Tianshan de A à Z

A ... comme aération

He tian vivait dans un sublime appartement. Mais comme tout le monde le sait, il ne sait absolument rien faire de ses dix doigts. Et c'est bien pour ça que Mo Guan Shan, bonniche et amant d'He Tian de son état, était là. Et comme d'habitude, quand le roux ne venait pas régulièrement chez son amant, il retrouvait l'appartement dans un état pitoyable. Mais vraiment pitoyable. Bon, eh bien, il ne restait plus qu'à faire le ménage. Mais certaines odeurs persistaient, Mo décida donc d'ouvrir toutes les fenêtres en grand pour faire suffisamment d'aération. Enfin, l'aération, c'est bien, mais les coups de vent, beaucoup moins. Et c'est à cause d'une de ces jolies aérations que les boucles d'oreilles de Mo passèrent par la fenêtre et atterrirent 10 étages plus bas. Et merde, ça allait être sa fête.


B ... comme botox

Bon, Guan Shan aimait son amant (même s'il ne lui avouerait jamais) mais là, il dépassait les bornes. Il avait encore une idée complètement conne en tête et cette fois-ci, qu'est-ce que c'était ? Des injections de botox bien sûr. Le roux se frappa la tête contre le mur, abasourdi par tant de conneries qui pouvait émaner d'un être humain. D'habitude, ce genre d'idées débiles venait de Jian Yi mais ... ben non ! Il n'y avait pas mais ! C'était encore une idée de Jian Yi. Le blond avait décréter que le noiraud, tout beau qu'il était, devait se faire faire des injections de botox pour garder sa beauté. Une descente du cuisinier chez l'abruti plus tard et He Tian avait enfin abandonné son idée. Bah oui, après tout, son amant serait toujours beau, même avec les années.


C ... comme coriandre

On est tous d'accord, He Tian est nul mais absolument nul en cuisine. On est tous d'accord, dans cette bande « d'amis » dégénérés, c'était Mo Guan Shan qui faisait la cuisine. Et donc, pour un dîner en amoureux, Mo avait cuisiné un plat assaisonné de coriandre. Mais voilà, quand il le sut, le plus grand eut un sourire espiègle et balança, comme ça, comme si de rien n'était, que la coriandre avait des pouvoirs aphrodisiaques. C'était, bien sûr, faux. Mais le rouquin ne le savait pas et se figea sur place, ne sachant quoi faire. He Tian prit alors les commandes de la situation et eut le droit à un dessert très sportif. Et quand Mo sut que la coriandre n'avait aucun effet aphrodisiaque, son amoureux eut le droit à une de ses si terribles colères. Mais il s'en fichait. Sa nuit avait été somptueuse.


D ... comme deltaplane

On savait qu'He Tian était riche, il avait toujours aimé le montrer. Et qui le savait plus que tout ? Petit Mo bien évidemment. Comment pouvait-il l'ignorer aussi, avec tous les cadeaux hors de prix que lui offrait son chéri. Et bien entendu, pour leur premier anniversaire de mise en couple, le noiraud n'avait pas lésiné sur les moyens et avait sorti le grand jeu. Comme d'habitude avec lui de toute façon. Mais là, il avait fait encore mieux. Il avait offert un deltaplane à son amant. Qui lui hurla dessus qu'il ne pouvait pas le garder, qu'il n'avait pas de place chez lui pour le ranger et que de toute façon, il en ferait quoi ? Ils habitaient en ville, ils n'avaient aucune place pour sauter. Bah, un cadeau de plus dans le placard des cadeaux inutiles et encombrants.


E ... comme effet

Si He Tian adorait un truc, c'était bien de voir l'effet qu'il faisait à son copain. C'était bien pour ça qu'il aimait particulièrement se balader nu comme un ver ou en simple boxer, qu'il n'enfilait qu'une serviette autour de sa taille en sortant de la douche, qu'il se plaçait juste derrière lui quand il cuisinait, qu'il lui soufflait les mots dans l'oreille pour lui parler. Toutes les réactions de Guan Shan l'enivraient et il voulait toujours en voir plus. Mais il lui arrivait également d'être piégé en voyant l'effet que le rouquin avait également sur lui. Dieu qu'il aimait le voir en petite tenue. A ce moment, il se retenait de se jeter sur lui pour lui enlever le peu de vêtements qu'il avait et lui faire l'amour à même le sol. C'était fou l'effet qu'ils avaient l'un sur l'autre.


F ... comme frustration

He Tian tournait dans son appartement comme un lion dans une cage. Il se mordait la lèvre inférieure et, pour alterner, se rongeait les ongles. Il était frustré, complètement frustré. Il faisait les cent pas. A un moment, il se retourna brusquement et envoya balader une chaise à coups de pieds. Il soupira et s'assit à terre, la tête entre les mains. Pourquoi pas lui ? Pourquoi lui avait-il refusé ça ? Guan Shan le connaissait par cœur, pourquoi l'avait-il mis en quarantaine ? Il n'avait pas été si méchant ces derniers temps. Il ne se jetait plus sur lui comme un loup affamé. Alors pourquoi ? Sa frustration s'amplifia lorsque son téléphone vibra et qu'il vit qu'une photo lui était envoyée. C'était comme ça hein ? Il voulait jouer ? Eh merde !! Pourquoi n'avait-il pas le droit d'aller au parc aquatique lui aussi ?!


G ... comme grossiste

Avec un mec comme He Tian et des amis comme Jian Yi et Zhan Xi, il avait l'impression d'être une mère qui devait s'occuper de son mari et de ses enfants. Et le plus compliqué n'était même pas de les faire tenir en place (même si c'était relativement simple pour Zhan Xi), non, le pire, c'était de les faire manger. Et comme c'étaient de véritables morfales qui n'en avaient jamais assez, il ne savait plus quoi faire. Le frigo se vidait en deux minutes juste après qu'il ait fait les courses. Alors, à problème radical, solution radicale. Désormais, il se fournirait chez un grossiste. Au moins, il n'aurait plus de problème de stock.


H ... comme hectare

A plusieurs reprises, Mo Guan Shan avait eut l'occasion de se rendre chez He Tian. Non, pas son vulgaire petit appartement. Mais plutôt l'immense propriété dans les montagnes. C'était amusant d'ailleurs quand He Tian avait dit à lui et Zhan Xi que toute la montagne appartenait à sa famille. Et donc, cette propriété faisait plusieurs hectares, ce qui arrangeait assez bien le noiraud. Lorsque le roux venait lui rendre visite, il pouvait facilement s'éclipser et échapper à la surveillance des gardes du corps de son frère pour rester un moment tranquille avec son amant en pleine nature. C'était dans ce genre de cas qu'il aimait plus que tout être un gosse de riche, il pouvait se cacher parmi tous ces hectares et être tranquille pour faire la sieste.


I ... comme irréprochable

Aucun des deux membres du couple tianshan ne pouvaient se considérer comme irréprochable. Guan shan et ses manies de se mettre tout le monde à dos avec son sale caractère et He Tian et sa nature rebelle qui avait réussi à se foutre à dos sa famille. Ils enchaînaient conneries sur conneries et ne s'arrêtaient quasi jamais d'emmerder le monde. Au fond, c'était en ça qu'ils étaient irréprochables. Foutre la merde partout où ils passaient.


J ... comme jouet

Au début de leur rencontre et de leur « relation », He Tian ne voyait le rouquin que comme un jouet. Celui-ci avait peur de lui et il pouvait jouer avec comme bon lui semblait. Au final, le plus petit faisait la cuisine et le ménage pour le noiraud quand celui-ci en avait envie. Il ne le voyait que comme un jouet pratique qu'il finirait par jeter à un moment donné. Voilà, problème, He Tian s'était attaché à cette boule d'énergie colérique qu'était Mo Guan Shan et ne voulait plus le quitter. Il s'accrochait à lui et dès que quelqu'un tentait de s'approcher de lui trop près, il n'hésitait pas à montrer les crocs. Tu parles d'un jouet, il avait fini par l'aimer sincèrement.


K ... comme képi

Vous en voulez un de fantasmes bizarre d'He Tian ? Se faire un militaire. Enfin, se faire Mo habillé en militaire. C'était plus clair comme ça. Faut pas chercher d'où ça vient. Et voilà un Mo Guan Shan, képi sur la tête, le reste de l'uniforme à terre en train de se faire dorloter par son amant. Mais bon, le képi, finit, lui aussi, à terre. Dommage, c'était un joli képi.


L ... comme larme

LA chose qu'il ne fallait pas faire devant He Tian, était bien de faire pleurer son amant. Celui-ci était fort mais avait tout de même ses limites. Et comme tout le monde, il avait fini par les atteindre à un moment donné. He Tian attendait son amant à l'appartement qu'il revienne des courses mais s'inquiéta de ne pas le voir rentrer. Alors qu'il allait ouvrir la porte pour partir à sa recherche, celle-ci s'ouvrit d'elle-même pour laisser apparaître un Mo Guan Shan en pleurs. Celui-ci s'effondra littéralement dans les bras d'He Tian et se laissa aller à sa peine. D'abord décontenancé par la douleur de son amoureux, il fut rapidement envahi d'une haine sans pareille. Qui-avait-osé-faire-pleurer-son-amant ?!?! Lorsqu'il eut toutes les réponses dont il avait besoin, il s'assura que ledit amant se fut endormi et sortit dehors afin de casser la gueule en bonne et due forme de ceux qui avaient osé faire ça. Autant dire qu'ils n'avaient plus jamais recommencé.


M ... comme mouvement

« Plus un geste ! Ne faites aucun mouvement ! ». Eh merde ! Qu'est-ce que notre fameux couple de dégénéré avait encore fait ? Ils s'étaient amusés à jouer à un, deux, trois soleil sur le toit du commissariat. Et qui avait eu cette idée stupide ? Bah, les deux, ils étaient bien trop bourrés pour chercher un coupable de toute façon. Et alors que les flics tentaient de les emmener au poste, c'est-à-dire, juste en bas, les deux amants ne bougèrent pas d'un pouce, prétextant que c'était le policier qui leur avait dit de plus faire un seul mouvement. Ils étaient donc restés figés dans la même position jusqu'au lendemain matin et jusqu'à ce qu'ils aient dessoûlé.


N ... comme noyade

La noyade était un sujet assez sensible à aborder avec He Tian. Effectivement, celui-ci avait perdu son seul ami et seul compagnon lorsqu'il était en enfant, son chien. Bon, le chien s'en est sorti mais son frère avait fini en piteux état à cause de la force des vagues et des rochers sur lesquels il avait fini sa course. Mais le sujet fut encore pire quand Mo manqua de se noyer lors d'une sortie à la plage. Son amant avait été surpris par une immense vague et n'arrivait pas à remonter. He Tian avait ri comme pas permis en le voyant se faire emporter comme une vulgaire brindille mais avait tout de suite arrêté lorsqu'il ne l'avait plus vu remonter. Illico presto, il s'était jeté à sa rescousse et avait pu le secourir à temps. Alors, ne parlez jamais, au grand jamais de noyade devant lui.


O ... comme oraison

Une oraison ? Une ... prière ? C'est bon, ils avaient fait tellement de conneries que la police les avaient envoyé à l'église ? Ouais, c'était à peu près ça. Bref, passons les détails techniques. Ils étaient tous les deux, à genoux, en train de prier. Et si, Guan Shan priait avec ferveur pour essayer de racheter ses fautes, ce n'était absolument pas le cas d'He Tian qui se demandait simplement ce qu'ils allaient manger au dîner. En tout cas, l'oraison du rouquin dura des heures, des heures où celle du noiraud consistait simplement en « Pitié, Seigneur, faîtes qu'il fasse du ragoût de bœuf ce soir ». La plus belle oraison jamais faite.


P ... comme paprika

Il y a une chanson qui s'appelle « le retour du cow-boy ». Désolé, mais là, pas de cow-boy mais plutôt « le retour des épices ». Et cette fois-ci, hors de question de se faire piéger par ce vorace d'He Tian. Du coup, aux grands maux, les grands remèdes. Mo Guan Shan rata volontairement son plat en rajoutant beaucoup plus de paprika que nécessaire. Mais vraiment, beaucoup plus que nécessaire. Lorsqu'ils les servirent, He Tian n'hésita pas à foncer sur son plat et le dévora en quelques instants, ne remarquant même pas que l'homme en face de lui n'avait pas touché à son assiette. Quand le noiraud s'en rendit compte, c'était trop tard, il avait l'estomac au bord des talons et était prêt de rendre l'entièreté de son déjeuner. Ce qui fit bien rire Guan Shan qui eut sa revanche.


Q ... comme quadrillage

Quadriller ? Mais quadriller quoi ? Non parce que c'est bien gentil de donner des consignes mais si on pouvait les avoir en entier, ce serait mieux. Bah, ça, c'était l'énoncé d'un exercice d'un prof. Il fallait faire des binômes, donc le couple Tianshan fut forcément ensemble mais ni l'un ni l'autre ne comprirent la question. Désespérés, ils se tournèrent vers Jian Yi et Zhan Xi mais aucun d'eux n'avaient également compris. Toute la classe se regarda, perturbée par cet énoncé complètement dingue. Qu'est-ce qu'il fallait quadriller à la fin ?!?!


R ... comme roseaux

He Tian a du fric, ça c'est pas une nouvelle. Et c'est pas une nouvelle non plus qu'il aime le dépenser. Et comment il aime le dépenser ? En faisant des cadeaux, débiles, inutiles, improbables à son petit-ami, de plus en plus désespéré. Mais qu'est-ce qu'il lui a offert cette fois-ci ? Une armoire ? Un arbre ? Une peluche géante de lui ? Non ! Mieux que ça ! Des roseaux ! Des ... roseaux ? Mais ... pourquoi ... des roseaux ? Tout simplement parce qu'He Tian voulait offrir des fleurs à son amant mais ne savait absolument pas quels types de fleurs. Et en passant dans un parc où il y avait des roseaux, il se dit que c'était une bonne idée de lui en offrir. Le voilà donc en train d'acheter des roseaux « pour un cadeau » comme qu'il a dit sous l'œil interloqué de la vendeuse. Mais, ça va, c'est joli encore les roseaux et ça prend pas trop de place.


S ... comme soleil

He Tian avait toujours assez démonstratif sur les marques d'attention, comparé à Mo. Bon, pas le genre d'attention, dîner aux chandelles, pétales de roses, bougies partout. Non, des attentions interdites aux moins de 18 ans. Il s'était, avec le temps, forgé un masque, celui d'un homme frivole et volage (et Guan Shan). Mais s'il avait dû mettre son cœur à nu, il lui aurait dit. Que Mo Guan Shan, le meilleur petit-ami à ses yeux, était le soleil de sa vie. Il avait tout d'abord été intrigué par lui, puis avait voulu le martyriser mais il avait ajouté quelque chose en plus dans sa vie. De la vie, tout simplement. Avant, lorsqu'il rentrait chez lui, seul un silence l'accueillait. Maintenant lorsqu'il rentrait, c'était accompagné du rouquin qui hurlait encore à la mort, comme à son habitude pour Y ou X raisons. Mo Guan Shan était le soleil de sa vie. Il lui avait apporté tout ce qui lui avait toujours manqué, de l'amour. Il avait conquis son cœur et son âme. Guan Shan était son soleil et il était hors de question qu'il s'éteigne.


T ... comme tarte

Mo Guan Shan est un excellent cuisinier, ça tout le monde le sait. (Surtout ses amis qui se servent de lui en fait). Il tient ça de ses parents et est fier d'être si doué. La cuisine est sa passion, une passion transmise par sa mère. Mais il ne fait pas que de la cuisine, il est aussi pâtissier. Et un super pâtissier. A l'occasion de l'anniversaire de son amant, Mo avait décidé de faire une tarte. Une sublime tarte au gingembre, citron et extrait de vanille. Et évidemment, le cœur et l'estomac d'He Tian furent ravis. Et évidemment, la soirée se finit au lit pour le cadeau du noiraud. Et cette fois-ci, ce fut plus ... sportif que les autres. Ah ? Mo avait oublié de préciser que le gingembre a des effets aphrodisiaques ?


U ... comme unisexe

Lorsque les deux amis du couple arrivèrent dans l'appartement, ils assistèrent à une scène peu conventionnelle. Ils entendirent uniquement leurs voix mais ils étaient visiblement en train de s'engueuler pour une histoire de couleur. Guan Shan hurlait de mettre du vert ou du orange parce que ça ferait unisexe et qu'il n'y aurait pas de problème de ce côté-là mais He Tian ne semblait pas en démordre avec son « bleu pour les garçons et rose pour les filles » ce qui semblait exaspérer son petit-ami au plus haut point. Et ce fut la même chose pour les vêtements. Il fallait mieux que ce soit unisexe pour ne pas se retrouver avec une tonne de vêtements sur les bras quand l'enfant serait là, puisqu'ils ne connaissaient pas encore le sexe. Jian Yi sautillait sur place, comprenant enfin et se précipita dans le salon en criant comme un forcené « Félicitations !!! Vous allez être parents !!! ». Ah oui, effectivement, ils allaient être parents. Mais sur les sims, c'est tout de suite moins enthousiasmant.


V ... comme ventriculaire

He Tian avait décidé, pour plus tard, de faire médecine. Très bon choix. La filière est dure mais le jeu en vaut la chandelle. Sauver des vies, quoi de mieux dans la vie, la récompense pour ce dur labeur. Oui, enfin, pour faire médecine, faudrait déjà comprendre ce qu'était une cavité ventriculaire. Même Guan Shan, qui ne ferait jamais médecine, avait compris ça et essayait, en vain, depuis quinze minutes de lui faire comprendre ce que c'était. Peine perdue. Bon, bah, si He Tian ne savait pas ce que c'était, tant pis, il trouverait autre chose que médecine à faire.


W ... comme wapiti

Le wapiti est une espèce de cerf des Etats-Unis et du Canada ? Ah ouais ? Bah zut alors. Non, parce qu'avec les deux idiots de ce couple, ils étaient absolument certains qu'un wapiti c'était une sorte de singe, très poilu, avec le dos toujours courbé et qu'arrive même pas à relever les yeux. Comme quoi, tout le monde peut se tromper. Oui, enfin là, la différence est quand même grande. Un singe et un cerf ? Quand même. On savait qu'ils étaient débiles mais à ce point-là ?


X ... comme xanthophylle

Pour un devoir, Mo Guan Shan devait chercher ce qu'était une xanthophylle. Mais c'était quoi, ça, comme devoir ?! C'est censé ressembler à quoi en plus ?! Le rouquin était en train de s'arracher la tête sur ce devoir à la con, cherchant absolument partout ce qu'était cette foutue xanthophylle, sans succès. Mais voilà He Tian qui arrive, avec ses solutions miracles. Et quelle est sa solution miracle cette fois-ci ? « Laisse tomber ». Merci pour cette solution. On va la suivre.


Y ... comme yeux

Déjà que Mo n'aimait pas particulièrement sa couleur de cheveux, il avait fallu qu'il ait des yeux assorti. Des yeux aussi rougeâtres que ses cheveux. Il n'avait donc jamais vraiment aimé ses yeux. Mais ça, c'était avant He Tian. Bien sûr, il avait fallu que son petit-ami lui fasse des milliards de compliments. Mo n'en avait jamais réellement reçu, excepté par sa mère, et ne savait pas ce que c'était d'en recevoir. Eh ben voilà, il suffit de corriger le tir. Enfin, He Tian avait pris cette décision surtout après une crise de jalousie. Alors qu'ils étaient tous les deux en train de boire un café en terrasse, la serveuse s'approcha et, rougissante, le complimenta sur ses yeux qu'elle trouvait vraiment très beaux. Mo Guan Shan fut surpris et ne sut que répondre mais le fut encore plus quand son petit-ami, la jalousie au fond des yeux, rétorqua qu'évidemment qu'il avait de beaux yeux puisque absolument tout chez lui était beau. Mo se retourna vivement et fut attrapé rapidement par le col pour se retrouver embarqué dans un ardent baiser. He Tian le relâcha peu après et fusilla du regard la serveuse en signalant « il est à moi, pas touche ». C'est vrai, ils avaient tous les deux de très beaux yeux. Surtout quand ils servaient à incendier silencieusement quelqu'un qui avait son regard un peu trop insistant sur l'un ou l'autre.


Z ... comme zeste

Allez, je vous mets un petit zeste ? Un petit zeste de quoi ? Mais un petit zeste de connerie sur le couple Tianshan bien évidemment. Eh ben, dans ce cas, mettez le citron en entier.












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A la lettre P (paprika), je fais référence à une chanson. Le retour des cow-boys. C'est celle-ci, franchement, elle est hilarante .

https://youtu.be/-X5k1lwIAhA

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