Rédactionnnnnn 2
Bon voilà j'ai une deuxième version définitive de ma rédaction de Français et j'attend que vous pour pouvoir la recopier !
Quelqu'un pourrait me dire Si j'ai des fautes d'orthographes et de temps ? C'est un récit au passé. Merci d'avance !
J'ai un petite répétition dans le tout premier paragraphe Mais Je sais pas quoi mettre ❤
Le soir venu, le jeune homme n'arrivait pas à dormir. Il n'arrêtait pas de penser aux clones ; à son clone. Tiraillé entre l'envie d'y retourner et l'autorité de son père, il décida quand même d'y retourner, en pleine nuit.
Après plus d'une heure de marche nocturne, Lionel prit le dernier petit chemin qui menait à sa destination finale. Craintif, mais quand même déterminé, il s'engagea dans la petite allée frêle et boueuse. Il fut très vite stoppé par le spectacle qui s'offrait devant lui. Juste un peu plus à droite, un grand feu qui, porté par le vent, avait pris des proportions énormes, virevoltait dans tous les sens. Lionel, admiratif de cette chose somptueuse qu'était le feu pour lui, admirait silencieusement l'œuvre. Peut de temps pus tard, son regard se détachait du balai d'étincelle pour se diriger vers un bruit qui lui à s'embler familier. Grognements et injures fusent prononcées par la voix grave et forte d'un homme qu'il avait entendu tantôt dans la journée. Le Docteur Cornillaz peut être ? Il semblait bien à Lionel que c'était celui-ci. D'ailleurs, lui, prit de peur, eue le merveilleux reflex d'aller se cacher dans la verdure, fessant attention à ce qu'il ne fasse pas trop de bruit. Lionel n'avait peut-être que 15 ans à l'époque, mais il pouvait être mature et gardé son froid quand se présentait des moments critiques comme celui-ci. Il trouva un petit endroit entre les arbres pour se cacher. Tout de même curieux, il écarta quelques feuilles, mais pas trop, pour voir ce qu'il se passait plus loin. Le feu ne fessait pas beaucoup de bruit... Bizarre, pensa-t-il. Le docteur arriva par la grande porte de l'entrepôt, habillé d'un tablier couvert de sang. Les cheveux en bataille, il termina son effort et posa la brouette qu'il poussait jusqu'au brasier. Dans l'ombre, le jeune homme en planque n'arrivait pas à voir ce qu'elle contenait.
Le docteur fatigué de ses semblables allées et venu entre l'intérieur et l'extérieur, prit le temps, du revers de sa main, de s'essuyer le front. Après avoir expiré tout l'oxygène qui lui restait dans ses poumons, il reprit la brouette et jeta son contenu dans la fournaise,qui commença à faire perler quelques gouttes de sueur à Lionel.
Il regardait attentivement le contenant de la brouette et sans s'en rendre compte, il a retenu son souffle. Il était choqué de ce qu'il voyait à ce moment-là. Effectivement, le feu n'était pas né de bois, mais bien de chair humaine... Ou de chair de clones.
«C'était la dernière brouette, soupirait l'homme comme dans un dernier effort. J'espère qu'il n'y aura pas d'urgence dans les familles de sitôt. »
Une fois que l'innocent avait conscience de ce qui brulait sous ses yeux, une odeur bestiale de cochon griller est venue lui chatouiller les narines... mais ce n'était pas vraiment appétissant... c'était même obscène. Les genoux du jeune homme tremblaient jusqu'à l'en faire tomber. Il cacha ses yeux de ses mains tel un enfant qui venait de faire une bêtise
Lionel entendait que le docteur Cornillaz remballait sa brouette ainsi que le reste de son attirail d'assassin pour pouvoir reprendre son souffle. Mais un son juste à côté de son oreille le fit sursauter de plus belle. Le son assez fort pour lui, le fit paniquer ! Il en chercha la provenance tout en surveillant l'homme plus loin, de peur qu'il l'entende. Son regard trahissait son sentiment d'horreur. Ses gestes précipités sur l'origine du son aussi le trahissaient. Puis, sa montre... Quel idiot. Il arriva à éteindre le son malgré ses gesticulations gauche et lourdes. Ses hormones de cortisol arrivèrent en plus moindre quantité dans son sang et il reprit peu à peu son calme, pour de bon cette fois.
Le docteur ayant fini de ranger ses affaires, il donna les derniers ordres aux deux vigiles devant lui sur le « porche » de la bâtisse.
« Bon comme tous les soirs messieurs, juste, la bête du box n°3 est plus agitée que d'habitude ... Si jamais il devient trop turbulent, donné lui plus de neuroleptiques
- Bien Monsieur, acquiesce l'une des gardes. »
Sur ce, le médecin prit sa mallette, son manteau, et se dirigea vers sa voiture plus loin.
Bête, bête, bête ...
Lionel, soulager, mais toujours perturbé par ce qu'il venait de se passer, attendait que les bruits de pas et de voitures se fassent de moins en moins audibles pour sortir de sa cachette. Furtivement, il s'engagea sur le chemin de terre pour la troisième fois de la journée.
Étouffé par la chaleur du brasier, il ouvrit sa veste verte foncé, salie par un peu de terre. L'adolescent essaya de repérer de ses yeux prudes, ou presque, les mouvements des deux gardes. Personne dans son champ de vision. Alors, il prit son élan et courra jusqu'à l'entrée de l'entrepôt, s'arrêta une seconde sur ses gardes, puis pénétra dans l'antre. Il répéta les mêmes mouvements que dans la matinée du jour même et arriva très vite aux rangées de box. De chaque côtés de la galerie se déroulait bien une vingtaine de boites collées les unes aux autres. Elles étaient toutes de couleur immaculée... il y régnait presque une ambiance de sérénité, de pureté. Mais pour Lionel, il y régnait surtout une ambiance macabre à l'odeur de chair humaine et de sang ... une ambiance vraiment lugubre ...
Dans une dernière montée d'adrénaline, le frivole garçon couru vers le box numéro 6. Il eut à peine le temps de croiser le regard de la bête qui ut violement attraper par derrière. Des mains fortes encadraient ses épaules et le soulevait presque de terre. Des cris stridents sortaient de sa bouche mais le fort personnage ne le lâcha pas. Ce n'était pas juste un bien pour le jeune homme. Pour lui, un clone était un humain comme lui. Il se souviendra juste d'une chose : son regard vide et triste
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