Mito est étendu sur son lit . Ses yeux sont écarquillés, un peu humides, et Tobirama sourit. Il sait seulement que Mito est une femme et que sa chatte était bonne. Elle a si bien pris la bite de Tobirama, et même maintenant il peut le voir.

Elle s'allonge sur son futon et ses jambes sont suffisamment écartées pour que Tobirama puisse y voir le frottis de sperme. La preuve qu'il la remplissait bien. Assez pour la mettre enceinte. La femme  est trop fatiguée de plaisir. Les yeux rouge de Tobirama la mémorise, le stockent à jamais dans sa mémoire.

« Tobirama », et elle cligne des yeux, Tremblant.

« Tu n'as jamais connu un tel plaisir, n'est-ce pas ? demande Tobirama.

Mito blanchit, et le rougissement y est à la fois colérique et timide. "Ça ne te regarde pas. Je ne peux pas te croire...

Elle s'étouffe et Tobirama sourit. « tu ne peux même pas le dire, Mito ?

« Toi...tu m'as touché... Je-

Tobirama fredonne. "Je l'ai fait, et je le ferai encore."

Il a fait plus que simplement la toucher. Tobirama retire son boxer , le laisse tomber sur le sol. Les yeux de Mito sont encore plus larges, et il est évident qu'elle ne peut détourner le regard. Pas même si Tobirama lui enlève entièrement son pantalon et se laisse entièrement nue. Sa bite sort, dure et prête pour un autre tour.

« attends déjà ? ! » dit Mito, presque des cris perçants, mais elle ne s'éloigne pas. Pas à l'approche du senju. Il l'attire contre lui, et la femme frémit pratiquement. S'effondrent en lui. Parce que Tobirama est tout chaud, et Mito était naturellement enclin au froid étant frileuse.

"Bon?" demande Tobirama  et la serre plus fermement contre lui. La laissant  sentir à quel point sa bite avait durci si rapidement, si prête à retomber dans cette chaleur humide une fois de plus.

« ah putain  ! Mito rebondit, mais ce n'est pas suffisant. Il la pousse dans les draps blancs, se penche sur elle. Elle a sa main contre sa poitrine.

"Je vais te baiser", dit Tobirama et regarde ces yeux rouges prendre ces mots.

« dieu ... »

"J'étais trop pressé", dit Tobirama. Il la regarde et il se sent suffisant. À quel point ce cou et cette épaule sont décorés de sa marque. Preuve qu'elle ne pourrait pas s'en débarrasser aussi facilement. Pas avec à quel point elle était fatiguée de leur activité, le chakra toujours épuisé.

"Je vais m'assurer que tu l'apprécie encore."

"hum", grogne Mito.

"Tu le feras je le sais " et Tobirama embrasse enfin cette bouche. Glisse sa langue et la pousse à répondre Mito lui rend son baiser avec inexpérience, et ça fait vibrer Tobirama. Dire que peut-être Mito n'a jamais connu d'autre bouche que la sienne.

"Hhngh," gémit Mito quand Tobirama rompt le baiser. Il ne s'arrête pas pour autant. Il traîne des baisers bouche ouverte, suce ce téton si sensible. Le nœud se raidit sous sa langue, et Mito soupire quand il s'effleure les dents juste au-dessus du bout.

Il embrasse son ventre, embrasse ce monticule là et—

"Non attend !" Mito panique. Parce que Tobirama écarte les jambes, l'écartant de ses yeux. S'il pensait que le frottis qu'il avait aperçu plus tôt était beau, c'était impossiblement plus. La chatte de Mito scintille de sa semence.

"Oui," murmure Tobirama  et souffle légèrement contre cette chatte. Regardant les plis se contracter. Il glisse un doigt dans ces plis, plongeant à peine dedans.

"Tobi-rama—" La voix de Mito est étranglée, et elle s'interrompt alors que le senju enfonce son doigt à l'intérieur. Elle est toujours tellement mouillée de sa libération et de ses propres fluides.

"Veux tu savoir ?" demande Tobirama, mais il ne laisse pas à Mito le temps de répondre. Il presse sa bouche sur ces autres lèvres et les embrasse bien avec sa langue. Sa propre semence est amère, mais elle va bien. Les cuisses de Mito sont serrées autour de sa tête, et Tobirama embrasse toujours. Goûtant ce noyau et s'émerveille de la qualité de cette chaîne. Que Mito a réussi à se transformer en femme d'une manière qui ne pouvait être niée sous les mains de Tobirama.

Quand il suce ce nœud, se déplace enfin vers ce clitoris qui l'attend - Mito culmine avec un grand cri guttural. Elle fuit. Elle jaillit pratiquement.

Mito le fixe, regard un peu vide. « Tobi, je ne peux pas— »

Et elle tend la main pour repousser sa main, mais Tobirama coince sa mains avec les siennes. L'autre main la doigte toujours sans relâche. Caressant, frottant et frottant, et Mito se tortille sous lui. Elle est trop sensible, déjà venue, mais Tobirama a promis du plaisir.

Il frotte et frotte, ajoute juste une étincelle de chakra à cet endroit spongieux à l'intérieur d'elle.

Mito crie à nouveau. « Tobirama ! »

Elle revient, une seconde fois.

« Oui », gémit Tobirama. Il éloigne ses doigts, éloigne ses jambes et s'enfonce dans ce velouté. C'est si bon, et les entrailles de Mito traînent contre sa bite à chaque glissade. Mito gémit, et Tobirama ne peut s'empêcher de l'embrasser. Avale ces sons et pleure dans sa propre bouche.

« Je ne peux pas », crie Mito. Et Tobirama sait qu'elle est crue, tendre d'avoir déjà joui deux fois.

"tu peux ." Tobirama bouge ses hanches. Se retire et claque fort.

Mito gémit, les larmes au coin des yeux. Tobirama va plus vite, plus fort. Il a besoin d'elle pour—

Elle revient, la chatte serrant si fort autour de Tobirama qu'il ne peut s'empêcher d'atteindre son propre sommet. Se déverse en elle. La remplit.

« C'est bon, n'est-ce pas ? » Tobirama  haletait dans son oreille. Mito frissonne, et elle tremble toujours sur sa bite. Elle grimace alors que Tobirama se retire, admire le gâchis qu'il a fait de cette chatte. Qu'il la nettoyait et la bourrait à nouveau.

Mito est immobile contre lui, et tout son corps tremble. Toujours tremblant de plaisir. Elle ne peut pas parler, mais Tobirama n'a pas besoin de mots.

Fin