Révélation

Le majordome arriva en courant jusqu'à la chambre où était le gamin. Un médecin l'arrêta :

- Nous venons tout juste de lui annoncer la mauvaise nouvelle, il est un peu perturbé, il pleure depuis toute à l'heure. Dit le médecin d'un ton désolé.

Albert poussa la porte. Il regarda son gamin qui n'était pas officiellement le sien et vint à son lit. Je garçon le regardais, les yeux remplis de larmes et de ses pensées vide il annonça.

- Pourquoi ?

Il se remit à pleurer. Le majordome voulu le prendre dans ses bras mais c'était une des règles que son patron lui avait interdit. Malgré ça Antoine pris la seule personne qui était venu lui rendre visite. Il continuait à pleurer et Albert essayer de le consoler. Il lâcha l'homme qui s'est toujours occuper de lui et lui dit d'un air mélancolique.

- J'ai toujours vu un père en vous. Vous avez toujours été là pour moi même encore aujourd'hui. Quand je serais grand, je voudrais être comme vous, un homme brave et gentil.

Sa voix tremblait en disant ça car jusqu'à maintenant il n'avait jamais réussi à voir la vérité, son prénommé père ne l'avais pas élever. Albert le regardait plein de tendresse. Comment allait il lui dire la vérité ?

- Quand est-ce que je vais pouvoir rentrer?

- Les médecins disent que tu rentrerais dans deux semaines.

- Je ne veux pas! Je veux rentrer à la maison!!!!!!

- Ils ne veulent pas te laisser partir...

- Je figurerait d'ici. Et toi tu as l'obligation de ne le dire à personne. De toute façon il ne me reste personne alors je ne comprends pas pourquoi je ne suis pas mort. J'aurais du mourir.  Je suis un monstre, je me déteste !!!

Le majordome ne savait pas quoi dire, car il a beau être le fils du garçon qui se trouvait en face de lui, il ne lui avait jamais avoué. Antoine ordonnait de rentrer chez lui mais si il le faisait sortir Albert serait responsable à 100% responsable du gamin.

- Je veux bien appeler ton père mais ce n'est pas sur qu'il accepte.

- Et puis d'abord, pourquoi il est pas là?

Le majordome menti.

- Il n'a pas pu se libérer au bureau... Il viendra très vite.

- La vie de son fils et la mort de sa fille sont donc moin importante que son bureau.

Des larmes s'écoulèrent des joues du garçon. Albert le pris dans ses bras une dernière fois et prit son téléphone pour appeler Léo Harrison, le père de Antoine : messagerie. Une deuxième fois , même sort.

Antoine prit le téléphone.

- ALLÔ PAPA! AU CAS OU TU N'EST PAS AU COURANT JESSICA EST MORTE ET MOI J'AI BESOIN DE TOI DONC SI TU NE VIENT PAS JE NE TE PARLES PLUS JAMAIS. JE TE LAISSE JUSQU'À MIDI POUR VENIR *il vérifia heure, dix heures moin le quart* DÉPÊCHE TOI!!!!! *il se tourna vers Albert* on rentre à la maison. Je vais appeler Hanna, Yuki et James j'ai besoin de voir mes amis. Merci Albert.

- Mais je n'ai rien fait...

- Votre présence est quelque chose pour moi!

Après l'accident, Antoine avait eu un petit traumatisme crânien, la perte de beaucoup de sang et un peu de problème respiratoire. Son poignet s'était foulé, les médecins pensent qu'il devrait se ressoudé dans un peu près trois semaines. Ils avaient d'ailleurs approuvés la sortie du jeune homme à condition que trois hommes la Sécurité bien baraqués soit devant la maison et que la surveillance de la maison soit H24.

À onze heures cinquante six le père de Antoine n'était toujours pas là.

- Il va venir.

- Non il me déteste. Je le déteste aussi de toute manière.

Soudain la porte s'ouvrit en grand. Un homme d'une trentaine  d'années entra dans la villa. Antoine regardait.

- Papa!

- Oui trésor désolé pour le retard. J'étais embêter avec le boulot. Viens dans mes bras.

Il lui sauta dans les bras.

- Je suis désolé pour Jessica je sais qu'elle comptait pour toi.

- Pourquoi j'ai survécu ?

- Je ne sais pas. Tu es mon petit prince. C'est pour ça que tu es là. Tout vas bien se passer maintenant.

Le père regarda Albert et lui fit signe de s'en aller. Il ferma la porte et entendit les pleures d'Antoine. Son père essayait de le consoler mais aussi de se consoler lui même. Il venait de perdre sa fille et ça c'était horrible.

Au bout d'un moment le majordome reviens vers le supposé père et vers le fils.

- Je vous ai fait du thé. Voila pour toi et voici pour vous monsieur.

- Yuki, James et Hanna devrait arrivé cette après-midi.

- Oui champion. L'enterrement est prévu dans deux jours.

Il regardait son père du coin de l'œil. Il acquiesça avec tristesse et mélancolie.

- Tu devrais te reposer.

Le sommeil du jeune homme était perturbé. Il dormait dans le fauteuil.

- Bon surveillez mon fils je retourne au bureau...

Le majordome acquiesça. Environ dix minutes après, Antoine se réveilla en sursaut et en hurlant.

- Tout vas bien que se passe-t-il ?

- J'ai fait un cauchemar.

- De quoi ça parlais?

- Je suis dans la voiture avec Jessica et il fait noir et elle me dit de détacher ma ceinture. Elle aussi a essayer mais elle n'a pas réussi. Ensuite trou noir. Ah si je me souviens. Deux personnes, ils les ont tuer.

- Tu te souviens de leur visages?

- Non... Je suis nul n'est-ce pas?

- En aucun cas. Tu es quelqu'un de très fort. Je suis fier de toi.

- C'est gentil mais c'est que je veux que mon père soit fier de moi. Je suis triste qu'il soit parti il ne m'aime pas.

- Bien-sûr que si. Tiens tes amis vont arriver.

La première personne a arriver était Hanna, une grande au cheveux bouclés couleur châtain. Elle était la meilleure amie de Antoine. Elle frappa à la porte et l'enfant ouvrit. Il était heureux, elle aussi.

- J'ai ramener des bonbons. Ce sont tes préféré.

Elle avait ramener quelques Dragibus ce qui redonna un peu le sourire au garçon.

Ensuite il eut James, un garçon de taille moyenne avec des magnifiques cheveux africain et de beaux yeux noisette. La dernière a arriver fut Yuki. La petite de la bande, elle avait de beau yeux noire et une peau très blanche. Elle était japonaise et française.

Ils arrivèrent tristement et heureux à la fois. Ils étaient prêt à trouver qui avait tuer leur amis et la venger.

....

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