Chapitre 51


Pdv Olivia

[...]

Je suis avec Lisa à une terrasse de café. On se détend après une journée de boulot. Elle me raconte sa journée qui n'a pas été calme et en plus Cassidy est venue lui chercher des noises. Puis la conversation dévie sur moi et je lui dis que j'ai des frères.

Lisa : Ils sont aussi canons que toi tes frères ?

Olivia : Mes petits frères me ressemblent, mais pas mes aînés. Ils ont plus hérité de leur géniteur, et oui, ils sont canons ! M'exclamais-je.

Lisa : T'as une photo ?

Je lui montre une photo de famille.

Lisa : C'est vrai qu'ils sont canons ! On dirait un peu Matt tu ne trouves pas ? Ils n'ont pas de lien de parenté ?

Olivia : Ah bon ? Toi aussi tu trouves ? Ce n'est pas parce qu'ils ont des origines latines qu'ils ont forcément liées à Matt !

Lisa : Ok, je le reconnais. Tu ne veux pas me les présenter ?

[...]

J'entends, des bruits autour de moi, on me parle, je voudrais répondre, mais je n'y arrive pas. Suis-je encore en vie ? J'ai l'impression de rêver, de revivre des moments de mon passé.

[...]

Je suis dans les vestiaires du club, je viens de fini la private dance en compagnie de Justine. Zoé fume à côté de moi elle interpelle Justine qui arrive pour se changer.

Zoé : Alors Ju, il te faut un chaperon pour que tu ne fasses pas de connerie ? Dit-elle un sourire en coin.

Olivia : Zo ! Arrête de l'emmerder, une erreur ça arrive à tout le monde. Dis-je agacer.

Justine : Laisse Bee, elle n'en vaut pas la peine.

Justine vient s'assoir face au miroir à côté de moi.

Zoé : Ho ! Le sens de l'humour vous connaissez ! Alors Bee combien aujourd'hui ?

Olivia : Cinq.

Zoé : Cinq cents ! Dit-elle amuser. Il est plus généreux avec moi ! J'ai le droit à au moins quinze cents.

Olivia : Non, cinq mille. Dis-je mollement en remettant mes bas.

Justine : Sérieux ! S'exclame-t-elle. Il m'a refilé cinq fois moins ce connard !

Zoé : Vraiment, je ne comprendrai jamais. Je suis mieux foutu que toi et sur la pôle dance bien meilleure que toi, même Ju, elle se débrouille mieux que toi sur la barre. Pourtant c'est toi qui empoches le blé ! Dit-elle dépiter.

Olivia : C'est parce que je ne suis pas accessible à tout le monde. Le monde du luxe ! Plus c'est inaccessible plus ils dépensent. Rigolais-je, en réajustant mon soutif.

Zoé : C'est la bite avant le cerveau ! Aller, ma pause est finie, j'y retourne ! À plus les filles !

On lui fait un signe de la main alors qu'elle quitte la salle.

Justine : Je suis bonne à rien ! Souffle-t-elle désespérer.

Olivia : Ne dis pas ça Ju, les clients sont cons c'est tout. Je m'empare des billets dans ma poche et les dépose devant elle. Tiens prends ça.

Justine me regarde, confuse, elle repousse la liasse.

Justine : Non, je ne peux pas...

Je la coupe, la pille atterrie dans ses mains.

Olivia : Arrête, je sais que tu as des soucis d'argent en ce moment et j'en ai pas besoin pour l'instant. Je préfère t'en faire profiter et puis on l'a fait à deux cette prestation, on partage.

Justine : Merci Bee... Vraiment tu me sauves la vie... Finit-elle par dire la voix tremblante.

Olivia : C'est normal Ju, mais je t'en prie arrête de te dévaloriser. Tu es capable de beaucoup et comme là dit Zoé tu es bien meilleure que moi sur la barre !

[...]

Je me souviens de chanter, j'étais heureuse de chanter, je chantais pour quelqu'un.

[...]

Je suis actuellement dans le bureau du directeur de la meilleure école de commerce de New-York. Assise les jambes croiser le dos droit confortablement installer sur le fauteuil du directeur, je porte une robe en cuire moulante. Le directeur face à moi à quatre pattes en position d'esclave, en pleine séance de domination-soumission.

Olivia : Esclave, j'espère que tu as bien profité aujourd'hui.

Il opine du chef, m'écoutant attentivement. Le fouet que je tiens dans la main claque au sol.

Olivia : Parle ! Ordonnais-je d'un ton sec.

Esclave : Oui, maitresse.

Olivia : Bien, es-tu satisfait de moi ?

Esclave : Oui, maitresse.

Olivia : Très bien. Comme convenu c'était notre dernière séance...

Esclave : Mais maitresse ! M'interrompt-il.

Le fouet retentit de nouveau. Il baise la tête en signe de soumission.

Olivia : Bien, très bien. Dis-je en me penchant pour caresser sa chevelure grisonnante comme pour récompenser un chien. Notre contrat était une séance par semaine, jusqu'à l'obtention de mon diplôme. Or je l'ai eu. Tu vas devoir payer. C'est pour cela qu'aujourd'hui tu n'as pas eu le droit aux talons aiguilles. Pourtant je sais que tu aimes les talons aiguilles.

Je marque une pause. Je me lève du siège. M'approche doucement de lui trainant le fouet derrière moi.

Olivia : Mais comme je suis magnanime et que tu vas payer. Je vais te faire plaisir. Dis-je lascivement attrapant mes escarpins dans mon sac. Tu veux ?

Esclave : Oui, maitresse.

Olivia : Bien, paye et je te l'accorde.

Il rejoint à quatre pattes son bureau sort une liasse de billet. L'attrape dans la bouche et me l'apporte. Je compte, il y a plus, je l'interroge du regard.

Esclave : Le pari, maitresse, vous êtes entrée dans le top cinq et vous l'avez eu avant la fin du délai.

Un sourire en coins se dessine sur mon visage.

Olivia : Comme tu as joué le jeu jusqu'au bout et que tu ne m'as pas dupé. Je t'offre une séance de plus, profite-en.

Esclave : Merci, maitresse merci.

[...]

Je suis au comble du bonheur, un chien, une boule de poil devant moi.

[...]

Je suis au club. Aujourd'hui je suis restée jusqu'à la fermeture. Il ne reste plus grand monde. Les agents d'entretien qui commence à nettoyer et Valentin au bar. Je le rejoins, tout enjouée en perspective de notre fin de soirée.

Olivia : Tu m'amènes ?

Valentin : Bien sur Bee, je finis attend moi sur le parking.

Je lui adresse un sourire et me dirige vers sa Chevrolet et l'attend. Il déverrouille à distance, j'entre à l'intérieur et m'installe confortablement.

Arriver chez lui, on se dirige directement dans sa chambre. J'ai l'habitude maintenant, il a horreur de baiser ailleurs que dans son lit. Pour lui une bonne baise c'est un matelas confortable.

En tenu d'Adam il s'allonge sur le dos les bras croiser derrière la tête ce qui lui fait ressortir ses muscles saillants.

Olivia : Tu veux la jouer comment aujourd'hui ? Demandais-je en mordant ma lèvre le voyant déjà au garde à vous.

Valentin : Chevauche-moi. Dit-il en passant sa langue sur sa lippe.

Olivia : Sans préliminaire ? Demandais-je étonner lui qui adore ça.

Il se relève vient vers moi m'embrasse ardemment tout en caressant l'intérieur de ma cuisse.

Valentin : Tu es prête à m'accueillir, ta séance avec le dernier client t'a bien émoustillé je vois.

Olivia : Ne dis pas n'importe quoi Val, c'est toi qui me mets dans cet état.

Je le pousse avant de me retrouver à califourchon au-dessus de lui.

Olivia : Va sans préliminaires.

Nos rires résonnent avant que nos gémissements prennent le dessus.

Allongé, l'un contre l'autre en cuillère reprenant notre respiration, son doigt dessine le contour des serpents sur mon omoplate.

Valentin : Tu me diras un jour un peu plus sur toi ?

Je tourne mon visage vers lui.

Olivia : Ne commence pas Val. Je te l'ai dit pas de question sur moi. Dis-je sèchement.

Valentin : Je sais, mais je tente quand même.

Il m'embrasse.

Valentin : Tu restes un peu. J'ai des restes dans le frigo.

Je regarde l'heure et embrasse son nez.

Olivia : Désolé beau gosse, je dois rentrer.

Je me lève et enfile mes habits.

Olivia : On remet ça demain ? Je te promets de rester un peu. Ajoutais-je en voyant sa tête.

Il me regarde tristement.

Olivia : Écoute Val, je t'apprécie beaucoup et tu es le seul avec qui j'ai tenu le plus longtemps. Ça va faire plus d'un an et je ne compte pas te lâcher parce que niveau sexe tu assures. Alors ne fais pas la tête ok ?

Un sourire se dessine sur son visage.

Valentin : C'est vrai j'assure ?

Je lui envoie un cousin en plein visage.

Olivia : Qui aurait cru que je te dirais ça un jour ! Tu te souviens de la première fois ? Trente secondes et même pas le temps de dire 'tu veux baiser' que t'avais éjaculé comme un puceau.

Nous nous mettons à rire.

[...]

Je suis courroucé, je roule énervée, m'arrête et je me laisse tomber et me retrouve par terre assise sur le sol froid. On vient à ma rencontre. C'est Déb.

[...]

Je rentre dans le bureau de Gabriel, qui est assis dans son fauteuil. Marc assis en face de lui. Je tends le dossier de la semaine que nous avons finie avec Matt depuis hier soir. Je ne l'ai pas rendu avant pour permettre à Matt de prendre sa journée, sans que son absence se remarque et me permet de souffler un peu. Mine de rien ce dossier m'a donné une migraine que j'ai eu du mal à faire passer.

Marc feuillette rapidement le compte rendu, tout en discutant avec Gabriel dessus et en me complimentant sur mon travail et pour la rapidité d'exécution.

Gabriel : Oui depuis qu'Olivia est parmi nous, je peux que constater qu'avec Matt, ils font du bon travail.

Marc : En effet, j'ai déjà fait remonter les informations et Monsieur Carter est ravi de vous avoir embauché. Dit-il à mon intention.

Tu parles qu'il est ravi, c'est de nos cinq à sept surtout, bon j'en profite aussi. Niveau homme d'affaires, j'en ai eu, mais des si jeunes non, il n'est pas le meilleur homme que j'ai pu avoir entre les cuisses, toutefois avec lui au moins je prends mon plaisir.

Après d'énièmes compliments qui me font un peu, ni chaud, ni froid, surtout venant de Gabriel qui me fait des œillades à chaque fois que Marc a le dos tourné. Je prends congé.

[...]

Elle est avec quelqu'un plus. J'ai l'impression de le connaitre, il sort une blague qui me fait rire, comme mon collègue. Oui c'est ça c'est mon collègue, Matt.

[...]

Je suis au QG de la mafia, je m'entraine aux arts martiaux selon la volonté de mon paternel. Aujourd'hui Fabien n'est pas là et je me suis retrouvée seule avec deux des hommes de mon père. Ils ne laissent rien paraitre, mais ils n'apprécient pas qu'une fille sortie de nulle part débarque et entre dans le cercle fermer de la haute hiérarchie.

Je peux les comprendre ça fait seulement quelque mois que je suis parmi eux et ils sont obligés de m'obéir et j'en abuse, je me comporte comme une fille pourrit gâté. Au bout de deux heures j'en ai assez, je les laisse planter là et je vais dans la suite qui met réserver pour me laver et me changer. Un des privilèges d'être sa fille je suppose.

Je repasse voir mon père, au téléphone avec l'Italie. Il me sourit en me voyant et raccroche. Moi je lui fais la gueule. C'est instinctif, il n'y a qu'avec Fabien que ça passe. Il fait de réel effort pour pas s'emporter, je le sais, mais je n'arrive pas à lui faire totalement confiance.

Je suis quand même bien contente, grâce à lui mes frères et moi on a échappé aux services sociaux. Les jumeaux se doutent de quelque chose, mais j'ai inventé un énorme bobard pour détourner leur attention. Ils s'en contentent, mais je sais qu'un jour je vais devoir leur dire.

Pour l'instant je le garde pour moi, je n'ai pas encore accepté que maman est pu tromper papa, ni qu'elle ne l'aimait pas comme elle aurait dû. En tout cas c'est ce qu'elle a écrit dans sa lettre, mais je refuse de croire que c'est la vérité. Elle me le disait qu'elle aimait papa plus que tout quand elle parlait avec moi.

[...]

Un sourire sur mon visage, le moteur de la moto ronronne. Je vole. Je sens un poids au-dessus de moi, puis le noir.

[...]

Caler contre le mur en tôle du magasin où je travaille ou plus tôt où je travaillais. Je me laisse glisser le long de la paroi dans un souffle de désespoir.

??? : Et bien blondie t'as passé une mauvaise journée ?

C'est grincheux qui se tient devant moi.

Olivia : Ouais. Dis-je sans joie. La patronne m'a viré. Je vais encore devoir trouver un autre boulot mal payé. J'en ai marre.

Doris : Pour quelle raison ?

Je lève mon visage en sa direction.

Olivia : La bite de son mari dans ma bouche ne l'a pas rendue jouasse.

Doris : Non ce n'est pas vrai ! Mais comment... ce gros tas... beurk !

Olivia : J'ai besoin d'argent grincheux. C'est tout ce que je vois.

Doris : Le bon côté c'est que cette mégère ne pourra plus t'en faire voir de toutes les couleurs.

Olivia : Ouais. Dis-je lasse. On va boire un coup pour faire passer la pilule ?

Doris : Tu vas vraiment me manquer blondie.

[...]

Je n'arrive plus à bouger. Je me déplace, non, on me déplace. J'atterris sur un sol dur, ma jambe me fait souffrir.

[...]

Cela fait quelque semaine que j'ai rencontré Romane. Elle est super sympa. J'ai été très étonné quand Déb me l'a présenté. Elle qui ne fait jamais le premier pas vers les gens. Cette fois c'est bien elle qui s'est ouverte à Romane et là invité à se joindre à nous pour une soirée fille.

Ce soir nous sommes dans une petite boite branché du moment, il ne diffuse que des musiques indé alternatives. On a voulu changer et c'est super sympa.

Je suis assise scrollant sur mon tel. Je suis à la recherche d'un stage en alternance de cuisine, pas pour moi, mon frère Éric. Ça fait des jours qu'il est censé en avoir trouvé un, mais il se défile toujours au dernier moment. 'Je ne sais pas Lili, c'est loin de la maison', 'Celui-là ils sont trop nombreux', 'Je suis arrivé en retard et ils n'ont pas voulu m'accorder cinq minutes'.

Je suis obligé de prendre les devants, s'il ne trouve pas d'ici deux semaines il devra se retaper une année de plus, je n'ai pas payé pour le voir échouer. Je devrais peut-être demander à Romane. Elle va passer cuisinière en chef, elle acceptera peut-être de le prendre dans sa brigade.

J'aperçois Déb, je lui fais un signe et elle me rejoint. Romane est sur la piste de danse, elle voulait se défouler un peu. Un homme la colle un peu trop près. Elle revient vers nous agacer.

Romane : Il est chiant, il n'arrête pas de me coller alors que je lui ai envoyé sur les roses. Siffle-t-elle en assaillant à côté de moi.

Elle a à peine fini sa phrase que l'homme en question revient à la charge.

Olivia : Tu veux t'en débarrasser définitivement ?

Romane : Oh ! Oui !

Olivia : Laisse-toi faire.

Romane : Heu... ok.

Je m'approche d'elle mon visage très près du sien. Elle recule.

Romane : Tu fais quoi là ? Demande-t-elle surprise.

Olivia : Fais-moi confiance.

Je penche ma tête et dépose mes lèvres sur les siennes en regardant l'individu qui se stoppe net. Il se ravise et fait demi-tour.

Débora : Ça les fait toujours fuir ! Rigole-t-elle.

Je reviens me caler à ma place et observe Romane rougissante.

Olivia : Désolé si je t'ai choqué, mais des fois c'est le meilleur moyen pour qu'il lâche l'affaire.

Romane : J'ai été surprise c'est la première fois qu'une fille m'embrasse. Je n'avais pas compris que tu étais... Dit-elle timidement.

Déb et moi explosons de rire sous le regard surpris de Romane.

Olivia : Non, hétéro.

Romane : Ah... Ok .... En tout cas merci de m'avoir débarrassé du type.

Olivia : De rien. Souriais-je.

La soirée se passe bien on danse, on papote et on boit. Quand nous sortons pour rentrer chez nous, deux hommes nous interpellent.

Homme 1 : C'est la gouine, celle qui m'a chauffé.

Homme 2 : Salope vient ici goutter ma bite. Je vais te faire changer de camps.

Nous les ignorons, mais un des deux coince Romane contre le mur.

Olivia : Lâche là ! Si tu ne veux pas finir entre quatre planches. Les menaçais-je.

Homme 2 : Que va-t-elle faire la courte sur patte. Ricane-t-il alors que le premier empêche Romane de bouger et de crier.

Olivia : Déb aide Romane moi je me charge de ce débile-là.

Homme 2 : C'est qui que tu traites de débile. Dit-il en se jetant sur moi.

Il fait une tête de plus que moi, mais je ne suis pas impressionné. Il essaie de m'attraper le bras. Je me recule et lui envoie mon poing dans les côtes.

Il se plie en deux de surprise je pense, car mon coup n'était pas très puissant. Il déverse une pluie d'insulte. Un coup d'œil rapide vers mes amies. Romane mord le type alors que Déb lui envoie son genou dans ses parties.

Le temps que j'observe la scène, je reçois un poing dans ma mâchoire. Je ne l'ai pas vu vernir. Je me ressaisis et attaque le débile. Dans la bagarre je remarque un tatouage de serpent sur la jambe de l'homme que je viens de mettre à terre avec une balayette. Ce tatouage n'est pas n'importe lequel.

Olivia : La Biscia. L'homme à terre me dévisage. Giorgio ne va pas être content si je les abime plus.

Homme 2 : Comment tu sais.

Je décale le tissu qui recouvre mon tatouage de serpent. Il devient livide alors qu'un sourire sadique apparait sur mon visage. Il a beau être en bas de l'échelle, tout le clan connait mon tatouage même sans m'avoir vu.

Olivia : Les filles ont s'en va, ils ont compris la leçon.

Elles viennent me rejoindre après avoir craché à la figure du premier homme qui lui aussi est à terre. Une fois qu'il a lâché Romane, elle s'est défendue comme une championne.

Homme 1 : Espèce de salope ! Crie-t-il en se relevant.

Homme 2 : Ça suffit. Dit-il à son camarade.

Homme 1 : Mais tu es devenu fou, elle se prend pour qui la pétasse.

Le deuxième homme assomme le premier.

Homme 2 : Désolé, on ne savait pas, pitié pardonner nous.

Je me tourne et rejoins les filles qui attendent le taxi.

Romane : C'était quoi ça ?

Olivia : Le privilège de mon père. Ne fais pas attention, on va à la maison, Logan ne va pas être content, mais il va nous soigner. Il ne t'a pas raté ta lèvre gonfle déjà, mais j'ai bien aimé ton jeu de poing. Quel technique ?

Romane : Krav-maga.

[...]

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