Chapitre 2-Touché, tu coules..
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¦ Le gymnase embaume une odeur d'effort et de sueur, typique des cours de sport de l'Académie Neuvillette et pour les élèves qui s'y rassemblent (dont moi), cela est devenu presque naturel.
Je suis assis sur le banc, ma poitrine serrée par une anxiété sourde qui me ronge. Chaque élève autour de moi s'agite, rigole et se prépare pour l'activité en équipe que notre professeur vient d'annoncer. Mais pour moi, c'est un moment d'angoisse pure. Mon frère et ma sœur, ces piliers sur lesquels je peux encore m'appuyer, sont absents aujourd'hui, retenus par un shooting photo pour le magazine "Jeunes talents".
Je jette un regard autour de moi, mon cœur s'emballe en observant les visages enjoués de mes camarades. Certains s'affrontent déjà à la balle au prisonnier dans des équipes improvisées, mais moi, je reste là, assis et immobile, paralysé par la peur de l'échec. Mon esprit défile des scénarios catastrophes ; que va-t-il se passer si je réduis notre équipe à néant ? Que vont dire mes camarades si je suis mauvais ? Que je suis un échec ?
C'est alors que je remarque dans un coin du gymnase deux silhouettes familières, Charlotte et Furina, des filles de ma classe. Elles m'observent, l'air inquiet mais déterminé: Charlotte, les mains posées sur ses hanches, Furina, trois doigts maintenant son menton montrant une réflexion intense de sa part.
-"Trois, deux, un, allez-y !"
Crie notre professeur, alors que le bruit de l'activité commence à résonner autour de moi. Mes pensées se dissipent alors que je me lève, forcé par la ferme détermination de mes camarades et de mon professeur.
Charlotte, l'élève au regard explosif et à l'énergie aussi calme que celle d'un dauphin, se dirige vers moi.
-"Freminet, par ici ! On va former une équipe ensemble vu que le minimum est de trois personnes. Ça va être trop fun hahaha ! Oh, peut-ête que je devrais créer un article sur ce sujet dans le journal de l'académie..
Sa voix douce a un effet apaisant. Je hoche la tête, mes jambes un peu plus légères que tout à l'heure. Furina, quant à elle, est pleine de verve; ses cheveux flamboyants se déplacent avec le rythme de la musique que notre enseignant a lancée en fond pour motiver les troupes.
-"'Faudra que tu t'accroches Freminet, parce que ça va être CHAUD !"
Dit-elle en riant, sa fraîcheur et son optimisme dissipant peu à peu mes doutes.
¦ Nous formons un trio improbable, mais qui pourrait compenser nos différences. Avec Charlotte d'un côté et Furina de l'autre, je me sens soudainement moins submergé par les émotions négatives qui normalement prennent le dessus sur moi.
Alors que nous nous engageons dans la première étape de la compétition, je joins ma voix au chant qui monte autour de nous, laissant quelques soupirs s'échapper de ma gorge lorsque je lance ou esquive une balle.
Chaque mouvement semble être une danse. Nous devons passer le ballon au-dessus de la ligne de séparation du camp adverse et éliminer ces derniers aussi vite que possible.
Mais mon calme se fissure rapidement. Une fois, au cours d'un échange enjoué avec notre ballon, je sens une douleur aiguë lorsque le ballon s'écrase violemment contre ma poitrine.
Des rires s'élèvent autour de moi, et je tourne le regard vers Akashi, l'un de mes harceleurs, faisant partie d'une classe supérieure...
-"Regarde l'abruti aux cernes démesurées, il pense pouvoir jouer avec nous comme un grand garçon ? Hahaha, belle connerie !
Ricane-t-il avant de balancer le ballon dans ma direction avec une force immodérée, me le renvoyant directement au visage.
¦ Je me redresse, ma confiance chutant avec la tension palpable dans mes épaules alors qu'un filet de sang s'échappe de mon nez, ma mains venant l'essuyer avant qu'un autre brin ne coule. Ils rigolèrent tous face à cette vue des plus déplorables lorsque Charlotte et Furina se mirent devant moi et la première prit la parole:
-"Laisse-le tranquille, Akashi ! T'es malade ou quoi ?! T'as vu c'que tu lui as fait !"
S'exclame-t-elle avec une voix forte qui surprend tout le monde.
Furina, elle, se tient prête à répliquer, des flammes dans le regard. Je me sens reconnaissant d'avoir ces des filles à mes côtés en ce moment même, mais cela ne me soulage pas entièrement, physiquement et mentalement.
C'est alors que, dans ce tumulte, notre professeur s'approche, son visage déterminé.
-"Hey, qu'est-ce qu'il se passe ici ! Pourquoi Freminet est-il blessé ?!
Il se tourne vers Akashi qui se tient juste devant Charlotte, Furina et moi, ses yeux si sombres qu'il ferait presque peur, les bras croisés contre son torse.
C'est toi qui a fait cela Akashi ? C'est inacceptable ! Tu va t'asseoir pendant un moment. Je ne tolérerai pas de harcèlement ou quelconques formes de violences dans mon cours."
Akashi, surpris, rejetant toute l'atmosphère hostile d'un revers de main. À ce moment pourtant, je me retrouve pris au milieu d'un mélange d'émotions plus intenses que jamais.
L'éloignement de ce dernier calme presque les tensions, et je me retrouve entouré des encouragements de certains de mes camarades, mais la peur que je ressens ne disparaît pas totalement.
Je respire profondément, mes yeux s'écarquillant légèrement alors que je regarde le sol, mes cheveux tombant sur ces mêmes mirettes.
Je goûte la substance rouge et quelque peu visqueuse qu'est mon sang, glissant d'une de mes narines jusqu'à ma bouche.
"Je n'aime pas cette école.."
¦ Après l'école, la réalité redevient un peu plus sombre. L'after-school a quelque chose d'unique qui attire les plus audacieux, et cela semble particulièrement vrai pour Akashi et ses amis. Les murmures de la salle de classe s'éteignent, laissant place à des frissons dans l'air.
Une fréquence palpable atteint mes oreilles alors que je réalise que je ne suis pas encore sortis de cette torpeur.
Je fais mon chemin dans les couloirs, espérant passer inaperçu. Mais les rencontres n'ont jamais été de mon côté, et c'est avec une surprise amère que je croise Akashi, accompagné d'un groupe de ses semblables.
Leur rires se transforment en un murmure glacial alors qu'ils avancent vers moi.
-"Regarde qui voilà, le petit prince de la douleur. Tu m'as bien niqué la tronche pendant le cours de sport et tu vas l'regretter. T'as pas pu t'en empêcher hein..?
Prêt pour le deuxième round connard ?
Me dit Akashi, ses mots piquants comme des flèches alors que je sens mes yeux commencer à pleurer.
Comme un lion entourant sa proie, le groupe se rapproche de moi, réduisant mes échappatoires. Une panique sourde commence à se répandre dans ma poitrine.
Je me sens déjà piégé, avec ces souvenirs de la compétition qui flottent autour de moi, me retenant en arrière.
Je tiens mon carnet de dessin fort contre mon torse, reculant d'un pas.
-"S'il-te-plaît je..je n'ai jamais voulu te faire virer du cours de sport...J-Je suis vraiment désolé si-
Je bafouille, cherchant désespérément une lâche échappatoire.
-"LA FERME !
Il me hurle, sa voix résonnant comme un coup de fouet.
Tu m'énerves à toujours chercher des excuses avec ta tête de chien battu, suppliant de ne pas te frapper ! Tu sais quoi ? Tu m'dégoutes."
Avant que je ne puisse m'écarter de son chemin, il m'attrapa la mâchoire violemment, écrasant mes joues au passage. La douleur irradie de mes os zygomatiques¹ à mon cœur.
¦ Mais dans cette tempête de terreur, un phénomène incroyable se produit. Une lumière scintillante surgit d'un coin sombre du couloir, au devant d'un des nombreux escaliers. Un élève que je n'avait encore jamais vu dans l'établissement et que probablement personne ne connaît, fait son apparition. Sa silhouette élancée et déterminée semble briser le fil tissé par Akashi et ses acolytes. Je le vois courir à l'endroit où nous nous trouvons.
-"Hey, lâche-le espèce d'idiot à l'égo démesuré,
Sa voix, bien que calme, porte un poids défiant..
Le regard d'Akashi se durcit, ses amis hésitent, partageant entre eux un chuchotement inquiet. Parfois, la présence d'une ingérence imprévue suffit à déranger même les monstres les plus confiants, c'est assez ironique, n'est-ce pas ?
-"Et qui t'es pour t'immiscer dans c'qui t'regarde pas ? T'as vraiment envie de voir ce qui arrive aux insolents ?
Rétorque Akashi, piquant de son mépris.
Mais Gaming ne cède pas, avançant d'un pas nonchalant, un regard audacieux affiché sur son visage avant qu'il ne rigole de façon plutôt sarcastique.
-"Gaming, celui qui va te soulever du sol dans à peu près deux secondes et d'mi."
A ces mots, Akashi grimaça.
¦ Sans crier gare, Gaming se rue sur Akashi, usant d'un mouvement rapide comme l'éclair pour lui donner un coup de pied au bras qui me tenait prisonnier, l'obligeant à me lâcher brusquement. Mon cœur bat la chamade alors que je glisse mon carnet en arrière, mes yeux fixés sur le chaos en devenir. Un échange d'impact et de mots volés se déroule devant moi comme un affrontement entre la lumière et l'ombre. Les poings se rencontrent contre le son du quartz froid du carrelage.
Gaming se bat avec une grâce inspirante, ses mouvements fluides comme ceux d'un danseur. Il parvient à faire reculer Akashi, l'obligeant à perdre son aplomb, sans un instant d'hésitation. Le groupe commence à s'agiter, son autorité vacillant.
Finalement, une tension sourde flotte dans l'air. Akashi, un sourire ravageur figé sur le visage et un bleu sur la joue droite, se rend compte de la colère et de l'enthousiasme de Gaming qui défi tous ses dominants. Il prend un moment, évalue la situation et, face au regard scrutateur de Gaming, il finit par craquer.
-"C'est pas finit, tapette, seulement aujourd'hui t'as d'la chance, j'suis fatigué..."
Et comme une ombre qui s'efface, ils s'en vont, laissant derrière eux la promesse d'un retour dangereux.
Après un moment, le silence s'installe à nouveau. Je me tiens là, émerveillé par le changement que Gaming a provoqué.
-"Merci..
Murmurais-je, ma voix tremblante, mon regard retournant au sol à nos pieds.
-"Ne me remercie pas c'est normal et puis, ce n'est que le début à mon avis...'Va quand même falloir que t'apprennes à te défendre plus parce que les gens vont penser que t'es un gars battu à force.
Répond Gaming sur un ton inquiet plus que méchant, un léger sourire perceptible, mais dans ses yeux brille aussi une lueur de tristesse.
-"Oui, je..je sais..."
La seule réponse qui acceptait de sortir de ma gorge était si pathétique..
. . .
¦ Assis sur ce banc dans le parc, je me suis senti soulagé, mais aussi un peu gêné. Comment lui exprimer ma gratitude pour ce qu'il a fait tout à l'heure ?
Cela va faire maintenant trente bonnes minutes qu'il est en train de me parler non-stop sans que je ne puisse ajouter quoi que ce soit à cause de mon "blocage vocale".
Puis, en voyant mon expression dubitative, il s'arrête de parler et me sourit, attendant que je prononce ne serait-ce qu'un mot.
-"Hum..m-merci encore pour..tout à l'heure, je..On ne se connait même pas et tu es venu m'aider sans hésiter..
Murmurai-je, mes mots se mêlant à la brise légère.
Gaming, toujours avec son sourire réconfortant, me répond:
-"C'est normal. Personne ne devrait subir ce genre de traitement. J'ai vu ce qu'ils te faisaient et je ne pouvais pas rester là sans rien faire alors que tu souffrais amèrement !
Ses paroles me touchent plus profondément que ce que je pensais. J'ai toujours pensé que j'étais seul dans cette lutte, mon frère et ma soeur ne pouvant pas toujours m'aider, mes camarades ne le voyant pas tout le temps et n'intervenant donc presque jamais, mais cette rencontre m'ouvre une nouvelle porte sur un couloir illuminé.
Nous avons commencé à discuter, et au fur et à mesure que nos échanges se poursuivaient, j'ai réalisé à quel point nous partagions des passions similaires, en particulier pour les jeux vidéo et la programmation et le dessin.
Cela a allumé une étincelle en moi, petite mais bien présente..Légèrement chaude et d'une douceur si agréable...
Et puis, après deux mois d'amitié nouvelle, nous avons décidé de nous retrouver régulièrement chez moi ou alors, dans le café où travaille Yuu, le/la gentil(le) serveur/serveuse avec qui nous avons d'ailleurs tissés des liens avec lui/elle, enfin, je crois ?
Je me souviens de notre première séance de brainstorming avec Gaming. Nous avons commencé à esquisser des idées pour un jeu vidéo. Ce dernier voulait absolument créer un "Visual Novel" sur des amis à lui, «Freminet, que dirais-tu de développer un jeu ensemble ? Plus précisément, un Visual Novel !». Même si cela semblait complètement fou, je trouvais ce projet assez amusant et original alors, pourquoi pas ? Je pouvais déjà imaginer leur têtes quand ils allaient découvrir ce dessein.
Mais comme on dit souvent, le calme est toujours présent avant la tempête..
Yuu-"Lyney, Lynette, je m'inquiètes un peu pour Freminet, ça va faire deux semaines que je ne l'ai pas vu, ni au café, ni à l'Académie..
Lynette-"Deux semaines tu dis, Yuu ? C'est vrai qu'il ne nous a pas contacté depuis notre premier jour de voyage en Sibérie, ça va faire un moment...
Lyney-"Très bien..dans tout les cas, nous sommes en route, je crois même que nous ne sommes pas loin du centre ville. Où est-ce que tu te trouves pour l'instant ?
Yuu-"Devant chez vous, il n'y a aucun bruit mis à part des bruits de pas..
Lynette-"D'accord, pourrais-tu toquer à la porte ?
Yuu-"Oui bien sûr..
Lyney-"Soit prudent(e) !
. . .
"V̷̢̢̧̛͎͈͎̜̭̗͇̝͍̩̤̱̊̄͑̅͌͆͒̄̈́̀͝͠i̸̙͎̲̗͙̣̠̞̻̗̳͔̻̠͖̯͖̗̙̭͈̻͇̥͒̓͂̿͊̎̀̅͆͊͒͆̿̐͂͐̐͆̿̾͐̄͑̐̾͠͠e̵̡̨̨̛̛͚̱̭̱͇̳͓̤̙̩̦͔̮̞͍̻̐̑̈̓̊͊̎̈̓̆̍̀̆̏͊̎͐̚̕̚͜͠͝͝͠͝ñ̶̢̡̪̟̜̥̼̤̬̫̟͎̪̙̭̹̘̥̆̋͂̀͑͜͝ͅͅt̷̨̳̖͉̓ ̴̣̭̰̝̰̼̱̺̝͔̲͇̠͚͕̞͇̮̫̅̾̍̅̎̆̈́͛̂͒̊̈̏̓̀̓͐̋̕̕͠͝l̸̻̯͇̺̱͕̽̐̓̔̎́̂͌̑̍͝͝à̵̺̹̬̝͙͚̩̞͙̍̓̋͑̂̈̕̕͜ ̶̡̢̡̞̯̳̼̘̤̟͙̥̼̠̫͕̳̜̰̯̄̿̅̓̓̎͋́͐̔̈́̀͗̒͋̐̔̉͂̚͝͝t̶̡̙̪̺̥͇͓̺̞̺͚̰̄̎̔͌̍̿̃̎̎̔̆̄o̶̢̨̢͙̖̹̣̮̱͖̮̫͙̱̭̹͓͇̟̝̱̳̭̖͇͛̔͊̌̏́̉́͐ͅì̵̺͇͋̽̏̄ ̷̨̨̨̨̛̥͖̗̣̭̣̯͕̻̱̗̙̱͖̫̫͓͓̹̽̎̽̌̂͆͂͒̔̈́̍ͅ!̷̛̗̝̲̝͕̲̙͙̫͍̀̎̇̃̇̾̀̆̅̂̐͛̓͂̀̊̾̂͋͋́͋̊̕̚͜͠ ̴̧̜͍͕̼̹̙͙͍͓͕͉̙̮̯͔̲̻̠̠̑́́̀̉̈́͆͛̀̓Ḃ̶̢̧̡̛̳̳̭̳̲̞͚͇͇̮̙̜̥̘̱̺͖͓͇̗̑͛͗̇͋̄́̏̔̔̆́̇̑̆̏Ö̴̝̳̙̍͗U̵̧̼̼̙̜͎͓̮͎̫̬̜̖̰͚͚̭̲͇̫̖̞͓̮͙̠̖͍̓͒̐̅̉̆͌̄̽̀̔̓̃͒͛͜͜͝Ģ̷̢̨͕̗͖͕̜͙̱̩̙̦̫͓̼͙̗̘̝̹̙̜̲̜̘̳̿̌̿̌̎̀̉̽̐͗́͆̐̈̈́͗͐̇̔̆̐̔͋̕̚͘̚͠͝Ẹ̴̡̪͇̲̝̖̰͙̦̠̖͓͉͔͈̯̤̬̎͂͌̓̂̔́͐́̈́̉̂̃̎̋̈́̈͒̐̆͘͘͘ ̷̢̡̛̮̗̬̯̲͇̹̥̗̞̥̣̺̩̪̰̪̗̜̞̭̳̼͇̀͂̄̓̒̅̆̀̃́͑͌̊͛͆̎̋̏̈́̓̓̽̔͊́̔͘͝P̵̢̛̗̤̯̺̩͍͉̝̱͔̘͉̱̠̝̞̹̠̞̱̹̣̟͓̯̯̽̅̆̉̽͗͋̀̅͒̂͑͆̒̾̿̒̅̓̅̈́͋̈́͑͜͜͝Ą̵̡̝̼̥͍͚̺͉͓̲̝̘̰͙͉̱̻͑̽͋̒̽͐́̀̎͒͋͛̇́̄̍̿͘͝͝S̷̖̝͖̰̹̻͕̪̝͍̣̺͍̫̻̎͒́̊́̎̀̏̄̒̇̓̚̚ ̸̧̧̨̨̡͔̠̤͉͚̗͚͇̮̯͈̱̺̖̮͓̻̜͇̱̥͍̤̏́̓͗̉͐̇̽́̃̋̈́́̿̒̓̃̐͜ͅŞ̷̧̨̱̺͇̙̜̩̲̯͚̥̱̺̘̜͈̪̜̆̎̽̃̇̿͌͆̊̏̾͑̒̈́̃̔̏̐̀̀́̌̍̐͜͠A̸̗͌̈́̂͐͊̄͆̉̈̎̽͝͝Ļ̶̡͖͚͕̹̲̥̈́̎̌͗̈̅͊͗̀̓͒̈́͝͠Ơ̵̧̗̰͓͚̲̭̩̤͓̞͎͔̳͒̐͊̆̾̒̿͛̾̓̽̾̀̓͋̋̆͗̋̌͆̋̉̒̀́͌͘͠͝P̸̡̧̹̫̩̻̝̯̹̯̣̻̲̩̥̫̫̰̺͖̪̗͚̞͓̮̬͙͕̓͒̓̀̄͆̀̀̈́̉̐͗̈́̂̾̀̎̐̓͘͠(̶̝̰̻͎̺̮̣̣̀̑̈̐̎͒̿͐̂̅̈́̄͋̈́̈́̕̕͠E̸̡̢̢̛͔̹̤̻̯̜̪͙͎̭̩͚̤̟͖̯̠̲͇̟̺̾̀)̵̢̧̩̻͈̦͗̂͒̀̃̊̔̅̎͆̓̔͠͝ͅ"
Lynette-"Y-Yuu, tout va bien ?..
Lyney-"Yu, qu'est-ce qu'il se passe ! YUU !"
[ b̴̸̥͓̝͙͎̥̩̳̤͖̮̰̙̮̳͕ͨ͂́ͨ͂͗ͪ̆̿ͭ̈́̃̔͒͌ͫ͋̈́̇͂̓̕͡͞͞͠i͔ͥ̔ị̸̸̢̛̳̰̜̠͈͍̳̫̭͇̟̻̔́͋ͣ̀͑ͮ̓͑̃ͬ̑̀ͪ͑ͬ͑͌̓͠i̶̢̨̡̧̛̘͎̦͈̘̹͍̫̘̱̻̲͆͂̈̊̏͒͌̐̇ͫ͗́̇̾͋ͭ͟͢͟i̬̺̬͓̮i̶̤̦͇̠ͪ̃͗i̶̺̖̞̱͎̖̩͙̭̩̫̤̼̠͍͓̰̔̇͗̽ͫ̈̽ͥ͊ͣ͐ͥ̈́ͬ̊̾͒̓̿ͪ̕͟͝͞͡͝í̧̡̤̬̟͉̮͇̩̗̥͇̩͔̪̬̤͈͒͒͗̾͂̋̅̆ͣ̓̅̀̒̆̔͢͜͜͞͠͡ͅi̸̹̞̟͈̲̱ͧ͌̊̐ͣ͑ͬ̀ì̵̡̧̡͙̠̜̲̞̲̭͚̳̰͊ͤ̈́̔̿ͧ̐̀͂͗͊͌̓͌́ͬ͠i̢̡̛̛͕̠̩̖̘̮̟̯̿͛̍̉̑_̴̟̤̜̗̝͇̩̯̬̜̙̑̉̋̍ͥ̾͋ͭͥ͜͞i̢̼͈ͯ_̛̙̻̬̣̦̞̞̙͔̖̻͈̺̗̈̾̏̀̎͑̓͌͒̅͗̔̇ͬ̌ͨ̇ͩ̚͞i̶̛̞̹̣͈̩̠̼̠̯̣͗̀ͦͪ̐ͮ̆̌̐̑̀̅̏͌̈̈́̆͞͠i̡͖̪͔͔̲̜ͮ́͐́͑͊̊p̸̧͔̩͓ͯ̓̎̕ͅ ]
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Os zygomatiques¹: Os pair de la face correspondant au relief palpable de la pommette . Il fait le lien entre le neurocrâne et le splanchnocrâne.
⁂
J'ai réussi à tout écrire ! Bon, ce n'est peut-être pas fameux mais je suis fier/e de ce que j'ai fais, je trouve ce chapitre plutôt intéressant.
J'espère que je ne vous ai pas trop fait attendre non plus malgré ce délais imprévu mais malheureusement inévitable (┬┬/\┬┬)..
J'espère que tout le monde va bien, que vous vous reposez bien, mangez correctement, buvez normalement !
Je vous souhaite tout le bonheur du monde et à bientôt (❁'◡'❁) !
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