Chapitre 78
Pdv Daryl
Ce matin, nous nous sommes déclaré notre amour, j'étais aux anges, en plus j'ai trouvé l'occasion parfaite pour lui donner le bijou et cela lui a plus. J'ai passé la matinée à sourire comme un débile et les gars l'ont tous remarqué. Il y a quand même une chose qui m'a contrarié le cas de Valentin, j'ai fait une mini réunion succincte pour tenir informé de la situation.
Daryl : Valentin a démissionné de son poste et il ne fait plus partie du gang. Pas de question c'est comme ça. Leur ai-je dit sans fioriture.
Ils n'ont pas bronché, mais dès que j'ai eu le dos tourner les messes basses ont commencé. Je n'y ai pas fait attention, ils passeront à autre chose très vite. Au déjeuné Liv n'était toujours pas debout. J'ai préféré la laisser dormir. En visionnant les caméras de surveillance, je me suis aperçu qu'hier elle m'avait menti. Elle a passé une bonne partie de la nuit debout tout comme la veille. Je ne lui en tiens pas rigueur, je pense qu'elle ne voulait pas que je me fasse du souci.
Je suis donc allé manger avec les gars, Paola leur avait préparé toute sorte de légumes farcis. Comme toujours un vrai régal même si c'est vrai que je préfère largement quand Olivia décide de nous faire à manger que les plats qui tiennent au corps de Paola. Marco est venu me trouver, se justifiant sur son attitude envers Olivia l'autre soir, lorsqu'il l'a laissé entre les mains de Valentin.
J'ai été étonné, j'étais tellement focalisé sur Val que je ne me suis pas posé plus de questions. Sans une once de compassion je lui ai ordonné qu'à chaque fois que je voudrais me débarrasser de la chienne pour être tranquille, il sera forcé de lui tenir compagnie et de la distraire. Ce n'est pas vraiment une sanction, mais il n'est pas rentré dans le gang pour son courage et il a une peur bleue de Liv et de sa chienne.
Je me suis remémoré les paroles de Galiano et j'ai réalisé que j'étais parti un peu trop loin, mais maintenant je ne peux pas revenir en arrière. De toute façon le fait que Val soit parti de lui-même cela m'arrange bien.
Après j'ai eu la surprise de voir débarqué les frères de Liv.
Logan : Je te préviens ils sont infernaux. Léo doit venir les chercher ce soir. Il n'y a personne pour les surveiller et je commence ma garde dans une demi-heure je suis déjà en retard. Liv ne répond pas donc je suis venu directement ici. Bonne chance pour les supporter. M'a-t-il dit d'une traite sans que je puise en placer une.
Comme un con je me suis retrouvé avec Sam qui me fixer d'un air mauvais et Stiles qui commencer à me coller aux basques. Ninon passait par là et je lui ai ordonné de surveiller les préados le temps que j'aille réveiller Liv. Elle m'a fait du rentre-dedans, depuis plus de trois mois elle n'arrête pas.
D'abord, elle a profité du coma de Liv et de la situation, profitant chaque instant pour revenir dans mon lit, même si en réalité elle n'y a jamais mis son cul. Enfin dans ma chambre je veux dire, quand ont baisé c'était partout ailleurs que dans mon espace privé. Je ne vais pas dire que je n'ai pas été tenté, je suis qu'un homme après tout et me retrouver seul du jour au lendemain et bien c'est difficile, mais je n'ai pas cédé.
Quand je suis monté et que je l'ai trouvé en mode étoile de mer, à poil, à moitié recouverte, je n'ai pas pu résister. Son corps tout entier est un appel au pêché. Après l'avoir réveillé, je l'ai questionné et là c'est une autre histoire. Au début elle ne voulait pas, finalement elle s'est confiée pour mon plus grand soulagement. Sur le coup les nouvelles m'ont un peu énervé, le fait qu'elle ait été droguée me donne envie de tuer Giorgio qui n'a pas su la protéger et je m'en suis voulu aussi.
Moi aussi je n'ai pas été prudent, mais le fait que son père prenne ses responsabilités et parte pour la protéger, je trouve ça noble. Je ne sais pas si moi j'y arriverai si la situation se présenter à moi. Déjà juste le temps de son coma m'a paru une éternité alors qu'elle était physiquement à mes côtés, je n'imagine pas si en plus je ne peux plus la toucher.
Et je lui ai dit pour Val à contrecœur, quand elle a explosé de rire, je n'en revenais pas. Je pensais qu'elle me reprocherait son départ, mais on aurait plutôt dit qu'elle n'en avait rien à cirer. Ce qui m'a rassuré, je pensais vraiment qu'elle m'obligerait à le contacter pour qu'il revienne.
Je redoutais de passer du temps avec elle et ses frères quand elle m'a demandé de rester avec eux. Nous avons finalement passé un bon moment. Sam a même commencé à m'apprécier, enfin façon de parler et j'ai bien vu que cela faisait plaisir à Liv. Quand le film fut fini j'ai profité de la bonne humeur de Sam pour lui proposer un tour de voiture. Il avait des étoiles dans les yeux, plus que le jour de la course où son frère et lui avaient débarqué.
Pendant le tour je lui ai montré ce qu'elle avait sous le capot pour son plus grand plaisir et le mien. J'ai pris la voie rapide, zigzagant entre les voitures présente. Au retour il m'a demandé s'il pouvait conduire, j'ai éclaté de rire.
Daryl : T'atteint pas les pédales je ne vais pas te laisser conduire ! Lui avais-je sorti.
Il a haussé les épaules puis il m'a demandé le numéro personnel de Ninon, j'ai été surpris, je suis même venu à stopper pillant comme un malade.
Sam : Quoi elle est canon et a de ses nichons. M'avait-il dit la bave aux lèvres et imitant une grosse poitrine bien trop généreuse.
J'ai pouffé de rire alors qu'on arrivait à destination. Je crois qu'il m'aime bien finalement.
Sam : Te méprend pas. Me dit-il en me fixant. J'ai bien apprécié cet après-midi et j'en ai profité c'est vrai, mais je ne t'aime pas pour autant. Maman n'est pas contente de moi et du fait que j'ai étais exclu de l'école. Je me fais juste tout petit. Je n'ai pas envie de la décevoir, je veux juste lui faire plaisir.
Je l'ai regardé étonner, il est sorti de la voiture m'ignorant complètement. Nous avons passé la porte d'entrée ça sentait bon. Sam avait le sourire et exprimé sa joie d'avoir fait un tour, comme si ce qu'il venait de me dire n'avait jamais exister. Je suis directement allée trouver Liv, qui semblé heureuse de me voir complice avec son petit frère, si elle savait.
Elle était au fourneau remuant la soupe, j'ai passé mes bras autour d'elle et j'ai déposé une bise au creux de son cou avant de lui demander ce qui mijoté dans la casserole. Elle s'est tournée vers moi m'a embrassé en retour et m'a répondu avant de tout disposer sur la table où le couvert était déjà mis.
Olivia : Soupe de courge et risotto au champignon. J'espère que tu aimes, si non il y a encore de la pizza au frigo. Avait-elle dit.
Sam a demandé s'il pouvait manger la pizza au lieu de la soupe, quand il a entendu les paroles de Liv.
Olivia : Tu ne vas pas commencer, tu manges ce que j'ai fait un point c'est tout ! Avait-elle prévenu.
Il n'a pas insisté et il s'est installé à côté de son frère se précipitant pour se servir.
Olivia : Et les bonnes manières ?
Sam : Pardon, mais j'ai trop faim. Lui avait-il répondu sans arrêter de se remplir l'assiette.
Daryl : Laisse-le, il est en pleine croissance c'est normal. La taquinais-je alors que Sam m'ignorait royalement.
Elle m'a lancé un regard furibond, j'aurais peut-être dû la fermer. Je me suis penché vers elle ma main palpant sa cuisse.
Daryl : Désolé. Lui avais-je susurré doucement avant de déposer un léger bisou sur sa joue.
Une fois que Sam a eu fini de se servir Olivia a rempli nos gamelles. Stiles n'avait pas l'air d'apprécier touillant son assiette sans avaler une bouchée. Liv s'est de suite demandée s'il n'était pas malade et a même voulu appeler son frère.
Daryl : À tous les coups t'as mangé trop de popcorn ! Avais-je sorti pour la rassurer.
Sam : Il a mangé les trois quarts à lui tout seul ! Avait-il ajouté en se moquant de son frère.
Stiles : C'est bon ça va passer. Avait-il dit contrarier pour la rassurer.
Je me suis régalé, Liv a voulu savoir ce que nous avions fait avec Sam durant notre escapade, mais nous nous sommes tus, la laissant dans le doute et je ne me voyais pas lui dire qu'on a parlé des nibards de Ninon. Ses frères ont raconté comment c'est passer leurs semaines respective et Sam a dû expliquer pourquoi il avait eu un renvoi temporaire et comment il avait pu le cacher.
Sam : J'ai défendu une fille qui se faisait intimider par un élève et il a déclaré que tu étais une pute. Je l'ai frappé et je me suis fait prendre. Je ne lui ai pas pété le nez, mais j'aurais bien voulu. C'est Giorgio qui est venu, vu que tu n'était pas disponibles. Le directeur voulait me viré vu que le père du con que j'ai frappé investi dans l'école et les a menacé de coupé les dons. Giorgio a discuté avec le dirlo seul a seul. Je ne sais pas se qu'il c'est passé mais je m'en suis sorti qu'avec une exclusion temporaire. Les frangins ne se sont même pas aperçu que j'ai passé trois jours à la maison, donc je n'ai rien dit. Avait-il dit sans un regard pour elle et sans chercher à minimiser.
Liv s'est contenté de lui dire de ne plus recommencer sur un ton neutre, en détournant le regard vers la chienne qui dormait dans son coin.
Après le repas je suis allé régler deux-trois trucs pour le gang. Quand j'ai eu fini il était déjà dix heures passées, je suis sorti de mon bureau et j'ai entendu la voix de Liv. Elle chantait une berceuse. Le plus doucement possible j'ai entrouvert la porte et je les ai observés sans qu'ils ne s'en rendent compte.
Elle se tenait assise à côté d'eux, caressant doucement leur tête pour les rassurer. La voir si maternelle, j'ai de suite pensée notre vie future. Je n'avais jamais imaginé qu'un jour je penserai à avoir des enfants. Avec la vie que je mène, mais aujourd'hui et depuis que j'ai appris pour Matt, je commence à l'envisager. Je me vois bien avec une petite fille et un fils. Un mini Daryl et une mini Olivia. Pas de suite bien sur, mais dans une dizaine année peut-être. Penser que j'envisage le futur avec elle me rend joyeux. J'ai l'impression que rien ne peut nous arriver.
Je me suis appuyé contre le mur face à la porte quand j'ai vu qu'elle allait sortir. Doucement elle a fermé la porte de la chambre avant de venir se blottir contre moi avec son regard espiègle. J'ai machinalement posé ma main sur son postérieur massant sa chair de mes doigts.
On a été interrompus dans notre échange quand elle s'est précipitée pour répondre à un appel. Je suis allé attendre sur le lit, torse nu. Elle s'est jetée sur moi qui ai commencé par embrasser le creux de mon cou. Elle a stoppé mes gestes me disant que je devais lâcher prise sans m'occuper de rien et que j'avais le contrôle sur ses actes.
En peine réflexion, elle m'observait alors que mes yeux parcouraient son corps, j'avais toujours rêvé d'un massage des pieds. Que ses mains parcourent mon corps, qu'elle cherche à me détendre, qu'elle s'occupe de moi.
Je n'avais jamais eu l'occasion de demander à une partenaire de le faire et pourtant des fois j'aurais bien voulu, mais je ne voulais pas passer pour un faible. Avec elle au moins je sais que je suis tranquille et puis je peux tout demander, je me suis donc lancé.
Daryl : J'ai bien envie d'un massage des pieds.
Olivia : Un massage des pieds ? Demanda-t-elle en partant dans les aiguës.
Daryl : Oui, j'ai mal aux pieds et après tu t'occuperas de mes épaules, je suis crispé en ce moment. Et pour finir je suis tendu ici aussi. Dis-je montant mon entre-jambe pour faire passer mon souhait pour de la drague.
Olivia : D'accord va pour un massage. Tu ne bouges pas je m'occupe de tout. Avait-elle dit espiègle.
Elle avait posé ses mains sur la ceinture de mon pantalon quand j'ai réagi au quart de tour, elle sait mis à m'observer de surprise. J'avais vraiment envie de ce massage de pied moi ! Elle est partie dans la salle de bain, un court instant. Sur le coup je n'ai pas compris, je pensais qu'elle c'était vexé puis elle est revenue avec deux flacons.
Olivia : Amande douce ou argan ? M'a-t-elle demandé. L'huile de massage amande douce ou argan, tu préfères quoi ? Avait-elle insisté alors que je restais bouche entrouverte ne sachant pas de quoi elle me parlait.
Daryl : La première. Lui avais-je répondu au hasard.
Elle est revenue s'assoir à mes pieds en lotus, doucement elle a calé mon pied sur sa cuisse, m'a enlevé ma chaussette et mis de l'amande douce entre ses mains avant de véritablement commencer. Je n'ai pas regretté une seule seconde. J'ai fermé mes paupières et j'ai profité à fond, me détendant tout en me disant qu'avec un fond musical ce serait que mieux. Quand elle s'est attaquée au deuxième pied je me suis lancé, je lui ai demandé de chanter. Elle s'est fait désirer et à finalement bien voulu.
Autant dire que j'étais plus parmi les anges, mais bien à côté de Dieu. J'avais le sourire aux lèvres et en plus je l'ai fait rougir.
Daryl : T'es sublime quand tu rougis comme ça. Lui avais-je sorti avec sincérité.
Elle m'a souri en retour fixant mon pied dans ses mains et sa voix à résonner doucement jusqu'à mes oreilles. Mon cœur palpitait de bonheur. J'ai même atteint l'extase.
Quand elle eut fini, j'ai ordonné de me sucer, j'avais envie de sentir sa bouche sur mon sexe. Elle s'est reculée à quatre pattes se mordant la lippe, elle m'a retiré mon caleçon tout en déposant ses lèvres pulpeuses le long de mes jambes, il a valsé à travers la chambre avant qu'elle revienne près de mon entrejambe.
Je me suis redressé en lui disant que moi aussi je voulais la dévorer et l'ai fessé gentiment avant d'attraper ses hanches pour qu'elles finissent sous mon regard. J'ai déboutonné puis enlever son pantalon me laissant libre accès à son intimité. Elle n'avait pas réagi, quand ma langue a glissé sur ses lèvres roses sa surprise c'est manifesté.
Ma main à frapper ses fesses rebondies pour la seconde fois alors que je la taquinais sur sa non-activité avant qu'elle daigne enfin de s'occuper de moi. Nous avons fait monter le plaisir, lentement, se délectant de l'instant. Je me suis sentie venir et au moment critique j'ai étouffé mon grognement contre sa peau et heureusement ! Dans la foulée quelqu'un frappé à la porte.
La réaction de Liv fut immédiate, elle a attrapé le drap pour nous cacher de l'individu qui est entré sans autorisation. Sam est apparu somnolant les yeux encore clos pour la prévenir que leur frère n'aller pas bien avant de repartir comme un automate. Elle s'est levée pour le rejoindre me laissant seul.
Et maintenant je me remémore ma journée, qui dans l'ensemble me rend heureux. Elle revint un bon quart d'heure plus tard elle se dirige directement dans la salle de bain.
Daryl : Dépêche-toi que nous finissions ce que nous étions en train de faire.
Elle se stoppe restant bouche ouverte.
Olivia : T'as encore envie ? Demande-t-elle étonner.
Daryl : Oui pourquoi pas toi ?
Olivia : Je ne sais pas, le fait que je viens de nettoyer un renvoi de pop-corn à moitié digérer ou peut-être qu'un préado qui en plus se trouve être mon petit frère nous ai surpris alors que j'avais du sperme plein la bouche. Non j'ai plus du tout envie. Dit-elle en secouant la tête de gauche à droite. Je vais me doucher parce que cette odeur j'ai l'impression qu'elle me suit. Ajoute-t-elle en grimaçant.
Daryl : Fait vite.
Olivia : Laisse-moi me rafraichir et je reviens m'occuper de toi. Répond-elle en secouant la tête d'un air désappointé.
Elle est revenue se glissant sous les draps elle ne sent pas l'odeur de miel d'habitude.
Daryl : T'as changé de savon ?
Olivia : Oui j'ai pris le tien, j'ai fait tomber le mien et j'ai eu la flamme de sortir de la douche pour le récupérer.
Je suis venu la taquiner avant de m'emparer de son sein. J'ai commencé à masser sa chair espérant qu'elle réagisse, mais elle m'a stoppé dans ma tentative.
Olivia : Ça te va si je te branle, je n'ai vraiment pas envie ? Dit-elle faisant une petite moue désolée.
J'ai expiré bruyamment, non ça ne me va pas, mais je ne vais pas la forcer. Je préfère encore qu'elle me masturbe, je l'ai fait pendant plus de trois mois pour pas aller voir ailleurs alors je m'en contenterai.
Daryl : D'accord.
Elle commence à m'astiquer le manche sans vraiment y mettre de la volonté. Putain je n'aime pas ça, j'ai l'impression de ressembler à un couple qui ne s'aime plus, pourtant je ne débande pas et je gémis en plus. C'est que même quand elle ne fournit pas l'attention elle s'est donné du plaisir au autre. Je ne devrais pas commencer à penser à ça, ça va me rappeler qu'elle était une prostituée dans le passer...
Je chasse ses pensées, alors qu'elle vient déposer ses lèvres sur les miennes avant de me dire qu'elle m'aime comme si elle voulait me rassurer. Elle lit dans mes pensées maintenant ? Je lui réponds d'une voix douce et elle continue le regard rivé au plafond.
Olivia : Je crois que Colin est le père de ma fille.
Quoi ? J'ai bien entendu ce qu'elle a dit ? Pourquoi elle me sort ça comme ça ? Maintenant ? Alors qu'elle me branlait ?
Daryl : Quoi ? Ne me dis pas que tu t'es tapé le métalleux ? M'égosillè-je en me redressant d'un coup.
Mon cerveau tourne à mille à l'heure. Les paroles de Débora me reviennent en mémoire. Elle l'aime et elle va me quitter pour lui, elle m'a menti elle ne m'aime pas c'était qu'une illusion, une mascarade. Elle a profité de moi. Comment peut-elle me faire ça maintenant que je l'aime et que j'ai traversé toutes ses épreuves pour elle ?
Daryl : Ce matin c'était un jeu pour toi, tu me largues pour lui.
Olivia : Comment peux-tu une seule seconde penser ça ? Dit-elle d'une voix feutrée. T'as rien écouté de ce que je t'ai dit. Ajoute-t-elle droit dans les yeux. Je suis sincère. Je t'aime, je ne veux pas te quitter ! Dit-elle en pausant sa main sur ma joue.
Daryl : Mais tu l'aimes aussi ! Certifiè-je en retirant sa main de mon visage.
Elle me regarde étonner puis explose de rire.
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