Chapitre 42
Je suis allé sur la cinquième avenue de Manhattan, je suis entré d'abord dans la boutique de prêt-à-porter pour femme, c'est Sandra qui m'a accueilli tout sourire. Oui, c'est une des nombreuses boutiques du gang, autant profité.
Sandra : Bonjour boss, que puis-je pour vous ce matin ?
Daryl : Bonjour Sandra, je cherche une robe avec les chaussures a sorti.
Sandra : Oui, vous pouvait décrire la personne à qui elle est destinée.
Daryl : Un mètre cinquante-cinq, blonde, yeux bleu qui tire sur le vert, soixante-seize, quatre-vingt-quatorze, soixante-trois et quatre-vingt-cinq centimètres. Cinq et demi en chaussures.
Sandra : Je vois, spéciale pour vous. Je vais vous montrer les robes en premier puis en fonction je passerais aux accessoires.
Daryl : Je te fais confiance.
Après une dizaine de robes que j'aurais bien acheté pour Liv, je sais qu'elle va me faire une scène si j'exagère, mon choix c'est poser sur une robe de grand couturier, une simple, blanc cassé et courte à volants en crêpe, un col rond, des manches courtes avec aussi des volants, une coupe empire, légèrement évasée, une matière fluide avec motifs carreaux ton sur ton. Pour les chaussures je lui ai pris des sandales camel et une parure a sorti en or blanc acheter dans la bijouterie d'en face.
Je suis allé acheter mon costume pour ce soir, j'en ai profité afin d'en prendre un pour Matt. Je n'ai pas envie qu'il débarque en guenille et il en est capable. Je suis rentré juste à temps pour l'arrivée de mon jumeau et de sa copine, qui m'a sauté dessus à peine le pied mi à terre.
Daryl : Matt, calme les ardeurs de ta furie si non je vais commettre un meurtre avant ce soir.
Romane : Ça va Daryl, j'ai envie de faire les chose bien pour Liv c'est tout !
Daryl : C'est pour ça que tu m'as harcelé toute la semaine. Sifflais-je.
Matt : Du calme, hermano si nous allions manger avant de s'étriper.
Éric : Attends-toi à pire ! Moi, j'ai dû la supporter toute la semaine en dehors du stage, elle a été insupportable. Déjà que d'habitude elle me casse les couilles alors là, elle a atteint un niveau haut dessus. Ricane-t-il en sortant de la voiture.
Je l'ai salué et nous sommes rentrées à l'intérieur, j'ai proposé de commander à manger, mais Romane c'est emporté soi-disant que l'on est des gros flemmards. C'est dépiter qu'elle s'est mise à cuisiner j'ai ordonné à James qui été sur place de l'aidé alors que nous avons commencé à réfléchir sur la déco.
Au bout de cinq minutes, j'ai laissé tomber, trop fastidieux, de toute façon il y aura des bras cet après-midi, donc je me prélasse au bord de la piscine. Les gars m'ont rejoint plus vite que la musique, c'est une bière à la main que nous prenons le soleil. J'ai discuté avec Éric, je n'avais pas eu l'occasion encore. Il m'a parlé d'Olive et de lui, de sa position dans la famille, celui du milieu, pas facile il joue souvent les médiateurs et il est souvent « oublié ».
Éric : Pas que ça me dérange, mais des fois moi aussi je voudrais profiter de Lili comme le font les autres, mais elle pense toujours à moi. Tiens aujourd'hui, ils sont tous les cinq ensemble et elle a quand même envoyer des photos d'eux, dans la voiture avant de partir et il y a cinq minutes elle qui attendait pour passer commande dans un foodtruck et juste après l'endroit où ils se sont posés pour manger en me souhaitant un bon appétit.
Il me montre les photos en question, alors qu'il reçoit une nouvelle. C'est son petit frère qui assit par terre les jambes croisées semble bouder. Un mot l'accompagne, 'monsieur est tellement impatient que j'ai dû ralentir ses ardeurs voilà le résultat'.
Comme il est beaucoup plus patient que les autres et qu'il observe beaucoup, il a remarqué juste grâce à la dernière photo qu'elle a passé une mauvaise nuit voir pas dormi du tout, mais qu'elle est heureuse d'être entouré de ses frères.
Éric : T'es le premier qu'elle nous a présenté et ça veut dire beaucoup. Je t'apprécie bien, pas aussi bien que Stiles, plaisante-t-il. C'est un vrai comédien, temps que Lili a le sourire tout lui va, mais je suis content de te connaitre. Pour Sam, il ne faut pas t'en faire, il va s'y habituer. Continue-t-il. Elle chantait pour nous quand j'étais jeune, mais elle a arrêté depuis que papa est parti. De temps en temps, elle chante quand elle pense être toute seule et plus d'une fois je l'ai surpris toutefois elle est toujours triste quand elle chante comme ça. L'autre jour Sam et moi on l'a surpris, elle chantait du Disney et contrairement à d'habitude où elle chante pensant à maman, elle était joyeuse pas triste. Et Sam a compris que c'est toi qui étais à l'origine de ce changement. Il n'a jamais supporté qu'elle s'intéresse à quelqu'un d'autre que lui, il est jaloux de tout. Liv le sait, mais elle ni fait jamais attention elle trouve toujours un moyen pour détourner son attention. Le mieux c'est de l'ignorer de faire comme si tout aller bien. Il se tourne vers Matt. Toi par contre je ne sais pas ce que tu lui as fait, mais il te vénère et c'est un exploit à la maison, il trouve toujours un moyen de parler de toi, l'autre jour il nous a sortie qu'elle c'était trompé de jumeau !
Matt et lui rigolent alors que je bois une gorgée de ma bière grognant en attendant ça.
Éric : Le prend pas mal, je te le dis pour que tu saches à quoi t'attendre.
Romane appelle Matt qui se précipite pour la rejoindre un vrai petit canard. Éric se redresser et me regarder inquiet.
Éric : Maintenant qu'elle dort avec toi, je voulais savoir si elle a fait des cauchemars ?
Daryl : Non, pourquoi ?
Éric : Rien, rien ne t'en fait pas en tout cas si elle en fait ne t'affole pas ça lui arrive de hurler à plein poumon et de se débattre. J'ai encore les marques de la dernière fois. Si elle en fait il suffit juste de la calmer. Après depuis que Fabien est rentré dans sa vie elle en fait de moins en moins.
Nous avons été interrompus par ma très chère belle-sœur. Nous avons mangé écoutant Romane déblatérer sur le programme de l'après-midi et j'ai pu constater avec le peu de temps qu'elle vient de passer en cuisine son plat et super bon. Vers deux heures Débora et Colin ont débarqué. Et heureusement car Romane me court sur le haricot, elle est chiante comme pas possible et mon frère reste béat devant elle. J'ai donc demandé à Débora de s'occuper de la furie. Elle revint deux minutes plus tard avec Éric qui était avec Romane en cuisine.
Débora : Voilà, vu son état elle en a pour dix minutes, si ton frère s'y prend bien. En attendant vous nous aidez à décharger ?
Daryl : Attends ils sont en train de baisser dans une de mes chambres, là ? Dis-je offusquer.
Débora : Je ne pense pas qu'ils ont bougé de la cuisine, à mon avis ils sont sur le carrelage froid de la cuisine. Romane adore la cuisine ce n'est pas que pour cuisiner si tu vois ce que je veux dire.
Je fais une grimace de dégout qui fait bien rire tout le monde. En tout cas je ne vais pas remettre les pieds dans ma cuisine temps que Paola n'aura pas fait le ménage à fond. Mais force de constater que ça à marcher au bout d'un quart d'heure Matt tout sourire est venu nous aider. Romane elle affichait un sourire de ravissement et c'est calmé sur les ordres. Quand la scène fut montée et la déco mise, il ne restait plus grand-chose à faire et c'est Déb qui s'en est chargé.
Giorgio a débarqué avec un camion transportant une sublime Ferrari noir heureusement que mon portail est assez grand aussi que la cour intérieure. Ses hommes l'ont déchargé et installé un nœud au-dessus, plus kitch tu meures.
Giorgio : Bonjour Daryl, je me suis permis de l'amener maintenant, je ne voulais pas attendre.
Daryl : Je vois.
Giorgio : Comparer à ta Mini, il n'y a pas photo, elle va l'adorer. C'est celle de ses rêves. Tu le savais ? Demande-t-il sur un ton qui ne me plait pas.
Daryl : Peut-être, mais elle ne me prendra jamais la Ferrari pour se déplacer tous les jours. Je commence à bien la connaitre et elle refusera ce bijou.
Giorgio : C'est sûr, mais elle capitulera. Sur ce à ce soir vingt heures c'est ça ?
Daryl : C'est ça.
Bordel, j'ai l'impression de jouer à qui a la plus grosse, il manquerait plus qu'elle refuse mes cadeaux, je ne le supporterais pas. Un peu avant vingt heures tout le monde est là, il manque que ses frères et elle, il me tarde de la voir. Matt a mis le costume que je lui ai acheté, pour une fois qu'il a la classe il s'est plaint. J'ai ordonné à Val et Gal de tenir le bar, je m'en mords déjà les doigts, mais je sais qu'elle apprécie énormément les cocktails de Valentin. Quelques hommes sont là pour la sécurité et le service de ce soir. Ses frères sont arrivés, ils nous ont dit qu'elle arrivait avec Logan.
En attendant son arrivée Stiles n'a pas arrêté de me tourner autour me demandant si j'étais vraiment le propriétaire de la villa et si les voitures dans mon garage m'appartenaient également, je me suis prêté au jeu pendant que Sam discutait avec Matt de combat de boxe juste à côté. Elle s'est fait attendre, je ruminais de l'intérieur imaginant tous les scenarii possibles, finalement pour constater qu'elle est arrivée juste après.
Elle est apparue un foulard sur les yeux, son frère derrière elle qui la guidait. Vêtu d'un pantalon qui lui mouler les fesses et un haut laissant apercevoir son tatouage sur sa poitrine, elle est délicieuse.
Quand elle a ouvert les paupières laissant voir ses magnifiques prunelles, nous avons crié 'Surprise'. Elle n'en revient pas, laissant échapper une larme que Logan vient essuyer de son pouce. Son regard tombe sur moi elle me sourit tendrement, je m'avance vers elle, mais Éric impatient se dirige vers elle avec plus de rapidité que la vitesse de la lumière et la prend dans ses bras la décollant du sol. Ils échangent quelques paroles avec Logan qui semble agacer.
Romane, sa petite sœur, que Matt est allé chercher en fin d'après-midi et Débora me passe devant, elles partent et enfin je peux l'approcher, elle me dévore du regard. Je m'approche tel un lion affamé et prend possession de ses voluptueuses lèvres.
Daryl : Joyeux anniversaire ma reine.
Stiles : Vous êtes mignon tous les deux.
Olivia : Va voir ailleurs si on y est. Dit-elle lui faisait comprendre qu'il est de trop.
Il s'éloigne tout contant. Elle se penche près de mon oreille.
Olivia : Tu m'as manqué bon beau, dommage que nous ne soyons pas tout seul, en cet instant je rêve que d'une chose, ta peau contre la mienne.
Je dépose un baiser sur son épaule avant de lui répondre.
Daryl : Ne me tente pas ma belle, dans cette tenue tu es très excitante.
Elle rit et me dit qu'elle va faire le tour. Elle se dirige vers le bar échange quelques paroles avec Val qui lui tend un verre un sourire séducteur sur le visage. Respire Daryl, respire, il ne tentera rien, il a compris la menace, puis c'est avec Matt qui lance un regard dans ma direction qui en dit long, il sait pourquoi je me suis emporté l'autre jour avec Val. Débora vient à ma rencontre.
Débora : Tu sais elle n'a d'yeux que pour toi, tu ne devrais pas être jaloux surtout d'un ancien plan cul, tu as plus à craindre de ses frères que les autres hommes à part peut-être son virtuose. Elle t'en a parlé n'est-ce pas ?
Daryl : Ouai, elle l'a évoqué.
Débora : Je ne devrais pas te le dire, mais elle était amoureuse de lui, si elle venait à le recroiser je ne sais pas si elle ne tomberait pas dans ses bras. C'est son premier amour.
Je reste sur le cul, quand elle m'en a parlé je n'ai pas eu ce ressenti.
Débora : Enfin c'est très peu probable, qu'elle le rencontre à nouveau, de lui elle ne connaît que son tatouage.
Elle s'éloigne rejoignant Colin qui discute avec Olivia et les autres. J'ai rejoint ses frères échangeant avec eux sur la journée qu'ils ont passée. Ils ne se sont pas étendus sur le sujet, elle n'a pas aimé et à passer une partie de l'après-midi à discuter avec Léo. Je l'ai rejoint une fois qu'elle a eu fini le tour. Romane nous a annoncé que le buffet était près, j'ai été surpris de tout ce qui été présenté, vérines de toutes sortes, amuse bouches, des toasts, mini sandwichs, wraps ou encore brochettes. Et pour tous les gouts, viandes, poissons, légumes c'est un délice.
Olivia : T'as gouté cette bouchée ?
Elle me montre une pique avec du fromage, du jambon et un raisin planter dedans.
Daryl : Non pas encore.
Je vais pour le prendre, elle me devance et l'attrape avant de me le porter à ma bouche. Je croque dedans et elle retire le bâtonnet avec délicatesse calculer puis dépose ses lèvres sur les miennes.
Olivia : Alors comment tu trouves ?
Je finis de mâcher faisant mine de réfléchir puis avale avant de lui répondre.
Daryl : Délicieux, mais je ne sais pas si c'est la nourriture ou tes lèvres qui me donnent le plus envie. Tu ne veux pas recommencer pour que j'y voie plus clair.
Elle rit et revient m'embrasser.
Olivia : Alors verdict ?
Daryl : Définitivement tes lèvres.
Nous sommes interrompus par Éric qui a raconté son voyage. Elle l'écoute avec attention. Puis le groupe monte sur la petite scène.
Colin : Alors nous allons vous jouer nos dernières chansons qui serons sur l'album à venir. Et je voudrais remercier la reine de la soirée, sans elle je ne serais pas en train de réaliser mon rêve au bras de mon chaton.
Olivia : Enfin j'ai le droit à mon concert privé, mais t'attend pas à recevoir ma culotte, je n'en porte pas !
Je suis étonné de ce qu'elle vient de lâcher. Liv attrape mon bras, qui sait naturellement diriger vers ses fesses tout en continuant son échange avec sa meilleure amie.
Olivia : Tu peux partager, je suis sûr qu'il ne serait pas contre !
Elle éclate de rire, je me rapproche de son oreille et viens lui murmurer.
Daryl : Il n'a pas intérêt tu es à moi.
Olivia : Attends un peu, je te donne rendez-vous dans vingt minutes dans ta chambre, tu pourras vérifier par toi-même mes dires. Me murmure-t-elle avant de mordiller mon oreille. En attendant je vais danser tu viens ?
Daryl : Plus tard beauté.
Plus tard là j'ai un début de gaule, il faut que je me détende. Je pars au bar Val me sert un rhum, je suis rejoint par Matt. Je la regarde danser, Matt lui regarde Romane danser à ses côtés.
Matt : On a de la chance.
Daryl : Pourquoi tu en doutes.
Matt : Non je constate.
Mon beau-père se joint à nous suivie de Fabien qui vient s'accouder à côté de moi.
Fabien : Alors, tu lui offres une Mini, franchement tu aurais pu trouver mieux. Elle va faire semblant, mais elle ne sautera pas de joie. Ricane-t-il.
Daryl : Peut-être, mais je sais la rendre heureuse autrement. Et avec moi elle atteint la béatitude. Soufflais-je.
Giorgio : Évite de parler de ma fille comme ça devant moi. Où mon poing finira dans ta gueule d'ange.
Je me tourne et pars en direction de l'étage. Fabien me coupe dans mon élan en attrapant le bras.
Fabien : Ne te fais pas d'illusion tu n'es pas le seul à la rendre heureuse. Me dit-il doucement.
Si ce n'était pas ici et en présence de Liv, je lui casserais la gueule. Je vois bien qu'il a des vues sur elle, après tout c'est que son frère adoptif, ils n'ont aucun lien de sang et elle ne le connaît que depuis ses seize ans. Il s'est peut-être même passer un truc entre eux. Je rentre dans ma chambre et écrase mon point contre le mur à cette pensée. J'essaie de me calmer, alors que j'entends des pas résonner dans le couloir.
La porte s'ouvre sur Liv, les mauvaises pensées quittent mon esprit. Je la plaque contre le mur et l'embrasse à perdre haleine. Je déboutonne ma chemise qui finit par terre alors qu'elle ôte son haut. Je suis contraint de me séparer d'elle, elle le passe au-dessus de sa tête, je n'attends pas et reprend possession de ses lèvres. Une fois débarrasser de nos vêtements mon regard tombe sur son bas ventre caché par de la dentelle noire.
Daryl : Ce n'est pas bien de mentir.
Olivia : Je n'ai pas menti j'ai anticipé nuance ! Dit-elle avec un sourire qui me fait chavirer.
Je l'entraine devant le lit puis la pousse quand j'arrive enfin à me débarrasser de son soutif qui m'a donné du fil à retordre. Je me hâte d'enlever mon boxer, mais je perds l'équilibre et m'affale par terre. Son rire résonne, elle se moque de moi là ! Je n'ai pas le temps de protester qu'elle est au-dessus de moi ses mains sur mes avant-bras.
Sa langue se balade sur mon torse et son bassin bouge contre mon sexe. Je bande comme un cheval. Sa main droite quitte mon bras et s'empare de ma verge qui dans un geste de précis se retrouve en elle. Je lâche un râle de plaisir asphyxier contre ses lèvres. Je masse son sein jouant avec son téton pointant d'excitation.
Elle accentue ses va-et-vient, je sens le point de non-retour, mais j'ai envie de prolonger ce moment. Je me relève, elle quitte sa position en râlent. Je dépose mes lèvres sur sa clavicule en la basculant sur le côté. Je viens la dominer. Je reviens en elle ma tête dans ses cheveux qui sentent bon la vanille, quand enfin nous sommes au paradis ses ongles se plante dans mon dos. Je roule sur le flan et sans que je le saisisse elle a déjà remis son pantalon.
Daryl : Tu ne veux pas rester près de moi, je n'ai pas envie d'y retourner.
Olivia : Si, mais comme c'est une fête en mon honneur je me dois d'être présente et puis j'ai envie de danser ! Dit-elle en m'embrassant. Aller dépêche-toi.
Elle sort de la chambre, je me relève, me débarrasse du préservatif qu'elle m'a affublé et je me demande bien pourquoi, elle prend la pilule. Je m'habille et récupère son sous-vêtement respirant son odeur avant de le mettre dans ma poche.
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