Chapitre 6
Le réveil sur son téléphone n'avait pas sonner qu'il fut réveiller. Sébastien criait dans la pièce d'à côté. En boxer et avec un simple chandail, Hugo se dirigea vers la porte et l'ouvrit légèrement. L'homme était en train de fumer une cigarette en parlant au téléphone. La conversation ne semblait pas bien se passer. Essayant d'écouter ce qui se disait, Hugo constata que Sébastien parlait Russe. Le ton de la conversation se calma et puis mourrut. Sébastien finit par redéposer son téléphone sur la table à manger. Il finit sa cigarette, se frotta les yeux et retourna se coucher sur le divan en poussant un soupir. Hugo referma la porte et regagna son lit.
Le lendemain, sont téléphone le réveilla. Il s'habilla reprit son jean et ses objets personnel et quitta la chambre. Sébastien fumait encore une cigarette préparant des gaufres. Hugo s'assit à la table et profita de l'inattention de l'homme d'affaire pour inspecter les lieux. L'endroit n'etait pas très propre. Le divan était vieux et briser, une odeur de boucane planait continuellement dans l'air et le papier paint était très vieux. Plusieurs choses trainait ici et là et d'autre semblait brisé. Sébastien déposa une gaufre devant lui. Elle était couverte de bleuet, sirop au chocolat et crème fouetté.
"Wow. Merci!"
"Dépêches de manger. Je dois te ramener chez toi avant d'aller travailler."
Hugo ne se fit pas prier et dévora son repas. Sébastien se contenta d'un bol de céréales banal.
"Vous parlez russe."
Sébastien leva un sourcil.
"Ne me vouvoie pas."
"Désolé."
"Je tes réveiller? J'en suis navré."
"C'est pas grave, mais il devait être 4h du matin."
"Les russes vivent en Russie. Je suis en charge des communications et ils aimaient me contacter à l'ouverture de leur entreprise. J'ai pas le choix de me lever la nuit pour parler à l'autre continent."
"Vous êtes vraiment déborder dans votre emploie."
"J'ai pas beaucoup de repos."
Hugo ne savait pas quoi rajouter et fini son petit-déjeuner sucré.
"C'était délicieux, merci."
Hugo lui offrit un petit sourire avant de déposer le bol et l'assiette dans l'évier.
"Allez, tu dois avoir de l'école tantôt. Je te dépose chez toi."
Il le reconduisit devant sa maison.
"Hugo."
"Oui?"
"Fais attention à toi. Je ne veux pas contrôler ta vie, mais fréquente ton ami, seulement le jour. La nuit des choses dangereuse peuvent se passer et je n'aimerais pas que tu y soit impliqué."
"Promis."
Hugo regagna sa maison et fut heureux de constater qu'il était encore si tôt qu'il n'aurait pas à endurer la réprimande de ses parents. Il se glissa sous la douche et fit sa toilette avant de prendre son sac d'école et de partir vers celle-ci.
Arriver en classe, il observait les gens entrer. William fit son apparition et comme depuis leur rupture, lui lançait un regard glacé avant de s'asseoir plus loin. Hugo baissa les yeux. Il n'avait aucune idée de ce que Sébastien avait pu dire à Will le jour où ils l'avaient surpris les culottes à terre, mais jamais Will était revenu lui parler. L'ami d'Hugo arriva à ce moment.
"Mes parents m'ont crucifier, mec. J'ai plus de cell et de télé pendant une semaine."
"J'ai perdu ton herbe."
"Quoi?"
"Ma mère la trouver dans ma chambre."
"Tu lui as pas dit que c'était a moi pareil!"
"Non, t'inquiètes."
"Et là, tu l'as récupérer?"
"Non! Et je ne la récupérait pas."
"Mais c'est à moi!"
"Et totalement illégale, alors bonne leçon de vie. Ne m'embarque plus là-dedans."
Les deux garçons restèrent un moment silencieux avant que l'ami continue.
"Ta mère as dit quoi?"
"Elle m'a crier dessus et je suis partie."
"Elle a dit quoi quand tes rentrer."
"Rien je suis rentrer à matin et elle dormait encore."
"Tu as dormit où?"
Hugo vira rouge.
"Chez un type que tu connais pas."
"Un type?"
"Un ami."
"Quel ami?"
"Un ami bordel! Lâche moi."
Son ami n'insista pas et le cours pu enfin débuter. En vrai, Hugo aurait voulut lui dire le nom du gars. Ce vanter de connaitre quelqu'un d'aussi haut placé, mais ce ne serait pas sage. Déjà car il serait mal vu qu'un type aussi vieux se tiennes avec un adolescent, bon il avait 24 ans, mais quand même. Et puis, il ne voulait pas nuire à la réputation de l'homme uniquement, car il était gentil avec lui.
Son esprit divagua un peu. Il avait déjà hâte à Samedi matin pour remercier l'homme de son hospitalité. Il pourrait de nouveau lui payer ses breuvages pour compenser. Il aimerait faire plus, mais il ne savait pas grand chose sûr lui. Il essaierait dans savoir plus la prochaine fois qu'il le verra.
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