L'équipe de Tottenham doit jouer un match de ligue des champions à Munich et ils logent dans un drôle d'hôtel au centre ville.

Pdv Hugo

Le bus se gare devant notre hôtel dans le vieux centre ville de Munich. Je prend ma valise et regarde la façade qui a était refait à neuf. Ça a l'air accueillant.

Harry mon compagnon me prend la main et m'emmène à l'intérieur ou tout n'est pas aussi accueillant. Les moquette son passée ainsi que les fauteuils et la tapisserie fait sale.

Moi : et bien ça n'a pas l'air très chaleureux finalement.

Harry : tu la dit bb.

Gérant : bonsoir vous devez êtres l'équipe de Tottenham ?

Dele : non on est l'équipe de man United.

Je lui frappe l'arrière du crâne et le foudroie du regard.

Mauricio : oui c'est ça.

Gérant : très bien. Le premier étage et réservé à vos joueur et le deuxième à votre staff.

Mauricio : c'est parfait.

Gérant : bien. Comme cons là distribution des clefs. Messieurs Lloris et Kane chambre 11.

Il nous tend notre clef non sans trembler et nous lancer un regard du genre "je suis désolé" mais on n'y prête pas trop attention.

Nous nous dirigeons vers l'ascenseur mais il est panne. Nous sommes obligés de prendre les escaliers. Super.

Nous arrivons au premier étages et voyons que mêle le couloir et vieux et démodé. Harry lève les yeux au ciel et nous arrivons devant la porte de la chambre 11.

J'ouvre et contre tout attente la chambre semble refait à neuf. Nous entrons et je dépose nos affaires sur le lit. C'est alors que odeur de parfum pour femme me prend au nez.

Moi : tu sens ça ?

Harry : oui on dirait que c'est du parfum pour femme.

Moi : ça sent fort. Ouvre la fenêtre.

Mon petit amis ouvre la fenêtre mais bizarrement l'odeur persiste. Donc on ouvre aussi la porte du couloir pour crée un courant d'air et que cet odeur disparaisse.

Et bien c'est un échec vu que ça sent même plus fort et que ça embaume même le couloir.

Dele : La vache ça pue le parfum ici.

Serge : Hugo c'est toi qui met du parfum pour meuf ?

Moi : très marrant.

Harry : on essaie de faire partir cette putain d'odeur mais ça persiste.

Moi : et ça sent de plus en plus fort.

Dele : ouai va fait même mal au yeux.

Moussa : ouah les mecs sa sent le rose depuis le bout du couloir.

Serge : ça vient de la chambre de Hugo et Harry. Mais ils arrivent pas à s'en débarrasser.

Moussa : et bien laisser la fenêtre ouverte pendant qu'on va manger. Ça va aérer.

Moi : tu as sûrement raison. Viens bb.

On prend nos téléphones est on rejoint nos coéquipiers en bas pour le dîner. Mais Harry ne se sent pas bien donc je décide de remonter et qu'on aille au lit. C'est dur qu'on loin voyage ça a du le fatiguer.

J'ouvre la porte et la surprise il n'y a plus aucune odeur de parfum. Ce qui est une bonne chose. Je ferme donc la fenêtre et Harry va prendre sa douche.

Je le rejoins et on se couche dans les bras l'un de l'autre. Je m'endors très rapidement l'avion ma défoncer. Je me réveille le matin ayant passer une bonne nuit ce qui n'est pas le cas de Harry.

Pendant toute la nuit il a entendu des bruits de pars provenant de la salle de bain ainsi que des chuchotement de femme près de son oreille se qui l'a empêche de dormir.

Je n'y prête pas attention me disant qu'il a du faire de la fièvre et à du halluciner mais quand je vais dans la salle de bain toute nos affaires ont changé de place et ça sent le même parfum que hier.

On se regarde tout les deux et on se dépêche de s'habiller et de prendre nos affaires pour la journée. Nous rejoignons nos coéquipiers et on décide de ne rien leur dire. Ils nous prendrai pour des fous.

Le matin l'on s'entraîne à l'Allianz Arena et l'après midi nous visitons un peu la bille mais très vite Harry se sent de nouveau mal et toute l'équipe rentre à l'hôtel. Je reprend les clés de notre chambre.

On monte et des que l'ou ouvre la porte sa pue le parfum mais comme jamais. J'ouvre la fenêtre et Harry court aux toilettes vomir. C'en ai trop.

Je descend à la réception après mettre assure que mon copain aller mieux, et tape sur la sonnette le gérant sort du bureau et me regarde.

Gérant : messieurs vous avez un problème ?

Moi : oui. Mon copain et moi dormons dans la chambre 11 et depuis hier nous sommes dérange par une odeur de parfum pour femme qui s'amplifie.

Gérant : je vois... Je suis sincèrement désolé messieurs mais cette chambre à pour réputation d'être Hanté.

Moi : comment ça Hanté ?

Gérant : voyez vous pendant la seconde guerre mondiale ce n'était pas un hôtel mais une maison close et une prostituée s'est suicidé dans une chambre au premier étage.

Moi : La Chambre 11.

Gérant : oui. Depuis que j'ai racheté cet hôtel des clients se sont plein de bruit de pats, de chuchotement de femme, d'une odeur de parfum assez forte et mêle d'ombre dans la chambre 11.

Moi : ok moi je m'en fous je n'y crois pas au fantôme. Par contre donnez nous une autre chambre parce que tout ça rend mon compagnon malade.

Gérant : je suis sincèrement désolé mais l' hôtel est complet. Je n'est pas d'autre chambre à vous proposer.

Moi : et merde.

Gérant : mais il ne vous reste qu'une seule nuit donc tout devrait bien se passer. En attendant je vais faire monter de quoi soigner votre compagnon.

Moi : sympa.

Puis je remonte aux côtés de Harry. Une chambre d'hôtel hanté on aura tout vu. Je rentre dans la chambre et Harry et allongé sous les draps blanc comme un linge. Ça me fait presque peur.

Le room service apporte de quoi soigner mon compagnon. Je lui donne ses cachets et il s'endort aussitôt. En mêle temps s'il n'a pas dormi la nuit der c'est normal qu'il soit fatigué.

Je descend donc dîner seul mais ne reste pas trop longtemps pour ne pas le laisser tout seul. Je remonte, prend ma douche, range nos affaires et m'endors.

Sauf que dans la nuit je suis réveillé par des bruit de pars venant de la chambre cette fois et des chuchotement.

J'ouvre doucement mes yeux et voit aux bout du lit une femme en robe d'époque de la seconde guerre, le cou tordu sur la droite, immobile et qui nous fixe. Je ferme les yeux, sert Harry qui dort profondément contre moi et me cache sous le couette jusqu'au petit matin.

Une fois levé on boucle nos valises et on part dans la chambre de moussa. Pas question que l'on reste une minute de plus la bas.

Mais ce qui est étrange c'est que en quittant l'hôtel le soir pour aller au stade j'ai regardé la fenêtre de notre chambre et j'ai revu cette même femme qui nous regardé partir.

The end