Samedi 18 novembre 2017
15h30
Chez moi

La semaines c'était passer comme lundi.

Mais parents repartent demain et je croit qu'ils se doutent que quelque chose ne vas pas.

Ils sont plus sur mon dos. Ils font plus attention à ou je vais, avec qui et quand je rentre.

Ils mon prise un matin avec une cigarette au lèvre et mon retirer packet et briquet.

Ce qu'ils ne savent pas c'est que j'ai tout en double voir triple et que a peine la porte refermer que j'en avait déjà sortie une autre que j'alluma aussitôt.

C'était devenus une drogue dont je pouvais me passer. Une drogue remplaçant un vide dans mon être.
Un énorme vide...

La j'était toujours a ma fenêtre tournant et retournant le briquet que j'avais dans ma main.

Je regarder le ciel. Il était si beau ce matin. Un soleil magnifique aparraissai. Tout aurais pus être tellement beau sauf qu'il y avais se petit nuage la haut dans le ciel. Un nuage plutôt imposant et gris voir noir.
Dans pas longtemps il allait pleuvoir et je me mit à rire.
C'est un peut ce que j'ai vécu.
Le bonheur d'une journée contre le mal qui de compte en semaines, jours, voir même mois.

Le bonheur moi je le voit juste comme une chose qui te frôle mais qui ne reste jamais.
C'est une chose tellement petit et instable que le moindre courant d'air peut le faire partir.
C'est cee que je vit. Je les frôler mais je me suis laisser aveugler et n'est pas su le garder précieusement.

Maintenant je suis ridicule et seule.
Je suis répugnante et intoxiquée par le mal que je m'inflige pour n'avoir pas su garder cette petite parcelle de bonheur.

Dimanche 19 novembre 2017
14h32
Chez moi

Je suis dans ma chambre et comme a mon habitude je met ma musique a fond et porte la bouteille à mes lèvres.

Mes parents sont sortit pour faire quelque course avant de repartir au Etats Unis pour leur travaille.

Je me déhanche au son de cette musique qui me remplit les tympans.
L'alcool est imprégner dans mon sang et je rigole de la merde que je suis devenus.

J'entend une porte claquer et une voix me disant de baisser la musique.

Je ne peut pas, en fin, je ne veut pas. La musique aussi forte me permet d'éviter que mes pensées fuse dans ma tête.

C'est seulement quand je voix la tête de mon père passer la porte que je comprend que j'aurais du baisser la musique.

Je suis en T-shirt et les marques sur mes bras son bien visible.
Les packet de cigarette son au sol accompagner d'une bouteille de manzana.

Je boit une dernière gorgée de la bouteille que j'ai en main avant de voir les yeux de mon père devenir rouge.

Père- Ellie! Tu boit et tu fume !? Tu te drogue aussi !?

Ellie- Allo papa redessant! Je suis votre fille et vous n'avez même pas su voir que j'allais mal *je repris une gorgée * ouais je boit et je fume et non je me suis pas encore mit à la drogue mais ça pourrais ne pas tardais.

Il me prit par le bras et me dit sur un ton sec:

Père- Alors la jeune fille ça n'arrivera jamais ! Ta mère et moi ont va t'emmener dans un centre spécialiser. Tu vas redevenir Ellie.

Ellie- Je suis Ellie! J'ai toujours était la grosse fumeuse et la buveuse que tu voit! C'est juste que vous êtes jamais là pour le voir.

Père- Me parle pas sur se ton, tu vas y aller ont ne vas pas te laisser te pourrir ta santé !

Je le poussa avec force et me mit à marcher rapidement vers la porte.
Je descendit les escaliers rapidement enfila mes chaussures à grande vitesse alors que je le voyais en haut des escaliers et je sortit en courant de la maison.

Je pus l'entendre crier mon nom mais je ne m'arretait pas de courir. Je courait aussi vite que possible.

C'est seulement quand, au milieu de sa phrase, j'entendit un coup de frein et une chose lourde s'abattre sur le sol que je comprit que j'avais fait une erreur.

Je me retourna lentement et quand je vit....

...A suivre.

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Me tuer pas s'il vous plaît

Aïe.. qu'est ce qui c'est passer ?

Ellie va vraiment tout avoir la pauvre...

Je vous retrouve -cette fois-ci demain pour la suite

Des bisous
•Emeline•