Chapitre 14
Le samedi après-midi, Hugo fit sa valise. Il mit le plus de chose dedans avant d'aller voir ses parents.
"Maman, Papa, je vais à un chalet avec mon ami. Je pars quelques jours."
"Tu pars quand?"
"Là."
"Mais tu ne nous a pas prévenu!"
"Je rentre au cégep et je suis presque adulte. Je peux prendre des décisions par moi-même."
"Bon, okay, mais écrit nous tout les jours."
"Promis."
Le soir il était en train d'emménager chez Sébastien. L'homme n'était pas là, mais il serait obligé de venir faire un tour à sa garçonnière à un moment donné. Il passa la soirée à écouter des films sur Netflix et manger des chips. Puis il alla se coucher dans le grand lit au parfum de l'homme d'affaire.
Le lendemain il déjeuna et partit travailler. Ce fut de nouveau Jules qui vient chercher la commande de café.
"Tu as parler à Seb?"
"Gamin, tu es accro là. Laisse les choses aller. Il doit se faire oublié un temps."
Hugo n'avait aucune envie de l'oublier. Après le boulot, il s'arrêta à l'épicerie acheter de la nourriture après avoir constater que les armoires et le frigo était presque vide. Puis il retourna à l'appartement cuisiner et écouter des films. Il texta un peu ses amis et sa famille et espérait presque que Sébastien se présente bientôt, car il n'allait pas passer tout son été enfermé à l'attendre. Il resta malgrer tout là, une semaine entière sans nouvelle de lui. Il continuait de la texter sans avoir de réponse. C'était extrêmement frustrant.
Au bout d'une semaine et demi, il dégustait un gâteau McKain assit sur le divan, quand la porte de l'appartement s'ouvrit sur Sébastien.
"Seb!"
Hugo lui sauta dans les bras à la plus grande surprise de l'homme.
"Qu'est-ce que tu fais chez moi?"
"J'ai emménager ici quand j'ai vu que tu ne me répondais plus."
Pour mimer le fait qu'il était fâché, Hugo gonfla ses joues d'air et fronça les sourcils. Sébastien semblait désastabiliser par ça présence.
"Hugo, tu ne devrais pas être là. Rentre chez tes parents."
"Non! Je veux rester avec toi. J'ai quelques choses d'important à te dire."
Il prit une grande respiration.
"Sébastien je suis amoureux de toi."
Sébastien le dévisageait quelque peu apeuré.
"Je sais. Maintenant va t'en."
"Euh... tu savais?"
"Oui, tu me l'avais dit le soir où tu t'étais bourré la face d'alcool."
Hugo rougit au quart de tour. À une chance qu'il ne s'en souvenait pas, ça devait être gênant.
"Du coup, toi aussi tu m'aimes?"
Il connaissait la réponse, mais avait besoin de l'entendre de sa voix.
"Hugo, je suis sérieux. Rentre chez tes parents. Je suis déborder. Les affaires ne vont pas très bien et j'ai beaucoup de chose à gérer. Je te recontacterais quand ça sera calmer."
"Je veux rester."
"Redonne moi la clé de mon appartement."
La demande fut un coup dur pour Hugo. Il voulait vraiment qu'il lui rende? Non, c'était impossible. C'était la preuve même de leur amour.
"Je veux la garder."
"Hugo, c'est ma clé."
"Tu me l'a donner!"
"Ne fais pas l'enfant!"
"Je fais pas l'enfant! Je veux qu'on es une discussion! C'est toi qui fait l'enfant à fuir notre conversation!"
"Les affaires vont très mal, je ne veux pas que tu y soit mêlé. Rend moi ma clé et rentre chez tes parents!"
"NON!"
"UNE VRAI TÊTE DE MULES!"
Sébastien lui tourna le dos et quitta en claquant la porte de l'appartement derrière lui. Hugo avait les larmes aux yeux. C'était leur première chicane de couple et il n'était même pas un couple. Sébastien lui avait crier dessus. Bon c'était lui qui avait commencer à crier, mais sa l'aurait été plus romantique que Sébas le prenne dans ses bras au lieu qu'il continue l'engueulade.
Sébastien ne revient pas à l'appartement les jours suivant. Hugo continuait d'aller travailler et de rentrer dormir chez Sébastien, mais aucune nouvelle de lui. Avait-il fait une erreur? Même Jules ne semblait plus vouloir lui échanger de paroles autre que pour les cafés. Quoique Sébastien avait peut-être dit vrai. Les affaires n'était peut-être pas si bonne, car Jules semblait de plus en plus cerner de jour en jour.
Il sortir de sa réflexion quand quelqu'un viens cogner à la porte. Robotiquement, il se leva et alla ouvrir, sans même se préoccuper qu'il n'était pas chez lui. Ça faisait plus de deux semaines qu'il vivait là, il c'était d'une certaine façon approprié les lieux. Il ouvrit la porte pour tomber sur trois hommes d'affaires au regard sombre et épeurant.
"Euh... salut. Vous voulez quoi?"
"Ce n'est pas la demeure de monsieur Tremblay?"
L'homme posa sa question en observant de façon dédaigneuse l'endroit. Une chance que depuis qu'il avait emménager, il avait fait du ménage, car c'était bien pire avant.
"Oui, mais il n'est pas là pour le moment. Vous voulez lui laisser un message?"
"Tu es qui au juste?"
Hugo rougit avant de baisser le regard.
"Un simple ami."
"Oh. J'imagine, ce genre d'ami."
"Quoi! Non! On..."
Mais en redressant la tête il se tut faisant face à un canon pointer sur lui. Il retient un cri étrangler qui lui bloquait les voix respiratoires.
"Tu vas venir avec nous. Tu nous seras très utile, j'en suis persuader."
Un des hommes entra dans la maison et lui aggrippa le bras. Hugo reprit contact avec la réalité et tenta de se déprendre, mais avant qu'il n'ai pu frapper qui que se soit, un mouchoir fut poser sur son nez et sa bouche et en un rien de temps, il tomba dans l'inconscience.
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