Chapitre 8

- Alors comme ça on sors en douce durant la nuit ?

Galabin se tenait en haut des escaliers et les empêcher de passer, avant qu'ils n'ai pus essayer de s'exprimer ou même d'ouvrir la bouche elle les tira pars les oreilles jusque dans sa chambre :

- Vous allez devoir vous expliquer et bien ! Immédiatement !

- Euh, je me lance; fit Carma

- Non. C'est de ma faute après tout

- Mais...

- Bon ? s'impatientait Galabin

- Je n'arrivais pas à dormir du coup j'ai eu du temps pour réfléchir à ce qu'il s'est passé hier

- Trop de temps apparemment

- Je n'arrivais pas à me sortir de la tête qu'on était passé a côté de quelque chose, et c'était le cas ; Orléans tendus ses trouvailles a la femme qui l'ai pris

- Et tu as trouvé ça où ?

- Sous une planche dans la chambre de Golon

- Sous une planche, évidemment, c'est toujours sous une planche !

- Apparemment

- J'imagine que c'est trop tard si je vous dis de retourner vous coucher qu'on s'occupera de ça au matin

- Étant donné que le soleil se lève, oui

- Carma, c'était rhétorique

- Ah

Galabin se gratta la tête,

- Aller bouger on descend prendre un petit déjeuner, Orléans passe récupérer Rosae, il descend avec nous

Orléans acquiesça et rentra dans sa chambre, Rosae était réveillé et s'était redressé :

- J'espère que vous n'essayez pas d'être discret parce que vous venez de me réveiller ; le ton toujours hautain, se qui énerva immédiatement Orléans

- Et bien ça tombe bien car tu bouges aujourd'hui, on descend prendre un petit déjeuner, aller ! Il claqua dans ses mains

- Un peut d'aide ne serai pas de trop

- Bon d'accord

Orléans souffla et s'offrit comme support a Rosae, le noble le plus énervant qu'il n'ait jamais rencontré. Après une dizaine de minutes ils étaient enfin tous installer a table. Carma écrivait une lettre pendant que Galabin commandait. Galabin avait amené les trouvailles des deux inconscient comme elle les appeler.

Une fois que Carma eu finit d'écrire la lettre elle l'a passa a un garçon avec deux pièces, Orléans sourit, d'habitude c'était son boulot d'amener des lettres, Galabin passa les bols a chacun et enfin ils regardèrent ce qu'ils avaient trouvé :

- Bon pour l'épée, c'est plutôt simple, une lame a double tranchant a une main, pommeau simple incrusté d'une petite pierre rouge, vu la relative clarté et transparence je pencherais pour un rubis mais on n'est jamais sûr de rien, la garde et relativement travailler, on croit voir une signature mais je ne m'y connais pas assez pour vous dire qui l'a forgé, encore une fois des petites pierres rouges semblable a celles du pommeau, indéniablement du très bon travail.

- Golon n'était pas riche, il n'aurait jamais pu l'acheter et il ne se serait pas ruiné pour en acheter une aussi belle

- L'aurait il volé ?

- Non, si ça vient de son passé je pense qu'elle a été faite sur mesure pour lui; tous se tournèrent vers Rosae ; Quoi ?

- Continue t'a pensée

- Eh bien, a en juger la qualité et la beauté de l'arme j'élimine l'artisanat nains, ils vont certe de très belles choses mais c'est une arme beaucoup trop délicate, un homme aurait pu la forgé mais ça a dû prendre très longtemps, je ne connais pas d'hommes prêt a passé plusieurs mois sur une seule arme, les seuls capable de tel prouesses et par la même occasion de le faire en moins de temps sont...

- Les elfes; le coupa Galabin

- Exactement, les elfes accorde énormément de temps et de soins a chaque chose qu'ils créent, et c'est rarement des armes étant donné qu'il ne veulent pas s'impliquer dans les batailles, alors c'est quelle a du être faite sur mesure pour une personne très respectés

- Woah

- Tu t'y connais, l'étude des armes fait partie de la formation des noble snob ? Fit Orléans

- Non; Rosae ne releva pas l'insulte ; Je le sais en partie parce que j'ai forcé mon père a me laisser apprendre ce que je voulais

- Tu viens de remonter dans mon estime; Carma acqiéçat

- Et le reste ?

- Alors pour le paquet de feuilles, il s'agit d'entrée de journal et...oh... Orléans c'est pour toi ; Galabin tendit une lettre au jeune homme qui la prit

- Merci ; ses mains tremblaient, sur la lettre était écrit son nom il l'ouvrit et déplia la feuille :

Orléans,

Il y a qu'une seule possibilité pour que tu lises cette lettre, je suis mort. Comment je ne le sais pas mais je sais que tu es maintenant seul, mon garçon, il y a beaucoup de choses que j'aurais aimé te dire, vraiment énormément mais malheureusement beaucoup seront laisser silencieuse. Je ne peux te raconter dans une lettre toute une vie, tous les secrets, tous les danger, je dois allait droit au but.

Pour commencer tu dois retrouver les quatre autres, je ne connais pas leur nom ni leur visages, je ne sais même pas où tu pourras les retrouver mais bien que tout cela semble sans espoir je crois en ta chance, et au destin, je sais que tu les retrouveras, tu saura que c'est eux quand tu les verras.

Tu as le temps de grandir et de mûrir, ma mort ne marque que le début des épreuves, tu dois aussi t'adresser a Mar Carlicour, dit lui que tu viens de la ma part, Golon Aube du lion. Parle lui et donne lui les dernières pages de mon journal il saura quoi en faire. Tu ne le trouvera pas facilement, il sait se cacher et il voyage souvent.

Parle à la Gardienne, tu la trouveras au delà de la mer, au delà du ciel, quoi que cela veuille dire pour toi.

Prend mon épée et brandis la, cela fait bien trop longtemps qu'elle n'a pas vu la lumière du jour, celui qui l'a créé serait bien en colère que je ne l'ai jamais utilisé ou presque. Son nom est Arkanah a toi de découvrir sa signification.

Orléans ne m'en veux pas de ne jamais t'avoir parler de moi, je comprendrais si quand tu lira les pages de mon journal, car je sais que tu le fera même si je te l'interdit, il te sera plus simple de me détester. La vie ne fait pas de cadeau, surtout pas a ceux qui font tout pour briser leur destin. Écoute petit, ça a été plus qu'un plaisir de m'occuper de toi, te voir grandir et t'épanouir a été m'a plus grande fierté. Tu vas me manquer, et j'espère que tu te souviendra de moi en bien.

Bonne chance et que les Gardiens te garde
Ton vieil oncle Golon.

Orléans replia la lettre, et la rangea dans l'enveloppe, secoué a nouveau par des sanglots qu'il essayait d'intérioriser, Carma lui frotta l'épaule en signe de soutien et il réussit à se calmer :

- Il reste encore une personne a trouver et on a plusieurs personnes a aller voir

- Comment ça ?

- D'après Golon, on devrait être cinq, il m'a dit qu'il fallait que je trouve quatre personnes et que je serai que s'est elle quand je les verrai, bien que ce soit plus que bizarre j'ai su qu'il y avait quelque chose d'important avec chacun de vous ; chacun leur tour ils acquiescèrent

- Qui devons nous aller voir? Demanda Carma

- Mar Carlicour et une gardienne

- Une gardienne de quoi, de où ?

- Je ne sais pas, il a marqué : "Parle a la Gardienne, tu la trouveras au delà de la mer, au delà du ciel"

- C'est très énigmatique, et pas du tout pratique, et ce Mar Carlicour ? Où pouvons nous le trouver ?

- Vu ce que Golon en dit, on ne peut pas ou du moins ça va être très compliqué, "il sait se cacher et voyage très souvent" voilà ce qu'il en dit

- On a mieux temps qu'il nous trouve plutôt que de le chercher ; remarqua Galabin en soufflant

- Apparemment, es ce qu'il dit quelque chose sur les entrées de journal ?

- Justement, on doit les amener a cet homme

- Et la boîte ?

- Pas un mot, on devrait cependant l'ouvrir

- Impossible elle est verrouillé, on a tout essayé ; l'informa Rosae

- Par de la magie

- Personne ne la maîtrise

- Évidemment...

Silence, chacun manger dans son coin, soudain Carma s'anima

- Demain on part, J'ai démissionné, on part chez mes parents, s'est suffisamment loin et calme, j'ai envoyé une lettre pour les prévenir, vous allez adorer la campagne

- Doucement, doucement, je ne peux pas partir comme ça, pas sans prévenir, surtout pas en ce moment ; intervint Rosae

- On n'a plus le temps désolé, chaque heure pourrait nous rapprocher de la mort

- Alors on part ce soir et pas demain, je dois être sûr qu'on soit loin quand mon père apprendra mon départ, quitté à être déshérité autant le faire en beauté

- Carma ? Tu pense que s'est possible ?

- Oui il faut juste qu'on mette chacun nos affaires en place plus vite

-Justement j'avais des fiançailles à brisé" rajouta Rosae en prenant du papier a lettre.

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