a pas l'air commode. Néanmoins, la fille qui l'accompagne est plutôt pas mal.
Tompa : Tu ne l'a pas entendu ? C'est sa sœur. Elle est sûrement du même genre, je ne l'approcherai pas si j'étais toi.
Hisoka s'en va et je le suis après avoir dégagé son bras de mes épaules. Ce type m'aime trop par moments. Il sait très bien de quoi je suis capable mais il me surprotège.
Au bout de presque une heure de plus, une drôle de sonnerie se fait entendre et le mur du fond se souleve pour laisser place à un immense tunnel et un homme.
Je porte mon attention sur le type en question, sûrement un juge. Il a des cheveux roses pâle, tirant sur le violet et porte un costard bleu avec une cravate déchirée rouge.
Satotsu : Je vous prie de m'excuser pour cette longue attente. La période d'accueil des candidats à l'examen Hunter et maintenant terminée. Je déclare donc ouvert l'examen Hunter , à compter de cet instant précis.
Un dernier petit rappel : si la chance vous abandonne pendant l'examen ou si vous n'avez pas le niveau, vous risquez de graves blessures. Dans le pire des cas, vous pourriez y laisser votre vie. Que ceux qui sont conscients des risques et qui les acceptent me suivent. Tous les autres sont priés de repartir calmement en empruntant l'ascenseur.
Personne ne bouge pour se désister sauf le type qui a perdu ses bras. C'est la moindre des choses. Si ils n'étaient pas conscients des risques jamais ils ne seraient ici.
Satotsu : Très bien. L'ensemble des 404 sélectionnés participent donc à la première épreuve.
Il se met à marcher d'une façon étrange et tout le monde le suit. Il accélére la cadance petit à petit se mettant finalement à courir. Je fais de même. Ça risque fort d'être une épreuve d'endurance. Quel ennui.
Satotsu : J'ai oublié de me présenter. Je me nomme Satotsu, je suis le juge de la première épreuve. Je vais maintenant vous guider jusqu'à la deuxième épreuve.
Nina chauve : La deuxième ? Et la première, alors ?
Satotsu : La première épreuve a déjà commencé.
Des exclamation se font entendre. Ils n'ont pas l'air au courant qu'il a déjà annoncer l'épreuve. Non mais quels nuls.
Satotsu : Vous avez pour tâche de me suivre jusqu'à la deuxième épreuve. Voilà en quoi consiste la première épreuve.
Hanzo : On doit vous suivre ? C'est tout ?
Satotsu : Oui. La destination et la durée de l'épreuve sont secrètes. Contentez-vous de me suivre.
D'accord je vois le genre, c'est également une épreuve mentale. Le fait de ne pas avoir de point d'arrivée précis risque d'en faire cogiter plus d'un. M'enfin, je m'en fiche. Mon jumeau cours à mes côtés tout du long. Pas la peine de se prendre la tête. On court, c'est tout.
On court depuis plus de deux heures et on a bien du dépasser les 30km. Le juge accélère de temps en temps et une partie ses candidats est éparpillée au sol.
Au bout de quatre heures et de plus de soixante kilomètres je commence à fortement m'ennuyer. C'est nul comme épreuve.
(T/P) : Dis, Hisoka, tu me prête tes cartes ? Je m'ennuie.
Hisoka : Bien sûr. Tiens~
Il me passe un paquet de carte et je commence à jouer avec dans mes mains tout en courant. Je m'amuse à faire quelques tours de magie qu'il m'a appris par le passé également. Ça fait passer le temps on va dire.
Gitarakuru : Ta sœur me fascinera toujours.
Hisoka : Elle s'ennuie vite.
(T/P) : Je vous entend.
Hisoka : En même temps sœurette, tu es fascinante.
(T/P) : Si tu le dis.
Je les ignore avant de recommencer à jouer avec les cartes.
Nous commençons à monter un escalier au bout d'environ 80km quand le juge décide d'accélérer un bon coup.
Numéro 255 : Sérieux ?
Hanzo : Ce type est incroyable, il grimpe les escaliers quatre à quatre, comme si de rien n'était.
Numéro 255 : S'il continue à ce rythme, ça va être l'hécatombe.
Je continue de jouer tranquillement avec les cartes sans pour autant quitter le peloton de tête.
Des exclamations se font entendre et je lève le nez pour remarquer la lumière du jour. La lumière au bout du tunnel est la bienvenue pour beaucoup de concurrents. Je soupire légèrement en rendant ses cartes à mon jumeau.
(T/P) : C'est ennuyant comme pas possible cet exam. J'espère que la suite sera plus amusante.
Hisoka : Tu t'ennuies toujours vite.
Mais je te comprends. Néanmoins il y a quelques candidats qui ne sont pas encore mûrs mais qui sont prometteurs.
Deux gamins nous dépassent en courant. Eux au moins, ils ont l'air de s'amuser. Hisoka passe sa langue sur ses lèvres en les voyant.
(T/P) : Espèce de cinglé. C'est des gosses.
Hisoka : Moi aussi je t'aime ma très chère sœur~
Une fois dehors, une plaine et une forêt s'étendent à perte de vue. Il y a sûrement aussi un marécage dans le coin. Le brouillard nous entoure et j'en profite pour m'étirer avec une grâce féline. La course c'est bien mais c'est chiant.
Les autres arrivent petit à petit et la plupart sont complètement h.s. D'après le juge il reste encore une bonne trotte. Finalement, l'endurance physique et psychologique c'est pas mal pour écrémer les nuls.
Le brouillard fini par se lever pendant que certains retardataires font leur entrée. C'est plutôt sympa ici.
Satotsu : Le marécage de Numelle, ou "Nid des escrocs". Il faut le traverser pour atteindre la deuxième épreuve. Il est peuplé d'animaux étranges, qu'on ne trouve qu'ici. Nombre des créatures tapis dans ce marécage sont rusées et goulues, elles dupent les hommes pour mieux s'en repaître. Avancez donc très prudemment.
Si vous vous laissez prendre, vous mourrez.
Le rideau séparant le marécage du tunnel se referme sur un retardataire.
Satotsu : Les créatures de ce marécage utilisent toutes les tactiques possible et inimaginable pour piéger leurs proies. Dans cet écosystème, les animaux utilisent la tromperie pour subsister. D'où le surnom de "Nid des Escrocs".
Si vous ne voulez pas vous faire avoir, ne me perdez surtout pas de vue.
Hisoka à l'air tout content. Tant mieux pour lui.
Si je pouvais en profiter pour tuer quelques bestioles en chemin, peut-être que je m'ennuierai moins.
Leolio : Je ne vois pas pourquoi il s'inquiète. On est averti, on risque pas de se faire avoir.
Voix : NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR !
Tout les candidats se retournent vers l'individu qui viens de crier.
Leolio : Aucune chance je te dit.
Type : Ne... Ne vous laissez pas avoir... Ce type... IL VOUS MENT !
Il sort de derrière le tunnel, accusant le juge. Il est couvert de blessures. Est-ce que les choses commencent enfin à devenir intéressantes ?
Type : C'EST UN IMPOSTEUR ! C'EST PAS LE VRAI JUGE. Votre vrai juge, c'est moi.
Des exclamations se font entendre un peu partout dans la foule.
Leolio : Un imposteur ? Comment ça ?
Hanzo : C'était qui lui, alors ?
Type : Jetez donc un œil à ça.
Il tire un type qui ressemble au juge de dernière le mur en béton.
Gon : C'est m'sieur Satotsu tout craché !
Type : C'est un singe-homme, une créature du marécage.
Leolio : Un singe-homme ?
Type : Les singes-hommes adorent la chair humaine fraîche. Mais avec leurs longs membres grêles, ils n'ont aucune force. Ils prennent donc forme humaine et attirent leurs proies ici, en mentant. D'autres animaux les tuent et ils se partagent le butin. Et lui, il comptait attraper ainsi tous les candidats d'un seul coup !
Leolio : Quelle ordure...
Hanzo : C'est vrai que sa manière de se mouvoir n'avait absolument rien d'humain.
Tout ce petit spectacle et ses débiles commencent à me gonfler, ce petit numéro n'est même pas distrayant.
(T/P) : Hisoka.
Il lance trois cartes sur chacun des deux "juges". Celui qui prétend être le vrai, se fait tuer sur le coup, tandis que l'autre les rattrape facilement. Finalement, notre juge était bien le bon. C'est pas plus compliqué que ça.
Hisoka : Voilà, voilà. Comme ça, on est fixés. C'est bien le vrai juge.
Le singe-homme décampe à toute vitesse laissant le cadavre de l'autre type.
Hisoka : Les juges sont des hunters qui se prêtent au jeu, bénévolement, à la demande du comité d'examen. Ce titre tant convoité n'est pas rien : le dernier des hunters doit être capable de bloquer ce genre d'attaque, c'est un minimum.
Satotsu : Je vais prendre ça comme un compliment. Mais si vous deviez m'attaquer à nouveau pour quelque raison que ce soit, ce serait un acte de rébellion contre un juge, ce qui vous vaudrait d'être éliminé. Suis-je clair ?
Hisoka : Oui, oui...~
Des vautours sont déjà en train de grignoter le cadavre du faux juge. Enfin un spectacle plaisant.
Satotsu : Il a tenté de créer la confusion un homme accusant d'être un imposteur. Combien d'entre vous aurait-il réussi à duper ?
Ce genre de tromperie mortelle peut subvenir à chaque instant. D'ailleurs, combien ici était prêts à le croire en doutant de moi ?
C'est bien compris ? Nous allons entrer dans le marécage de Numelle où le brouillard est dense : si vous me perdez de vue, vous n'arriverez jamais sur les lieux de la deuxième épreuve. Faites attention.
Allons-y. Si vous voulez bien me suivre.
Il repart en courant et nous le suivons. Le brouillard est de retour et à ce stade, il y a eu 36 abandons. Il reste donc 368 candidats en lice.
Satotsu : Vous avez compris ? Surtout, ne vous éloignez pas de moi.
On cours depuis déjà une bonne heure dans le brouillard et le sol humide quand je sens plusieurs regards instants sur moi. Je jette un coup d'œil à mon jumeau qui vient d'avoir la même idée, lui aussi il a une troupe de débile qui lui colle aux basques.
On se sépare, moi partant d'un côté et lui de l'autre. Les deux groupes nous suivant séparément.
Je cours encore je dizaine de minutes avant de m'arrêter et de leur faire face.
Candidat 1 : Enfin ! Elle s'est arrêtée !
Candidat 2 : Tuons là pour montrer à ce con d'Hisoka qu'il n'est pas intouchable !
Candidat 3 : Il avait l'air de tenir à elle ! Envoyons lui sa chère sœur morceau par morceau !
Je sors mes dagues et les fait tourner entre mes doigts.
Je vais enfin pouvoir m'amuser un peu. Ce n'est pas trop tôt.
Ils sont sept autour de moi.
Candidat 4 : Hisoka n'est pas digne d'être un hunter ! On va le faire souffrir en exploitant son point faible.
(T/P) : Son point faible ?
Je me met à rire doucement avant de les regarder avec envie.
(T/P) : Venez ! Je vous attend !
Candidat 7 : Elle est aussi folle que lui !
Je m'approche à une telle vitesse qu'ils ne me voient pas, et je décapite celui qui vient de parler d'un coup de dague. Je lèche le sang sur la lame avant de faire un grand sourire aux autres, mes yeux jaunes, brillants de joie.
(T/P) : Je suis encore plus folle que lui.
Ils se jettent sur moi tous ensemble et j'esquive sans peine leurs attaques, ils sont nuls.
Je ne les tue pas d'un coup. Je les blesse de façon à les faire hurler de douleur mais tout en les tuant à petit feu. C'est jouissif comme sensation. J'adore ça ! Leurs cris, le sang qui vole et qui coule, c'est incroyable !
Je m'amuse comme une petite folle.
Ils finissent à terre trop rapidement à mon goût.
Sur les six restant, j'en tue cinq d'un coup avant de m'asseoir à califourchon sur le moins amoché de tous que j'ai épargné pour l'instant.
Candidat 2 : Ne me tue pas !
(T/P) : Chuuuut~ Ne t'en fais pas, je vais bien m'occuper de toi~
Je commence par lui clouer les deux mains au sol en plantant mes dagues dans celles ci. Il hurle de douleur ce qui me fait un peu plus sourire.
J'en profite pour examiner une jolie entaille que je lui ai faite dans le ventre et, grâce à mes ongle, je plonge une main à l'intérieur, agrandissant la plaie au passage. La peau se déchire, et le sang gicle sur mon visage.
J'attrape le premier truc qui me passe sous la main et le tire pour le sortir.
(T/P) : Oh ! Ton intestin ! Youpi ! Je vais pouvoir le sortir sur sept mètres !
Je tire de plus en plus, le faisant agoniser. Tout sors et je fini par l'arracher au bout que quelques minutes. Je prend mon temps bien sûr.
Je replonge ma main à la recherche d'autre chose à sortir de là quand le type se prend une carte dans la tête, le tuant sur le coup.
(T/P) : Hisoka ! Pourquoi t'as fait ça !?
Hisoka : Irumi est arrivé. J'ai la position, ramène toi. On a pas toute la journée. Je t'offrirais un truc pour me faire pardonner.
Je me relève, mes mains dégoulinant de sang encore chaud. Je récupère mes dagues au passage et les range.
(T/P) : Tss. Laisse tomber. Tu m'explique pourquoi tu as un vieux sur ton épaule ?
Hisoka : Il a passé mon test. Je l'amène.
Je soupire et le rejoins. Il sort un mouchoir par magie et essuie doucement le sang sur mon visage.
Je remarque une petite plaie sur sa tempe gauche et fronce les sourcils.
(T/P) : Qui t'a fait ça ?
Hisoka : Un petit hérisson adorable~
Je soupire et il fait disparaître son mouchoir.
(T/P) : Je vois que toi aussi tu t'es amusé. Allons y.
Il regarde son appareil et se dirige dans la direction indiquée par celui ci.
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Premier chapitre d'une nouvelle fic.
J'espère que ça vous plaît.
Si ça vous intéresse, j'imagine (T/P) dans ce style de vêtements pour la fic. Mais bien sûr, vous faites ce que vous voulez !
Sur ce, bonne journée/soirée/nuit !
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