Chapitre 8.
Je suis sorti du bureau.
La secrétaire m'a posé des questions, je lui ai dit que j'allais l'attendre chez lui et qu'il ne fallait rien qu'elle dise pour garder la surprise !
J'ai pris des photos de l'écran... c'est horrible.
Je rentre chez moi.
- Shibata, dit une femme dans la rue.
- Attendez ! crié-je.
La personne m'attrape dans le dos et me met un sac sur la tête.
- Arrêtez ! arrêtez ! essayai-je de crier.
Impossible, elle a mis sa main sur ma bouche.
- Assis-toi, dit un homme.
Je la sent m'asseoir sur la chaise.
- Enlève-lui le sac c'est bon.
Elle m'enlève le sac, elle est à côté de moi.
- Je suis pas contre vous, je.
- Tu es avec la police, tu es contre nous, m'interrompt-il.
- écoutez, je viens de découvrir pourquoi vous faites tout ça, je suis avec vous croyez-moi !
- Tu n'es pas avec nous !
- Je le suis ! je comprend ce que vous avez enduré ! J'ai tout compris.
La fille se met face à moi, l'homme est toujours en arrière.
Ils ont encore leurs masque mais je comprend à leur voix qui est qui.
La fille me donne une grosse gifle.
- ah ! crié-je de douleur.
J'ai encore ressenti cette sensation.
- Dit-nous ce que tu sais.
- Je suis avec vous ? demandé-je pour le provoquer.
La fille se tourne vers lui, ils se font un léger signe de tête.
Elle me prend les cheveux et colle son front au mien.
- écoute bien ! tu va nous dire ce que tu sais ok ?!
Je sent encore cette sensation, je me sent bizarre...
Ma bouche se colle à la sienne, je ne me contrôle plus.
Elle retire sa tête et me donne une énorme gifle.
- T'es malade ?! cri-t-elle
- Ex... ah... soupiré-je de douleur. Excuse-moi
- Tu sais quoi ?! dit l'homme en s'approchant de moi.
Il me menace de la main il veut me donner une nouvelle gifle.
- Je sais que vous avez suivi un programme quand vous étiez enfants, vous avez été mis dans un grand bâtiment vos seuls contactes étaient ceux avec les adultes qui s'occupais de vous, ils vous donnaient à manger et vous injectais un produit. Je sais que vous n'avez pas fait ces attentats pour rien ! Je suis avec vous !
- Je vois... t'es amis poulets sont au courant ?
- Non, j'ai bosser seule dessus.
- Bien.
Il se retourne.
- S'il vous plaît, je sais ce que vous ressentez, mais arrêtez de tuer des innocents !
- Tuer des innocents ? ah ah ah ! rit la fille.
- ça vous fait rire ?
- Nous n'avons tué personne, enfin pas de nôtre plein grès.
- Maintenant tu la ferme ! dit l'homme à cette fille.
- Elle en sait trop maintenant, laisse-la finir, annonce le troisième.
la fille reprend.
- On a toujours fait exprès de déclencher l'alarme incendie, de vous laisser sortir les gens, ou même aujourd'hui de faire exploser la boîte lorsqu'elle était encore dans son coffre fort.
- Alors vous n'avez jamais tué personne ? je vois... je suis désolé d'avoir douté de vous.
- Une flic qui s'excuse au prêt de "terroriste" comme ils disent ? c'est drôle cet situation !
- Je suis avec vous, s'il vous plaît laissez-moi vous aider.
- vous deux venez là !
les trois personnes se mettent en aparté, mais nous sommes dans un hangars, j'entend tout.
- on doit la tuer elle en sait trop, dit le premier homme.
- Elle est avec nous, on peut la garder, dit la fille.
- Elle est de notre côté, mais je suis d'accord avec Akeno, on ne peux pas la garde. je propose qu'on la face sortir, sans la tuer.
- Etsuko, que pense-tu de la proposition de Kinnao ?
- D'accord, soupir-t-elle.
Ils reviennent vers moi.
- Nous allons te laisser partir, ne dit rien, on se reverra.
la fille vient me détacher.
- Je te raccompagne dehors, me dit-elle.
Nous sortons du hangars.
- Je... enfin, je suis désolé pour tout à l'heure.
- Ne t'inquiète pas. Peut-on se rejoindre à 18h ?
- euh, oui. Pourquoi ? Vous n'allez pas...
- Non, je viendrai seule, lance-t-elle suivi d'un léger sourire.
Elle pause ses lèvre sur les miennes et repart.
- Passe par la fenêtre de ma chambre, tu dois savoir laquelle c'est.
- On c'est bien renseigné. A plus tard Manon.
Elle entre dans le Hangars, et moi je repart chez moi sereine comme-ci rien ne c'étais passé.
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