Orléans leva les yeux vers le ciel, des nuages d'orages commençaient a s'y rassemblé, le vent avait forci durant la nuit et si il pleuvait alors leurs traces seraient définitivement effacé, ils n'avaient plus qu'a compté la dessus et espéré. Les troupes du père de Rosae ne tarderaient pas a arrivé dans la plaines, et ils devaient encores la traversé, peut être même de nuit, la où toute les bêtes sorte pour trouvé a manger. Il déscendit de son cheval, il arrivait enfin a monter correctement et il considéré qu'il n'avait plus besoin de s'infligé un tel supplice. Le garçon emmena sa monture jusqu'à l'écurie dans lesquels il vivait pour le moment et se dirigea en direction de la maison. Carma le rejoignit gaiement :
"Comment va tu ? On a pas vraiment eu l'occasion de discuté ce matin !
- Bien, et toi ? Tu me semble de plutôt bonne humeur, je croyais que la vie de ferme ne te corespndait pas ?
- Cela a un rapport avec un lien que j'ai fait hier, je viens a peine de m'en souvenir et je vais avoir besoin de toi.
- Je me trompe ou ce que tu es sur le pont de proposé n'est pas une bonne idée ?
- Tu me connais déjà pas mal !
- Crache le morceau, tu m'inquiète pour rien
- Au la la, enfaite je réfléchissais a ce mot que t'on oncle a prononcé, Eta et j'ai réaliser que c'était une mot de magie surement prononcé dans la langue de la magie, la langue des Grise, pui j'ai repensé a la grande pierre dressé près de laquelle on a campé avant d'arrivé ici, et si les Grises, n'étaient autres que c'est pierres dressées, ou au moins c'est pierre on un rapport avec elles, il faut que j'y retourne Orléans.
- Tu réalise que c'est impossible ? On ne peut pas retourner en arrière, et de plus, il nous a fallu une journée pour venir ici a partir de cette pierre !
- J'ai besoin de savoir Orléans ! ils avaient arrêter de marcher et se tenait debout devant la porte d'entrée, le ton était monté; Tu comprend que c'est important quand même ? Qui sait a quel point cela pourrait tout changé !
- Carma, une armée est a nos trousse, des témoins nous on vu, ils savent qui chercher, si ils nous trouvent on est perdu, et on ne peut se le permettre
- De quoi es que vous parlez ? leur demanda la voix un peu inquiète de la mère de Carma
- De ...
- Rien, la coupa Orléans; Aller viens Carma !"
Le repas se passa sans aucun autre accrochage mais les deux adolescents ne se parlèrent plus, Galabin remarqua ce malaise et essaya de détourné les parents de celui ci.
Carma monta dans la chambre de Rosae et Orléans la suivit, elle posa une coupe de fruits frais dans l'espoir qu'il se réveille rapidement, encore une fois il semblait mort, elle s'approcha pour se prouvé que tout aller bien. Elle sortit discrètement et referma la porte avant de se retrouver nez-a-nez avec Orléans, il lui prit le bras et l'emmena dans leur chambre sans un mots. Il referma la porte le plus silencieusement possible et prit enfin la parole :
"Je valide pas du tout ton idée, mais! il la fusilla du regard; J'ai besoin d'en savoir plus sur ce mot, pour comprendre comment il marche et pourquoi mon oncles a pu l'utilisé, car pour moi il n'avait jamais était mage ou sorcier, pour moi il avait été pécheur, poète et conteur.
- Merci...
- De plus, cela montre que la magie ne marche pas comme une épée
- Comment ça ?
- Une épée tu peux la bougé et blessé des gens même si tu ne sais pas t'en servir, la magie, si c'était la même chose, tu aurais pu te servir de ce mot, pourtant rien ne s'est jamais passé avec toi
- Du coup tu accepte ?
- Oui, du moment qu'on y reste pas trop longtemps.
- Le temps de l'étudier en détails !
- D'accord, le plan c'est qu'on descende et que l'on dise qu'on part faire une vrai ballade a cheval pour testé mes capacité, d'accord ?
- D'accord
- Il n'en es pas question !
- Maman ?!
- Vous n'irez nul part sans supervision et encore moins pour en apprendre plus sur la magie, c'est une arcane des plus dangereuse et je ne veux pas que tu t'en approche a moins de dix lieue !
- Mère !
- Elle a raison; Galabin apparu derrière la femme rousse; Je vous l'interdit également"
La discussion n'alla pas plus loins, ils s'étaient bien fait rembarrer, Orléans savait que désormais Carma ne lâcherait pas son idée et que de plus elle était prête a se mettre en danger pour ça, cette nuit ou le lendemain matin, elle serai a cheval et loin d'ici. Il devait réussir a partir avec elle, a tout prix, elle ne devait pas y aller seule, alors il se turent, espérant que Galabin lâche l'affaire. Carma descendit avec la femme et Orléans partit vaqué a ses occupations.
Carma se réveilla peu avant le lever du soleil, le ciel était toujours sombre et les étoiles éclairé fièrement la nuit, difficilement cependant car les nuages s'étaient épaissit, l'air était humide, la pluie pouvait tombé a n'importe quel moment. Elle empoignat son manteau et enfila ses chaussures aussi rapidement que possible, c'était maintenant ou jamais. Elle ouvrit la porte mais Orléans l'appella a mis voix "attend moi" lui dit il avant de prendre ses propres affaires. Ils réussirent a descendre les escalier sans les faire grincé et sortir enfin a l'air libre, Carma rentra en coup de vent pour déposé sur la table a manger un mots a l'intention de ses parents.
Ils sellèrent les chevaux et ils s'enfuirent dans la nuit, s'ils s'étaient retournés ils auraient pu voir la femme en noire a la fenêtre. Leur cavale durat longtemps, mais les chevaux était frais et dispo, ils eurent donc galopé sur une grande partie du trajet, les distance disparaissait sous leurs sabots. Orléans se prit apprécier ce voyage, cette sensation de vitesse impossible a stoppé, cette liberté. Les treize miles a parcourir furent vite derrière eux malgré l'arrêt rapide du galop pour passer au trop, deux heure et demie plus tard ils arrivaient enfin.
Le soleil ne s'était jamais levé, les nuages était trop nombreux désormais et la nuit persisté. Carma fut parcourus d'un frisson, elle n'avait pas froid, elle était terrifiée. Ils avaient mis pieds à terre un peu a l'écart de la pierre mais, même dans l'obscurité ils distinguées de nombreuses formes sombre au sol.
La foudre tomba violemment, Orléans ferma les yeux pour se protéger de la lumière mais Carma les garda ouvert. Pendant le cours temps durant lequel la lumière éclaira le monde elle vu, des hommes et des chevaux, étendue massacré au sol. La pluie se mit à tombé, forte et battante. La visibilité déjà faible devint presque nul, Orléans regarda Carma se tourné vers lui, horrifié.
"Ils sont tous morts
- Qui ?
- Les gens, là, ils sont étalé au sol, même les chevaux
- Laisse moi voir ! il sortit de sous son manteau une lanterne tempête et l'alluma; Ils sont bien mort
- Je vois qu'on ne peut pas vous faire confiance ; la pluie leur avait caché le galop de Galabin
- Regarde ! Carma pointa un doigt tremblant vers les cadavres
- Qu'es que c'est encore ; la femme descendit de son cheval et s'approcha du tas, elle se baissa vers les morts et examina leur corps ; La plupart sont morts dans leur sommeil, le reste a été pris par surprise, deux assaillants, trois au plus.
- On est en danger ?
- Vous l'êtes depuis deux semaines c'est bien que vous vous en soyez rendu compte, mais je ne pense pas que vous soyez dans leurs collimateur pas plus que tes parents Carma. Ce ne sont pas les mêmes que ceux qui ont tué ton oncle Orléans, cela sont d'une autre trampe, d'une autre croyances.
- Qui sont ils alors ?
- Le chaos."
Le silence suivit ces paroles, Orléans regarda les corps, la pluie servait de censure pour son regard innocent pour la première fois confronté a l'horreur. Il s'écarta de la pile et rappela d'une voix tremblante que Carma était là pour la pierre, Galabin acquiéçat elle empila les corps plus loin pour que Carma puisse travailler sur la pierre sans voir les cadavres, elle leur dit qu'elle reviendrait les brûlé quand le soleil les aura séché.
Toujours tremblante Carma alla jusqu'à la pierre, Orléans la rejoigna pour lui tenir la lumière et il lui tapota l'épaule en signe de réconfort.
A mesure que le soleil se levait derrière les nuages la luminosité augmenter faiblement, petit a petit Carma pu identifier les inscriptions plus facilement, après deux heures de travail méticuleux, touchant presque a l'archéologie, elle finit la première face. Galabin les observé de loins, elle n'avait pas pu bouger les chevaux mort mais les enfants furent très doué pour les ignorer, ayant tous les deux déjà exposé à la mort d'une bête, leur chevaux cependant piafé mal a l'aise essayant de partir de temps a autre mais Galabin arrivé a les persuadé de rester grâce à quelques petits cadeaux.
La pluie ne cessa pas de la matinée, Carma ne se plaigni pas un instant mais elle aurait pu, la pluie taché ses feuilles mais elle continua son travail, elle voulais savoir, ou au moins savoir ce qu'il y avait sur cette pierre la. elle retiré des bous de mousse et eclairé les aspérité en se demandant ce qui était une rune ou un dessin et ce qui était juste des dégradations du temps. Orléans fini par revenir vers las chevaux et laissa sa lanterne a Carma, il essayé d'ignoré les cadavre mais une curiosité morbide l'intimé de regardé les morts de plus près, il fut soulagé quand enfin Carma revint vers eux son carnet de nouveau en sécurité sous sa cape.
Ils remontèrent en selle et s'en furent du plus vite qu'ils purent sur le chemin qu'il avaient emprunté, devenu boueux et glissant et sous la pluis battante, il furent plus lent qu'a l'aller et étaient frigorifié.
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