Chapitre 84
Pdv Olivia
On arrive sur place et on se dirige vers l'accueil. Léo nous voit et nous appelle, on se dirige vers lui. Il nous explique que Stiles est parti au bloc et qu'il n'en sait pas plus. Il me demande si j'ai réussi à joindre nos frères. Je n'ai pas le temps de lui répondre qu'ils arrivent en courant vers nous.
Logan : Il s'est passé quoi exactement ? Me demande-t-il.
Olivia : Je ne sais pas, on pensait qu'il c'était trop gavé de popcorn, dans la nuit il a eu des vomissements, il m'a dit qu'il allait mieux et ce matin tout aller bien. Dis-je angoisser.
Logan me prend dans ses bras avec hésitation et pose ses mains au milieu de mon dos, c'est immédiat je me mets à pleurer. Éric vient à notre rencontre expire d'agacement voyant notre ainé dans l'embarra. Il m'attire vers lui et vient s'assoir sur une des chaises de la salle d'attente. Je me pose sur ses genoux, pose ma tête sur son épaule et sa main vient caresser mes cheveux. Logan lui par de l'autre côté de la salle contrarier. Eric n'a jamais été très démonstratif comme ça surtout en public et ça me fait vraiment drôle de voir que ce n'est plus du tout l'ado qu'il était.
Éric : Franchement avec le temps, il devrait savoir ce qui te calme. Marmonne-t-il entre ses dents.
Olivia : Vous vous êtes disputé ? Le questionnè-je doucement.
Éric : Pas vraiment, on s'est juste pris la tête, il estime que j'en fais pas assez. Il me reproche mon attitude de ses derniers mois... et surtout le fait que grâce à toi j'ai pu reprendre mes études sans véritable conséquence.
Olivia : Prends sur toi, ça lui passera et il va falloir être là pour lui et Léo. Dis-je en caressant sa joue.
Éric : Pourquoi tu dis ça ?
Je jette un coup d'œil rapide à Léo qui discute avec Matt, ils semblent tous les deux embarrassés de la situation.
Olivia : Avec Léo, on a appris qui serait leur géniteur et franchement ça me laisse dubitative. Je le connaissais. Dis-je à voix basse. Le club où je travaillais lui appartenait avant d'appartenir à Daryl.
Éric : Il n'y a pas que ça n'est-ce pas ?
Je secoue légèrement la tête de droite à gauche.
Olivia : Ils ont de la famille, ironique je sors avec leur cousin.
Il me regarde avec de grands yeux étonnés alors que Matt vient nous voir. Il salue Éric et me prévient que Daryl vient de partir de la maison de retraite.
Matt : Je voulais savoir comment tu connais Abuela ?
Olivia : Débora fait du bénévolat à la maison de retraite et je l'ai plusieurs fois accompagné.
Je repense à la photo dont Stiles m'a parlé.
Olivia : Dis Matt, tu aurais une photo de monsieur Garcia par hasard ?
Matt : Ouais je dois en avoir une ou deux sur mon tel.
Il se met à chercher et me la montre. J'appelle Logan pour qu'il la voie.
Logan : Qu'est-ce qu'il y a ?
Olivia : Regarde.
Je lui tends le cliché.
Logan : Oui tu veux que je te disse quoi exactement ?
Olivia : Stiles m'a parlé d'une photo que tu avais de mama et l'homme que tu penses être ton père, c'est lui ou non ? Insistè-je en lui mettant le téléphone sous ses yeux.
Logan : Peut-être il est plus vieux que celle que j'ai.
Matt : Donc c'est vrai, ce qu'elle a dit ?
Pour toute réponse je hausse les épaules. Matt me regarde tristement puis va voir Sam.
Pdv Daryl
J'étais allé les retrouver à la clinique, nous attendions dans la salle d'attente alors que Stiles était au bloc. Son état avait empiré et on ne savait toujours pas ce qu'il avait. Matt essayait de distraire Sam alors qu'Olivia était dans les bras d'Éric. Je m'étais approché d'eux et j'avais demandé à Liv de me suivre pour parler un peu plus loin. Elle avait lâché son frère et nous étions partis dans un couloir désert nos doigts entrelacer.
Je l'avais prise dans mes bras et c'était elle qui avait commencé en premier comprenant que je n'arrivais pas à aborder le sujet.
Olivia : Pourquoi tu ne me l'as pas dit que tu la connaissais ?
Daryl : Tu aurais pu temps douter, après tout je suis son parrain.
Elle se détacha de mes bras et me regarda abasourdi avant de s'assoir sur une chaise, j'en eus fait de même.
Olivia : Monsieur Garcia...
Daryl : Tu veux bien arrêter de l'appeler comme ça, je trouve ça bizarre...
Elle hocha doucement du chef et reprit.
Olivia : El Padre m'avait fait comprendre que peu de monde savait qu'il avait un enfant pour la protéger d'éventuels rivaux qui aurait l'idée de s'en prendre à elle. Et honnêtement je n'ai jamais imaginé que tu étais dans la confiance. Il ne m'avait jamais parlé de toi, ni Matt maintenant que j'y pense. Juste sa famille, sa cousine qui a adopté ma fille.
On avait été interrompu, la métisse était apparue de nulle part et c'était précipité à notre rencontre.
Débora : J'ai fait au plus vite. Vous savez ce qu'il a ?
Liv avait quitté mes bras et elles se réconfortaient mutuellement.
Olivia : On attend toujours qu'ils nous donnent des nouvelles.
Nous étions retournés au près des autres, le sujet des révélations était lancé. Tout le monde fut au courant. Tout le monde était plus ou moins sur le cul. J'avais doucement glissé à Liv que c'était le moment pour dire à Colin qu'ils s'étaient connu avant, autant enlever le pansement en entier d'un coup sec.
Olivia : T'as peut-être raison. Tu peux venir avec moi ?
Je l'avais accompagné, Liv leur avait demandé de nous suivre dehors, loin des oreilles indiscrètes. Sa meilleure amie n'était pas très en joie avec le recul je pense qu'elle savait que Liv à aller lui annoncer une nouvelle qui n'allait pas lui plaire. Elle avait demandé à la métisse et au musicien de s'assoir sur un banc et elle leur a sorti sans prendre la moindre pincette débitant tout de A à Z. Que Colin et elle c'était déjà rencontré, preuve à l'appui.
Colin lui il est resté impassible comme déconnecter de la réalité. Puis Liv lui dit qu'ils avaient une fille. Colin l'avait dévisagé plus que quand elle lui a dit qu'ils avaient couché ensemble et lui avait dit que c'était impossible.
Daryl : Tu peux faire un test de paternité pour le confirmé.
Olivia : C'est lui je te dis !
Daryl : Je ne vois aucune ressemble entre elle et lui...
Olivia : C'est forcément lui ! M'avait-elle coupé.
Daryl : T'as pas couché qu'avec lui ! Avais-je grommelé dans ma barbe.
Olivia : C'est forcément Colin !
Colin : Désolé d'vous interrompre dans votre dispute d'couple, tu penses p't-être qu'on s'est envoyé en l'air, mais je ne peux pas être le père de ton gosse. Avait-il dit d'un ton calme au possible.
Alors que Liv nier tout en bloc Colin lui dans un calme olympien lui expliquer le pourquoi du comment en donnant des détails que j'aurais bien voulu ne jamais entendre. Olivia ne voulait rien savoir maugréant que le karma ne pouvait pas lui faire un coup pareil.
Pdv Olivia
Débora me regarde bizarrement, je pense qu'elle se doute que ce que je m'apprête à leur annoncer ne va pas lui plaire, mais je ne peux pas nier plus longtemps.
Olivia : Ma biche, j'ai appris un truc qui ne va pas te plaire et crois-moi, j'en savais rien avant enfin je ne savais pas que c'était lui jusqu'à l'autre matin où je t'ai ramené. Le virtuose, c'est Colin.
Débora : Quoi ? Hurle-t-elle de surprise.
Colin : Comment tu viens de m'appeler là ? Il y a qu'une personne qui m'a appelé comme ça ! Comment tu peux être au courant ?
Je regarde Colin droit dans les yeux.
Olivia : Phoenix, c'est moi. Tu m'avais donné ce surnom à cause de mon tatou et que je refusais de dire mon nom.
Colin : C'est pas possible ! C'était une fille majeure, elle était plus petite et plus grosse aussi.
Olivia : Merci pour la plus grosse ! J'avais des kilos en trop à l'époque et j'ai grandi. Ton tatou sur l'omoplate représente la date de la mort de ton frère et regarde le mien.
Je soulève mon teeshirt et descend à peine mon pantalon pour lui montrer le mien comme preuve.
Olivia : Tu m'avais écrit une chanson, ça disait qu'un mec avait rencontré une fille dans un bar et avait passé la nuit ensemble, bien qu'à la basse c'est au salon qu'on s'est rencontré.
Débora : C'est trop pour moi !
Olivia : Déby... Dis-je en tendant le bras vers elle.
Débora : Non, me touche pas. Dit-elle en me regardant avec répugnance.
Elle repart vers le bâtiment alors que Colin me regarde bizarrement.
Colin : C'est vraiment toi Phoenix ?
Olivia : Oui et j'ai un autre truc à te dire t'as une fille.
Colin : Alors là ce n'est pas possible. Annonce-t-il catégorique.
Daryl lui propose de faire un test de paternité, mais je lui affirme que c'est bien lui, on commence à se prendre la tête quand Colin l'ouvre.
Colin : Désolé d'vous interrompre dans votre dispute de couple, on s'est p't-être envoyé en l'air, mais je ne peux pas être le père de ton enfant. Dit-il d'un calme olympien.
Olivia : Si c'est toi, c'est forcément toi ! Affirmè-je bloquer sur mes positions.
Colin : J'me rappelle très, très bien d'cette soirée et c'est pas possible.
Olivia : Tu m'avais reconnu ?
Colin : Non, mais...
Olivia : Donc tu t'en souviens pas tant que ça et je te dis que tu es le père de mon enfant !
Colin : Écoute Liv, commence-t-il agacer. C'est vrai j't'ai pas reconnu, j'le reconnais, mais j'ai eu l'impression de t'avoir déjà vue quand on s'est rencontré dans le hall de Carter Corp. Et ce n'est pas pour ça que j'ne me souviens pas de la soirée... Écoute j'ai dragué une parfaite inconnue qui ne me plaisait même pas, à cause d'un pari débile avec Matt et Adam. Et je peux te dire que je t'es pas foutu en cloque.
Olivia : Alors prouve-le ! Parce que je t'assure que c'est toi le père !
Il souffle désespérer de me voir campé sur mes positions.
Colin : On n'a jamais été jusqu'au bout.
Olivia : Comment ça ?
Colin : Je ne t'ai jamais pénétré ! J'ai jamais éjaculé cette fameuse soirée !
Olivia : C'est pas possible ! J'ai pris du plaisir à faire l'amour avec toi !
Colin : Oui ça je peux pas te contre dire. C'était la première fois que je rencontrais une fille qui crier autant et j'en n'ai pas connu d'autres. Tu t'es égosillée et moi j'ai cru devenir sourd.
Olivia : Donc on a bien baisé ensemble ! M'entêtè-je sous le regard noir de Daryl.
Colin : Non ! On c'est arrêté aux préliminaires. Je t'ai fait un cunni, t'as joui et pas qu'une fois puis tu t'es endormis avant que l'on aille plus loin ! Et j'allais pas finir mon affaire alors que tu n'étais même pas consciente !
Je commence à m'énerver après lui restant sur mes positions, je suis sûr que c'est lui, il faut que ce soit lui. J'allais envoyer boulet Daryl qui me demandait de me calmer quand j'aperçois Logan sortir affoler et les larmes aux yeux, son regard se pose sur moi et il se précipite vers moi.
Pdv Daryl
La situation était mauvaise et personne ne pensait qu'un autre malheur pouvait nous tomber dessus. Pour temps ce fut le cas. Logan était apparu affoler et en pleure. Il s'est jeté sur Olive l'enlaçant comme si elle était une bouée de sauvetage. Il n'a pas fallu longtemps pour que le reste de la fratrie arrive et s'agrippe à leur sœur. On ne comprenait rien cependant, on se doutait que ce fût grave.
Olivia : C'est pas possible. Dites-moi que c'est un cauchemar que ce n'est pas réel. Avait-elle supplié.
Je me suis précipité à l'intérieur. J'ai vu Romane et Matt en pleur s'enlaçant. Matt a relevé la tête et nos regards ce sont croisés, il m'a fait un signe de tête et j'avais compris. Stiles ne s'en était pas sorti. Après je ne souviens plus de tous les évènements qui ont suivi. Je sais que j'avais vu Giorgio discutant avec un médecin et je m'étais demandé quand il était arrivé et ce qu'il foutait là.
Nous sommes rentrés chez elle et elle n'a pas décroché un seul mot. Le lendemain elle se comportait bizarrement comme si la mort de son frère ne l'avait pas touché et pourtant je j'ai bien que si, elle pleure la nuit. Je ne sais pas quoi faire, ça me fout les boules, je n'aime pas la voir comme ça.
Mon ventre se met à gargouiller. Je regarde l'heure. Vingt heures. Il est temps que j'arrête pour aujourd'hui. Je me dirige au salon et la voie assise sur le sofa un plaid sur elle et son téléphone à la main. Je m'approche et viens l'embrasser.
Daryl : Ça va, t'as passé une bonne journée ?
Elle hoche la tête, pose son téléphone, tend le bras, saisit mon haut et m'attire vers elle. Je me cale dans le canapé et elle vient se blottir contre moi sa tête au creux de mon cou. Je sens son souffle chaud contre ma peau.
Daryl : Tu viens, on va manger.
Elle commence à déposer ses lèvres sur mon épiderme, j'en frissonne de désir. Elle déplace son corps au-dessus du mien et se retrouve à califourchon sur mes cuisses, son visage toujours dans mon cou.
Olivia : J'ai envie de toi.
Elle me caresse et j'en fais de même. Elle retire mon haut avec agilité et reprend son périple sur mon torse. Je bande. Bordel, j'ai beau avoir un tas de soucis dans la tête quand je suis avec elle tout le reste n'a plus d'importance. Ses mains se faufilent entre nous et elle caresse mon entre-jambe à travers le tissu.
Olivia : Baise-moi Daryl. Dit-elle avant de prendre possession de mes lèvres avec ardeur.
Ma main dans ses cheveux l'autre au creux de ses reins, je l'allonge et me place au-dessus d'elle. Ma bouche parcourt son cou alors qu'elle se cambre tout en déboutonnant mon pantalon. Je remonte son haut pour atteindre sa peau nue. Nos vêtements nous quittent sans que nos lèvres délaissent la peau de l'autre. Elle est prête à m'accueillir, je suis prêt à la faire chavirer.
Olivia : Fais-moi un bébé maintenant. Murmure-t-elle d'une voix sensuelle.
Je me redresse de surprise et la regarde.
Olivia : Daryl ! Je veux un bébé maintenant ! M'ordonne-t-elle.
Ok, elle ne va vraiment pas bien. Bon comment lui faire comprendre sans la vexer.
Daryl : Tu ne veux pas que l'on en parle avant, je ne suis pas sûr que ce soit le bon moment mon amour. Dis-je en m'asseyant.
Olivia : J'ai envie d'un bébé Daryl et je le veux maintenant. Dit-elle empresser et revenant m'embrasser.
Daryl : Ok, ça j'ai compris. Dis-je en attrapant son visage en coupe entre mes mains et en la détachant de moi. Je ne te dis pas non pour l'envisager, mais je ne crois pas que...
Olivia : Tu ne m'aimes pas ? Tu ne veux pas de moi ? Me coupe-t-elle angoisser.
Daryl : C'est pas la question, bien sûr que je t'aime et que j'ai envie de toi...
Olivia : Alors fais-moi l'amour ici et maintenant. Baise-moi ! Fais-moi un bébé ! Dit-elle sans me laisser finir.
Bon ça suffit maintenant ! Elle va se calmer bon dieu !
Daryl : Ho ! Arrête maintenant t'entends ce que tu dis ? Ton frère vient de mourir et toi tu veux un bébé ! Dis-je sèchement et un peu trop fort.
Elle se met à pleurer. Il manquait plus que ça.
Daryl : C'est pas ce que je voulais dire... Dis-je embarrasser.
Olivia : Je suis désolé... T'as raison... Je ne sais pas ce qui me prend... Sanglote-t-elle son visage contre mon épaule.
Daryl : C'est rien. Chut, calme-toi. Murmurè-je en la réconfortant.
Après un long moment, elle se calme enfin. Un frisson parcourt son corps.
Daryl : T'as froid ?
Je n'attends pas qu'elle me réponde et vient lui remettre son pull et j'en fais de même. Une fois habiller nous partons dans la cuisine et je viens réchauffer les reste du midi tandis qu'elle dresse la table sans conviction.
Daryl : T'étais vraiment sérieuse ? Pour avoir un enfant je veux dire... La questionnè-je un peu pensif.
Olivia : Je ne sais pas... Dit-elle en baissant la tête et touillant sa fourchette dans son assiette.
Daryl : De toute façon on n'aurait très peu de chance d'avoir un bébé de suite t'es sous pilule.
Olivia : Non.
Daryl : Quoi non ? Demandè-je interloquer.
Olivia : Je ne suis pas encore allé chez mon gynéco pour qu'il me prescrive une nouvelle.
Daryl : Et tu comptais m'en parler quand exactement ?
Olivia : Je croyais que tu le savais. D'après toi pourquoi je te force à mettre des préservatifs ou à ne pas éjaculer quand tu es en moi. C'est pas par plaisir ou parce que je le veux.
Daryl : Tu fais chier. Sifflè-je entre mes dents un peu énerver. Et quand comptes-tu aller voir ton gynéco ? La questionnè-je sèchement.
Olivia : Tu crois vraiment que c'est une de mes priorités ! Entre mon coma, ma perte de mémoire, mon frère et tout le reste tu crois vraiment que j'ai eu le temps de prendre un foutu rendez-vous chez le médecin ! S'énerve-t-elle.
Daryl : Bien oui tu aurais du ! Où vas-tu ? Demandè-je voyant qu'elle prend ses clefs et appelle sa chienne.
Olivia : Je rentre chez moi.
Daryl : C'est ça fuit les problèmes ! Criè-je en partant m'enfermer dans mon bureau.
Mierda ! Qu'est-ce qu'elle ne me fait pas faire.
Arriver à la porte, je souffle et décide de la rattraper avant qu'elle parte. Je sors en vitesse, mais elle a déjà filé. Tempi elle va bien se rendre compte que j'ai raison.
Je m'apprête à rentrer à l'intérieur quand j'entends des cris venant du portail. Je mis précipite.
Daryl : Qu'est-ce qui se passe ici ? Questionnè-je mes hommes.
Kévin : Pedro.
Je m'approche et vois mon bras droit allonger au sol dans un sal état. Je me précipite vers lui.
Daryl : Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Demandè-je déboussolé.
Il essaie de parler mais vu son état je le coupe.
Daryl : Non, garde tes forces. On l'amène à l'intérieur et appeler Mike ! Ordonne-je.
Kévin m'aide se positionnant à la droite de Pedro moi à sa gauche. Nous l'amenons dans une des chambres et l'installe du mieux que l'on peut. Il est dans un mauvais état, son visage en sang, des côtes sûrement cassées qui l'empêche de respirer correctement, les bras et les jambes écorchés.
Il me regarde et m'attrape le bras, alors que je ne tiens pas en place. Il essaie de parler mais il n'a pas de souffle, voyant qu'il insiste je me penche au dessus de lui.
Pedro : César... c'est César... il est de... retour... Murmure-t-il comme il peut.
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