Chapitre 63


Pdv Daryl

J'ai dû encore la laisser, j'ai qu'une envie qu'elle sorte d'ici je n'arrête pas de faire chier Mike pour qu'il donne son accord. Je le vois bien qu'elle attend qu'une chose retrouver sa liberté pouvoir se déplacer sans contrainte et dès le premier jour de son réveil elle y pensait déjà.

D'ailleurs j'ai été surpris, quand je discutais dehors avec son frère, qui me détailler les états sur sa santé, de la voir en pyjama d'infirmière apparaitre devant nous comme si tout était normal. Pour qu'elle ne recommence pas j'ai donné l'ordre de la surveiller, ça ne me plaisait pas, mais je ne voulais pas qu'elle s'échappe et qu'elle se fasse mal ou pire. Cela ne lui a pas plu, mais je ne lui ai pas laissé le choix.

Cela fait quelque temps que je me suis mis à rechercher des infos sur la femme qui a prostitué Olivia plus jeune. J'ai besoin de comprendre sa relation avec El Padre. Il m'en a jamais parlé pourtant d'après ce qu'elle m'a dit, il aurait dû. Il l'a aidé et Liv semble très reconnaissante envers lui.

Tout ce qui concerne son passé, El Padre n'en a jamais parlé à qui que ce soit, je n'ai jamais tenté d'en savoir plus. Cela ne m'intéressait pas. Tout ce que je sais c'est après sa mort quand sa cousine a fait son éloge funèbre.

Tout comme mes grands-parents paternels, il a fui Porto Rico avec sa mère qui s'est marié sur le sol américain avec son beau-père. Ils ont déménagé à New York quand il avait seize ans et s'est émancipé, laissant son petit frère derrière lui.

Quand j'ai attendu ça, je n'en revenais pas. Lui qui disait qu'on ne pouvait pas tourner le dos à sa famille. Il l'a fait le contraire de ses propres règles. Quand j'ai demandé plus d'explication à Valentina, sa cousine, elle m'a simplement répondu qu'il avait fait le choix de la sauver elle.

C'est la première personne qu'il a recueilli alors qu'elle n'avait pas encore quinze ans. Elle m'a rajouté que même si dans les apparences, il a oublié sa famille de sang, il avait toujours un œil dessus. Sa mère et les enfants de son frère. 'Il veillait toujours sur nous tous, ses fils et sa famille de sang encore plus même s'ils ne le savent pas. Il a pu faire des erreurs et paraitre égoïste, mais cela a toujours été pour les autres.' Je n'ai jamais vraiment compris le sens de ses phrases.

Mon téléphone me sort de ma réflexion. Je décroche, c'est Mike il m'informe que je peux venir chercher Olivia cet après-midi. Il a discuté avec le kiné et ils sont tombés d'accord pour qu'elle sorte. Au moins il ne la draguera plus ce pendejo, j'ai bien vu à chaque fois qu'il venait la chercher pour ses séances de rééducation son petit jeu de séduction.

Je vais pouvoir profiter pleinement d'elle sans interruption de n'importe qui. Il me dit de venir la chercher vers seize heures, normalement elle sera avec Fabien, quand j'ai dû partir de la clinique, je ne voulais pas la laisser seule, j'ai donc envoyé un message à son cousin le tenant au courant comme ses frères ainés ne pouvaient pas se libérer, d'accord James y est, mais pour la surveiller, pas pour lui tenir compagnie.

C'est finalement une bonne demi-heure après l'heure que j'arrive à l'hôpital. Je me dirige directement dans sa chambre toque puis rentre après avoir libéré de ses obligations James qui ronflait sur la chaise. Il va falloir qu'il m'explique ce qu'il n'a pas compris dans tu gardes un œil sur elle.

Je la trouve tout sourire discutant avec Fabien. Elle est déjà prête à partir elle a délassé la blouse de patient pour un pull en laine et un pantalon en coton qui lui vont à ravir. Je m'approche d'elle puis vient prendre possession de ses lèvres pulpeuses.

Daryl : Alors princesse tu es prête à partir ?

Olivia : Ho oui ! Me répond-elle avec enthousiasme.

Je me tourne vers Fabien et lui serre la main. Cela à plutôt mal commencé entre nous, mais aux fils des jours attendant que ma belle se réveille, nous avons passé du temps ensemble et nous avons parlé. J'ai compris que je m'étais lourdement trompé sur ses sentiments envers Olive, il l'aime c'est incontestable, mais pas de la façon dont je pensais. Il voit en elle une petite sœur et un amour fraternel.

Il sait confier sur sa famille déjanter en Italie. Une grand-mère qui était l'archétype de la grand-mère italienne, invitant toute la famille pour les événements religieux. Un grand-oncle mafieux qui aurait fait de l'ombre aux plus grands. Un père débile au possible, une mère qui aurait préféré avoir une deuxième fille et sa sœur.

Il m'a révélé un soir où nous avions trop bu, dû à notre chagrin que la meilleure amie de sa sœur, qui était aussi sa nounou, quand il était petit, n'était autre que la mère de ma princesse, mais ça elle ne le sait pas, ni elle, ni ses frères.

Il m'a raconté que la mère de Liv était d'une grande simplicité. Une fois Rosa et sa sœur sont parties, il les a suivis sans qu'elles le sachent et a découvert que ces demoiselles faisaient la cour aux garçons dont un n'était autre que Giorgio. Quand ils ont découvert que Fabien les avait escortés, les filles se sont dépêchées de rentrer à la maison laissant en plant les garçons, ramenant Fabien et lui faisant comprendre de ne rien dire à personne.

Fabien : Bon je vais vous laisser.

Olivia : Merci d'être venu me voir. Dit-elle en le prenant dans ses bras.

Ce simple geste m'aurait horripilé avant. Il lui chuchote quelques paroles qui la font rire puis caresse la chienne qui frétille de l'arrière-train.

Fabien : Sois sage avec maman ! S'exclame-t-il alors que Liv lui fait un grand sourire.

Alors ça je crois que je ne comprendrais jamais, être si gaga pour un animal, mais maintenant il va vraiment falloir que je m'y fasse réellement. Alors que Fabien part Mike apparait en blouse blanche un calepin en main, il salue le sortant puis nous.

Mike : Alors Olivia, j'ai parlé avec Docteur Turk. Comme tu as fait d'énorme progrès et que tu veux sortir de prison, ricane-t-il alors que ses joues à elle prennent une teinte rosée qui me fait un effet de dingue. Nous avons décidé que tu peux sortir à une condition que tu continues les séances de rééducation...

Comment ça elle va devoir continuer les séances avec ce kiné de mes deux ? Il est hors de question !

Daryl : On peut trouver un autre kiné, le coupè-je, un prêt de la villa, tu ne seras pas obligé de revenir ici ou mieux un qui vient te voir à la maison, quand dis-tu ?

Je demande comme si son avis comptait en caressant sa jambe, mais Mike la ramène avant qu'elle réponde, s'adressant à moi.

Mike : Il est le mieux placer dans son domaine et tu veux le meilleur pour elle ?

Bon là je me suis fait avoir, si je réponds non je passe pour un pourri, si je réponds oui j'ai perdu.

Olivia : Il a raison et puis c'est juste encore quelque rendez-vous. Dit-elle en déposant chastement ses lèvres sur les miennes.

Mike : Je sais que Logan veillera sur toi, continue-t-il, mais je voudrais que tu viennes me voir pour suivre l'évolution.

Elle acquiesce.

Mike : Bon ce n'est pas tout, mais j'ai d'autres patients à voir moi, bon après-midi.

Il s'en va. Olive se tourne vers moi pose sa main sur mon visage.

Olivia : Ne t'en fait pas, mon genre c'est plus sexy, comme... 

Elle vient m'embrasser.

Daryl : Comme moi. Continuè-je.

Olivia : Je pensais plus à Orlando Bloom, Ryan Reynolds ou Johnny Depp, mais ils ne sont pas disponibles. Me taquine-t-elle.

Je grogne alors qu'elle rit de mon attitude. Elle vient s'assoir à califourchon sur mes jambes prend mon visage en coupe.

Olivia : Je ne m'imagine personne d'autre que toi. Tu es le seul qui fait battre mon cœur. 

Elle dépose ses lèvres sur les miennes, sa langue cajole ma peau, j'ouvre ma bouche laissant son muscle joué avec le mien. J'apprécie ce moment oubliant où nous sommes, mes mains remontent ses jambes pour serrer ses hanches et l'attirer un peu plus contre moi. Elle se détache reprenant sa respiration, c'est à instant que sa chienne pause sa patte sur la jambe de ma princesse. Elle rit puis repose ses pieds au sol et vient la caresser.

Olivia : Oui Kali, on va partir d'ici.

Voilà qu'elle lui parle comme si elle comprenait, c'est un chien bordel, un chien. Elle rassemble ses dernières affaires, je viens prendre son sac déposant une bise sur sa tempe et nous partons de cette maudite clinique.

Arriver sur le parking, je lui ouvre la portière tel un gentleman, elle me remercie s'installent sa chienne à ses pieds. Je mets le sac dans le coffre avant de m'installer au volant, je démarre le moteur jetant un coup d'œil à ma passagère qui a un sourire en coin.

Daryl : Qu'est-ce qui te traverse l'esprit ?

Olivia : Rien, j'ai hâte de m'éloigner d'ici.

Elle s'attache et se cale confortablement au fond du siège. Tout le long du parcours je ne peux m'empêcher de la mater et elle aussi, je le vois dans son regard elle a envie de moi, tout comme j'ai envie d'elle, mais je ne me presse pas de peur de briser cette bulle, je veux profiter. Alors que je m'arrête à un feu elle se défait du tissu qui l'entrave.

Daryl : Tu fais quoi ? Lui demandè-je s'en me douter une seule seconde de ce qui lui traverse l'esprit.

Olivia : Chut. Laisse-toi faire. Je te veux.

Elle s'installe sur mes cuisses en mordant sa lippe dans une attitude sexy à souhait.

Daryl : Tu ne devrais pas faire ça, princesse.

Elle ne m'écoute pas cachant son magnifique visage dans mon cou léchant ma peau. Un frison me parcoure, bordel elle veut que je perde pied. Le feu passe au vert, mais je ne bouge pas appréciant ce contact.

Olivia : Alors tu attends le déluge ? Dit-elle suavement.

Daryl : Tu sais que j'ai envie de te prendre maintenant.

Elle ne m'écoute pas plus que la première fois, pressant son bassin contre le mien et déposant ses lèvres sur l'angle de ma mâchoire.

Olivia : Un petit défi retient toi jusqu'à l'arriver et tu pourras faire ce que tu veux de moi ce soir. Vraiment tout ce que tu veux... murmure-t-elle à mon oreille.

Elle veut jouer, alors on va jouer. J'enclenche la vitesse supérieure appuyant sur le champignon. Je sens ses lèvres s'étirer contre ma peau. Sa bouche revient sur mon cou commençant à me mordiller sensuellement, ses mains se baladent sur mes vêtements puis migrent en dessous.

Je la sens frissonner quand ma main droite lâche le volant pour la poser sur son dos. J'apprécie vraiment cette situation lui montrant que je garde le contrôle. Elle décide de passer à la vitesse supérieure, bien heureusement que nous atteignons bientôt sa rue. Je sens que mon désir pour elle prend le dessus sur mon cerveau.

Elle recule se calant sur mes genoux son dos presque contre le volant, je décélère ne sachant pas ce qu'elle a prévu, je ne veux pas avoir d'ennui maintenant. Ses mains détachent la boucle de mon ceinturon, je sens son regard sur moi, mais si je la regarde maintenant je vais perdre pied. Elle continue son manège glissant ses phalanges sous mon boxer. Je retiens un râle alors que je stoppe mon carrosse.

Daryl : Tu vas voir, je vais te punir pour ce que tu viens de faire. Grognè-je.

J'attrape ses cheveux, tire délicatement ce qui me donne accès à son cou. Elle frisonne de désir sous les tamponnements de ma bouche contre sa peau. Je me redresse lâchant sa chevelure nos regards s'encre avant de lier nos langues. Elle bouge délicatement son bassin, je viens détacher son sous-tif tout en cajolant sa peau. J'ai qu'une pensée la faire mienne. Nous nous détachons reprennent notre respiration.

J'enlève mon polo alors qu'elle repart sur le siège du mort se déshabillant à moitié. Je passe au-dessus d'elle voyant qu'elle ne revient pas. Je profite de sa poitrine dévêtue. Elle se cambre et gémis s'offrant à moi. Mes doigts chatouillent son épiderme jusqu'à attendre l'ouverture de son intimité. Elle n'est plus qu'une boule de feu entre mes doigts et ma langue.

Je m'apprête à glisser mes phalanges dans son intimité quand une présence que j'avais compétemment oublié se met à bouger contre nos pieds. J'essaie de ne pas faire attention, mais mon excitation est retombée, encore plus quand Olivia porte son attention sur la chienne.

Je ne peux m'empêcher de bougonner en revenant derrière le volant, je me rhabille au plus vite pour qu'elle ne remarque rien. Bien évidement elle me questionne sur mon attitude, il faut que je trouve une excuse valable, je ne peux pas lui sortir que je ne bande plus à cause d'un animal.

Olivia : Et tu pourrais me répondre.

Daryl : Rhabille-toi, tu vas attraper froid. Dis-je pour détourner l'attention en lui faisant une bise et sortant de cet espace confiner, j'ai besoin d'air.

Elle revient à la charge, je lui sors ce qu'elle m'a dit dans la voiture après tout elle n'a pas précisé si c'est juste le temps de venir ici ou d'arriver à la villa. Alors là c'est lâche, mais je ne vois pas quelle autre excuse sortir. Elle fait une petite moue trop craquante, mais s'en contente.

Une fois les portes du monte-charge ouvertes sur le dernier étage, elle s'avance en sautillant comme une gamine, son attitude me déconcerte. Il lui suffit de trente secondes et elle passe de femme entreprenante et sexy à une gamine qui se satisfait des petits plaisirs de la vie. Je reste en retrait matant ses fesses, cette vue m'avait manqué. Elle se penche sur Kali et je l'entends dire que qu'elle va habiter ici maintenant. Je tousse de surprise, elle se retourne m'interrogeant sur mon attitude.

Trouve un truc, vraiment ce n'est pas ma journée, je n'ai pas d'idées enfin si je pourrais lui dire que je veux qu'elle vienne vivre avec moi, mais je ne sais pas ce qu'elle en pense et je ne veux pas me prendre la tête avec elle sur ce sujet. Elle fronce les sourcils attendant une réponse, bon aller je me lance au pire je me prends un gros vent enfin j'espère.

Daryl : Je veux que tu viennes vivre avec moi.

Elle ne réagit pas, alors là je ne m'attendais pas à ça. Qu'elle éclate de rire ou qu'elle me saute dans les bras pourquoi pas, mais pas de réaction du tout, c'est dur.

Daryl : Laisse tomber. Je le vois-tu ne veux...

Olivia : Si ! Me coupe-t-elle.

Mon cœur vient de rater un battement, elle a dit oui ! Elle se rapproche de moi.

Olivia : Je serais ravi de venir vivre avec toi, mais je ne sais pas je trouve que c'est un peu tôt. Dit-elle détournant le regard. Et puis mes petits frères sont encore à ma charge...

Mon enthousiasme retombe.

Daryl : Ils peuvent te suivre, tu sais la villa est assez grande.

Je n'ai pas trop envie, mais je vais devoir cohabiter avec la chienne à coup sûr, alors des ados ça ne me dérange pas vraiment, surtout que je suis habituée à avoir du monde en permanence. Elle se détache, vol un baiser avant de me demander d'en reparler. Au moins elle n'a pas dit non bon elle n'a pas dit oui définitivement, mais au moins elle est au courant de mes intentions et elle est plutôt ok.

Elle revient m'embrasser et je fais de même. Ses lèvres s'étirent contre les miennes puis elle ouvre la porte d'entrée, Kali se faufile à l'intérieur alors qu'elle signale qu'elle est ici, mais personne ne lui répond pourtant Éric est censé être là, cela fait des semaines qu'il n'a pas quitté l'appartement.

Elle se stoppe dans sa progression, figé comme une statue. J'avance à mon tour et constate le désordre règne en maitre. Romane en avait parlé, mais je pensais qu'elle exagérait. Je crois que je l'ai perdu, la seule preuve de vie c'est ses paupières qui s'ouvrent et se ferment.

Je ne sais pas comment ils vont s'en sortir vivant si déjà elle réagit comme ça quand elle apprendra le reste... je ne préfère pas être dans les parages, je serais touché par son courroux si elle apprend que j'étais au courant. Je m'avance vers elle et lui demande comment elle va.

Elle fait un tour rapide après avoir jeté un coup d'œil sur le courrier, me laissant comme un pot de fleur. Je ne sais pas si je dois la suivre ou pas, quand je l'entends parler je décide finalement d'aller vers elle, je pose mes mains sur ses épaules et essaye de détendre ses muscles.

Daryl : Leurs ne fait pas trop la misère, c'était dur pour eux aussi.

Olivia : Ouais. Je vais chercher mes affaires et on se casse au plus vite avant qu'ils rentrent si non je sens que je vais les tuer sur place.

Un rire m'échappe, quand je vois son visage en colère, elle est existante comme ça. Elle part en direction des chambres, alors pour moi c'est une découverte. Je n'ai jamais passé cette porte je suis curieux de voir son univers. Je la suis elle s'arrête devant la première porte sur laquelle est gravé le prénom de Logan, l'ouvre et observe l'endroit, son visage exprime de l'exaspération.

La suivante je crois qu'on l'a perdu elle referme plus vite que la lumière la porte, j'ai eu juste le temps d'apercevoir des magazines pornos. Je lis Sam sur la porte. Il y en a un qui à profiter de son absence. Je me moque gentiment de son attitude, elle qui n'est pas la dernière à parler de sexe, elle est dégoutée que son petit ange grandisse.

Elle ouvre une autre puis une suivante avec crainte, mais son visage se détend je la surprends même à humer l'air. Je la taquine gentiment puis passe à la suivante, elle se ravise avant d'ouvrir un autre chambre. Contrairement à la précédente elle devient livide, c'est marrant comment ses expressions se lient très facilement sur son visage quand il s'agit de ses frères.

En jetant un coup d'œil par-dessus son épaule je comprends. La pièce pourrait rivaliser avec une garçonnière d'un type qui n'en a rien à foutre de la propreté, même la chienne est réticente à entrer là-dedans.

Daryl : Lui par contre il en a bien profité de ton absence.

Je sors cela pour la détendre, mais ça marche moyen, moyen. Elle me regarde de travers, je préfère reculer et faire semblant de n'avoir rien dit. Oli se tourne vers la dernière porte, celle où son prénom est gravé, quand enfin elle entre dans la pièce ses épaules se relâche. Je pense qu'elle s'attendait à trouver son antre dans un mauvais état. Elle part directement vers le seul meuble de sa chambre hors mis le lit pour prendre ses affaires.

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