Mon fantôme

Une nuit au alentour de minuit une heure. Il faisait noir, nuit noire et il y avait peu de voiture sur la route. Il y avait aussi une panne d'électricité, les lampadaires étaient éteint, la route était raide, beaucoup trop raide. Dans le feu de l'action qui était très peu, une voiture passa. Une grande voiture décapotable. À l'avant, la gouvernante et à l'arrière deux adolescents, des jumeaux. Une jeune fille, 15 ans, rousse avec de jolis yeux verts qui ressortent de son teint blanc et une jeune homme, 14 ans , blond avec de magnifiques yeux bleus diamant. La voiture roulait à une vitesse normale. Une vitesse de 50km/heures plutôt pas mal dans une petite route et ça n'a pas manqué pour créé un accident. Dans l'autre sens une petite voiture, les conducteurs inconnu. Ils leur rentrèrent dedans en un seul coup la voiture passa de l'autre côté de la route, dévala la pente et se déchira en deux. La partie avant se découpa en deux et celle d'arrière éjecte le garçon de l'autre côté du pare-choc. La fille et la gouvernante sont seules dans la voiture, deux hommes armé arrivent devant la voiture et d'une seule balle abattent les deux femme. D'une voix rauque et agressive l'un deux dit :

- Il est où le deuxième gosse?!

- Il est surement mort. Laisse tomber je ne le vois pas. Son corps est surement déchiré en deux dans les bois. Dit une voix plus douce.

Au alentour de six heures, six heures et demi une ambulance arrive sous l'alarme d'urgence. Par un appel d'urgence elle fut appelé. Les médecins et les infirmières arrivent en courant suivit de quelques voitures de police.

- Deux corps! Ici deux femmes. Hurla l'un d'eux.

- Ici un garçon. Il respire encore. Appelez rapidement les secours. Cria une policière.

Sur la route de l'hôpital, le garçon respire peu mais il est maintenu en vie. Dans le centre, l'agitation se fait de plus belle. Les infirmières courent dans tous les sens et les médecins aussi. Dans la salle d'opération il essaie de le réanimer. Une fois, rien. Deux fois, toujours rien. Trois fois encore rien. Quatrième fois le pouls reprend, un souffle de vie les médecins sont soulagés.

- Il va s'en sortir. Il va s'en sortir. Annonce l'un des docteurs.

Le garçon fut emmené suite à son opération dans une chambre isolée et surveillée par deux agents de sécurité bien baraqués et impressionnant.

Sept heures vingt huit on appelle résidence du jeune homme.

- Bonjour ?!

- Bonjour, ici l'hôpital Saint Joseph, êtes vous le père de Antoine Harrison? Questionne la réceptionniste.

- Non je suis son majordome. Qui a t'il? Il lui ai arriver quelque chose? Répondit t'il inquiet.

Silence...

- Non il va s'en sortir. En revanche sa soeur Jessica Harrison *autre silence* n'a pas eu autant de chance. Elle est...

Le majordome compris tout de suite, sous un effondrement il repris.

- Dois-je venir?

- Oui prévenez les parents si possible.

- La mère est morte malheureusement et le père est en voyage d'affaires. Je l'appelle tout de suite. Sa voix était caché par des pleures qu'ils gardait pour lui. Sous l'affolement il accouru.

- Il va bien? Le père n'a pas pu se libérer. Il arrivera bientôt. Ou est miss Betty?

- Miss Betty était la gouvernante. Son corps était complètement carbonisé à cause de l'explosion. La gamine avait été bougé juste à temps. Nous pensons que l'assassin a voulu faire ça pour nous narguer. Annonça le policier Parriche.

Le majordome s'effondra deux fois plus. Miss Betty et Jessica en même temps.

- Je peux rentrer voir Antoine? Ce garçon est la seule chose qu'il me reste.

- Oui après mais d'abord nous voulons que vous répondiez à nos questions. Annonça le chef de police. Parriche allez interroger le joggeur qui a retrouvé les corps.

Il se tourna vers le majordome puis commença à poser des questions.

- D'après le légiste la jeune fille serait morte à minuit trente un peu près. Que faisiez vous au moment du meurtre?

- Je dormais dans ma chambre d'hôtel... Je peux aller voir Antoine?

- Oui allez-y. Il faudra qu'il bénéficisses de la plus grande protection. L'assassin est toujours en  liberté.

- Oui je le ferai. Je le protégerai.

Il entra dans la chambre, en regardant le jeune garçon blessé, souffrant et dans le coma il se demande comment va t'il faire pour protéger cet enfant jusqu'à l'arrivée de son père. Quand il se réveillera quelle serait sa réaction ? Serait il à la hauteur pour le protéger? Il alla s'asseoir à côté du petit et lui donna la main.

- Tu en a endurer des choses toi. Mais tu es un battant, je le sais. Tu vas vivre. Tu es comme ta mère. Annonça le majordome tristement.

Flashback

14 ans plus tôt.

- Je suis enceinte...

- Oh c'est génial annonça Albert, le majordome.

- Mais le bébé n'est pas de mon mari. Le bébé est de toi Albert. Dit Maria la mère de Antoine.

- Ce n'est pas possible... S'effondra t'il

- Si, qu'allons nous faire?

- Je ne sait pas...

- Moi je sais, nous ferons comme si le bébé est de mon mari et toi tu continuera à travailler pour mon mari, il ne se doutera de rien.

6 mois plus tard

- Le bébé a eu beaucoup de chance mais votre femme est morte. Toute mes condoléances....

Fin du flashback

Il continuait à observer les yeux endormi de son fils, qu'il n'avais jamais pu estimer comme le sien, son fils était devenu le fils d'un autre.

- Tu as ses yeux...

Il commença à pleurer.

- Je t'en prie réveille toi, tu es la seule personne qui me reste. Je t'aime.

Cela faisait trois jours et le père Harrison n'était toujours pas rentrer. Albert rendait visite à Antoine tous les jours.

- Résidence Harrison j'écoute ?

- Ici l'hôpital Saint Joseph...

Il leur coupa la parole.

- Vous avez des nouvelles à propos de Antoine ?

- Oui il s'est réveillé. Il demande à voir son père.

Le majordome trouva une excuse car le père n'était toujours pas là. Il se précipita vers la porte et accouru à l'hôpital. Quel serai les réactions du jeune garçon ? Cette question lui trottait dans la tête comme l'aiguille d'une montre.



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